s des signalements précis), du coup étant donne qu'il s'agissait d'un
quartier
plus calme que les autres, je n'ai vu aucune pris
n charge ce qui est dommage (de passer 4 heure à faire rue par rue un
quartier
) C'était intéressant de voir le fonctionnement du
, ou alors si c'est dans le camion qui fait juste le sillonnèrent des
quartiers
, surtout lorsquil s'agit de quartiers moins résid
fait juste le sillonnèrent des quartiers, surtout lorsquil s'agit de
quartiers
moins résidentiels (et plutôt les 18ème -19e-20e
rd de Marie Christine car j'ai fait les maraudes l'an dernier dans le
quartier
de Clichy - St Lazare et que j'avais déjà vécu ce
tait dans la même rue car il se sentait chez lui. C'était sa rue, son
quartier
, comme le ressentent les personnes qui ont la cha
it était préférable et plus enrichissant pour moi de marauder dans un
quartier
plus défavorisé que celui que j'ai visité. L'équi
'alors inconnu. Ensuite, vers 20h vient la réunion de répartition des
quartiers
de maraude, au cours de laquelle j'ai été présent
ipe. Revêtus du fameux manteau bleu, nous sommes alors partis vers le
quartier
qui nous avait été attribué, le 16ème arrondissem
de du 1er janvier dans le 5e, 6e et 13e arrondissements de Paris, des
quartiers
que je connais bien puisque j'habite dans le 5e a
une nuit permet de découvrir un autre monde : Paris la nuit, dans des
quartiers
qu'on ne connait pas très bien. J'ai passé la nui
rues a la recherche de personnes que nous pourrions aider, selon les
quartiers
ça doit être différent je suppose, mais je n'ai p
de son travail etc. Ma nuit a été plutôt calme, nous avons ratissé le
quartier
sans croiser beaucoup de monde, mais je pense tou
é et de la violence de la ville où j'habite (Paris) : SDF, prostitué,
quartiers
très défavorisés. J'ai remarqué l'aspect palliati
xiste pourtant et est bien là sous nos yeux depuis toujours, dans les
quartiers
mêmes que nous habitons. Je trouve que cette init
arrondissement, car j'y ai grandi; cela m'a permis de redécouvrir ce
quartier
qui a beaucoup changé et d'enfin prendre conscien
a rue. De plus, notre secteur de maraude était le XVe arrondissement,
quartier
où, d'après les collègues avec qui j'exécutai la
ipation Surtout qu'on vous envoie avec une équipe qui maraude dans un
quartier
où il y a peu de sans abri plutôt que de vous met
s abri plutôt que de vous mettre avec une équipe qui maraude dans les
quartiers
touristiques bondés de sans abri, du coup on voit
n sujet. Puis il nous a aussi parlé d'une autre personne, habituée du
quartier
, mais nouvelle et qui aurait aussi besoin d'aide.
ère du camion !! Il nous a aussi donné des nouvelles des "habitués du
quartier
" puis il a joué avec le chien du riverain qu’il c
éralement ils ont de quoi manger et se couvrir, aidés par les gens du
quartier
, durant la nuit une seule personne uniquement, qu
t surtout d'un point de vue organisationnel : nous demander dans quel
quartier
on habite pour nous mettre dans le camion le plus
pour faire des signalements. J'ai eu l'occasion de marauder dans mon
quartier
et donc d'aller voir des personnes que je croise
onnotation pejorative). Premier arret pour deux hommes, l'un connu du
quartier
, fort sympathique et un autre connu du samu socia
rsonnes qui n'ont rien parmi celles qui font la fête dans les bars du
quartier
latin. "Les clochards sont les conséquences de la
sente, c'est apparemment un "habitué" du samu social mais pas dans ce
quartier
là. Il commence à nous parler de ses lectures et
r. LA travailleuse sociale lui demande pourquoi il n'est pas dans son
quartier
habituel, et là sa voix se met à trembler et de s
lement. Nous étions sur le secteur des 1er, 4ème, 12ème, donc sur mon
quartier
. J'ai eu l'impression de redécouvrir Paris. C'est
urraient à époque. On a sillonné Paris en se concentrant sur certains
quartiers
selon les signalements du 115. Et lorsque l'on tr
inistratives de la réinsertion sociale, la solidarité des gens de son
quartier
et sur le ressenti de sa situation. J'ai vraiment
tudes, leurs préférences en terme de centres d'accueil, ainsi que des
quartiers
qu'ils fréquentent. L'aide qu'ils sont capables d
ière et moi. Le camion patrouille toute la nuit dans son secteur (3-4
quartiers
voisins), soit en se rendant sur un lieu indiqué
eusement, elle a pu récupérer un matelas apporté par une habitante du
quartier
. Nous repartons, horrifiées par le manque d'human
e les sans-abris sont nombreux et peuvent être partout, même dans les
quartiers
les plus aisés, Et enfin, au niveau de la prise e
ar ils le cachent. Je connaissais plus ou moins les sans-abris de mon
quartier
et j'ai pris conscience qu'il y en a des milliers
is beaucoup d'autres dans le 16ème ce qui est assez frappant dans des
quartiers
si touristiques et riches de Paris. Enfin nous so
ériences de Maraudes que j'ai pu faire avec une petite association de
quartier
, le SAMU permet d'avoir une vue globale de la pri
entre la richesse d'un côté (j'ai effectué ma maraude dans les beaux
quartiers
de Paris) et la pauvreté. Pour finir, je voulais
but des départs des camions d’EMA avec la distribution des différents
quartiers
à marauder. La rencontre de chaque usager est uni
leur humanité; ne montrant jamais de pitié. Étonnée de voir dans les
quartiers
chics de Paris des personnes donnant spontanément
pporter ces gens toute la journée. Mon camion s’étant vu attribuer le
quartier
autour de la Pitié, je croise parfois les personn
ission de continuer à inspecter les rues du quatrième arrondissement.
Quartier
historique, très bien mis en valeur la nuit par l
la fraîcheur de cette soirée du mois d'août. J'ai mes repères dans ce
quartier
, je m'y promène souvent. Mais cette nuit là, le q
culièrement le souvenir de deux petites mamies adorables au niveau du
quartier
saint Paul qui ont un arrangement avec un des pat
us raconte dans le camion, les attaques qu'il subit par les jeunes du
quartier
, et qui l'ont obligé à "déménager", ses amoureuse
n aide aux plus démunis, d'autant plus que nous étions dans les beaux
quartiers
ce qui rendait le tableau encore plus intense. Ce
Cela a été une expérience à part que de sillonner la ville, des
quartiers
fréquentés au quotidien, avec la préoccupation d'
Il est 21H30, lorsque en sillonant les
quartiers
de Belleville un jeune homme d'une trentaine d'an
u'il aurait pu aller loin mais parce qu'il était née dans le "mauvais
quartier
" avait fini plusieurs fois en prison et ces séjou
hauffeur, un infirmier et une assistante sociale. Chaque équipe a des
quartiers
dédiés. Nous allons voir les signalements qui peu
-dépendants. Je suis rentrée chez moi vers 4h, car on passait dans le
quartier
voir une femme.
entes et les personnes ou groupes croisés fréquemment dans tel ou tel
quartier
, et incorporation dans une unité. J'ai donc fait
rs la Place des Invalides, pour un signalement fait par une usager du
quartier
. Quand nous sommes arrivés, la femme nous attenda
t ( arrivée en retard ) , la maraude que j'ai effectué étais dans les
quartiers
chic de Paris donc je n'ai pas pu voir beaucoup d
ns la seule équipe de maraude "pure", qui tournait cette nuit dans un
quartier
plutôt bourgeois avec aucune personne dans les ru
comment ils les identifient. Ils connaissent aussi chaque repère d'un
quartier
et suivent certains SDF depuis des années. Une ga
artenariat entre la faculté et le SAMU social ou d'autres maraudes de
quartier
?
n d'être dans le camion qui balayait le 17ème arrondissement, un beau
quartier
que j'avais jadis fréquenté lorsque j'allais chez
end visite. Beaucoup de gens le saluaient en passant (il est connu du
quartier
) et il était très souriant et jovial (pourtant je
ir tout le monde. Même si nous n'avons reçu aucun signalement pour ce
quartier
cette nuit-là, je suis contente des quelques renc
pas de signalement mais unique de la maraude pure. On à quadrillé un
quartier
en observant rue par rue des personnes ayant beso
maraude (très courte) où les équipes ont été affectées aux différents
quartiers
de Paris. J'ai été présenté par l'organisatrice.
re est celle d'une femme qui avait signalé qu'un sans domicile de son
quartier
était probablement blessé (elle l'avait vu boiter
'elle possédait sur le trottoir, la terre, l'eau, et l'urine. Tout le
quartier
était ameuté face aux hurlements et il fallut plu
▲