s de la vie dans la rue. Intérêt certain dans notre formation. Niveau
patient
: rôle crucial du SAMU social lors de patients dor
notre formation. Niveau patient: rôle crucial du SAMU social lors de
patients
dormant dans la rue peu couvert en état de légère
pe remarquable. Expérience enrichissante dans la prise en charge d un
patient
précaire. Activité complémentaire et nécessaire d
e. Activité complémentaire et nécessaire dans la maniere d aborder un
patient
en rupture de lien social / service d urgences. A
t cette nuit au SAMU social permettait de voir la prise en charge des
patients
aux conditions socio-économiques très précaires s
ai intérêt de cette garde (puisqu'aux urgences, la prise en charge du
patient
SDF est (en dehors des vraies urgences) assez som
plus démunis, différent de celui que nous pouvons avoir avec certains
patients
hospitalisés, de par la nature de la relation ent
ttant d'avoir connaissance de la complexité de la prise en charge des
patients
en difficulté sociale. -> à faire une fois au
un homme à priori sans abris, complètement perdu. Il s'agissait d'un
patient
égyptien sorti d'un service psychiatrique depuis
avait un regard terrifiant de psychopathe... Le problème c'est que ce
patient
ne relève pas d'une structure d’accueil d'urgence
: "on ne peut rien faire pour lui", "on a le droit de le refuser, ce
patient
?", "vous êtes pleins de bonne volonté Vous le sam
té Vous le samu social, mais des fois il faut savoir accepter que des
patients
restent à la rue", "ya plus de place dans le serv
re pas une fatalité, et l'on peut alors réfléchir à proposer à chaque
patient
sdf d'"arrêter", exactement de la même manière qu
sdf d'"arrêter", exactement de la même manière qu'on propose à chaque
patient
tabagique d'arrêter. Le bureau de l'assistante so
le au fond du couloir ne sera plus un lieu inconnu ou l'on envoie les
patients
crados, partagé entre l'espoir idiot qu'une magic
premier labo pharmaceutique : comment soigner une tuberculose chez un
patient
en errance, sans notion de la date ou de l'heure,
nnel de santé. Dans notre métier nous seront tous amené à soigner des
patients
sans domicile. Avoir un aperçut de ce que sont ré
à quel point l'observance thérapeutique et la prise en charge de ces
patients
est délicate une fois sortit des structures hospi
'avait pas une visée medical pure, le fait d'aller à la rencontre du "
patient
" directement au terrain a été une experience inte
ce interessante qui contraste avec les mode d'approche classique oùle
patient
se deplace a la rencontre du secteur medicale (en
souvent avec un état de santé altéré, et que la prise en charge d'un
patient
ne peut s'effectuer de façon efficace sans prendr
cace sans prendre en charge la dimension sociale du problème de notre
patient
. J'ai apprécié la bonne volonté et les efforts ré
mpréhension pour ces personnes démunies. Ca nous donne une vision des
patients
vivants dans des conditions précaires. Néanmoins
oit inclut dans notre formation. Plus tard, quand je serais face à un
patient
sans abri je lui proposerai d'appeler le 115 en s
des parcours de vie compliqués. Pendant ma nuit, nous avons emmené un
patient
aux urgences, suspicion de pancréatite j'ai vu do
ement, elle permet d'aborder de façon concrète la prise en charge des
patients
en situation précaire, et comment un suivi et une
doit s'organiser en dehors du contexte de l'hospitalisation pour ces
patients
. Deuxièmement elle permet plus largement d'ouvrir
donc intéressant d'approfondir ce penchant de la personne humaine, le
patient
pour nous, et en particulier auprès des plus dému
plus démunis et exclus. On perçoit alors plus la détresse humaine du
patient
SDF qui arrive habituellement alcoolisé un soir d
Étant externe aux urgences, je vois régulièrement des
patients
SDF nécessitant à la fois des soins, mais aussi u
sion de suivre les démarches sociales permettant d'aider au mieux ces
patients
. J'ai trouvé ça très formateur de pouvoir suivre
ermet de voir les conditions de vie de ce qui souvent deviendront nos
patients
.
vision des gens, des personnes en difficultés et potentiellement nos
patients
, cette expérience permet de se rendre compte de l
terrain ! J'ai eu l'occasion de participer à la prise en charge d'un
patient
toxicomane sous Subutex. Et la différence entre l
r la précarité. Facilite les relations lorsqu'on sera confronté à des
patients
dans cette situation au cours de notre cursus.
ment le quotidien des SDF qu on est amenés souvent à voir en tant que
patients
. Sur le plan humain c est vraiment intense. Ça fa
us permet de nous rendre vraiment compte des conditions de vie de ces
patients
, pour lesquels nous nous contentons souvent uniqu
nsidération des difficultés sociales et psychologiques des différents
patients
instable que nous pouvons rencontrer. Expérience
C'était une expérience nécessaire et utile. Beaucoup de
patients
dans des situations particulières passent dans no
points auquels on ne pense pas forcément lors de la PEC sociale d'un
patient
. Stage utile, à continuer pour les promos suivant
ers. Cette garde m’aura apprit à être beaucoup plus à l’aise avec des
patients
SDF aux urgences.
Au cours de notre vie professionelle nous serons amené à traiter des
patients
en difficulté sociale et cette maraude permet de
Comme beaucoup d'autres externes ( j'imagine ), le
patient
SDF n'est pas celui dont je préfère m'occuper lor
es qu'ils avaient vécu au samusocial et j'ai eu des contacts avec des
patients
sdf qui m'ont vraiment touchés. Pour faire court,
s reportages, et mes rares contacts avec eux se résumaient à quelques
patients
rencontrés au fil des stages de mon externat. Là
e exclusivement médicale, mais déjà les premiers à priori apparurent,
patients
souvent peu aimables, parfois un peu déments, sou
s un peu déments, souvent incuriques... Clairement ce n’était pas mes
patients
préférés ! Cette garde, c'était déjà aller au del
tte garde nous a également emmené dans un hôpital pour y récupérer un
patient
, l'occasion d'assister aux regards désapprobateur
r méprisants, des infirmières de garde, pressées de voir ce si gênant
patient
enfin s'en aller. Là encore, je ne peux m’empêche
pratiquer une médecine plus humaine et compréhensive à l'égard de ces
patients
si particuliers que sont les sans-abris
pour ne pas eliminer un aspect important de la profession médical, le
patient
et le rapport human avec lui.
peut être très utile en ce qui concerne la future prise en charge des
patients
en situation précaire. Sinon l'organisation du sa
La problématique notamment de s'adapter au mode de vie de nos futurs
patients
...
si permis de voir ce qui se trouve en amont de la prise en charge des
patients
clochards se trouvant à l'hôpital.
intéressante pour les futurs médecins qui seront amené à avoir comme
patient
des SDF. Je regrette cependant le manque de consi
gré des situations déplorables. A l'hopital nous croisons souvent des
patients
sans domicile fixe et il est vrai que la plupart
tantes sociales), il est donc plus facile d'informer et d'orienter le
patient
vers une meilleure prise en charge sociale.
que très partiellement pendant nos études, lorsqu'on a par exemple un
patient
sans abri. Cependant, on ne suit pas ce patient d
u'on a par exemple un patient sans abri. Cependant, on ne suit pas ce
patient
dans ses démarches et on ne sait pas comment va s
e intéressante, à l’hôpital, les SDF ont la même tenue que les autres
patients
. Ce n'est pas le cas ici. On va à leur rencontre,
ration entre l'aide social et le monde médical. Le personnel est très
patient
nous encadre bien et répond à toute nos questions
ablement la prise en charge globale et personnalisée de ces éventuels
patients
!
envers ces travailleurs au samu a changé. Ils sont humbles, humains,
patients
, supportent parfois de n'être pas très bien consi
e plan humain! Peut etre cela m'aidera à améliorer mon contact ac les
patients
sdf vivant ds la rue... En tout cas l'infirmiere
ndre compte de la réalité de certains d'entre eux qui sont nos futurs
patients
(par exemple, aux urgences). C'est un bon moyen d
Maraude passionnante. Après la double écoute (il faut être souvent
patient
au téléphone...) et le briefing, déambuler dans l
cela permet de combattre la réticence à prendre en charge ce genre de
patient
: cela est bien sûr indispensable sur le plan éth
ntèle (dans le public notamment). Or, avoir une idée de la vie de ses
patients
est essentiel pour adapter ses soins, et on peut
quée : d’une part, les urgences (service public !!!) qui rejettent un
patient
car il est SDF, alors que là où je travaille aux
il est SDF, alors que là où je travaille aux urgences on ausculte des
patients
simplement constipés !!!, et d’autre part, la per
pas bien en quoi cela nous aidera à améliorer nos relations avec les
patients
. Se mettre à la place de l'autre? Une consultatio
ce qui peut nous amener à reconsidérer la détresse de certains de nos
patients
.
as de la vie des gens. En stage à l'hôpital je parle des dossiers des
patients
avec l'assistante sociale, je pense que cela suff
x appréhender la relation avec les malades et notamment les cas où le
patient
refuse les soins proposés car sa vision de la sit
ompte de l'importance qu'aura le suivi social et l'accompagnement des
patients
à la sortie de l'hôpital lorsque ceux-ci viennent
cuter, cela lui changeait des journées passées à se faire ignorer des
patients
. Malgré ça je pense que l'action du SAMU sociale
oirée. Cela permet d'avoir une vision plus générale, plus sociale des
patients
défavorisés que l'on voit à l'hôpital, dont on a
des sans-abris de Romain Rolland. Il s'agissait d'une dyspnée chez un
patient
cirrhotique alcoolique, avec était de delirium tr
, personnels de Romain Rolland - choqués de leur comportement avec le
patient
: ils lui parlaient avec mépris, impatience, cond
moment où ils ont sorti le masque à oxygène.... La prise en charge du
patient
aurait pu se passer beaucoup plus vite et sans cr
utile car dans les services hospitaliers, il m'arrive de croiser des
patients
sans papiers, sans domicile, hébergés par le samu
ssi de mieux connaître les conditions dans lesquelles vivent certains
patients
que l'on reçoit parfois aux urgence et aussi sur
comprendre les détresses sociales auxquelles peuvent être soumis les
patients
que nous rencontrerons pendant notre pratique.
ont pas du tout les mêmes facilités à prendre soin d’eux que d’autres
patients
.
à faire cette garde, cela serait bien que nous puissions examiner des
patients
lorsque c'est vraiment nécessaire, contacter le m
un milieu que je n'ai jamais fréquenté du tout (en dehors de quelques
patients
aux urgences), j'ai trouvé cette garde très facil
peut être que bénéfique lorsque nous sommes confrontés à ce genre de
patient
dans le cadre de nos stages (notamment aux urgenc
ère a appelé pour avoir une place en LHSS, le médecin avait refusé le
patient
sous prétexte qu'il risquait de rester trop longt
ongtemps dans la structure, alors qu'on lui avait bien précisé que le
patient
était vulnérable santé, et qu'une assistante soci
(sans citer le nom) donc nous arrivons dans la salle d'attente et les
patients
ou proches de patients l'évitaient, à cause de l'
c nous arrivons dans la salle d'attente et les patients ou proches de
patients
l'évitaient, à cause de l'odeur, sans penser l'ai
i contribue efficacement à re-contextualiser la situation de nombreux
patients
que l'on peut voir à l'hôpital.
s. J'ai pu lors de cette garde avoir une approche différente avec ces
patients
totalement exclus du système, nécessitants une pr
pour nous faire prendre conscience de la diversité de nos potentiels
patients
. L'ambiance est très chaleureuse et les salariés
illant au SAMU social sont accablantes quant à la prise en charge des
patients
aux urgences (sans pour autant en faire une génér
e sa situation. Un grand bravo aux équipes, très humaines et toujours
patientes
pour apporter le soutien aux personnes qui en ont
des travailleurs sociaux. J'avais déjà été confrontée en stage à des
patients
sans domicile fixe mais la préoccupation sociale
gnages vont du vieux monsieur qui vient perdre son ami de la rue à la
patiente
aux troubles pyschiatriques en passant par l'homm
almologiques, etc... en partenariat avec l'infirmière de maraude. Ces
patients
ne vont pas voir les médecins au bon moment, que
tre; à contrario de notre exercice hospitalier durant lequel c’est le
patient
qui vient à nous, dans un lieu et un cadre qui lu
dans la rue, et pas seulement quand on voit ces personnes en tant que
patients
aux urgences ou dans les services hospitaliers. L
ertains et donc mieux les prendre en charge dans l'avenir, en restant
patient
et compréhensif. Une pointe de colère et d'injust
fort utile en tant que étudiants en médecine souvent confrontés à des
patients
en situation de précarité. Une expérience enrichi
e de fonctionnement (p.ex. comment organiser un lit infirmier pour un
patient
en détresse social nécessitant des soins au décou
ui aide pour le contact qu'on doit avoir ensuite à l'hôpital avec les
patients
. Cette expérience est différente de toutes celles
libres et notamment des lits infirmiers, et aussi, de voir ce que les
patients
deviennent à la sortie de l'hospitalisation. Lors
Cette réticence nous fait réfléchir à notre attitude face à certains
patients
, même lorsque l'on pense agir de la même façon in
steosynthese par exemple). Apres l'administration des medicaments aux
patients
, il n'y avait plus d'activité dans le centre, je
s, j'ai beaucoup apprécié cette approche du soin médical. Soigner des
patients
sans domicile fixe m'a fait me sentir utile enver
Je suis tombée sur une équipe de personnes formidables,
patientes
et attentionnées qui m'ont fait découvrir un mond
récié mes connaissances médicales pour aider à la prise en charge des
patients
et a noté que notre aide leur était parfois préci
il y a beaucoup de technique, de rationnel, de distance vis à vis du
patient
, lors des maraudes:on échange, de personne à pers
n, leur capacité à gérer toute situation et à rester professionnel et
patient
.
es, ainsi que celui des écoutants du 115 : veiller au suivi régulier,
patient
et persévérant, social et sanitaire de chacun, at
itablement profitable dans mes relations futures à l'hôpital avec des
patients
sans abris. La maraude était le point fort de la
Pendant la nuit j'ai été très bien accueilli par des équipes ouvertes
patientes
et souriantes que ce soit les écoutants ou le per
st très belle et honorable et je leur remercie d'être aussi humain et
patient
, que ce soit avec nous les étudiants observateurs
SAMU social et les assistant(e)s social(e)s. Une certaine partie des
patients
qu'on traite à l'hôpital vivent dans des conditio
se rendre compte de l'envers du décors, là où on envoyait parfois nos
patients
après l’hôpital. Et c'est assez dramatique... Le
e médecin est présent 4 matinées par semaine, et ne vois pas tous les
patients
(qui sont eux même assez particuliers). Bref j'ai
des de SOS médecin (ils ont une application dédié qui leur repère les
patients
, une radio pour communiquer et le gout pour l'eff
lic en le leur et aménagement de leur lieu de vie. A la rencontre de "
patients
", refusés des systèmes de soins conventionnels, c
e des bêtes de foire et personne ne semblait se soucier de ce nouveau
patient
. Il n'était pourtant ni alcoolisé, ni violent, ag
é...) et au fil des heures, je me sentais utile, j'examinais certains
patients
à la demande de l'infirmière pour valider son avi
le passé de la plupart des personnes vivent dans la rue et était très
patiente
et tout particulièrement gentille et ouverte aux
stage aux urgences, il m'est arrivé de nombreuses fois d'examiner des
patients
vivants dans la rue qui s'excusaient de leur cond
nce voyaient d'un mauvais oeil la présence des sans-abris parmi leurs
patients
. Etes-vous vraiment à l'abris d'être un jour, vou
écision finale, sans insister. En tant qu'externe, j'ai déjà eu comme
patients
(aux urgences, en salle..) des personnes sans dom
dans la prise en charge médicale: en effet, il faut s'assurer que le
patient
puisse faire les examens complémentaires nécessai
En regardant les dossiers des appelant, on voit que beaucoup sont des
patients
, donc ça fait réfléchir à notre pratique. On se r
nnement. De manière général l'aspect social de la prise en charge des
patients
est quelquechose que nous avons peu l'occasion d'
nne quelque soit sa situation, plusieurs fois j'ai été l'externe d'un
patient
logeant dans les centres d'hébergement ou la rue.
patient logeant dans les centres d'hébergement ou la rue. Si c'est un
patient
comme les autres, il est toutes fois soumis à bea
ne, mais pour l'humanité dont tout médecin a besoin. On aura tous des
patients
SDF, il faut savoir ce qu'ils vivent vraiment pou
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