la force des sans-abris. La plupart ne demandaient que de l'écoute et
refusaient
parfois notre aide matérielle ou alimentaire. L'u
Lorsque nous lui avons proposé une nuit au chaud dans un centre il a
refusé
car il ne pouvait pas abandonner son "commerce".
du SAMU social et la possibilité d'être hébergé. Un autre monsieur a
refusé
un duvet alors qu'il dormait au sol car "il y a p
ins centres sont vétustes et les places dans ces centres sont souvent
refusées
par les SDF.
situation où ils ne peuvent rien faire face aux personnes isolées qui
refusent
l'aide qu'on leur propose.
ant. C'était aussi un peu dur au niveau des appels quand nous devions
refuser
une place dans un centre à certaine personne alor
-écoute lorsque la plupart des demandes de logement pour la nuit sont
refusées
faute de place. Heureusement ce n'était pas une n
lée. J'ai vu beaucoup de gens tres jeunes ce qui m'a touché. Certains
refusent
l'aide et le dialogue, c'était assez difficile su
avait donc une suspicion de tuberculose. Les médecins d’astreinte ont
refusé
d’accueillir cette personne dans leurs centres (o
avait pas de médecin de garde, seulement un(e) infirmier(e)). Ce SDF
refusait
catégoriquement d’aller aux urgences apres 2 heur
eil n'ont souvent rien d’accueillant et que de nombreux SDF préfèrent
refuser
un hébergement dans ces centres. Il s'agit d'une
rs situations, il y a un sentiment d’impuissance. Plusieurs personnes
refusent
notre aide ou bien alors d’autres l´acceptent mai
ute au 115 enrichissante mais parfois un peu frustrante car l'on doit
refuser
des hébergements par manque de place. La maraude
écoute lorsque la demande de logements pour la nuit sont quasi toutes
refusés
faute de place. Heureusement la nuit n'était pas
spect, même quand les propositions d'hébergement pour la nuit étaient
refusées
. Le simple fait d'avoir quelqu'un à qui parler se
chaude ou des habits chauds . J'ai moins aimé le fait que l'on doive
refuser
beaucoup de demandes et de voir aussi certaines r
ns leur solitude. Il y a peu de places d'hébergements,on a du souvent
refuser
des attributions à cause de ce manque de places.
iquer le fonctionnement du 115. C'était cependant assez dur de devoir
refuser
des lits à la grosse majorité des personnes qui a
personnes vivant dans la rue au point que certaines de ces personnes
refusent
d'y dormir.
a vraiment des applications pratiques directes. Et la jeune fille qui
refuse
l'hôtel car il n'acceptait pas son compagnon... E
nt une lueur d'espoir. Par contre, certains sans-abris, certes rares,
refusaient
notre aide, et préféraient dormir dans le froid.
me enceinte de 7 mois qui dormais dans la rue. Malgré le fait qu'elle
refusait
une aide quelconque du samu social, l'infirmière
s limités. Pendant la double écoute, l'écoutant est souvent obligé de
refuser
des gens n'ayant qu'un nombre de place d'hébergem
t et qui génère une certaine frustration, c'est lorsque les personnes
refusent
qu'on leur vienne en aide, refusent d'être héberg
tion, c'est lorsque les personnes refusent qu'on leur vienne en aide,
refusent
d'être héberger et préfèrent rester dans la rue.
visité des centres d'hébergement, je comprend que certaines personnes
refusent
d'y aller. Je salue le dévouement des personnes q
ender la relation avec les malades et notamment les cas où le patient
refuse
les soins proposés car sa vision de la situation
nts ont donc proposé un logement pour la nuit, mais pas plus. Ils ont
refusé
.
us pour une ville comme Paris. Lors d'un appel, l'interlocutrice a du
refuser
un hébergement par manque de place, cela m'a semb
ci gardait des affaires d'un ami, et pour cette raison il a gentiment
refusé
notre proposition. J'ai trouvé ce geste très admi
d'autres sont réticents mais finissent par accepter, d'autres encore
refusent
malheureusement tout contact...
e montrouge, il restait encore 18 places, j'ai trouvé cela dommage de
refuser
ces places aux personnes qui appellent le 115 tan
assez compliqué d’écouter tous les problèmes d’une personne et de lui
refuser
un logement par exemple faute de place. Par aille
ces à la disposition des sans-abris. Les écoutants étaient obligés de
refuser
des places à 90% des appelants au cas où d'autres
rité. D'ailleurs, beaucoup des sans-abris qui avaient déjà été là-bas
refusaient
cet hébergement lorsqu'on le leur proposait. De l
erture, des vêtements. Le premier, Mahmoud, est assez désagréable, il
refuse
la soupe proposée par l'équipe, nous envoie balad
e pas. La deuxième personne est une femme qui a la cinquantaine. Elle
refuse
qu'on s'approche tous ensemble et c'est finalemen
iences, on s'y sent utile, et on prend conscience d'une réalité qu'on
refuse
souvent de voir.
face à des SDF, installés avec toutes leurs affaires dans la rue, qui
refusent
de les laisser pour aller se faire soigner dans u
uvent à 5 minutes, une soupe, une bouteille d'eau lorsque la personne
refuse
d'aller en centre d'hébergement. C'est frustrant
gentillesse des équipes m'a touché. Je trouve très dommage le fait de
refuser
la prise en charge d'un usager par manque de moye
J'ai été assez surpris par la réaction de certains sans domiciles qui
refusent
l'aide qu'on leur apporte malgré l'insistance des
ne bouteille de jus et un paquet de gâteau) pour nous remercier. On a
refusé
et il a été les mettre lui même dans le camion. C
essus tout, c'est la résignation d'une grande part des "usagers", qui
refusent
systématiquement de l'aide, notamment les places
le nombre de places d’hébergement était assez limité et nous avons du
refuser
beaucoup de personne lors de la double écoute, pa
fférence et le dégoût des passants ne l'étaient pas moins. La plupart
refusait
des soins médicaux, pourtant indispensables, faut
hausser le ton, en restant toujours calme pour éviter que le fait de
refuser
de donner plus de couvertures ne dégénère .
ombreux face à la demande. Les membres du Samu social sont obligés de
refuser
un nombre très important de demande d'hébergement
aines demandaient ouvertement de l'aide à l'équipe alors que d'autres
refusaient
tout contact avec nous. Notamment, une d'entre el
bre extrêmement limité de places en centre on est souvent contraint à
refuser
ceux qui en auraient le "moins" besoin, quand bie
principalement de proposer un hébergement, car lorsqu'une personne le
refuse
, il y a peu de choses à lui proposer: on arrive v
ttoir, d'autres étaient abrités sous un porche, et pourtant, beaucoup
refusaient
l'aide du SAMU social. Trop encré dans la rue au
rs que nous avons rencontrés étaient mal en point. Certains cependant
refusaient
notre aide, ce qui m'a tout de même étonnée. Je r
une place spontanément aux sans abris croisés dans la rue, elle était
refusée
, malgré la neige qui tombait cette nuit là...
e nuit offre l'humanité que nous sommes si nombreux souvent, hélas, à
refuser
.
ergement, soit sont généralement dans la rue depuis plus longtemps et
refusent
l'hébergement proposé pour la nuit, mais demanden
du lien" que d’aider matériellement ; et de voir que beaucoup de SDF
refusent
d'autres forme d'aide. Cette garde permet aussi d
femmes sans abris m'a marquée, car elles sont les plus fragiles mais
refusent
pour la grande majorité l' aide qui leur est prop
uls les pompiers peuvent intervenir. Or, ce monsieur étant connu pour
refuser
toute prise en charge au dernier moment, ils sont
périodes de grands froid. Cependant nombreuses sont ces personnes qui
refusent
l'aide du samu social pour de diverses raisons, d
charge un usager qui sortait de l'hôpital contre avis médical et qui
refusait
d'y retourner. Sur le plan humain, la garde reste
blement il y a beaucoup de SDF dans les rues. Plusieurs personnes ont
refusé
de nous accompagner dans des foyers sociaux, préf
oposé une place pour se laver, dormir et trouver des vêtements : il a
refusé
. Nous avons du négocier : il a accepté.
ituation marquante a été de voir qu'il y a des personnes à la rue qui
refusent
d'être aidé malgré la gentillesse de l'équipe.
u du moins j'ai trouvé difficile le travail des écoutants qui doivent
refuser
aux sans abris une place en centre d'hébergement.
êt certain pour la compréhension d'une situation que nous oublions ou
refusons
de voir chaque jour autour de nous, la rendre obl
en a vite fait le tour. Certains sdf sont très sympathiques, d'autres
refusent
entièrement notre présence. 9h de maraude c'est b
s proposé de la nourriture, une boisson chaude ou un duvet, l’homme a
refusé
en nous répondant que nous devrions garder cela p
rience. J'ai d'abord été surpris par le refus de certains SDF qui ont
refusé
de quitter leur "chez-eux", cela m'a amené à réfl
pour la nuit. Lors de la maraude, j'ai été étonné que beaucoup de SDF
refusent
d'aller passer la nuit dans un foyer au chaud et
s'acharnent à répéter, visiblement tous les jours, aux sans abris qui
refusent
leur aide qu'ils peuvent à tout moment changer d'
euve d'une dignité plus que remarquable, dans le froid sans rien, ils
refusent
un sac de couchage ou même un café ou une place d
eaucoup plus exigeants, nous carrément insultés lorsqu'ils se sont vu
refuser
une place en foyer pour la nuit. Cela m'a fait co
e prendre un café ou une paire de chaussettes ou un bol de soupe mais
refusaient
d'aller en centre.
al pour demander un logement pour la nuit, et malheureusement se voit
refuser
pour cause de manque de place dans les centres. M
ris, chacun dans des situations différentes, plusieurs ont d'ailleurs
refusé
notre aide, j'en ai été très étonnée. Je suis con
et ceux qui ne veulent pas et vers qui on doit aller et dont certains
refusent
les foyers (des gens ravagés par l’alcool, la plu
a soirée, près d’Ivry sur Seine) ? d’autant que souvent les hoteliers
refusent
les usagers sociaux pour recevoir double salaire
sionnalisante : pourquoi un enfant de 10 ans en échec scolaire est-il
refusé
en section SECPA ? la faute aux Assistantes Socia
et ceux qui ne veulent pas et vers qui on doit aller et dont certains
refusent
les foyers (des gens ravagés par l’alcool, la plu
a soirée, près d’Ivry sur Seine) ? d’autant que souvent les hoteliers
refusent
les usagers sociaux pour recevoir double salaire
sionnalisante : pourquoi un enfant de 10 ans en échec scolaire est-il
refusé
en section SECPA ? la faute aux Assistantes Socia
t. De discuter avec eux, de comprendre leur mode de vie, pourquoi ils
refusent
les soins parfois ou même l'hébergement, de visit
eur et aménagement de leur lieu de vie. A la rencontre de "patients",
refusés
des systèmes de soins conventionnels, car jugés c
rait souhaité pouvoir aller dormir dans un centre mais cela lui a été
refusé
en raison de sa nationalité italienne,car la loi
eptent d'aller pour une nuit dans des centres d'hébergement, d'autres
refusent
de peur de s'y faire voler et demanderont davanta
out de 2h30 de discussions pour l'emmener dans un foyer, ce qu'elle a
refusé
, alors qu'elle avait de toute évidence besoin d'u
e matérielle. Par ailleurs, j'ai été surprise que certaines personnes
refusent
un logement pour la nuit.
r généralement la capacité limitée des centres l'hébergement pousse à
refuser
beaucoup de personnes sans domicile.
irmière. Nous sommes allés au contact de plusieurs personnes. L'une a
refusé
toute aide, une autre a accepté d'être hébergée p
chaud. Lorsque nous leur avons proposé d'un lit pour la nuit, ils ont
refusé
et ont préféré rester ensemble. J'ai été égalemen
bergement et la dure tâche des personnes qui doivent accepter ou bien
refuser
les appels de détresse. La maraude m'a permis d'a
me qui fait que certains sans-abri qui pourraient accéder à des soins
refusent
. J'ai beaucoup aimé le fait qu'il y ait une infir
repas chaud ainsi qu'une chambre pour pouvoir se reposer. Celui ci a
refusé
et a affirmé vouloir revenir à l'endroit où nous
sode m'a choqué car je ne comprenais pas la réaction de cet homme qui
refusait
une place au chaud et préférait retourner dans la
i grandissent jamais par exemple), des appelants qui se permettent de
refuser
leur place car elle a été réservée dans un centre
ssez froid. J'ai cependant appris avec étonnement que beaucoup de sdf
refusent
d'aller en centre d'hébergement, ce que j'ai eu d
italisation, voire même aux Urgences, où les SDF sont de plus en plus
refusés
, ce qui est inadmissible. Aucun hôpital, en Franc
ssible. Aucun hôpital, en France du moins, ne devrait se permettre de
refuser
les SDF à la porte des Urgences. Si je ne devenai
and exclu (terme employé par les infirmières) accepte les soins. Il a
refusé
d'être conduit à l'hôpital (plaie infecté au nive
c eux et leur demander ce qu'on pourrait faire pour eux. Beaucoup ont
refusé
la proposition d'hébergement car voulaient profit
ui vivent dans la rue... Cette rencontre m'a beaucoup touchée, elle a
refusée
d'aller dans un hébergement disant que ce n'était
c plusieurs sans abris, certains ne voulaient pas dormir en centre et
refusaient
notre aide. Alors que d'autres recherchaient un e
e sociale). Quelque chose qui m'a étonnée, est le fait que des hommes
refusent
une chambre pour dormir, car celle-ci est trop lo
places, une place d'hébergement dans un centre pour la nuit, beaucoup
refusent
de s'y rendre. Ca me rappelle un des signalements
uples avec des jeunes enfants) mais le mari de la jeune fille mineure
refusa
. Nous restâmes plus d'1h avec eux, en leur donnan
ettre de prendre une douche, de boire, de manger, et même si certains
refusaient
malgré toutes nos tentatives pour les convaincre
nir un hébergement, ne serait-ce que parce que certaines institutions
refusent
catégoriquement d'accueillir ces personnes qui so
arrivaient à être la bas quasiment tous les soirs. Ou encore ceux qui
refusent
le foyer "la boulangerie", même si je ne l'ai pas
'aide, sachant qu'il faut aussi respecter la décision de certains qui
refusent
notre aide. Et l'ambiance avec l'équipe est super
s. Je ne voyait pas trop ce que l'on pouvait faire pour lui puisqu'il
refusait
d'être emmené dans un foyer. Mais l'espace d'une
he en filigrane un véritable Tartare habité de ceux que notre univers
refuse
de voir... Et pourtant, que d'histoires diverses
de trouver la meilleure solution pour chacun, même si un SDF se voit
refuser
une nuit dans un foyer car cela fait déjà 14 jour
e la double-écoute, le téléphone n'a cessé de sonner, et difficile de
refuser
parfois un hébergement car les places ne sont pas
i été marqué principalement par le fait que plusieurs personnes aient
refusé
de dormir en centre car beaucoup craignaient pour
de couchage (4 par camion) ce qui fait que parfois, on est obligé de
refuser
de donner à certaines personnes par manque de moy
au téléphone )avant d'avoir une personne au bout du fil, pour se voir
refuser
une place en centre dans la grande majorité des c
durant des heures des personnes en situation déjà précaire pour leur
refuser
dans la grande majorité des cas une place en cent
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