nt avec des personnes défavorisées et il faut qu'on n'aie pas trop de
préjugés
. Pendant cette nuit certains de mes préjugés se s
qu'on n'aie pas trop de préjugés. Pendant cette nuit certains de mes
préjugés
se sont transformés en empathie, car j'ai remarqu
du matin pendant mes gardes aux urgences, d'où probablement certains
préjugés
. Ce sont des vétérans, des migrants, des personne
nes défavorisées. Cette experience a permis de casser une barrière de
préjugés
envers cette partie de la population. J'ai trouvé
C'est une expérience très enrichissante, cela permet de surmonter les
préjugés
concernant les sans-abris. Je ne connaissais pas
humain est aussi très enrichissant et permet de s'ôter des possibles
préjugés
sur les SDF. J'ai beaucoup apprécié ma garde et a
'ont touchées, on se rend compte de la chance qu''on a et surtout des
préjugés
qu'on a sur les gens dans la rue
'ont touchées, on se rend compte de la chance qu''on a et surtout des
préjugés
qu'on a sur les gens dans la rue
vé ce stage vraiment instructif. Avant cette nuit j'avais beaucoup de
préjugés
sur les SDF et j'avais tendance à ignorer cette m
ue de place et le manque de moyen pour faire face à ce phénomène. Mes
préjugés
ont été éradiqués et je trouve cette garde très u
tre réalité, parfois violente, souvent touchante, et de lever certain
préjugés
. J'ai par ailleurs été très surprise de constater
es. L'expérience a été très enrichissante et m'a permis d'oublier mes
préjugés
sur la question, d'avoir un peu plus d'"art de la
Je crois que je porte désormais un autre regard sur les SDF, moins de
préjugés
, plus de compassion, moins de peur, moins de juge
avec les sans-abris, cette garde permet justement de passer outre les
préjugés
que l'on peut avoir à leur égard. Cependant, j'ai
sommes plongés dedans, et c'est une toute autre chose. Cela casse les
préjugés
que l'on peut se faire sur les personnes de la ru
er. Pas agréable parce-qu'elle nous bouscule dans nos habitudes , nos
préjugés
. Indéniablement enrichissante en tous cas! J'ai v
harge des SDF, celle plus axée sur le social. Une expérience loin des
préjugés
, avec un contact très différent avec les SDF qui
Cette garde du SAMU social permet de vaincre quelques
préjugés
sur les SDF: tous ne sont pas agressifs et ivres.
onstituent déjà un apprentissage de l’autre, contribuent à casser nos
préjugés
. Nous imposer de passer une nuit dans un camion à
u camion mais aussi avec certains SDF me permettant d'éroder certains
préjugés
/appréhension que j'avais lors de leur prise en ch
vaillant aux urgences ou dans les structures de soins ont souvent des
préjugés
et des réactions de recul devant ses organismes e
Cette garde au 115 m'a permis avant tout de passer au-delà de mes
préjugés
sur ces hommes et femmes qui n'ont pas d'autres c
lcères infectés des jambes), parce qu'il redoutait le jugement et les
préjugés
du personnel hospitalier, alors même que ses lési
is dans sa vie. Elle est enrichissante d'un point de vu social et des
préjugés
que l'on peut avoir vis à vis des SDF. On se sent
on perd beaucoup à l'hôpital, entre le manque de temps mais aussi les
préjugés
et le désintérêt pour les cas soit disant "non in
dans la précarité. La garde permet aussi d'affronter beaucoup de nos
préjugés
: alcoolisme, chômage, obésité... Elle a un peu le
soin de l'aide du SAMU social, qui ne correspondent pas forcément aux
préjugés
que l'on peut avoir : cela peut concerner des per
par le nombre de personnes dans cette situation, mais également (sans
préjugé
aucun) par le fait que l'immense majorité ne soit
erience au sein d'une maraude qui m'a assez surpris car n'ayant aucun
préjugé
sur ce qui allait arriver. J'ai ainsi découvert l
tombent, et seul subsiste le contact d'humain à humain. L'absence de
préjugés
est un exemple pour l'exercice médical. Au terme
agréablement surprise par cette nuit, j’étais partie avec beaucoup de
préjugés
sur les « isolés » comme ils le disent. Notamment
car il faut savoir prendre de la distance avec ce qu’on a vécu et les
préjugés
qu’on peut avoir. Le double écoute a été en grand
t, quand ce sont des personnes à la rue et que nous arrivons avec nos
préjugés
. Mais c'est une vraie manière de créer un premier
aine autonomie, les laisser parler, les écouter. Ça a enlevé certains
préjugés
que j'avais et je pense que ça peut nous aider da
e but d'en savoir plus sur son passé. Souvenir évoquant et casseur de
préjugés
: ce SDF, qui, bien installé dans sa cabine téléph
eux les connaître, à mieux les comprendre et ainsi à faire tomber nos
préjugés
. Cependant, les bienfaits de la garde sont propor
de la réalité de la situation des SDF de Paris: on a tous beaucoup de
préjugés
, beaucoup de dédain vis à vis des SDF qui en réal
patients. J'ai pu constater pendant cette garde que la plupart de ces
préjugés
sont faux. Je fis la connaissance de nombreuses p
is sûrement bien plus que des regards méprisants, des insultes ou des
préjugés
non mérités dont sont victimes au quotidien ces s
outes les bonnes intentions du monde, on reste bien souvent pétris de
préjugés
envers ce qu'on ne connait pas. Les idées reçues
ès vite, et a été vraiment intéressante. Elle lève également tous les
préjugés
que l'on peut avoir sur les personnes vivant dans
ue "membre" du samu social, et disparaissent au même instant tous mes
préjugés
afin de mieux profiter de cette expérience. Une n
avec les précédents observateurs, mais je pense qu'ils ont eu plus de
préjugés
envers nous que j'ai dû briser, par rapport aux h
avec une autre vision des sdf,une meilleure compréhension et moins de
préjugés
mais sans la casquette du samu je ne pense pas qu
el. En plus, je pense que comme la plupart des gens, j'avais certains
préjugés
à propos de ces personnes en situation de grande
s, et deux d'entre on été une aggréable surprise : j'avais pas mal de
préjugés
mais il m'a semblé qu'il en ressortait une atmosp
es patients préférés ! Cette garde, c'était déjà aller au delà de mes
préjugés
, et me confronter à leur quotidien. Déjà la doubl
r exemple. Cette soirée au Samu social est faite pour briser certains
préjugés
: mon infirmière me racontait qu'un de mes camara
demment une certaine façon de prendre les usagers. Il y a beaucoup de
préjugés
, de on-dit, qui se révèlent faux. D'un point de v
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