ions surtout face à l importante demande. La maraude s est aussi bien
passée
. J avais de l appréhension avant de rencontrer le
aide aux personnes (place dans les foyers..). Durant la nuit que j'ai
passé
en maraude il a plu toute la nuit et passé 23h il
). Durant la nuit que j'ai passé en maraude il a plu toute la nuit et
passé
23h il n'y avait plus de place nul part, c'est a
et passé 23h il n'y avait plus de place nul part, c'est a dire qu'on
passait
juste voir les gens sans les réveiller faute de p
remplis de gardes. L'équipe était tres gentille mais nous n'avons pas
passé
beaucoup de temps sur le terrain. Nous avons surt
'avons pas passé beaucoup de temps sur le terrain. Nous avons surtout
passé
2h a faire la queue aux urgences de la pitié pour
eurs apportions. Enfin, j'ai beaucoup apprécié le fait que tout s'est
passé
de manière joyeuse et décontractée.
rincipale est le fait de ne pas pouvoir trouver un lieu au chaud pour
passer
la nuit à toutes les personnes qui appellent. Lor
ours, le plus tôt possible dans l’espoir d’avoir enfin une place pour
passer
une nuit au chaud. Devoir annoncer implicitement
ir annoncer implicitement à un homme ou une femme qu’il allait devoir
passer
une nouvelle nuit dans le froid m’a profondément
ersonnes qui appelait par faute de places. La maurade s'est très bien
passée
aussi malgré le froid et la pluie. Malheureusemen
écouvert le métier d'assistante sociale et je ne pensais pas qu'elles
passaient
autant de temps avec les usagers dans le cadre de
de et le contact avec les sans-abris, cette garde permet justement de
passer
outre les préjugés que l'on peut avoir à leur éga
à celui d'un conducteur de taxi plus qu'autre chose. J'aurais préféré
passer
plus de temps à visiter les centres plutôt de que
ou non envie que l'on appelle le 115 pour leur trouver un endroit où
passer
la nuit. Ce qui m'a marqué est le temps très limi
qui attendaient chaque jour un nouveau lieu pour dormir et éviter de
passer
la nuit dans le froid (bref, prise de conscience)
le staff, j'ai été affecté à une équipe de "maraude", tout s'est bien
passé
, la plupart des sans-papiers que nous sommes allé
eu comme leur "maison". Le contact avec la plupart des SDF s'est bien
passé
, ce sont des gens comme tout le monde, pas des fo
juste juste saouls et perdus pour la plupart. Ma nuit s'est très bien
passé
, beaucoup d’échanges, une équipe intéressante et
anitaire, par conséquent je ne savais pas à quoi m'attendre en allant
passer
une nuit au samu social. Ce qui m'a marqué dès le
ge qu'il y a des adolescents dont le principal souci est de savoir où
passer
la nuit. En particulier,j'ai été touché par l'his
dormir dans une bouche de métro. La suite de la nuit s'est très bien
passée
, nous avons rencontré des personnes totalement di
cial pour aller chercher les SDF et les emmener dans des refuges pour
passer
la nuit ou tout simplement passer un peu de temps
t les emmener dans des refuges pour passer la nuit ou tout simplement
passer
un peu de temps avec eux. En revanche j'ai été fr
de temps et par une organisation peu productive. En effet, nous avons
passé
beaucoup plus de temps dans le camion à emmener l
Paris jusque dans les centres d’accueil, souvent loin. J'aurais aimé
passé
plus de temps avec les personnes dans la rue, que
'oublier cette maraude, moment tellement éloigné de mon quotidien, on
passe
à un autre niveau, celui de la rue. On y passe to
é de mon quotidien, on passe à un autre niveau, celui de la rue. On y
passe
tous les jours mais on n'y reste pas. On a passé
elui de la rue. On y passe tous les jours mais on n'y reste pas. On a
passé
pas mal de temps avec un sdf qu'on nous avait sig
tations infirmières. En conclusion je suis très content de cette nuit
passée
au SAMU social, cela m'a permis de voir ce qu'il
cette nuit passée au SAMU social, cela m'a permis de voir ce qu'il se
passe
dans la rue d'un autre oeil et donné certaines cl
he des plus démunis aux urgences maintenant que je sais comment s'est
passé
leur arrivée dans ce service.
ssez intéressante, la double écoute , pour commencer, s'est très bien
passée
, le personnel était très sympa. Ensuite la réuni
Une nuit enrichissante permettant de découvrir ce qui se
passe
dans la vraie vie, sur le terrain notamment. A la
ation. Merci à l'équipe très accueillante et soucieuse que la nuit se
passe
bien pour nous et très sympa par ailleurs.
ans doute bien plus facilement si l'ensemble de la population pouvait
passer
une nuit dans le camion du SAMU social... J'ajout
externes. On se sent très vite complètement intégré et on ne voit pas
passer
la nuit. Bref dispositif à continuer+++, à promou
e sagesse qui m'a touché. Elle connait tout le monde à Montmartre, et
passe
sa journée à la basilique. En lui parlant, j'ai c
s voyaient uniquement parce qu'ils nous voyaient. Sinon, ils seraient
passé
à côté sans les voir. Je l'ai surement déjà fait,
e expérience humaine. Avant de m'y rendre, j'étais quasi persuadée de
passer
une nuit "dans la violence de la rue" et j'appréh
ulter et maltraiter. En somme, c'était, pour moi, un mauvais moment à
passer
. Je m'étais complètement trompée. Bien sûr, certa
les autres, je n'ai vu aucune prise en charge ce qui est dommage (de
passer
4 heure à faire rue par rue un quartier) C'était
et d'une dureté telle qu'on ne peut qu'admirer leur abnégation. J'ai
passé
ma garde au samu social avec de nombreuses person
c nous dans le camion et lorsque nous leur avons trouvé un endroit où
passer
la nuit. Nous les avons questionnés sur leur situ
uation dans un box à Romain Rolland, lieu où ils ont pu se doucher et
passer
la nuit. j’ai pu en examiner quelques un qui n’av
timité, la vie, l'histoire de ces femmes et hommes qui habituellement
passent
inaperçu. e.s. J'ai été étonnée par la diversité
jeune. Bien intégré dans l'équipe directement. Des moments émouvants
passés
avec certaines personnes dans le besoin. En résum
Une nuit au Samu social permet de se rendre compte de ce qui se
passe
vraiment dans la rue et de voir tous les disposit
ssé une nuit assez unique je dois l'avouer. L'accueil s'est très bien
passé
et la double écoute aussi. J'ai ensuite été prise
r dans le camion. J'étais un peu frustrée. J'ai cependant apprécié de
passer
dans un CHU et de pouvoir voir les gens qui y son
vraiment de actions dernières. Cette expérience courte m'a permis de
passer
à l'action. C'était une expérience très enrichiss
oires des personnes rencontrées dans la rue et devant lesquelles nous
passons
généralement sans nous arrêter. L'équipe du samu
ne se rend pas forcément compte. C'est vraiment une chance d'avoir pu
passer
une nuit avec le SAMU social.
ennent de milieu plus que favoriser. Au delà de ca la nuit s'est bien
passé
, à faire peut être une fois mais pas plus.
nt pas à prendre le temps, à rassurer, à réconforter et surtout faire
passer
de bons moments aux personnes sorties du système
social. J’ai pu observer les démarches à faire pour les personnes qui
passaient
leur première nuit dehors, les adresses d’assista
équipe du SAMU social aider des personnes dans le besoin. Cette aide
passe
par la recherche d'un logement social où passer l
le besoin. Cette aide passe par la recherche d'un logement social où
passer
la nuit, par le don de nourriture, par le don de
la nuit un peu sur la réserve mais au fur et à mesure que les heures
passent
on apprend comment réagir et se comporter
e le fonctionnement du SAMU social. Néanmoins je penses qu'on devrait
passer
plus de temps a faire de la vraie maraude et pas
t, voir choquant, de voir la détresse des gens, ne serait-ce que pour
passer
une nuit sous un toit. Je pense que cette garde d
ébergement pour la nuit,ce que nous avons pu leur proposer c'était de
passer
un moment avec eux,une soupe chaude et du chocola
aire et utile. Beaucoup de patients dans des situations particulières
passent
dans nos services sans qu'on puisse réellement le
e arrondissement) sans signalement. Il est dommage de ne pas avoir pu
passer
dans un centre d'hebergement.
e, ne parlait pas le français et était complètement perdu. Nous avons
passé
beaucoup de temps avec lui afin de lui trouver un
de lui trouver un hébergement. Il fallait l'emmener au commissariat,
passer
par la brigade des mineurs afin de lui trouver un
nous demander le très strict minimum, expliquant qu'elles préféraient
passer
la nuit dehors plutôt que dans un centre (dont ce
adversité d'elles même, qu'elles avaient encore l'espoir de réussir à
passer
ce cap on ne peut plus difficile. Les équipes de
pour toucher les différentes allocations. Et je ne parle pas du temps
passé
au téléphone 115 pour essayer de trouver un logem
cueillir les personnes qui le demandent et la majorité est obligée de
passer
la nuit dehors. J'ai été assez impressionnée car
e j'ai écoutés de 18h à 20h provenait de familles qui s'apprêtaient à
passer
la nuit dehors faute de place... Je pense que cet
raconter : leurs voyages, leurs origines, leurs souvenirs d'un temps
passé
. J'ai apprécié le temps accordé à chaque personne
et qu'on vérifie rapidement la situation sociale et au final on a pu
passer
parfois presque 1 heure avec les personnes qu'on
s différents de personnes vivant dans la rue et grâce à l'équipe j'ai
passé
une très bonne garde. Merci d'ailleurs à l'équipe
prendre leur parcours. Cela ne fut pas vraiment le cas, et nous avons
passé
beaucoup plus de temps à rouler d'un bout à un au
ma première expérience sociale. J'ai sincèrement apprécié cette nuit
passée
, malgré le froid et la pluie, dans l'ambiance d'u
nement du SAMU social et leurs objectifs. L’équipe avec laquelle j’ai
passé
la nuit a été très accueillante et attentive.
j'ai aimé l'expérience, qui permet de se rendre compte de ce quil se
passe
dans la rue pendant quon dort Chez nous. L'équipe
ontre avec un SDF vers 3h du matin, l’equipe le connaît très bien, il
passe
la nuit toujours au même endroit. Il nous a parlé
ntrouge, simulant des douleurs pour ainsi être prioritaire et pouvoir
passer
la nuit dans ce foyer. Ainsi ils arrivaient à êtr
je ne l'ai pas visité je pense qu'il est quand même plus agréable de
passer
sa nuit la-bàs que sur un trottoir, et je ne comp
si que les signalements reçus à la régulation téléphonique qu'il faut
passer
voir. Nous partons ensuite pour la maraude. Au pr
te nuit là, avec la chaleur les gens n'avaient pas forcément envie de
passer
la nuit en hébergement. Globalement c'était une e
tions que je pouvais avoir et me demandaient régulièrement si tout se
passait
bien, si j'avais des questions ou des remarques.
si j'avais des questions ou des remarques. La maraude s'est très bien
passée
, même si nous avons fait face à des situations dé
r parler aux personnes les plus demunies. L'equipe avec laquelle j'ai
passée
la nuit était très sympathique, et m'ont expliqué
and on y dépose une personne. Le point négatif est le temps trop long
passé
dans le camion par rapport aux temps pris pour di
d'écoute est donc plus que limité. En revanche la maraude s'est bien
passée
, et l'équipe était agréable.
gement social qui me tente particulièrement mais il est important d’y
passer
pour avoir conscience de ce pan important du syst
Bd de l'hôpital jusqu'au centre Romain Rolland. Je pense que j'ai du
passer
de nombreuses fois devant lui sans jamais vraimen
le connait. Puis dès qu'ils se mettent a aborder la journée qu'elle a
passé
à l'hôpital et sa rencontre avec le psychiatre, e
estions de l'équipe qui lui demande des explications sur ce qui s'est
passé
. Elle finit par s'en aller. Nous attendons quelqu
es mais elle ne revient pas. Nous repartons donc dans le camion. Nous
passons
devant la dame quelques centaines de mètres plus
ens qui ne se sentent pas capable de la faire ou qui ont peut être un
passé
ou un vécu plus ou moins proche de celui des gens
dans mon cas, cette expérience a été inutile puisqu'il ne s'est rien
passé
dans les arrondissements qui étaient attribués à
homme en pré-Délirium Tremens qui nous a appelé car ses symptômes ne
passaient
pas après 5 jours de sevrage qu'il s'était imposé
aissance de Jésus", c'est une découverte qui m'a beaucoup amusé. J'ai
passé
une très agréable soirée, et s'il est vrai que l'
le écoute et plus tard pendant la maraude est le manque d'endroits où
passer
la nuit pour la plupart des sans abris comparé au
le nécessitant, et malgré tout que beaucoup de sans abris refusent de
passer
la nuit dans certains établissements compte tenu
iscutait avec lui en lui donnant de la soupe ou du café. Les gens qui
passent
nous regardaient avec surprise, avec incompréhens
ent n'ont pas de logements pour la nuit et doivent être contraints de
passer
la nuit dehors. Cela peut donc être difficile pou
r qu'un café ou une soupe à des personnes qui vont être contraints de
passer
la nuit dehors alors que la météo est très mauvai
rsécution, perte de l'attention). Il fallait lui trouver une place où
passer
la nuit et qu'elle soit examinée par un médecin e
i répond aux questions avec plaisir, mais nuit calme, il ne s'est pas
passé
beaucoup de choses. Je ne regrette pas cette expé
es d'hébergement auxquels on est allés se situent dans le 14ème, on a
passé
beaucoup plus de temps sur le périph que pour la
iph que pour la maraude en elle-même. Pour le début de la garde, on a
passé
pas mal de temps avec un membre de l'équipe qui n
sont souvent compliquées car les places d'hébergement manque surtout
passée
la trêve hivernale. Les rencontres faites sur le
ni intéressant cette garde. Je ne comprends pas le but de nous faire
passer
par ici. Est il pour nous rendres plus " humains"
rance pour ses études, elle s'est retrouvé à la rue et contraintes de
passer
la nuit dans des noctiliens. Cette étudiante a po
ence humaine dans notre cursus, c'est une occasion de voir comment se
passe
vraiment le travail du samu social et de rejeter
nce. J'apprends que cette personne aurait pu finir esclave s'il était
passé
par la Lybie. Début de la maraude vers 21h30, on
l nous confronte avec une dure réalité qui hélas peut très facilement
passer
inaperçue : la misère. Aider ces gens et leur app
où résident les sans abris comme celui de Montrouge dans lequel j'ai
passé
une partie de la nuit. Les gens dansent et chante
lan humain. On ne voit pas vraiment les choses de ce côté là quand on
passe
dans les rues de Paris mais cette expérience perm
lan humain. On ne voit pas vraiment les choses de ce côté là quand on
passe
dans les rues de Paris mais cette expérience perm
tous les jours de se battre pour chaque SDF à qui ils permettront de
passer
la nuit au chaud, ou d'avoir une soupe, ou même r
ssociés à une détérioration de l'état de santé. La maraude s'est bien
passée
, et le contact était globalement bon et agréable.
olats, il nous a remercié de s'être arrêté devant lui pour l'aider et
passer
du temps avec lui, c'était un moment fort de la n
e nous avons donc rencontrer peu de personnes dans la rue. Nous avons
passer
la plus grande partie de la nuit à faire la navet
t souvent dans des conditions très précaires. J'ai trouvé que la nuit
passé
avec le samu social de paris a été utile et je pe