C'était une très bonne expérience. Apprendre à
parler
avec des personnes défavorisées et leur proposer
vue depuis plus de 13 ans qui était très angoissée, avec qui j'ai pu
parler
pendant 25minutes. Le fait qu'il puisse parler de
ssée, avec qui j'ai pu parler pendant 25minutes. Le fait qu'il puisse
parler
de ses ressentis lui faisait sûrement du bien et
De 18 à 20h, la double écoute permet d'écouter les gens
parler
de leurs problèmes et c'est là que l'on se rend c
sont les démarches pour toucher les différentes allocations. Et je ne
parle
pas du temps passé au téléphone 115 pour essayer
ça vraiment génial, car c'est la même chose que la double écoute (on
parle
avec les gens) mais seulement qu'il y a de l'acti
ut: des sdf qui ne voulaient pas d'aide, d'autres avec qui on pouvait
parler
des heures et il y en avait même un qui a pleuré
nnaît très bien, il passe la nuit toujours au même endroit. Il nous a
parlé
de numerologie et m’a décris les grandes forces q
iscuter avec lui, pour une personne souvent seule qui avait besoin de
parler
.
cette année. Elle m'a permis d'aborder des gens à qui je n'osais pas
parler
et qu'il était plus facile de faire semblant de l
e semblant de les ignorer que de faire le premier pas pour aller leur
parler
. J'ai fait une très belle rencontre parmi les usa
rête pas de sonner et il faut sauver patienter longtemps pour pouvoir
parler
à un opérateur. Lors des maraudes, l'équipe était
it bien accueillie par les sans abris, beaucoup souhaitant juste nous
parler
un peu.
up appris pendant cette nuit : premiere maraude, premiere fois que je
parlais
a des personnes sans abris (je ne parle pas de do
raude, premiere fois que je parlais a des personnes sans abris (je ne
parle
pas de donner quelques euros par gentillesse, mai
ue l'on connaît bien à l'hôpital et beaucoup moins en dehors. J'ai pu
parler
avec des gens à qui je ne parlerais jamais sinon,
et beaucoup moins en dehors. J'ai pu parler avec des gens à qui je ne
parlerais
jamais sinon, et ça permet d'humaniser notre trav
oise tout les jours dans la rue/metro, mais avec qui on n'oserait pas
parler
, est surement le point le plus intéressant. Si ce
certains sont méfiants, d'autres très chaleureux désirent simplement
parler
autour d'un café/bolino, ou être hébergé pour la
en peu sont ceux qui arrivent à sortir de "l'enfer" de la rue... Sans
parler
de la politique actuelle de restriction budgétair
lorsque n'y avait personne derrière je m'ennuyait un par car on ne me
parlait
pas trop. Mais lorsqu'on sortait du camion c'étai
ait du camion c'était très sympa de rencontrer des personnes, de leur
parler
, de comprendre ce qui les avait amené a être dans
J'ai beaucoup aimé
parlé
avec les gens que nous avons rencontré lors de la
ndent visite souvent, se mettent à leur niveau pour les écouter, leur
parler
, participe à créer un lien qui leur permet de sui
Si on veut vraiment leur
parler
on peut très bien le faire sur leur lieux de vie,
faux. La maraude était très enrichissante. Aller sur le terrain pour
parler
aux SDF, leur donner un endroit où dormir, manger
urtout en manque de compagnie et très heureux qu’on vienne juste leur
parler
et leur offrir un café.
camion, car c'est là qu'on va au contact des gens, parfois juste pour
parler
et leur demander comment ca va; on voit comment c
uoi leur dire, mais finalement le contact a pu s'établir et j ai aimé
parler
avec eux dans un autre contexte qu'aux urgences e
s un autre contexte qu'aux urgences externe/patient sdf (par exemple,
parler
de johnny hallyday à l'arriere de la camionnette!
eu l'occasion de rencontrer de nombreuses personnes dans le besoin et
parler
avec eux. J'envisage de rejoindre une association
. Ces personnes étaient toutes très gentilles. Je ne leur ai pas trop
parlé
car le travailleur social avait besoin de leur pa
leur ai pas trop parlé car le travailleur social avait besoin de leur
parler
dans le camion mais je leur ai serré la main et s
ne prise de conscience sur la vie des plus démunis. Le simple fait de
parler
permet c apporter du réconfort en plus des repas
onsable m'a bien présenté a l'équipe pendant le briefing, personne me
parlait
après... L'infirmière n'ignorait complètement, mê
... L'infirmière n'ignorait complètement, même dans le camion elle me
parlait
pas. Seulement l'assistante sociale était gentil,
, mais ils me laissent toute seule derrière avec les SDF's, et ils me
parlaient
pas pendant le trajet. Avec tout cela, je me sent
m'a aussi permis de découvrir comment aller vers les sans abris, leur
parler
et comment les aider. J'ai été impressionnée par
rs devant la simple écoute qu'on leur apportait et j'ai beaucoup aimé
parler
avec eux. De plus l'équipe avec laquelle je suis
nouvelles, de s'enquérir des problèmes de santé ou tout simplement de
parler
... Quant à la maraude jai également beaucoup appr
u'il faut une véritable formation pour aborder les gens) mais j'ai pu
parler
avec les gens dans le camion pendant leur transpo
des travailleurs sociaux et des infirmiers et qu'ils aiment vraiment
parler
avec eux, ils font des blagues ,rient, disent qua
de garde au samu social. C’était ma première nuit de maraude et j’ai
parlé
avec beaucoup de gens qui sont sans domicile alor
t une expérience intéressante, malheureusement j'aurai aimé davantage
parler
aux personnes dans la rue, comprendre leur parcou
main de la médecine que nous ne voyons pas en stage. Le fait de voir,
parler
, serrer la main a des sdf peut rebuter au premier
habitude d'aller à la rencontre de ces personnes. Savoir comment leur
parler
, comment les aborder, ne pas les infantiliser, le
as les infantiliser, leur laisser une certaine autonomie, les laisser
parler
, les écouter. Ça a enlevé certains préjugés que j
dans sa bulle, on apprend à s'approcher des plus défavorisés, à leur
parler
, à discuter avec eux, à leur montrer notre consid
ions avec les sans-abris, qui sont souvent disponibles et contents de
parler
à quelqu'un qui s'intéresse à eux.
pour la nuit étaient refusées. Le simple fait d'avoir quelqu'un à qui
parler
semblait leur faire plaisir et chaque rencontre a
fet, j'ai trouvé très interressant de silloner les rues de Paris pour
parler
aux personnes les plus demunies. L'equipe avec la
t de l’exercice médical. Les sans-abris sont souvent des habitués qui
parlent
sans filtre de leur vie et de leurs angoisses. Ça
milles sans abris dans les rues est un fait dont l'on entend très peu
parler
au quotidien et m'a interpellé, ainsi que le manq
le terrain. Cela rends le choc de la rue moins brutal à mes yeux. Je
parle
volontairement de choc car il ne m'était pas natu
Je parle volontairement de choc car il ne m'était pas naturel d'aller
parler
aux personnes qui dorment dans la rue. Non pas qu
ttention mais il y a comme une barrière qui fait qu'on ne va pas leur
parler
et encore moins leur serrer la main. Les situatio
dire de mon expérience au SAMU Social, autour de moi tous mes amis en
parlé
chaleureusement et avec entrain, j'avais préparé
dans une équipe discrète, ils m'ont à peine adressés la parole et se
parlé
peu entre eux aussi. La travailleuse sociale de l
J'ai été impressionnée par leur manière de
parler
, d'essayer de trouver des solutions, leur humanit
personnes, certaines qui ne sortiront pas de la rue (plus l'envie de
parler
, plus d’hygiène) et d'autres qui se battent avec
ains sont difficilement capables de tenir une conversation normale et
parlent
tous seuls. En fait, la plupart sont juste des ge
« normaux » : un irlandais avec lequel j’ai eu le plaisir de pouvoir
parler
en anglais, et qui m’interrogeait sur mes études
qui m'a expliqué sa situation et son ressenti, qui voulait simplement
parler
à quelqu'un. Il a clairement expliqué qu'il resta
araude s'est montrée très accueillante: les membres de l'équipe m'ont
parlé
de leur parcours de vie, de l'organisation du sam
rtes un peu déconcertante au début (aller vers les sans-abris et leur
parler
spontanément est difficile pour nous, inexpérimen
son petit frère de quatre ans, par trois degrés, le tout sans presque
parler
un mot de français. C'est là qu'on se rend compte
e souvent tous les jours, sans réellement savoir comment/de quoi leur
parler
. Elle permet aussi de mieux connaître les conditi
ps à la rue. Et depuis que j'ai fait ce stage j'ai plus de facilité à
parler
avec des sans abris et à leur apporter du coup un
es mauraudes, etc. A titre personnel, je n'ai jamais eu l'occasion de
parler
à des sdf et j'ai pu m'intéresser au parcours de
s la maraude était très intéressante ! Certains co-externes m'avaient
parlé
d'une mauvaise ambiance avec les équipes qui n'ap
compliqués (psychiatriques) qui m'ont un peu choquée mais j'ai pu en
parler
à l'équipe qui était très à l'écoute et m'ont ras
terlocuteur et un moyen pour ces personnes souvent isolées de pouvoir
parler
à quelqu'un. Le plus dur est de ne pas pouvoir ré
on l'équipe est sympa mais j'étais à l'arrière du camion, et on ne me
parlait
pas souvent, je n'ai pas eu beaucoup d'explicatio
sonnes disent qu'elles préfèrent être seule, elles n'ont pas envie de
parler
), ils ont un réel besoin de parler, de se confier
re seule, elles n'ont pas envie de parler), ils ont un réel besoin de
parler
, de se confier, de se sentir écouter. Très belle
porte de savoir les aléas de la vie des gens. En stage à l'hôpital je
parle
des dossiers des patients avec l'assistante socia
es rues du 16ème mais nous n'avons pas vu beaucoup de SDF, nous avons
parlé
seulement à 2 personnes. L'EMA a été très gentill
est la survie. Rencontrer ces personnes en difficulte dans la rue et
parler
avec eux m'a permis de mieux les comprendre. Je p
teur. Dans le centre de Montrouge j'étais souvent seule, mais j'ai pu
parler
avec les personnes. Les équipes fument sans arret
leine nuit en camion amenant des personnes qui ont parfois besoins de
parler
m' a aussi beaucoup plus et était aussi intéressa
ncontre d'autres ames qui font sentir la votre un brin fluette (la je
parle
de certains sdf) C'est pourtant, une impression b
te. Sauf qu'a la différence du héros de Cervantes, ces gens la (la je
parle
des travailleurs du samu social) ont un sentiment
e qui était vraiment pas mal . Le premier homme , ne voulait pas nous
parler
, avant d'aller voir le deuxieme signalement , on
rencontré 3 autres personnes et avec qui on a pu rester un petit peu,
parler
et leur donner des soupes. C'était juste frustran
ous avons ensuite été à un autre signalement , avec qui on a pu aussi
parler
un petit peu, et qui a eu une place aussi. Cet ho
nies, à les ignorer et les prendre pour des bêtes sauvages, mais leur
parler
et être en contact avec eux permet justement de p
je me rends compte c'était la première fois que j'ai eu l'occasion de
parler
à des sans abris. Pas juste leur faire un interro
ec des personnes que j'avais l'habitude de voir sans pour autant leur
parler
ou essayer de comprendre leur situation. J'ai com
est très accueillante, l'ambiance est excellente. Nous avons beaucoup
parlé
avec les personnes dans le besoin. Nous avons ens
anglais, pour lequel nous avons du faire appel à un traducteur, qui a
parlé
une trentaine de minutes avec l'appelant. J'ai tr
se faire appel à un traducteur, et je pense que le patient a enfin pu
parler
à quelqu'un qui le comprenait, ce qui ne lui étai
oup d'entre eux sont plutôt chaleureux, reconnaissants, ont besoin de
parler
et surtout d'aide. Selon moi, cette première expé
s le camion pendant toute la nuit et donc je ne pouvais pas tellement
parler
avec la TS et l'IDE par ailleurs très gentilles e
est la première fois depuis des années qu'on me touche"... On m'avait
parlé
de la solitude tactile avant de prendre ma garde
situation des SDF en ayant pu discuter avec eux (surtout que j'ai pu
parler
roumain avec certains) par rapport aux urgences o
onnaie, sans pour autant m'y intéresser vraiment. Ceux là en réalité,
parlent
, respirent, pensent, espèrent. Ceux là même rigol
moi d'aller vers les personnes dont on entend parler mais à qui on ne
parle
pas. Essayer d'engager une conversation, de compr
es. Le personnel est très investi dans leur travail et n’hésite pas à
parler
de leur point de vue et à faire des grèves pour q
d’aller à la rencontre des personnes sans domicile fixe, pouvoir leur
parler
et comprendre mieux leur quotidien, ou seulement
ssisté à une réunion très enrichissante animée par le Dr. MERCUEL qui
parlait
des différentes pathologies psychiatriques retrou
assez agressifs et changeant d'humeur subitement. L' infirmière leur
parlait
avec beaucoup de respect tout en restant ferme po
eux avec le grand désir de s'en sortir. On a pris beaucoup de temps a
parler
avec lui, l'écouter le rassurer. C'était un monsi
l'apport matériel, le pilier de la maraude est l'écoute. Et les gens
parlent
. Les témoignages vont du vieux monsieur qui vient
tes les nuits. Malheureusement, j'ai trouvé dommage de ne pas pouvoir
parler
plus longuement aux SDF, les échanges étant très
ssement. Je me souviens d’un groupe de 6 SDFs vraiment touchants. Ils
parlaient
chacun une langue différente mais arrivaient quan
ans les centres d'hébergement. On voit que souvent c'est un besoin de
parler
qui s'exprime, l'envie d'un café pour se réchauff
ture , un café ou tout simplement venir au contact des gens pour leur
parler
un peu, en revanche j'ai découvert l'existence de
uer aux cartes avec un habitué à la terrasse d'un café, un autre nous
parlait
de son ex, de comme c'était bien qu'ils s'entende
évident pour les couples séparés de garder de bon contacts, puis nous
parlait
de ses enfants... Au final c'est ce qui m'aura le
le Samu Social est arrivé l'homme a accepté un café mais a refusé de
parler
de sa santé et n'a pas voulu de soins. L'habitant
c quelques couvertures. Elles étaient en France depuis 10 jours et ne
parlaient
ni français ni anglais, il a donc fallu appeler I
ois de plus en passant par ISM interprétariat, à cette famille qui ne
parlait
ni le français ni l'anglais, qu'il fallait qu'ell
parmi ceux qu'ont a rencontrés a pu avoir une place dans un centre).
Parler
avec les gens, essayer de leur trouver une place
ctement. Cette nuit m'a permis d'en apprendre plus. On entend souvent
parler
en hiver des hébergements lors des grands froids,
appellent autant pour savoir s'il y a une place pour dormir que pour
parler
. Et au marodage, j'ai vu que la travail consiste
té, ça m'a permis de rencontrer des gens qui vivent dans la rue et de
parler
un peu avec eux, de voir à quels point certains s
les perspectives d'avenir des sdf (dont beaucoup d'étrangers, qui ne
parlent
pas français, certains ne savent même ni lire ni
on est confronté lors des gardes. Aller à la rencontre des SDF, leur
parler
, et les aider comme on peut m'a beaucoup appris a
as chaud et que nous discutions avec lui deux hommes marocains qui ne
parlaient
pas français sont venus nous voir pour nous deman
aider à dialoguer car ayant voyagé dans de nombreux pays du monde il
parlait
entre autre couramment l'italien. Étrange situati
nes isolées. On leur demande quelle musique ils veulent écouter, leur
parle
pour les mettre à l'aise. Mais malheureusement le
surtout d'établir le contact humain avec les membres du Samu social.
Parler
avec eux, trouver éventuellement des solutions, l
igarette, ou d'une discussion. Lors de ma nuit, j'ai pu rencontrer et
parler
avec des gens de différentes origines culturelles
famille car quitté par sa femme et dont le fils est parti. Il nous a
parlé
de sa carrière de militaire, des gens qu'il a con
eau de croisière sur lequel il travaillait au sein d'un casino. Il ne
parlait
que peu français alors j'ai dialogué avec lui en
s dans mon cas ? Par ailleurs lorsqu'on est dans la camionnette on ne
parle
pas avec les sdf, on ne les voit même pas si on s
avec les Sdf avec lesquels on a pas forcément le temps ou l'envie de
parler
a l'hôpital.
études très longues, 8 ans de droit et 14 ans d'allemand. Un autre ne
parlait
qu'allemand, ce qui m'a permis de me découvrir qu
illeurs sociaux avec les usagers, et le fait de pouvoir moi-même leur
parler
tout en ayant l'impression de pouvoir leur propos
ocial. Elle m'a permis d'aller à la rencontre des sans abris, de leur
parler
, et de comprendre, l'espace d'une nuit, leur mode
Parler
à des gens dans la rue, qui n'ont pas de toit, n'
les SDF, on se rend rapidement compte à quel point ils ont besoin de
parler
, d'exprimer leurs soucis et d'avoir un soutien mo
sonnes dans la rue et qu'on a rien à leur offrir: qu'on va juste leur
parler
.. Ça m'a paru presque inutile.
gréant contre la vie... Des équipes formidables qui veillent, aident,
parlent
, offrent... Un pur instant d'humanité !
aleureuse.. Et puis il y a eu un autre homme avec qui on a longuement
parlé
. Il n'était pas encore connu de l'équipe. Il nous
longuement parlé. Il n'était pas encore connu de l'équipe. Il nous a
parlé
de sa passion, le football, mais aussi de ce qui
ait le délirium tremens. On est restés pas loin d'une heure et demi à
parler
, et on sentait qu'il avait beaucoup de choses sur
asi-tous contents de nous voir pouvoir boire un café chaud et surtout
parler
je pense. Je me suis rendu compte que les gens qu
hépatologie avec beaucoup de sdf hospitalisés, ce fut intéressant de
parler
à des travailleurs sociaux, de voir la difficulté
couter... Lors de cette garde, j'ai pu réellement prendre le temps de
parler
, de comprendre quels étaient leurs préoccupations
rouve que l'exclusion sociale est un sujet tabou, peut-être parce que
parler
de gens qui n'ont rien nous fait culpabiliser pou
lheureusement, en raison du grand nombre d'appel, nous n'avons pas pu
parlé
aux personnes. La maraude s'est fait a la chaîne,
5 et des centres d'hébergement. J'ai trouvé cela très enrichissant de
parler
au personnes sans hébergement, comprendre comment
Le plus simple serait de
parler
de René. René, un litron dans la poche, René qui
n de la rue des Gâtines. Merci pour le chocolat, c'était géant ! Mais
parler
de monsieur Camara, de monsieur Diakité ou de mon
énormement touché par la gentillesse et la chaleur comment les agents
parlent
avec les usagers. Puis, j'ai participé au briefin
qui ne trouvent pas d'assistance car ils arrivent seuls à Paris et ne
parlent
pas ou peu français.
n que l'on croise, au final, un peu tous les jours. J'ai aimé pouvoir
parler
avec certains, rigoler avec d'autres, et aider à
n'est pas assez au courant de ces problématiques et qu'il faudrait en
parler
plus, et généraliser ces nuits d'observation a d'
ens peu agréables, qui n'ont fait aucun effort dans le camion pour me
parler
ou m'expliquer des choses. Il y avait vraiment un
▲