garde est très utile humainement parlant. Les équipes sont sympas et partagent volontiers leur expérience. C'est bien de voir l'

social, moins le plan médical. Les équipes sont très accueillantes et partagent facilement leurs expériences. J'ai particulièreme

endant que les membres de l'équipe discutaient avec les parents, j'ai partagé une demi-heure avec cette enfant pour qui la cond

on sociale n'a pas d'importance. Malgré l'écart de langue, nous avons partagé toutes les deux un rare moment où la simplicité e

rès bien expliqué le fonctionnement. J'avais fait un gateau qui a été partagé avec tous les maraudes.

manité, chacun faisant son métier avec passion : ce fut un plaisir de partager cette nuit avec eux. Le contact avec tout ces gen

es appels. Je garde un très bon souvenir de l'équipe de maraude, on a partager un moment unique!

contact d'un personnel du Samu social motivé, agréable, m'ayant fait partager leur travail. C'est une expérience importante pou

olonté de m'expliquer le fonctionnement du samu social et de me faire partager les différents aspects de leur métier. Cette gard

ersonnes qui se sont engagés dans ce combat tous les jours. J’ai aimé partager cette garde avec une infirmière et une assistante

aucoup de sans abri déjà connus par les équipes, toujours contents de partager un café. Une heure de double écoute suffirait. C'

rde de ce type prends trop de temps dans la semaine d'un externe deja partagée entre son stage, son travail personnel et ses gar

Partager pendant une nuit l'expérience vécue par les équip

Ce fut une très bonne expérience humaine et solidaire partagée avec les intervenants du samu social et les perso

par une association une boite de chocolat, et a beaucoup insisté pour partager ces chocolats, il nous a remercié de s'être arrêt

Cette nuit, partagée entre double-écoute au 115 et maraude, m'a permis

ement inhumaine. Une équipe plutôt accueillante qui a essayé de faire partagé sa connaissance de la situation. Une garde qui no

es personnes qui, n’ayant que très peu de choses étaient prêtes à les partager avec leurs compagnons de rue, mais aussi avec nou

ours ou des reportages télé ne suffisent pas à illustrer... Sentiment partagé en fin de maraude, entre la sensation d'avoir acc

n, les personnes qui m'encadraient étaient très sympathiques et m'ont partagé leurs expériences. Nous avons apporté des denrées

sant une évaluation dans le camion, contexte flou... Sinon nous avons partager des cafés et soupes avec des personnes réticentes

er longuement avec un sans-abri d’origine portugaise qui a accepté de partager son histoire avec moi. Je garde un très bon souve

ts aspects du travail au samu social et avaient à coeur de nous faire partager leur envie d'aider les autres. J'admire vraiment

gration se fait naturellement, ce qui rend la maraude très agréable à partager . La partie double écoute permet de bien comprendr

e qui va les sortir de la galère cette nuit, mais ils sont heureux de partager un café, une soupe, une petite conversation et le

rsation et les scores du match Paris-Marseille de cette nuit là. J'ai partagé la nuit avec des hommes et des femmes que je ne r

la rue qui le désire, cela rendrait plus enrichissant les expériences partagées avec les gens, et ils les comprendraient mieux au

qu'ils sortent de la rue... Sinon je remercie mon équipe, pour avoir partagé cette nuit avec moi, et me montrer le plaisir qu'

oute eu de la chance car elles étaient ouvertes à l'aide et prêtent à partager un peu. J'ai également aidé l'infirmier de mon éq

ait vraiment charmante notamment Maud, Sylvie et Claude avec qui j’ai partagé le camion ainsi que lizon avec qui j’étais en dou

n est difficile a percevoir sur le moyen et long terme . Je suis donc partagé entre le respect pour ce travail difficile et ing

e mais bien plus confortable que la rue. Sur le chemin du centre, ils partagent avec nous leurs vies, leurs émotions, et leurs hi

es équipes du 115. Ils ont également disponibles pour moi, m'ont fait partager leur savoir. Au final, une expérience très enrich

ial. Merci encore de nous accueillir aussi chaleureusement et de nous partager votre expérience.

ont se fait la répartition. D'un point vue humain j'ai aimé la garde, partager tout simplement une discussion autour d'un café,

avail du SAMU social. J'ai réellement apprécié m'assoir avec eux pour partager quelques minutes de conversation autour d'un café

mais j’admire le fait que certaines personnes, dont celles dont j’ai partagé la maraude, donnent de leur temps et vouent leur

il des équipes du samu social très enthousiastes à l'idée de me faire partager leur quotidien et de répondre à toutes mes questi

vements, les tristesses sont dans tous les mondes. Il faut savoir les partager .

, ce qui fait qu'ils ont eu moins le temps de discuter et de me faire partager leur expérience. Peut être serait-il préférable q

ante donc je remercie à toute l'équipe du SAMU SOCIAL de m'avoir fait partagé l'expérience et merci à la faculté d'avoir mis en

tait très chaleureux par l'équipe réduite du Samedi. Puis après avoir partagé un gâteau avec l'équipe et après m'être informé b

les places manquent aux centres d'hébergement et parfois un sentiment partagé lors de l'annonce d'une possible place alors qu'o

excellent, les équipes sont motivées et ne demandent qu'à nous faire partager leurs missions. En revanche c'est plus délicat po

ce quand il a mangé son plateau repas au centre. Nous avons également partagé une discussion pendant deux heures avec des sans

La personne qui m'a encadré a été très agréable avec moi et m'a fait partager ses expériences passées ce qui m'a permis de comp

prend vraiment le temps de nous expliquer les choses et de nous faire partager leur univers. Au total une bonne expérience, pas

s très soudées, pleines d'empathie qui sont très heureuses de pouvoir partager leurs anecdotes, leur raison qui les ont poussé à

place pour traverser l'ensemble des arrondissements. Le personnel qui partageait mon camion a été extraordinaire, pédagogues, atte

.e. trouver un logement pour 1 nuit, me laisse également un sentiment partager : il répond certes à une urgence... mais ce n'est

bouleversée. J'ai bien vu que la jeune femme qui travaillait avec moi partageait mes sentiments a propos de ce garçon. Le plus étr

ouble écoute comme celle de nuit, était très sympatique et l'envie de partager leur quotidien se ressentée fortement. Deux chose

l'équipe n'a pu donner qu'une seule paire de chaussette pour les 2 "à partager " car il n'y en avait pas assez. Globalement je su

vailleurs sociaux. Dans notre métier respectif, nous sommes ammenés à partager les même valeurs, et pourtant en France, bien tro

ement condescendants. J’ai eu l’impression, l’espace d’une soirée, de partager le « regard des autres » que doivent supporter ce

Mon sentiment par rapport à cette garde est partagé , j'ai trouvé qu'il était important voire nécessai

l'air contente de recevoir des étudiants de médecine pour nous faire partager leur métier et nous expliquer les missions du sam

hommes qui étaient ensembles dans la rue depuis plus de 10 ans et qui partageaient tout; l'un avait appelé les secours quand l'autre

e, tant au niveau relationnel avec les membres de l'EMA qui nous font partager leur expérience, mais surtout avec les personnes

nt accepté ou se sont signalés avec en perspective un repas, une nuit partagée avec d’autres sans abris et un petit déjeuner le

nnes malheureusement trop souvent mises de côté et qui ont beaucoup à partager , de pouvoir leur serrer la main et simplement dis

rop méconnu et peu valorisé, le samu social. Je suis heureuse d'avoir partagé une nuit avec eux.

é le personnel très accueillant et ouvert, avec une réelle volonté de partager leurs expériences avec quelqu'un de l'extérieur,

ement bien accueillie. On voit qu'ils aiment leur métier et ils m'ont partagé leur passion. Je les remercie beaucoup pour cette

loir ne sera plus un lieu inconnu ou l'on envoie les patients crados, partagé entre l'espoir idiot qu'une magicienne va les ren

... mais, de là, à passer une nuit à leur rencontre, à leur parler, à partager leur expérience, c'est une chose totalement diffé

litz, leur serrer la main, s'asseoir sur leur matelas à leur demande, partager un café avec eux, discuter de politique, de footb

i le temps d'écouter qu'un appel. L'employé avec qui j'écoute me fait partager ses histoires les plus tristes depuis qu'elle est

e cœur de pouvoir apporter une soupe ou donner une clope à un SDF, de partager et de lui donner le sourire rien qu'en arrivant v

tie réellement accueillie. Dès les premières interventions nous avons partagé sur nos ressentis, leurs expériences qui y faisai

ous les patients (qui sont eux même assez particuliers). Bref j'ai pu partager un peu avec l'équipe soignante de la soirée, ils

aude, en ramener un ou deux dans les lits de soins d'urgence, ou bien partager un moment chaleureux en discutant. Nous avons du

bles que ça soit pour me montrer le logiciel utilisé par le 115, pour partager une histoire de vie qui les avait particulièremen

x, avec les travailleurs sociaux, les infirmières, échanger avec eux, partager leurs anecdotes fut très intéressant aussi bien d

puisque ceux ci sont à l’arrière et de toute façon trop fatigué pour partager leurs expériences. L’équipe discute donc entre el

sur à 100%. Voilà l'histoire qu'il nous a raconté, et que j'ai voulu partager à travers ces lignes. Cette histoire n'est qu'une

suis contente des quelques rencontres que j'ai pu faire, des sourires partagés , le sentiment que pour cette nuit, ils seront en

s puis elle répondait à mes questions sur ce que nous avions entendu, partageait ses ressentis, etc... A 20h j'ai rejoint les équi

social pour les étudiants en médecine, qui ne souhaitaient pas faire partager leur quotidien ni leur expérience. C'est pourquoi

cueil exemplaire de la part des équipes du SAMU Social qui m'ont fait partager leur bien difficile quotidien. C'est sous un jour

, tout cela se dresse comme un front contre lequel ils sont unis. Ils partagent une même posture, ils sont complices dans le souc

partie par des policiers) et réserves alimentaires et avec qui ont a partagé le café et les spéculos. Puis il y a eu Saïd, au

uipes mobiles de nous accueillir le temps d'une nuit et de nous faire partager leur quotidien. Je ne livre dans le texte qui sui

cial; le quotidien des équipes et des usagers qui nous a été donné de partager quelques heures. Elles sont riches d'enseignement