de la maraude est a revoir. Les étudiants devraient avoir le droit de
rentrer
a partir de 1h ou 2 h.
é pour la garde et au bout de 30 minutes on m'a proposé de me laisser
rentrer
chez moi. Donc je ne suis malheureusement pas res
prends pour exemple un jeune homme d'une trentaine d'année souhaitant
rentrer
à Montrouge (Centre d'hébergement du SS) et n'aya
lace. Il est à la porte et menace de s'immoler si on ne le laisse pas
rentrer
.. Au moment où la coordinatrice ouvre, il s'asper
is. Ce qui m'a plu : le professionnalisme des intervenants (aide sans
rentrer
dans la compassion et quelque soit les circonstan
de l'aide; accepter le refus de l'aide; discuter de tout et de rien;
rentrer
dans une maison sans mur, ni porte, ni fenetre...
sez intimidé au début, je n'osais pas trop poser de questions ni trop
rentrer
en contact avec les aidés, de ce point de vue, ça
alors que ce moment n'est pas très instructif, ne pourrions nous pas
rentrer
avant? Au final très bonne expérience!
entre d accueil et proposé quelques cafés dans la rue. Voilà. Je suis
rentrée
à 5h du matin sans avoir fait aucune pause.
, je n'ai pas pris plaisir a faire cette garde, et j'étais content de
rentrer
chez moi a la fin. Non pas que je dénigre la misè
ment "de l'intérieur". Cela m'a rappelé combien il est confortable de
rentrer
chez soi le soir, d'avoir de quoi manger et d'êtr
Il s'agit d' une expérience très intéressante car elle nous permet de
rentrer
en contact direct avec des personnes marginalisée
ut interrompue cette nuit pour des raisons de sécurité et nous sommes
rentrés
progressivement vers Ivry.
s tout à fait le principe, le fait de ne pas porter de gants quand on
rentre
en contact physique avec les SDF n'est vraiment p
s très juste vis à vis des autres étudiants qui ont la possibilité de
rentrer
chez eux vers 3h alors que nous devons attendre p
a maraude à 4h15 et le premier métro partant à 5h30). Ensuite, devoir
rentrer
chez soi, en banlieue, à pieds, tout seul alors q
ère est normal pour la plupart des gens. La nuit de maraude nous fait
rentrer
dans la vie de ces SDF un peu plus en profondeur,
lui, l'écouter le rassurer. C'était un monsieur très triste, qui est
rentré
dormir à l'auberge en ayant le grand sourire aux
nant, qui travaillait sur les autoroutes. Un jour une voiture lui est
rentrée
dedans. Il est devenu handicapé. Il a fini par pe
s étudiant en médecine je trouve) La maraude était calme donc je suis
rentrée
après la pause. J'ai souvent repensé à cette nuit
dent car il faut soit attendre le debut du service des transport Soit
rentrer
en voiture extremement fatigué.
et nous sommes partis vers 21h faire la première sortie. Nous sommes
rentrés
vers 3h pour manger et ensuite on est ressorti et
ui m'a accueilli et le fait qu'ils aient veillé à ce que je sois bien
rentrée
chez moi. J'ai aimé leur dévouement pour les autr
Je suis sortie de cette garde chamboulée, presque honteuse de pouvoir
rentrer
dormir chez moi dans un lit, au chaud, pendant qu
ait de demander après la pause si l'on veut continuer les maraudes ou
rentrer
chez nous est une bonne chose, j'avais la chance
maraude m'a plue car j'ai trouve constructif d'observer la maniere de
rentrer
en contact avec les personnes en besoin et de leu
arlé avec elle de sa vie pour mieux la connaître. Nous sommes ensuite
rentré
manger et l'équipe m'a déposé chez moi juste aprè
Nous avons effectué la maraude de 20h30 à 3h30 sans
rentrer
à la base du Samu Social entre les deux. L’equipe
re une douche à un SDF handicapé en chaise roulante et ensuite on est
rentré
au centre du samu social vers 3h30. Cette expérie
s transports, les autres étant en pause. Nous n'avons pas le temps de
rentrer
en pause, je ferai donc une nuit complète. J'appr
5h du matin passés, il s'agit de trouver un transport en commun pour
rentrer
à Paris. Je rentrerai finalement à pieds depuis A
il s'agit de trouver un transport en commun pour rentrer à Paris. Je
rentrerai
finalement à pieds depuis Austerlitz, un nouveau
uit et le monde qui l'entoure d'une façon différente : entre gens qui
rentrent
de soirée, SDF, prostituées... tout est à découve
an humain social. On y va avec un peu d'appréhension et finalement on
rentre
bien surpris et vraiment satisfait de la nuit. Be
ation de l'externe.. certains ne viennent pas, d'autres veulent juste
rentrer
dormir. Il faut la garder, ne pas la rendre oblig
ur a leur place. Les bénévoles sont plutôt Gentils avec nous. Je suis
rentrée
chez moi a 2h30, ils m'ont raccompagné.
nchement pas grand chose, qu'il fait froid et pleut à verse, et qu'on
rentre
à 5h du matin c'est, à mon avis, nous fatiguer IN
peler la chance qu'on a. Je passe tous les soirs par la même rue pour
rentrer
chez moi et jusqu'à hier je ne savais même pas qu
a le plus etonne, c'est l'organisation. Chaque personne qui telephone
rentre
dans une prise en charge specifique, a croire qu'
-ci est trop loin de "chez eux", et que ça sera compliqué pour eux de
rentrer
. J'avais une image dans ma tête plutôt d'un sdf "
icile et notamment l'arrivée a la "boulangerie" ou nous ne sommes pas
rentrés
mais l'ambiance y est vraiment tres sombre et ind
toire de laquelle on aimerait bien sortir vivant et le fait de devoir
rentrer
à 5h du matin en passant par les rues peu sûres d
s considérant comme des petits jeunes, ils nous accordent le droit de
rentrer
plus tôt). Bref, c'est à continuer, voire à appro
t toute cette nuit que j'avais vraiment beaucoup de chance de pouvoir
rentrer
chez moi après la garde.
entre d'hébergement. Le froid était vraiment paralysant ! Nous sommes
rentrés
pour aller manger (très bon repas d'ailleurs !),
étant pas parisien et finir à 4h du matin c'est un peu la galère pour
rentrer
Et puis Paris la nuit, c'est beau...
ir, pendant au moins 10 min pour rejoindre le métro. Comme j'ai voulu
rentrer
plus vite car fatiguée, il a fallu que je prenne
temps d'aller dormir: quelques larmes coulent, le cadet demande s'il
rentrera
un jour chez lui. La travailleuse sociale le rass
e action, ne faire que prolonger leurs existences misérables avant de
rentrer
dans notre confort domestique. Tandis que nous at
se rendre compte des vraies situations de détresse sociale. Permet de
rentrer
en contact avec des SDF, de se rendre réellement
tous ceux qui en avaient besoin. Je n'ai jamais été aussi heureuse de
rentrer
chez moi cette nuit là. Cette expérience rend hum
s partis en camion pour une maraude jusqu'à 2heures 30 où nous sommes
rentrés
pour la pause puis nous sommes repartis en camion
ité sans eau qui a eu un problème de serrurerie et qui ne pouvait pas
rentrer
chez elle s'est vue refuser l'aide sous prétexte
ur les banlieusards est très très contraignant. Et payer un uber pour
rentrer
représente un coût non négligeable selon les dist
guée mais je suis restée jusqu'à 04h30. J'ai trouvé ça passionnant de
rentrer
en contact avec des gens qu'on croise au quotidie
qui nous expliquait qu'il partait tous les jours à 7h du matin et ne
rentrait
que tard le soir pour ne pas importuner les habit
onde je ne serai capable de comprendre ce qu'ils vivent, moi qui suis
rentrée
tranquillement dormir dans mon lit à 4H, mais j'a
ndre comment le travailleur social et l'infirmière travaillent, et de
rentrer
en contact avec ces personnes en pouvant leur app
le milieu hospitalier. Enfin la maraude a été pour moi l'occasion de
rentrer
dans "l'action". Nous avons aidé plusieurs person
mais qui avait tout ce dont j'avais besoin et surtout un chez moi où
rentrer
à la fin de cette conversation.
à 5h du matin alors qu'on habite à plus d'une heure d'Ivry et devoir
rentrer
en RER après peut être compliqué pour certains ét
ri, qui pour la plupart étaient psy et/ou alcoolo-dépendants. Je suis
rentrée
chez moi vers 4h, car on passait dans le quartier
vu Lâchez à 4h donc à Ivry sans RER ... Obligee de payer un taxi pour
rentrer
Donc payer pour faire une garde ou on ne vous att
nt là, on serait passé sans les voir. Chacun à son tour, ils saluent,
rentrent
dans le camion, s'asseyent en silence. Ils se réc
'ai surtout retenu de la part du chauffeur la consigne de sécurité de
rentrer
dans le camion dès que la situation chauffe. Cela
et qu'ils devront malheureusement passer la nuit dehors, encore... Je
rentre
chez moi à pieds, pour réfléchir, quelle leçon d'
à l'entrée pour faire régner l'ordre et accessoirement ne pas laisser
rentrer
les travailleurs du Samu Social histoire de cache
de la nuit suffisent. A 2 jours des partiels, j'étais contente d'être
rentrée
tôt chez moi (avant le retour au centre pour dîne
cette garde que je pensais humaine et humanitaire à la fois, je suis
rentrée
très déçu. En effet, ma garde a commencé avec deu
proposé un café ; à d’autres une soupe, un thé ... Enfin nous allions
rentrer
en pause, quand nous avons aperçu un homme couché
font de grands signes à peine ont ils vu le notre camion. Super ! On
rentre
dans le vif du sujet ! On s'arrête on va à leur r
aient rapidement mises en confiance en notre compagnie. Quand je suis
rentrée
chez moi, j'avais un grand sourire et je me disai
et j'en garde un souvenir touchant, particulièrement lorsque je suis
rentrée
chez moi dans mon petit nid, et que j'ai repensé
'une certaine heure, les passants, intrus de ce paysage, étaient tous
rentrés
chez eux, bien au chaud au coin du feu, et seuls
ec la directrice des travailleurs sociaux qui vous propose ou bien de
rentrer
chez vous, ou bien de trouver un pantalon parmi l
a travailleuse sociale, l'infirmière, le sans-abri et moi-même sommes
rentrés
dans une pièce pour discuter avec lui, de faire l
'est savoir doser. Ah la la sacré Rolland. Il est 3:30 du matin. Nous
rentrons
manger. La nuit aura été une expérience inedite,
, et on dîne. Puis le pot d'anniversaire ! Et enfin je m'éclipse pour
rentrer
. Il faut bien se reposer pour réviser l'urgence r
rlons beaucoup entre chaque pause. Après une nuit forte en émotion je
rentre
chez moi, avec la certitude d'avoir tout donné et
à. Finalement, la famille devait reprendre le train le lendemain pour
rentrer
à Rennes. Oui, toutes les personnes en détresse n
t emmenâmes encore deux personnes de la rue vers les centres avant de
rentrer
. Pause repas (entre minuit et 2h) : moment privil