ire. De l'aide pour trouver un abri quand ils le veulent et n'ont pas
peur
de se faire voler. Ce fut une belle expérience.
n d'aide, ou même lorsqu'ils souhaitaient de l'aide mais avaient trop
peur
de nous suivre, par peur qu'on leur donne des "tr
ils souhaitaient de l'aide mais avaient trop peur de nous suivre, par
peur
qu'on leur donne des "traitements", qu'on leur vo
tur. On voit des gens qui nous émeut, d'autres qui peuvent nous faire
peur
mais tous nous surprennent.
s sdf que l'on croise tous les jours sans leur adresser la parole par
peur
de leur réaction, la solidarité de tous... La dou
s aller vers les SDF au début, car j'avais une certaine appréhension,
peur
de ne pas savoir quoi leur dire, peur qu'ils soie
vais une certaine appréhension, peur de ne pas savoir quoi leur dire,
peur
qu'ils soient agressifs, peur de les déranger dan
, peur de ne pas savoir quoi leur dire, peur qu'ils soient agressifs,
peur
de les déranger dans leur chez-soi, puis au fil d
revenait systématiquement au même endroit en nous disant qu’il avait
peur
que les autres associations ne le retrouvent pas
e regard sur les SDF, moins de préjugés, plus de compassion, moins de
peur
, moins de jugement. Je conseille cette garde à to
ble important de prendre conscience de la détresse plus globale et la
peur
du lendemain qu'éprouvent les hommes et femmes re
les, faute de sentiment de légitimité à les recevoir et également par
peur
de perdre un emploi du fait du temps d'hospitalis
t mériterai d'être mieux connu afin d'apprendre aux gens que c'est la
peur
qui les empêche de tendre la mains aux plus démun
pel d'un monsieur qui n'a pas de logement malgré son emploi, et qui a
peur
de le perdre suite à la fatigue accumulée par les
ribuer de la nourriture avec des amis. Mais j'avais quand même un peu
peur
que la nuit ne soit pas facile. J'ai été surprise
leur regard quand ils serpentent les allées des wagons, par gêne, par
peur
, par lassitude. Il y a un moment en particulier q
onter les dernière nouvelles. Ou alors seule, lisant, marchant, ayant
peur
, ou non. L'amitié, l'amour, la vie, l'entraide, l
t une infirmière, il n'y avait pas de travailleur social. Ça m'a fait
peur
au début, je pensais que cela rendrait la tâche p
eux mais aussi avec les personnes que nous avons rencontrés : j'avais
peur
de ne pas trouver ma place et au final, j'ai ador
Lorsque d'autres hommes -alcoolisés - sont entrés dans le camion, la
peur
se lisait sur son visage. C'était la première foi
ir. Il faut la garder, ne pas la rendre obligatoire car cela va faire
peur
et bloquer les gens. Mais il faut assigner une da
spontanement lorsqu'on voit un SDF seul. Avant d'y aller j'avais très
peur
parce que ça ne s'est pas bien passé avec tous le
ment il peut être difficile d'initier le contact avec des gens qui on
peur
/se méfient, qui sont en perte de contact avec la
à tard et il ne reste de place que dans un seul centre et elle a très
peur
d'y aller. Elle semble avoir froid et encore plus
ent, elle se sentait totalement abandonnée par le société, elle avait
peur
de se faire dépouiller par les autres gens qui vi
nuit? On discute un peu. Et on abats les barrières sociales et de la
peur
que la pauvreté suscite. On rit avec eux, on les
e que je fais rarement dans la vie courante, et qui peut faire un peu
peur
au départ, quand ce sont des personnes à la rue e
oute leur humanité, chacun avec leur vécu, leurs petits tracas, leurs
peurs
, leur volonté de s'en sortir... Leur sourire auss
social comporte vraiment de très belles personnalités, qui n'ont pas
peur
de se confronter à ce que la pauvreté mais qui se
lle a mangé en regardant l'homme derrière nous dans le réfectoire. Sa
peur
était visible. Elle m'a fait pensé à un oiseau ef
ient d'arriver du Maroc par bateau, ne sait ni lire ni écrire, elle a
peur
de ne pas trouver le lieu pour manger qu'on lui i
es personnes SDF, d'un peu les comprendre et surtout d'en avoir moins
peur
; en tout cas ceux que j'ai croisé ont été plutôt
n premier contact pas tout à fait évident avec la première passagère,
peur
de tomber dans la banalité de mes propos… Finalem
ait jamais ses nuits, il n'y retournait que le jour parce qu'il avait
peur
de ce sentiment d'isolement, d'être tout seul fac
ne pourrait être hébergé dans le centre principal, la Boulangerie, de
peur
qu'il se fasse molesté. Je trouve ça inquiétant q
orsqu'il s'agit d'un couple ou d'une famille, de la distance et de la
peur
du vol des peu de possessions de ces personnes, e
de plus normal. Mais je pense que pour ceux qui ont plus de mal, par
peur
par exemple de leur agressivité, de leur exclusio
t qu'une seule fois appel au 115 il y a longtemps et qui avait un peu
peur
en nous voyant, peur surtout de déranger... Nous
ppel au 115 il y a longtemps et qui avait un peu peur en nous voyant,
peur
surtout de déranger... Nous l'avons emmenée à Rom
ts de bas âge ) qui n'avait pas de lieu pour dormir. Cette mère avait
peur
que la police vienne lui enlève ses enfants et no
ster pour qu’on emmène cette personne aux urgences car l’équipe avait
peur
de se faire refouler ! C’est évidemment à cause d
lle ils avaient fui l'un des centres d'hébergement car ils avaient eu
peur
et avaient préféré dormir dans une bouche de métr
ppliquer la loi et d'accueillir les mineurs au poste pour la nuit par
peur
ou ignorance des procédures qui s'ensuivraient le
femme qui ne voulait pas qu'on l'aide et qui visiblement avait un peu
peur
de nous; en discutant avec l'équipe on se rend co
ne lions aucune relation dans la vie de tout les jours : parfois par
peur
, parfois par la sensation de ne pas savoir quoi l
r en disant qu'il ne pouvait pas dormir dans la rue car il avait trop
peur
, etc. Au final on l'a déposé devant un hôpital, p
emment. Il n'a pas accepté d'être conduit au centre d'hébergement par
peur
de vol (car chambre double). Cela m'avait beaucou
es qui (même si on a du mal à se l'avouer) peuvent parfois nous faire
peur
; et d'autre part sur le plan professionnel puisq
e garde obligatoire, dont je n'avais pas le choix de la date, j'avais
peur
de ne pas savoir comment réagir, d'être un peu ex
ct des équipes avec les personnes dans le besoin. J'ai ressenti de la
peur
, au début il a été difficile pour moi d'aller ver
ns un établissement avec prise en charge médicale , parce qu il avait
peur
de ne pas retrouver sa "place" en revenant s il p
sciemment ou non : celle de tendre la main vers l'autre sans en avoir
peur
... parce que les seules barrières que l'on met s
le plan humain, les personnes dans la détresse sociale peuvent faire
peur
dans un premier temps, mais ces premières crainte
e manque de places en centre à taille humaine, où l'on a envie et non
peur
d'aller, comme le centre de Montrouge que j'ai pu
xpliquer un examen à un patient le refusant dans un premier temps par
peur
ou ignorance. N’importe quel stage nous offre déj
personne sans domicile fixe à l'hôpital... malheureusement j'ai bien
peur
que le cadre de l'hôpital ne soit pas en faveur d
nd d'être régularisé en tant que réfugié politique, il vivote avec la
peur
au ventre chez des amis, dans des hôtels, dans la
ire pour être prise en charge socialement. Dans ses yeux on lisait la
peur
du lendemain et de la solitude, l’angoisse d’élev
ion, le football, mais aussi de ce qui l'avait ammené à la rue, de sa
peur
du seuvrage en alcool car il redoutait le déliriu
un foyer ? Ah non, désolé, ça je ne peux pas. Et puis ça fait un peu
peur
ces gens très seuls. Mais avec le blouson SSP, c’
it le retrouver. Au début nous pensions qu'elle s'inquiétait et avait
peur
de le voir revenir, mais en réalité, elle voulait
la caserne mixte de Reuilly Diderot. Elle cherche mon regard, elle a
peur
. On s'assure avec l'équipe qu'elle sera bien dans