ns qui les ont poussé à venir en France (la grande majorité était une
population
immigrante). L'expérience donne un autre regard s
e un autre regard sur la précarité en France, d'autant plus que cette
population
tend à croître, et sur une partie de la populatio
ant plus que cette population tend à croître, et sur une partie de la
population
active qui consacre sa carrière à leur service. E
a permis de casser une barrière de préjugés envers cette partie de la
population
. J'ai trouvé cette nuit enrichissante
Ce fut une expérience riche bien que rapide. La
population
rencontrée est souvent peu écoutée, peu vue de la
la rue et de voir tous les dispositifs mis en place pour aider cette
population
. C'est une très bonne expérience du point de vue
de place. La maraude permet de se rendre compte de la diversité de la
population
des personnes rencontrées. Équipe très accueillan
de faire cette garde, notamment pour sensibiliser les étudiants à ces
populations
défavorisées et trop souvent stigmatisées (au urg
La garde au samu social permet de rencontrer une partie de la
population
que l'on connait mal du fait de sa désocialisatio
ante. L'équipe est à l'écoute, attentive, et crée un contact avec une
population
marginalisée et précaire. J'ai été charmée par la
antes pour comprendre comment le système fonctionnait et voir que les
populations
défavorisées ne sont pas mises au rebut, loin de
équipes de nuit, les moyens qu'ils ont à disposition pour aider cette
population
ainsi que les infrastructures permettant d'accuei
n et agréable. Les appels concernants des abus de faiblesse, chez une
population
déjà fragilisée, notamment les femmes, sont les a
C'était une expérience très intéressante, avec une découverte d'une
population
que l'on connaît bien à l'hôpital et beaucoup moi
ut de soutien auprès des personnes souvent ignorés par le reste de la
population
.
essentiel de son action dans la conservation du lien social parmi les
populations
les plus fragiles. Elle était assez immersive et
moyens disponibles était largement en dessous des nécessités de cette
population
. L'isolement social a de nombreuses formes divers
ant quelques heures, de cette barrière qui se hisse aisément entre la
population
et les personnes vivant dans la rue. J'ai eu la c
amu social. J'ai surtout pu remarquer que les usagers ou bien même la
population
générale confondaient le rôle propre du samu soci
onnel. Elle a été, pour moi, l'occasion d'un premier contact avec une
population
que je n'avais jusqu'ici jamais rencontrée au cou
du coup cette nuit j'ai eu l'impression de retrouver le même type de
population
. Ce que je trouve dommage dans cette garde c'est
as cette soirée qui m'a permis de poser un regard différent sur cette
population
marginale qui sont les "sans domicile fixe".
cé mon automatisme du médical en me confrontant avec un autre type de
population
en demande d'aide sociale et humaine et d'une dis
Cette nuit m'a permis de vaincre tous les à-priori sur les
populations
vulnérables et/ou SDF. Comme certains se battent
ntrer des personnes sans abri en dehors du cadre du soin auquel cette
population
est fréquemment soumise. En effet, on se rend mie
de la rue, des conditions (même estivales) dans lesquelles vit cette
population
, et le manque de moyens mis à disposition pour l'
ugmenter ces dernières années, il y a pratiquement l'équivalent de la
population
d'une deuxième ville qui dort dans les rues de Pa
rgences, l'expérience peut paraître redondante puisqu'il s'agit d'une
population
à laquelle nous sommes deja confrontés toutes les
de se rendre compte des conditions de vie de partie importante de la
population
qui n’a pas de logement. Cependant ces gardes ser
la précarité sociale dans laquelle se trouve une grande partie de la
population
. Aller au contact des personnes dans le besoin, l
endre les enjeux du logement d’urgence et de l’isolement de certaines
populations
(sans abris, réfugiés...). On prend conscience de
propres, bien couverts, bien organisés… qui diffèrent beaucoup de la
population
de SDF en état d'ivresse des urgences. Possibilit
, au moins pour la maraude et donne au moins une fois un aperçu d'une
population
rarement rencontrée à l'hopital (en dehors des ur
vons fait face à des familles entières dans le besoin, ainsi qu'à des
populations
migrantes qui ont vraiment la volonté de sortir d
ir pu faire l'expérience d'une garde au samu social et rencontrer une
population
souffrante de maux différents de ceux que l'on a
r des barrières, ce qui me permettra de mieux prendre en charge cette
population
par la suite que ce soit aux urgences ou ailleurs
rmir. Cette a été très utile, j'en suis ressortie enrichie de part la
population
des sans abris, des travailleurs sociaux et des i
s'agit d'activités très différentes ne ciblant pas exactement la même
population
. En effet au cours des maraudes, l'objectif est d
en soirée et la nuit : se sentir utile lorsqu'une grande partie de la
population
dort (situation que l'on vit déjà en garde). Savo
ités changeraient sans doute bien plus facilement si l'ensemble de la
population
pouvait passer une nuit dans le camion du SAMU so
équipe du samu social fait un travail remarquable et je trouve que la
population
n'est pas assez au courant de ces problématiques
iment Expérience qui devrait s'élargir à une plus grande partie de la
population
étudiante Dans les messages d'information il faud
gardant parfois avec des yeux effarés. Un véritable melting-pot de la
population
parisienne. Cependant les missions du samu social
pport à la demande. Je pense aussi que l'on devrait mieux informer la
population
de l'existence du SAMU social et du 115. Beaucoup
plus rester dans le silence derrière lequel la grande majorité de la
population
se cache. La maraude fut dans ce sens très enrich
ne institution qui soit aussi organisée et structurée. Sachant que la
population
en exclusion est totalement différente à celle de
bien sûr été confrontés, à l'occasion de stages hospitaliers à cette
population
mais sans savoir ce qu'il advenait d'eux à leur s
nements nous sont donnés sur les sdf en général et l'étendue de cette
population
: famille d'immigrés, personnes avec le RSA, trav
tudiant en médecine, je pense que c'est important de rencontrer cette
population
particulière, qui, en tant que patient, est plus
. Pour un futur médecin c'est important d'être confronté à toutes les
populations
et de comprendre un peu mieux le mode de vie de c
aux sans abris de signaler eux mêmes leurs positions ou d'éduquer la
population
générale à signaler les sans abris qu'ils croisen
hant au hasard. A mon sens le Samu Social n'est pas assez connu et la
population
générale ne connaît pas assez son action. L'initi
onne expérience pour moi, en particulier d'aller à la rencontre d'une
population
que je ne suis pas habituée à cotoyer.
ce sociale parfois bien mieux ressentie que le besoin médical par les
populations
. Au SAMU social comme ailleurs, on se rend compte
par le comportement des gens qui semble similaire à une partie de la
population
retrouvée aux SAU: impression de droit absolue, n
ntéressante de par son contenu et la découverte de cette partie de la
population
en marge de la société. J'ai été malheureusement
rue, par le nombre de foyers qui sont majoritairement inconnus de la
population
active et logée. Tout le monde semble se connaitr
i d’avoir un autre regard sur cette association, mais aussi sur cette
population
(personnes souvent polies, très correctes avec le
nt pour la nuit en février par exemple). J'ai aussi été marqué par la
population
que l'on rencontre en maraude. Pour la quasi-tota
ins à prioris, et donc de mieux prendre en charge dans l'avenir cette
population
. Une chose qui m'a par contre déçue et choquée ét
tion très importante, la question du logement, de l’hébergement de la
population
parisienne. Étant donné que dans mon entourage, p
te pour nous, étudiant en médecine. Elle nous permet de découvrir une
population
laissée à la marge de la société, que l'on a l'ha
france, physique et psychique. Le SAMU social est là pour tenir cette
population
à bout de bras. Ils proposent des aides, des orie
ement un moment où on peut s'interroger sur notre attitude envers ces
populations
: indifférente principalement. Enfin, j'ai pu voi
jà vu des soignants laisser de côté pendant plus longtemps ce type de
population
, leur permettant d’avoir accès à une prise en cha
iène minimaliste, un lieu où l'on respecte le besoin de liberté d'une
population
à part, tout en lui proposant une première étape
uvent s'abriter est plutôt rassurant. Etre au contact si proche de la
population
qu'on ne regarde pas dans la rue, ou parfois même
pas compte avant de l'ampleur de ces crises. Cet accroissement de la
population
dans les rues reflète non pas seulement une crise
idien, pour leur famille. J'ai pu rencontrer une famille, issue d'une
population
qu'on appelle communément "les Roms", originaires
andonner à Médecins sans frontières, voyager et aller à l'encontre de
population
défavorisée et en absence de soin. Cette garde m'
moyens en général, même si tout le monde se plaint tout le temps… - 2
populations
de bénéficiaires : ceux demandeurs souvent très (
moyens en général, même si tout le monde se plaint tout le temps… - 2
populations
de bénéficiaires : ceux demandeurs souvent très (
toute façon, les SDF sont tous des alcooliques d'Europe de l'est."...
Population
qu'il n'a absolument pas croisé durant sa garde!!
équipes appellent les "usagers". Cette garde permet d'appréhender une
population
et un monde avec lequel nous ne sommes généraleme
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