notre ressentit. C'est bien de pouvoir faire la double écoute puis de
partir
en maraude. Mais jusqu'à 5h du matin c'est trop l
ne fois. Beaucoup d'appréhension au début pour se rendre compte qu'on
partait
avait plein d'idées fausses. Et oui il faisait tr
ficace pour prendre soin des gens de la rue. Et je m'attendais donc à
partir
en camion avec un grand nombre de sièges, le coff
avec un grand nombre de sièges, le coffre rempli de victuailles pour
partir
à la recherche des âmes seules que seule la nuit
e seule la nuit connait. Quelle fut mon étonnement quand au moment de
partir
, on m'annonça que nous aurions tout au plus 7 pla
Un espoir de nourriture, de sécurité pour une nuit. Un espoir déçu à
partir
d'une certaine heure qui se transformait en résig
tout étudiant en médecine, quelque soit la spécialité qu'il exercera.
Partir
à la rencontre de toute personne qui ont besoin d
eu plusieurs demandes non pourvues dans les jours qui précèdaient. A
partir
de 20h, le débrief commence avec la répartition d
ments reçus à la régulation téléphonique qu'il faut passer voir. Nous
partons
ensuite pour la maraude. Au programme distributio
. Cela m'a permis de découvrir le fonctionnement du Samu social et de
partir
à la rencontre des personnes à qui je n'adressera
constater à quel point cela pouvait aider ces personnes ( alors qu'on
partait
, j ai vu un sans abris pleurer de joie. C'était é
ontent de faire cette garde au samu social. L'équipe avec laquelle je
suis parti
marauder était super sympa, m'a bien accueilli et
le peu de places en centre pour le nombre de demandes (elles peuvent
partir
en quelques secondes). Pour la nuit dans le camio
ela permet de réaliser que la médecine humanitaire ne se limite pas à
partir
à l'autre bout du monde pour soigner des personne
ndredi 13 novembre... Après un début de soirée en double écoute, nous
sommes partis
en maraude pour aller voir un monsieur se situant
intervenants ont été cependant suffisamment aimables pour me laisser
partir
peu avant deux heures. Cette immersion, courte s'
du SAMU est très sympathique et que l'accueil est chaleureux. . Nous
sommes partis
en maraude assez tard (entre 21h et 22h) et nous
ble écoute qui m'ont permis d'approcher la mission du samu social, je
suis partie
en maraude avec une équipe très sympathique. C'ét
rants..). L'ayant fait en été, l'activité était restreinte et j'ai pu
partir
plus tôt. La seule touche négative aura été l'int
double écoute était sympathique mais trop courte (18h/20h30). Puis on
est parti
en Maraude (avec une équipe magnifique !) J'ai re
is frustrante. J'ai ensuite assisté à un briefing assez court et nous
sommes partis
en camion. Les premiers signalements n'ont pas ab
e extrème de certains SDF. Je voudrais remercier l'équipe avec qui je
suis partie
en maraude pour leur pédagogie mais aussi pour le
appels étaient proportionnels au nombre de flocons qui tombaient. Je
pars
avec l équipe 4, une équipe accueillante, pédagog
sympathique et très accueillante, j'ai fait la double écoute puis je
suis parti
en maraude. Nous sommes revenus à 2h pour diner a
arde au Samu Social en novembre 2010. C'était la première fois que je
partais
en maraude à la rencontre des sans abris. Ce fut
tes, cela permet d'être disponible le lendemain. L'équipe avec qui je
suis partie
était très sympa, ils m'ont fait découvrir leur t
Après quelques vacillants efforts, tout le monde est à bord et nous
partons
, pendant qu’une de mes co-équipiers passe sur son
aient et ses parents l'ont mis à la rue. Nous lui avons donnés RDV et
sommes partis
le chercher afin qu'il passe la nuit dans un cent
a nuit SAMU SOCIAL a été une première expérience de maraude positive.
Partir
à la rencontre des personnes démunis, sans logeme
de jour...) J’ai été très bien accueillie par l’équipe de maraude. On
est parti
sur les signalements, on a accompagné 3 familles
J'ai beaucoup apprécié cette garde. L'équipe avec laquelle je
suis partie
en maraude était très sympathique, ils m'ont accu
handicapé. Il a fini par perdre son boulot, sa maison, puis sa femme
est partie
. Il s'est finalement retrouvé à la rue sans conta
choix, ayant 300 lits pour 9000 appels par jour. Après le briefing je
suis partie
dans un camion avec une équipe qui m'a très bien
es SDF que nous avions emmené dans un centre quelques heures plus tôt
était parti
, libérant sa place. En résumé cette garde a été t
voir à quel point les places dans les centres d'accueil pour les SDF
partaient
rapidement. En une minute les 6 dernières places
rgences avec les pompiers, son ami, en larmes au moment de le laisser
partir
, ayant quant à lui une place en centre d'hébergem
et assez complet avec double écoute, et maraude, avec possibilités de
partir
après la pause (ce qui est suffisant pour avoir u
stratégique, nous remercient par leur sourire, un geste de la main ou
partent
en maugréant contre la vie... Des équipes formida
ble écoute. J'ai ensuite assisté au briefing pour la maraude, et nous
sommes partis
vers 21h faire la première sortie. Nous sommes re
, parce que je ne savais pas trop ce que je pouvais dire ou faire. On
est parti
en maraude et on a rencontré un collectif. C'étai
ir de deux examens c'était pas l'idéal à cause de la fatigue donc j'y
partais
sans trop d'envie mais au final ca a été une expé
t de la réponse aux demandes d'hébergement pour la nuit... Ensuite je
suis partie
avec le camion pour des signalements et pour mara
ravail, vivait avec quelqu'un qui l'a mis dehors, et petit à petit il
est parti
en dépression et s'est laissé allé. Ca m'a fait p
de logement n'avait pas été pourvue. Pour ce qui est de la maraude je
suis partie
"en pure" quadriller le 11eme arrondissement de P
la découverte du concept dans les locaux reste indispensable mais que
partir
dans le camion devrait être un choix de l'étudian
j'ai beaucoup aimé parler avec eux. De plus l'équipe avec laquelle je
suis partie
en maraude était très sympathique, je me suis sen
s enrichissante sur tous les plans. La double écoute, sur laquelle je
partais
avec des à priori négatifs après la double écoute
J'ai été surprise par cette garde pour laquelle je
partais
avec un apriori. J'ai pu apprécier l'implication
arvenir (manque d'hébergement, notamment pour les femmes). Quand nous
sommes partis
en maraude après l'écoute téléphonique, la plupar
ar le briefing de 20h! J'ai ensuite participe au debriefing puis nous
sommes partie
en maraude. C'etait une nuit extremement froide e
’aller aux urgences apres 2 heures de négociations et ne voullait pas
partir
du centre d’accueil. Ce même centre d’accueil (no
et où je regarderai un SDF alcoolisé, qui sent mauvais, qui vient de
partir
,.. avec mépris : j'espère me rappeler de B., qu'o
fus d'hébergement en raison du nombre limité de places (25 places qui
partent
en 10 min à peine pour un centre par exemple), al
is le SAMU SOCIAL comme de la médecine bénévole en premier lieu. Nous
sommes partis
en maraude sur les coups de 21h et nous sommes d'
a pas de briefing le dimanche, alors nous avons mangé un peu et nous
sommes partis
en camion. Nous avons maraudé dans le treizième a
bution des médicaments et aux transmissions avec l'équipe de nuit. Je
suis partie
à 21h. J'ai été déçue au final de n'avoir pas pu
passe 15 mn en entretien avec le responsable du samu social avant de
partir
dans le camion, pour pouvoir exprimer nos éventue
pas le nier, et un petit briefing pour lever les inquiétudes avant de
partir
en maraude pourrait être utile. En conclusion, un
s-abris,etc. ). La seconde partie de la nuit, offre la possibilité de
partir
en équipe à travers les rues de Paris, à la renco
faire on arriverait à rien (l'attente trop longue aux urgences ferait
partir
le patient et il ne serait pas soigné). Cette exp
fortement. Deux choses m'ont particulièrement touchées : - quand nous
sommes partis
en maraude, au bout de quelque minutes nous nous
a garde très judicieuse: il était en effet très intéressant, avant de
partir
dans le camion, de voir à quoi ressemblent les ap
ment et le peu de places qu'il existe pour le nombre de demandes... A
partir
de 20h, c'est la maraude. J'ai trouvé ça vraiment
J’ai été agréablement surprise par cette nuit, j’
étais partie
avec beaucoup de préjugés sur les « isolés » comm
gnalements du 115. Et lorsque l'on trouvait un homme sur la route, on
partait
à sa rencontre. A t'il froid, faim,soif? Veut il
pas évident et assez fatiguant, ça reste une très bonne expérience de
partir
à la rencontre de ces personnes très démunis surt
s différentes fonctions du Samu Social ( pendant 2H environ) avant de
partir
dans le camion. Il y avait une bonne ambiance dan
écoute durant 2 heures, puis participé au staff pré-maraude avant de
partir
en camion. L'équipe était très agréable, nous som
frir un endroit où dormir pour la nuit, en leur disant qu'ils devront
partir
le matin, et que leur situation n'aura pas changé
J'ai commencé la garde par la double écoute puis vers 21h je
suis partie
en maraude avec un chauffeur qui travaille au Sam
qui dormaient. Leur mère est arrivée quelques minutes plus tard, elle
était partie
chercher des cartons. Elles étaient installées su
mençait et ou s'arrêtait on champ d'action. L'équipe avec laquelle je
suis partie
en maraude était vraiment accueillante, et m'a vr
amu social et je me suis mise à un poste en double écoute. A 21h nous
sommes partis
avec une infirmière et un chauffeur en maraude da
places d'hébergement disponibles pour autant de demandes. Les places
partaient
vite et la plupart des réponses données aux perso
point ce n'était pas très agréable voire vexant. Durant la nuit nous
sommes partis
à la rencontre d'une famille Ukrainienne si mes s
s un toit chaque jour. Le briefing a ensuite été assez rapide puis on
est parti
dans le camion. L'équipe, très sympatique, m'a ap
eur annoncer que cette nuit ils resteraient dehors. Par la suite nous
sommes partis
en camion dans le secteur 8ème 16ème 17ème arrond
icipé au briefing de 20h car cela ne nous a pas été proposé; avant de
partir
en camion, pause cigarette et boisson de 30-40 mi
utile et devrait être supprimée car elle n'apporte absolument rien. A
partir
de là, je comptais les minutes qui me séparaient
s conseiller . C'est marquant comment les places à une certaine heure
partent
en quelques secondes. A peine débloquées, il n'y
réjugés. Ce sont des vétérans, des migrants, des personnes qui ont du
partir
de chez soi parce qu'ils ne pouvaient plus payer
nce de ce type. J'ai donc fait la double écoute jusqu'à 20h puis nous
sommes partis
en camion jusqu'à environ 3h30. L'ambiance dans l
'a quasiment pas dormi, c'est pourquoi il avait pris la décision d'en
partir
le matin, en ayant prévenu le personnel du centre
ès apprécié. Et pour finir, la maraude. Point fort de cette garde. Je
suis partie
avec une équipe très sympathique mais j'ai égalem
ureusement et avec entrain, j'avais préparé cette évaluation avant de
partir
à ma garde. Et puis le lendemain je me suis rendu
agiles et les plus exclus de notre société. L'équipe avec laquelle je
suis parti
en maraude était réellement passionnée par ce tra
cette solution d'hébergement est plus que précaire. Demain il faudra
partir
, plus d'une centaine de famille vit dans la rue a
n sur l'organisation du SS et le déroulement d'un suivi d'appel. Nous
sommes partis
avec le camion vers 21h. Il n'y avait pas eu beau
et par la diversité des gens que ce soit leur langue ou leur âge. On
est partis
dans le camion à 21h, j'étais avec un équipe très
es données personnelles avant le briefing habituel. Par la suite nous
sommes partis
en maraude mais la nuit était très calme et nous
ent, notamment pour Monsieur H., bien connu de l’EMA avec laquelle je
suis partie
en maraude, qu’il a été difficile de convaincre d
de touts au sein du 11( mais qui, moi, me laissait choquée. Puis nous
sommes partis
marauder. Mon équipe était très accueillante et m
er le camion (sac de couchages, nourriture, boisson,...) pour ensuite
partir
en maraude. Ce fut une très belle expérience tant
urgences, on les (les SDF " patienter des heures pour qu'à la fin ils
partent
". Devant ces mots très durs, il m'apparait donc
la rue le soir-même. Cela nous a pris au moins 40 minutes et j'ai du
partir
ensuite au débriefing pré-maraudes. J'ai été affe
t les personnes.. Puis la réunion et la répartition des équipes et on
est parti
en camion. On a fait uniquement des signalements
main nous vient en aide par téléphone. Une demi heure plus tard, nous
partons
en les laissant à la même place. Je réalise alors
tie que j’ai trouvé la moins intéressante de la nuit. Puis à 21h nous
sommes partis
en maraude, nous avions le secteur 13e/5e/7e. Nou
e ne sont pas encore libérées, il faut donc rappeler dans 1heure... A
partir
de 19h nous pouvons enfin attribuer des places po
en centre d'hébergement m'a dit au décours de la conversation "on va
partir
en normandie avec ma femme et nos deux enfants pe
social (j'ignorais le numéro 115 auparavant) et après la réunion, on
est parti
pour 8e arrondissement de Paris. Déjà avant d'arr
oir où chacun va être envoyé en mission. A 3 par camion, plus moi, on
est partis
pour la maraude. L'équipe est hyper accueillante,