C'est avec un peu de retard que je rends ce paragraphe concernant la garde au SAMU social

que nous oublions ou refusons de voir chaque jour autour de nous, la rendre obligatoire ne fait qu'augmenter le ressenti néga

mieux appréciés par des externes à qui on laisserait le choix de s'y rendre sur la base du volontariat.

SAMU Social, dont on ignore beaucoup de choses avant de venir. On se rend finalement compte qu'il y a déjà beaucoup d'aides

t autant. L'accueil par les équipes était vraiment chaleureux, ce qui rend la nuit tout de suite agréable avec une bonne amb

gue et n'ayant aucun contact sur place. C'est très courageux et on se rend une fois de plus compte à quel point nous sommes

nrichissante. Au cours de la maraude on a vraiment l'impression de se rendre utile pour les gens qui en ont besoin. Bonne ambi

La double écoute était très intéressante. La barrière de la langue rend souvent les conversations difficiles. Cette garde

ons proposées sont de rappeler le 115 encore et encore ou alors de se rendre dans des centres où des hôpitaux éloignés des app

ns s'assurer toujours de leur compréhension ou de leur capacité à s'y rendre .. J'ai pu voir que les places d'hébergement sur P

ur medecin, il est important de voir certaines réalités dont on ne se rend pas forcément compte. C'est vraiment une chance d

urs trouvé ces échanges très clairs, et les démarches administratives rendent la tâche très complexe : au cours de mon écoute,

au 115, la barrière de la langue et les difficultés de compréhension rendaient parfois ces échanges compliqués. La seconde parti

er la soirée de ces personnes. Un échange de parole peut suffire pour rendre le sourire à de nombreux sans domiciles souvent i

s déchirées par le deuil et la maladie. En revanche il est dommage de rendre cette garde obligatoire pendant le stage d'urgenc

int de vue humain, cela nous permet de voir une réalité dont on ne se rend pas forcement compte. Pendant la nuit différentes

Très belle expérience, très émouvante, qui je pense, devrait être rendue accessible voire obligatoire pour tous ( médecin

lièrement aux urgences. Je trouve que cette garde nous permet de nous rendre vraiment compte des conditions de vie de ces pati

social. L'équipe était très accueillante et disponible et a permis de rendre ce mini-stage agréable. Cela permet de découvrir

pu contrôler... On se rend compte que l'isolement de certains les ont rendus agressifs, dépressifs... bref, qu'ils souffrent t

gressifs, dépressifs... bref, qu'ils souffrent tout simplement. On se rend surtout compte que c'est difficile d'accepter que

le plan social. L'émotion, le rire, le partage, l'empathie étaient au rendez vous et cela personne ne peut nous l'enlever, une

ai passe la nuit dans le camion a recherche des gens qui avaient pris rendez vous dans la journee. Les histoires des gens sont

assez intéressante d'un point de vue humain. Cependant je trouve que rendre un acte bénévole obligatoire n'est pas la meilleu

assez intéressante d'un point de vue humain. Cependant je trouve que rendre un acte bénévole obligatoire n'est pas la meilleu

oir cette institution et on se rend compte de l'importance du service rendu . Je pense que cette expérience est un plus pour n

, étant avec un chauffeur aigri et complètement anti-pathique, qui ne rend pas honneur aux autres membres du samu social. Né

vons en D2 il serait peut être mieux de le mettre en D1 ou bien de le rendre facultatif ainsi uniquement pour les gens vraimen

darité! Ça m'a ouvert les yeux sur une structure organisée qui tend à rendre la vie plus agréable à ceux qui se trouvent à la

Cette nuit m'a parut utile dans le sens où l'on se rend vraiment compte de la misère des gens que l'on ne

on travail personnel et ses gardes dans son' service. Il faudrait les rendre accessibles sur la base du volontariat.

'on doute que des personnes vivent dans une grande précarité, on s'en rend vraiment compte qu'en allant a leur rencontre. Gr

diversité des personnes nécéssitant notre aide. Ce fut agréable de se rendre utile et de recevoir les remerciements des person

oublierai jamais ma nuit de maraude au Samu Social de Paris. On ne se rend pas assez compte de ce qu'est la vie des sans abr

ante et c'est rassurant de voir tant d'hommes et de femmes dévouées à rendre le quotidien d'autrui moins pesant ! Au total, un

dre compte de la réalité, même si je savais que ça existait, on ne se rend pas vraiment compte qu'autant de gens sont dans l

ns de vie de ces personnes, dont on a pas forcément conscience. On se rend d'autant plus compte, que le SAMU social manque c

à communiquer avec les gens aidés, il en connaissait beaucoup ce qui rend le contact plus proche. Grande expérience humaine

qu'on croise dans la rue et dont on évite le regard très souvent. La rendre obligatoire n'est par contre à mon avis pas la me

es choses qui fonctionnent et d'autres moins bien. Très utile pour se rendre vraiment compte de la précarité des gens dans la

nt dans un centre d’hebergement pour la nuit, on a l’impression de se rendre utile aux usagers ce qui est d’autant plus parlan

ue les foyers dans lesquelles les personnes en difficultés peuvent se rendre , endroit qui m'était jusqu'alors inconnus.

t au SAMU social a été une expérience vraiment intéressante. On ne se rend pas forcément compte de l'importance qu'aura le s

des sans abris à la rue depuis des années. Il faisait froid et on se rend à quel point vivre dehors est inhumain. Puis on r

otion. Je trouve cette expérience indispensable. Peut-être devrait-on rendre cette expérience obligatoire au lycée? Je pense q

à trimballer. De plus le fait qu'il s'agisse d'une garde obligatoire rend la chose moins "humaine", dans le sens où même si

t pour nous peut leur changer la vie. Cette nuit permet aussi de leur rendre leur humanité. Ce que je veux dire, c'est que nou

de choses. J'appréhendais le contact avec les SDF et, mais qui a été rendu très facile par l'équipe qui est très bienveillan

Je me suis rendu au centre du Samu Social avec la paresse habituel

te garde, c'est une très bonne initiative de la part de la faculté de rendre obligatoire ces gardes.

coup de neige et très froid!) ont vraiment soudé l'équipe et je pense rendu les personnes rencontrées plus réceptives à nos i

gardé ce qui est le plus important: leur humanité. Et nous leur avons rendu .

ements pour la maraude ensuite. Pendant la nuit ensuite, lorsqu'on se rendait sur le lieu d'un signalement, j'ai remarqué qu'on

e d'hébergement dans un centre pour la nuit, beaucoup refusent de s'y rendre . Ca me rappelle un des signalements de la nuit, u

ée par les policiers, et qui dormaient sous un porche. Quand on s'est rendu sur le lieu de signalement, on a prit toutes les

. En "maraudant" les différents arrondissements, dans le froid, on se rend vite compte de la gravité de la détresse de ceux

e promouvoir la demande et l'effort personnel des "usagers" pour leur rendre une dynamique de vie. De cette façon, ils peuvent

sonnes isolées ont été fermés depuis le début de l’année 2011 et cela rend le travail de toute l’équipe du Samu Sociale diff

Garde très intéressante, on se rend vraiment mieux compte du travail réalisé par le S

soin auquel cette population est fréquemment soumise. En effet, on se rend mieux compte de leurs conditions de vie et du tra

très peu intéressés par la garde. Ils m'ont fait part de leur idée de rendre cette garde volontaire et non obligatoire, ce que

nt extrêmement soudées et l'intégration se fait naturellement, ce qui rend la maraude très agréable à partager. La partie do

ci à l'équipe pour leur accueil et leur bonne humeur, qui a permis de rendre la nuit plus légère.

s et aiment répondre aux questions des étudiants observateurs, ce qui rend la nuit agréable et la fait passer vite.

oi. J'étais malgré cela très curieuse et enthousiaste à l'idée de m'y rendre . Je suis convaincue que distribuer cette garde à

l'hôpital à les rencontrer, et parfois hélas ils ne désirent plus s'y rendre de par un manque de formation du personnel soigna

l", - le concept n'a que quelques années - sont devenus des réalités. Rendre à ce point concrète la situation de détresse - ou

atients crados, partagé entre l'espoir idiot qu'une magicienne va les rendre normaux et la certitude qu'ils ne voudront pas, m

ou se laver et le fait de leur parler ,de les laisser se confier nous rend plus conscient de la situation de tant de gens en

r certains , comme ce monsieur qui avait trouvé une association ou se rendre chaque jour pour entretenir des relations amicale

Cette expérience était intéressante, c'est donc une bonne idée de la rendre obligatoire, pour motiver des personnes qui n'y s

sttibution de nourriture ou de vêtements. Cependant en pratique on se rend vite compte de la difficulté de leur mission, dûe

endroit pour dormir car venait d'être expulsée de Gare du Nord; On se rend vraiment compte de la demande et des conditions p

seraient cependant selon moi à améliorer, - les places en foyer sont rendues disponibles à partir de 19h15, ce qui signifie qu

e personnel est très accueillant et m'a mis de suite à l'aise. Ils se rendent chacun disponible pour répondre à mes questions e

cadre social de notre métier car bon nombre de gens en difficulté se rendent à l'hôpital pour recevoir des soins. On a pu ains

ce que j'en garde reste incroyable. L'ambiance dans l'équipe était au rendez -vous, il n'y avait pas de "grades" comme à l'hopi

assoie devant, or c'est 95% du temps de la maraude... Pourquoi ne pas rendre la maraude facultatif ? Et allonger éventuellemen

les connaissent. Ils se comportent avec les usagers de manière à leur rendre ce que la vie dans la rue leur prend à savoir une

Cette soirée du 21 septembre, je me suis rendu à la caserne sans m'attendre à la nuit que j'alla

s blessures. En s'arrêtant dans la rue pour aller voir les SDF, on se rend rapidement compte à quel point ils ont besoin de

hôtels proposés par le 115 sont souvent très éloignés de Paris ce qui rend incompatible la scolarité des enfants à long term

! J'ai eu la chance d'avoir une équipe super sympa, ce qui permet de rendre très sympa cette longue nuit! J'ai eu la "chance"

é choqué par le manque de moyen dont dispose le 115, en effet on s'en rend bien compte lors de la double écoute où les gens

ne semblent pas pouvoir faire autrement que de vivre en marge. On se rend également compte à quel point les moyens font déf

c côtoyé dans la rue. Cette nuit au samu social crée l’occasion de se rendre au plus près de ceux qui sont dans le besoin, occ

ormément de choses en ce qui concerne le rôle du samu social ce qui a rendu cela très intéressant. Ensuite dans le camion j'é

affecte au 19e arrondissement donc deja presque 1h de trajet pour s'y rendre et ensuite nous n'avons trouvé aucun dès signalem

lamant une aide (principalement de logement au téléphone) avant de se rendre sur le terrain. Cela rends le choc de la rue moin

ent de logement au téléphone) avant de se rendre sur le terrain. Cela rends le choc de la rue moins brutal à mes yeux. Je par

ment, on leur accorde une valeur sociale moindre. La dignité leur est rendue , les chauffeurs infirmiers et travailleurs sociau

Ce fut pour moi une belle expérience humaine. Avant de m'y rendre , j'étais quasi persuadée de passer une nuit "dans

et un lit. J'ai beaucoup de chance. A conserver car je pense que cela rendrait humble certains étudiants imbus d'eux même.

gligeable, profonde gentillesse des encadrants du SAMU social, mais à rendre facultative ou au moins ne pas mettre de garde à

Garde très intéressante et vraiment très enrichissante! Se rendre auprès des usagers, prendre le temps de discuter

Au départ je ne voulais pas me rendre à cette garde, ce n'était pas vraiment le moment

eaucoup de rôle sinon celui d'observateur. Je remercie l'équipe qui a rendu cette nuit particulièrement intéressante et reste

oires. Ainsi, je pense que c'est une bonne chose que cette garde soit rendue obligatoire car elle nous montre une approche plu

nitaire"qui ne serait être entière qu'une fois sa dimension gracieuse rendue . En ce qui concerne mon ressenti, c'est très dive

hie, leur patience, leur bonne volonté, leur humanité finalement, qui rend si difficile le retour au chaud chez soi ...

Nous ne nous rendons pas forcément compte de la détresse de ces person

t avec des personnes vivant dans la rue et étant en difficulté. On se rend rapidement compte de la portée qu'a le samu socia

uvoir se loger, ne peuvent pas mettre leurs enfants à l'école, ce qui rend d'autant plus difficile l'insertion. Malheureusem

asion de rendre grâce pour cette vie où j'ai beaucoup reçu ! A moi de rendre autant que je peux aux plus démunis. Ensuite, ce

il leur arrive d'avoir peu de moyens, ils font toujours au mieux pour rendre ou préserver la dignité des personnes en détresse

de manque de place dans les centres. Malheureusement, je pense que de rendre cette garde obligatoire est une erreur, les perso

ue fois des stratégies sont trouvées pour faire comprendre un lieu de rendez vous, une adresse où manger... J'ai aimé observer

nes tres attachantes et leurs histoires touchent enormement! On ne se rend pas bien compte de la chance que l'on a d'avoir u

de travailleur social. Ça m'a fait peur au début, je pensais que cela rendrait la tâche plus difficile, mais finalement non. On

vons beau croiser souvent des sans abris à Paris je pense qu’on ne se rendra jamais compte du nombre de personnes en détresse

nombre de personnes en détresse dans les rues. Le jour où je m’y suis rendu c’était un jour férié donc il y avait eu moins d’

C'était une très bonne expérience que je trouve utile de rendre obligatoire (je reconnais que avant d'y aller j'é

rs longues années, toujours soucieuse du devenir de la personne et de rendre son séjour dans la rue un peu plus "humain".

u'il est presque impossible de sortir quelqu'un de la rue, mais je me rends bien compte que leur apporter un café et un souri

nt une aide lorsqu'on conseille aux "jeunes" sans abris de ne pas s'y rendre par manque de sécurité? Bien sûr, j'ai conscience

ppel et intervention parfois de plusieurs heures... Enfin, j'ai pu me rendre dans une structure d'accueil où on a pu échanger

ses reste a faire dans le social c'est sur, et faire cette garde nous rend davantage conscient. On voit Paris d'un autre oei