jour de ma garde. je me suis présenté pour la garde et au bout de 30
minutes
on m'a proposé de me laisser rentrer chez moi. Do
arrivé à Paris environ deux semaines avant cet appel. Après plusieurs
minutes
d’appel, pendant lesquelles il a expliqué à l’eco
touchées : - quand nous sommes partis en maraude, au bout de quelque
minutes
nous nous arrêtons pour discuter avec un monsieur
ontre très souvent dans le métro ou la rue. Créer un lien de quelques
minutes
ne serait-ce que discuter (d'une partie de leur h
. Nous avons alors décidé d'appeler le 15 mais comme nous étions "à 3
minutes
de Bichat" ils nous ont demandé de le transporter
de Bichat" ils nous ont demandé de le transporter nous même. Après 10
minutes
, nous lui avons demandé de se remettre debout afi
u'elle ai plus de succès que nous. Les pompiers sont arrivés après 10
minutes
et ont transporté l'homme jusqu'aux urgences.
udiants toutes les nuits ...) : Arrivée avant 18h, j'ai attendu 40-45
minutes
avant de commencer la double écoute; Je n'ai pas
oposé; avant de partir en camion, pause cigarette et boisson de 30-40
minutes
à nouveau pendants lesquelles j'étais totalement
point négatif, le temps passé avec la personne se résume souvent à 5
minutes
, une soupe, une bouteille d'eau lorsque la person
dans la rue. Nous avons pu nous poser pendant une bonne trentaine de
minutes
pour discuter avec une personne que les gens du s
plaquette de présentation du samu social. Donc au final seulement 30
minutes
de double écoute sur les 2 heures prévues. La sec
autant de personnes sans logement la nuit, à peine s'arrêtait-on cinq
minutes
, qu'il y avait déjà une multitude de sans-abris q
du plan grand froid. Rester hors du camion ne serait-ce que quelques
minutes
était déjà difficile pour l'équipe. J'ai eu la ch
uprès de la personne à coté de lui ce qui s'était passé. Au bout de 5
minutes
il finit par dire que celui-ci avait consommé 2 p
qu'il garde les affaires de celui qui était brancardé. Après quelques
minutes
de conversations celui-ci accepta. Aujourd'hui je
dans les centres d'accueil pour les SDF partaient rapidement. En une
minute
les 6 dernières places étaient déjà attribuées et
le à faire un "diagnostic social" c'est à dire à savoir en moins de 5
minutes
si la personne relève d'une aide ou pas, doit on
mions maraudent la nuit pour couvrir tout Paris, et en l'espace de 15
minutes
on avait "plus rien" à donner aux sans abris.
ants du peu de réconfort que nous avons pu leur apporter en passant 5
minutes
avec eux et en leur offrant un café. Quelques mom
personnes qui en avaient vraiment besoin. Nous avons discuté quelque
minutes
avec lui, et nous avons appris qu’il s’inquiétait
al. J'ai réellement apprécié m'assoir avec eux pour partager quelques
minutes
de conversation autour d'un café. J'ai d'ailleurs
emande rien d'autre qu'un simple café et discuter avec quelqu'un cinq
minutes
. La dimension sociale est beaucoup plus important
it plus suivre les pompiers aux urgences... Surtout ils ont mis 20-30
minutes
entre le moment où ils ont remarqué une saturatio
t pu se passer beaucoup plus vite et sans cris ni insultes pendant 45
minutes
si les pompiers s'étaient montrés agréables et ef
Puis après une rapide présentation à l'équipe et un staff de quelques
minutes
sur les nuits précedentes nous voilà partis pour
lait écouter une musique en particulier pendant le trajet. Les quatre
minutes
qui ont suivis étaient juste magiques. Une fois l
ans les centres d'accueil, et après avoir "négocié" pendant plusieurs
minutes
avec l'hôpital Robert Debré, nous avons obtenu un
e car elle n'apporte absolument rien. A partir de là, je comptais les
minutes
qui me séparaient de la fin de la garde puis ils
uble écoute , les gens appellent pour solliciter un abris de dernière
minute
, avant la tombée de la nuit alors qu'il faisait t
e de nos études puis dans notre pratique future. Une discussion de 10
minutes
et un café sont parfois les seules choses qu'on p
ie) et de visiter un de ces centres. Par ailleurs d'apporter quelques
minutes
de réconfort à ces gens. J'ai aussi trouvé un con
un peu de chaleur et de briser la solitude des gens pendant quelques
minutes
. Au fil de l'entretien, les personnes dans le bes
bituées recherchant un logement pour la nuit. L'appel dure moins de 2
minutes
, la personne s'identifie, on regarde son profil e
cièrement. La double écoute reste assez frustrante : les 15 premières
minutes
permettent d'attribuer des places, tandis que les
fants ne soit pas à la rue le soir-même. Cela nous a pris au moins 40
minutes
et j'ai du partir ensuite au débriefing pré-marau
rsonnages très attachants (même au cours d'une discussion de quelques
minutes
!). L'équipe du samu social est elle même très sym
), un peu de compagnie.. Un homme nous a parlé pendant une dizaine de
minutes
de ses deux filles : la première décédée dans l'e
muniqué par l'assistance sociale à l'autre bout du fil. Il a fallu 10
minutes
pour qu'une personne bien intentionnée daigne prê
us avons du faire appel à un traducteur, qui a parlé une trentaine de
minutes
avec l'appelant. J'ai trouvé ça très bien qu'on p
longue et fastidieuse, très répétitive, et pourrait être réduite à 30
minutes
. La deuxième partie qui consiste en la maraude no
nous invite à le rejoindre un grand sourire au lèvre. Après quelques
minutes
j'apprends que cet homme est bien connu des équip
sans domicile fixe, je pensais qu'on prendrait véritablement quelques
minutes
pour discuter ce qui était rarement le cas.
ors qu'elles patientent depuis une heure juste parce qu'elles ont une
minute
d'avance sur le verdict des places disponibles da
est bien déroulée. Le dernier appel m'a marqué : il a duré environ 30
minutes
. L'intervenante a pris son temps pour discuter de
et leur patience: ils essayent parfois pendant plusieurs dizaines de
minute
de convaincre un SDF d'aller à l’hôpital s'il y a
es personnes habituées au 115 et les appels ne duraient pas plus de 5
minutes
. J'ai été un peu frustrée car j'aurai bien aimé e
e mon âge environ. C'était très frustrant, d'autant plus que quelques
minutes
plus tard, nous avons appris qu'un des SDF que no
e qui s'est passé. Elle finit par s'en aller. Nous attendons quelques
minutes
mais elle ne revient pas. Nous repartons donc dan
réchauffer, et nous discutons avec lui quelques instants. Ces petites
minutes
qui ne nous paraissent pas être grand chose lui f
une fois cette liste disponible, les places sont pourvues en quelques
minutes
. Conséquences : la file d’attente téléphonique s’
orelle qui décide d’une nuit au chaud. Un toit, ça se joue à quelques
minutes
près. Débute la maraude. Je suis accompagné de Sa
es hommes, des femmes qui souffrent et pouvoir leur apporter quelques
minutes
de chaleur est sûrement déjà beaucoup pour eux bi
rant" mais ne savaient pas qui, quoi ou pourquoi. Au bout de quelques
minutes
ils n'avaient plus grand chose à me montrer (ce q
était à 34,6 °C, et a donc appelé le 15. Les pompiers sont arrivés 5
minutes
plus tard pour l’emmener à l’Hôpital Tenon. A la
is de la croix rouge, et après avoir discuté pendant une trentaine de
minutes
nous l'avons enfin convaincu de nous suivre pour
le qui m'a encouragé à rester jusqu'au bout de la garde (habitant à 2
minutes
à pied du centre) et qui m'a donc fait apprécier
nger, et surtout un peu de compagnie le temps de quelques dizaines de
minutes
... D'autres réactions sont possibles : Par exempl
ois, reprenant l'historique de son errance et de ces démarches ; en 5
minutes
, il avait une idée assez précise et était en mesu
s la même mais, pour exemple : - certains régulateurs passent 20 à 30
minutes
en ligne avec une personne, à l'heure de pointe d
ence). Le briefing n’est pas passionant du tout et dure au maximum 10
minutes
. Ils distribuent les rôles et discutent de quelqu
mbres de la police, lui a permis de s'ouvrir à nous. Après environ 25
minutes
, l’équipe a réussit de le persuader de faire des
ur donnent un peu de baume au coeur en leur tenant compagnie quelques
minutes
et en leur proposant une boisson chaude. Leur tra
es personnes. A chaque fois que quelqu'un appelle il faut attendre 10
minutes
pour pouvoir parler à la coordinatrice et lui dem
donc par ¼ d'heure d'interprétariat téléphonique, et chaque première
minute
de quart d'heure entamée est due, m'a-t-on expliq
est due, m'a-t-on expliqué. Soit 52 euro pour une conversation de 16
minutes
. Une grande partie des usagers faisant appel au 1
t les deux plus petites qui dormaient. Leur mère est arrivée quelques
minutes
plus tard, elle était partie chercher des cartons
s: très bien soigné, peigné, très sympa et très bavard! On a parlé 45
minutes
avec lui, il était très agréable, et je n'aurai j