place. Elle permet de déconstruire les idées que l'on se fait sur le
profil
des personnes dans le besoin. On croise très peu
e vêtements... Ça permet de réfléchir dans le sens qu'il n'y a pas de
profil
"type" et que sans domicile fixe ne signifie pas
nge la vision que l'on a des personnes sans domicile, il n'y a pas un
profil
comme on pourrait le penser.
surtout à Paris. En effet, j'ai entendu parlé et rencontré différents
profils
. Néanmoins c'est assez frustrant l'aide proposée
le plus interpelé a été de découvrir qu'il n'existe vraiment pas de "
profil
type" de sans-abris. On rencontre des personnes d
et humaine . Aller à leur rencontre dans la rue et s'adapter à chaque
profil
est un plus pour notre formation , ceux sont des
sonnes pouvant demander de l'aide mais on se rend vite compte que les
profils
sont loin d’être ceux que l'on pense ( famille ,
solitude. Pendant la maraude c'est la même chose qui m'a frappé , le
profil
des gens qu'on a aidé à trouver une place dans un
e réalité qu'on ignore assez souvent. Cette nuit là j'ai rencontré un
profil
de gens sans abris qui, si je les avait croisé da
professionnelle future . J'ai été étonnée de voir la différence des "
profils
"des personnes dans la rue et le nombre important
notamment par le nombre incalculable d'appels mais également par les
profils
: femmes enceintes, immigrés... L'équipe était trè
er au parcours de certains d'entre eux, discuter et comprendre que le
profil
type du sdf n'existait pas. Ainsi, rien que pour
conseil à tout les étudiants, rien pour se rendre compte du véritable
profil
des personnes qui vivent dans la rue. Une découve
a également pu trouvé une place en foyer pour la nuit à 2 femmes. Les
profils
de personnes nécessiteuses sont très différentes
ous rendre compte vraiment de la détresse de certaines personnes. Les
profils
des personnes appelant le 115 étaient très différ
Pour la partie écoute : intéressante pour voir le
profil
des appelants, et la manière dont son gérés les a
ial. - ça été très enrichissant pour moi, même si je m'en doutais, le
profil
type du sdf n'est pas du tout celui qui est véhic
rique", bien au contraire cette nuit là j'ai pu rencontré des gens au
profil
complètement différent, du jeune homme fier qui r
ement sur les conditions de vie des SDF mais aussi sur les différents
profils
de personnes à la rue. La double écoute m'a moins
Une expérience unique car j'ai eu la chance de rencontrer plusieurs
profils
, un jeune homme arrivé en France il y a 2 mois pl
change. J'ai découvert la complexité des parcours et la diversité des
profils
. Et si l'on ne peut passer une nuit de maraude sa
is que eux le sont chez nous. Il est interessant de voir que tous les
profils
se retrouvent dans la rue et que suite à n'import
samu social prenait en charge des personnes dans le besoin et non des
profils
et des histoires typiques comme on pourrait le cr
our avoir un endroit pour dormir ou seulement une boisson chaude. Les
profils
des personnes dans la rue sont également très dif
comprendre le ressenti des personnes dans la rue et la diversité des
profils
rencontrés (sdf depuis 20ans, femme isolée, deman
ec moi et a été encline à m’apprendre et à me laisser participer. Les
profils
que nous avons vu étaient très hétérogènes. J’ai
it pouvoir tous les faire dormir au chaud. J’ai également pu voir des
profils
de personnes avec des pathologies psychiatriques
t utile ! L'équipe était très sympathique et pédagogue. On croise des
profils
de gens à la rue très différents, on se rend comp
'a permis de me rendre compte à quel point les sans abris avaient des
profils
différents, contrairement à l'image qu'on pourrai
faire la maraude. Les personnes qui font appel au SAMU social ont des
profils
différents (migrants ou pas, travailleurs ou pas,
J'ai été marquée par la diversité des
profils
des personnes que nous avons écoutées lors de la
nconnu auparavant. Alors que la double écoute permet de comprendre le
profil
des usagers du SSP, les maraudes nous font rencon
ial. Nous avons rencontré 4-5 personnes démunis dans la nuit, tous au
profil
différent (sexe, âge, pays d'origine) mais en dét
nes qui n'en demandent pas toujours spontanément. Les usagers ont des
profils
très variés mais ce qui m'a marqué c'est le nombr
assé une nuit dont je me souviendrais longtemps. J'ai vu tout type de
profil
. Des personnes à la rue depuis des années, des im
onté aux problèmes de la rue. J'ai pu réaliser qu'il n'existe pas de "
profil
type" de personnes vivant dans la rue. Chaque ren
quipe) et où on peut les aider. Les personnes rencontrées avaient des
profils
très différents et on a discuté longtemps parfois
115 étaient perpétuellement dans l'urgence, et qu'il n'existe pas de
profil
type d'une personne dans la rue . J'aimerai égale
voir comment etait reparties les places d'hebergement en fonction du
profil
et des besoins de chaque personne. La maraude m'a
t la vision qu'on peut avoir des SDF, et montre bien la diversité des
profils
des gens qu'on peut rencontrer à la rue. Très ins
une experience humanitaire très enrichissante. J'ai été étonné par le
profil
des personnes demandeuses que nous prenions en ch
s lesquels ils dorment la nuit. De plus, j'ai pu rencontrer plusieurs
profils
différents de personnes à la rue, des jeunes, deu
ellement passent inaperçu. e.s. J'ai été étonnée par la diversité des
profils
de ces individus. On y rencontre des jeunes, des
clues de notre société, pour des raisons très différentes et avec des
profils
très variés. L'acceuil dans le camion a été excel
raude est intéressante (se rendre compte notamment de la diversité de
profil
et de parcours qui mènent à des situations de non
oriente l'appelant dans les structures disponibles en fonction de son
profil
. On se rend compte de la grande diversité des per
de la misère qui règne dans notre capitale, que sur la diversité des
profils
des personnes qui en souffrent. Pour ma part, j'a
Ce fut une nuit animée avec en tout 6 interventions pour des
profils
de SDF totalement différents les uns des autres.
e responsable, qui m'a présenté les différents postes, les différents
profils
d'intervenants, et surtout qui m'a indiqué la por
ut avec une ressource limitée par définition. Une grande diversité de
profils
qui s'étend du travailleur social à l'infirmier e
ppel dure moins de 2 minutes, la personne s'identifie, on regarde son
profil
et on lui trouve une place dans un des centres pe
urant cette nuit, j'ai vraiment vu ce qu'ils enduraient, quel type de
profil
ils avaient. Ca peut arriver à chacun d'entre nou
urant cette nuit, j'ai vraiment vu ce qu'ils enduraient, quel type de
profil
ils étaient. Ca peut arriver à chacun d'entre nou
ns vraiment pouvoir l'imaginer et le comprendre, dans sa diversité de
profils
qui y habitent, depuis peu, temporairement ou de
ucune idée du fonctionnement du samu social. J'ai pu la diversité des
profils
des personnes sans domicile, certains grands habi
rs de la maraude, nous avons eu l'occasion de rencontrer des gens aux
profils
très différents. Des jeunes (beaucoup de jeunes,
t du fonctionnement des maraudes, préfèrent souvent s'en détourner au
profil
de leur indépendance et leur réseau propre, alors
er, j'ai été frappé de me rendre compte à quel point il n'y a pas de "
profil
type", que n'importe quelle personne pouvait se r
foyer d'hébergement. Malgré tout je pense que j'ai pu voir plusieurs
profils
différents de personnes vivant dans la rue et grâ
ne se reconnaissait plus tellement dans l'exercice d'aujourd'hui. Le
profil
des usagers change également ainsi que le nombre
é vers 20h30, nous avons rencontré une dizaine de personnes, et leurs
profils
étaient tous différents, ce qui m'a permis de voi
it-là, j'ai rencontré de nombreuses personnes dans le besoin avec des
profils
assez différents, et cela m'a permis de voir que
s", qui refusent systématiquement de venir en centre. Souvent le même
profil
, très touchant et avec qui il est bien sympathiqu
e décide de raconter, de déformer ou non. J'ai découvert le panel des
profils
qu'ils côtoient et comment ils les identifient. I
omain Rolland. La précarité de ces personnes et la diversité de leurs
profils
m'ont beaucoup marquée. Leur reconnaissance enver
ar une fois l’hiver passé, les places se font rares. La diversité des
profils
de ceux qui font appel au SAMU social est frappan
se avec la réalité, il n'était pas alcoolisé et il avait selon moi un
profil
dont la réinsertion serait plus aisée. J'ai pu au
tion. Ce soir il nous appelle pour une demande d'hébergement. Sur son
profil
, on voit qu'il a été plusieurs fois pris en charg
des gens à qui l'on portait assistance ne matchaient pas du tout le "
profil
type" que je me faisais des gens aidés par le sam
ait infondée car les personnes que nous ramenons sont toutes avec des
profils
très différents (de la personne qui a eu des souc
j'ai commencé par effectuer une double-écoute pour avoir une idée du
profil
des personnes qui cherchent un logement pour la n
nt chouette, j'apprends vite que dans la rue à Paris, il n'y a pas de
profil
type. Dans la soirée, nous rencontrerons plein de
t là pour ça, alors les gens se livrent. Et on se rend compte que les
profils
et les vies sont variés, que ces personnes ne son
cursus médical d'une part via la la rencontre avec les "usagers" aux
profils
différents et d'autre part via la rencontre avec
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