permet de comprendre le fonctionnement des centres d'hébergements, du public prioritaire sur l'hébergement, des différentes ca

es maraudes sont également très enrichissantes car le contact avec le public est concret et j'ai pu visiter le centre Romain R

ation rencontrée est souvent peu écoutée, peu vue de la part du grand public . C'est important de sensibiliser les futurs actif

Intéressant d'aller à la rencontre d'un public auquel on est confronté à l'hôpital (aux urgences

'étudiants. Cela ne peut être que bénéfique. On se rend compte que ce public n'est en fait pas une entité que unique que l'on

garde tres interessante et touchante, permet d'etre sensibilisé a un public tres defavorisé que l'on voit parfois aux urgence

Très bonne expérience. L'équipe encadre très bien les étudiants. Les publics ciblés sont majoritairement reconnaissants, plus

j'ai admiré leur implication, leur écoute, et leur patience face à un public parfois alcoolisé ou agressif. J'ai été enfin tou

mu Social devraient à mon sens être remises en valeur auprès du grand public qui détourne le regard, constituant ainsi comme u

vie quotidienne d'une part non négligeable de la patientèle (dans le public notamment). Or, avoir une idée de la vie de ses p

rs. Cette expérience nous permet de connaitre le fonctionnement et le public auquel il s'adresse, pour que si un jour nous ren

richissante ! J'y suis allé avec beaucoup d'appréhension car c'est un public qui me met mal à l'aise (psychiatre de rue), mais

tte garde par la double écoute très intéressante car nous montrant un public faisant appel au 115 que l'on ne rencontre pas fo

, tant au niveau des personnes rencontrées au sein de l’équipe que le public côtoyé dans la rue. Cette nuit au samu social cré

nt, paraplégique qui devait faire des autosondages dans les toilettes publiques et nous ne pouvions lui proposer qu’un logement p

, sur ce qu'est la précarité. Même si la Faculté est un établissement publique et que les frais d'inscription sont bas, les étud

s rencontrées ne sont pas forcément en cours de réinsertion, comme le public que je connais mieux. Je pense qu'une expérience

te garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier. Lors

e à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public , à l'image de la colère qui gronde dans les servi

te garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier. Lors

e à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public , à l'image de la colère qui gronde dans les servi

te garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier. Lors

e à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public , à l'image de la colère qui gronde dans les servi

te garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier. Lors

e à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public , à l'image de la colère qui gronde dans les servi

te garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier. Lors

e à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public , à l'image de la colère qui gronde dans les servi

te garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier. Lors

ble à ce que nous externes vivons tous les jours en stage à l'hopital public , à l'image de la colère qui gronde dans les servi

te garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier. Lors

ble à ce que nous externes vivons tous les jours en stage à l'hopital public , à l'image de la colère qui gronde dans les servi

c parfois des refuges/cabanes commodes, une appropriation d'un espace public en le leur et aménagement de leur lieu de vie. A

même temps que nous serons amenés à cotoyer régulièrement à l'hopital public . Cela m'a permis de me rendre compte qu'il n'étai

s nous sommes arrêtés sur le périphérique pour un accident de la voie publique . En effet, un motard ivre a percuté une voiture e

e prévenir l’institution de la présence d’un sans--abri dans l’espace public ». Il s'appelait khader, le premier de la soirée,

es en place par l'Etat (cartes restaurants, douches et lieux de repos publics , hébergement, assistantes sociales), il est donc

etés. Ceci m’a doublement choquée : d’une part, les urgences (service public !!!) qui rejettent un patient car il est SDF, alo

œuvre pour aider les SDF, dont j’ignorais l'existence : bains douches publics , foyers d'hébergement, fonctionnement du 115, héb

de : tant de gens à s'occuper et des moyens toujours insuffisants, un public parfois difficile à approcher, un sentiment d'imp

à tout élèves en médecine (et ailleurs aussi), elle nous fait voir un public que nous ne rencontrons pas à l'hôpital, elle nou

nnel qui s'investit énormément , les sommes engagées par les pouvoirs publics . On comprend que la France possède un système de

ux d'urgences est le nombre de chambre d'hôtel loues par les pouvoirs publics chaque nuit . Des sommes énormes qui aurait sûrem

s bonne idée pour les D2 et qu'il faudrait aussi le proposer au grand public . Je me suis rendue compte du nombre de personnes

rendre en charge. C'est à mon sens un signe de détresse de ce service publique puisqu'il adopte une posture défaitiste. Ainsi, l

ent plus productives que la mienne sinon c'est clairement de l'argent public jeté par la fenêtre et qu'on ferait mieux de donn

ectue le samu social au quotidien est en fait très peu connu du grand public . Les médias nous montrent la violence, les armes,

e, je pense que j'avais besoin de cette expérience pour accueillir ce public en tant que professionnel de santé dans ma pratiq

e discours de sourd entre des clochards en état d'ébriété sur la voie publique , et nous - un peu comme pendant les gardes aux ur

types avec lesquels nous arrivons au Samu Social. On croise ainsi des publics différents: les "grands cassés" désocialisés, de