s différentes situations des usagers ( clochardisation depuis 10 ans,
migrants
en demande de logement, usager rélevant de la psy
plus faire face au nombre croissant d'usagers, notamment l'afflux de
migrants
. Lors de la maraude nous n'avons pas eu beaucoup
existe dans nos rues. J'ai été particulièrement frappé par le cas des
migrants
venus de pays en guerre (Syrie, Afghanistan) qui
s en maraude sur les coups de 21h et nous sommes d'abord tombés sur 3
migrants
à la Chapelle dans le 18 ème. Ils venaient d'arri
t d'arriver en France. Cela m'a permis de me mettre dans la peau d'un
migrant
qui a tous quitté, son pays, sa famille pour espé
ssée la trêve hivernale. Les rencontres faites sur le terrain vont du
migrant
arrivé la veille à la personne exclue depuis plus
eux personnes qui avaient été signalées. Il s'agissait de deux jeunes
migrants
tout juste âgés de 18 ans. Nous les avons emmenés
t de la soupe, de l'eau, parfois un duvet. Nous avons emmené un autre
migrant
au centre Romain Rolland qui était d'origine roum
sation des hébergements proposés aux sans-abris et à la condition des
migrants
. J'en garde donc un sentiment plutôt positif, mai
choses. J'ai pris conscience de la difficultés de certains personnes (
migrants
notamment) de trouver un repas et un logement, al
ante. Nous avons fait face à des situations très variées, allant d'un
migrant
ne parlant le français à une femme isolée dans la
re plus de se rendre compte de la diversité des situations (familles,
migrants
..). L'ayant fait en été, l'activité était restrei
s était moins compréhensif avec son interlocuteur (il reprochait à un
migrant
qui venait d'arriver en france d'être venu sans p
dans sa globalité et de comprendre les conditions de vie des sdf, des
migrants
, les hébergements, ... pour optimiser au mieux le
ant de se rendre compte qu'il y a des familles entières à la rue, des
migrants
pour la plupart et qu'il y a de la place en centr
aidant les plus démuni au plus près du terrain. La rencontre avec des
migrants
clandestins notamment peut être assez bouleversan
connaître la réalité des gens qui habitent dans la rue et surtout les
migrants
qui arrivent sans aucun projet social et sans rep
s personnes qui font appel au SAMU social ont des profils différents (
migrants
ou pas, travailleurs ou pas, ayant un passé carcé
le peu de femmes hospitalisé (3 sur les 30), la séparation entre les
migrants
et les SDF "de la rue" qui peuvent parfois avoir
ressionant de voir le travail accompli en faveur des défavorisés, des
migrants
, etc. Bon accueil général, et assez complet avec
érées comme étant en marge de la société, des sans domicile fixe, des
migrants
. Les côtoyer, dialoguer avec eux, leur venir en a
ofils très variés mais ce qui m'a marqué c'est le nombre important de
migrants
, de toutes origines, qui ne trouvent pas d'assist
ement entre les SDF et nous, qui remet les pendules à l'heure sur les
migrants
: ils ne sont pas fictifs, pas uniquement des omb
ent gérer et aider des personnes en difficulté. J’ai pu rencontrer un
migrant
, déjà passé par plusieurs pays avant la France. I
rte d'Orléans en l'occurrence). J'ai pu assister à l'hébergement d'un
migrant
ivoirien qui n'avait nul part où dormir pour la n
domicile, allant du jeune allemand lisant sur un coin de trottoir au
migrant
sans papiers installé dans une cabine téléphoniqu
des cas très différents de sans abris avec des personnes seules, des
migrants
, un couple et une famille. Je pense que cette gar
ines situations rencontrées sont dramatiques (notamment situations de
migrants
fuyant les violences de leur pays et arrivant en
le venait également en aide sur le plan administratif aux familles de
migrants
. L'organisation de la garde est intéressante avec
surprise du nombre de jeunes gens faisant appel au 115, notamment des
migrants
. J'ai été extrêmement touchée par la situation d'
ences, d'où probablement certains préjugés. Ce sont des vétérans, des
migrants
, des personnes qui ont du partir de chez soi parc
ettre à l'abri avec son compagnon pour l'aider, celles de familles de
migrants
avec de tout jeunes enfants (notamment ce couple
ure à Gare du Nord à attendre le feu vert pour envoyer une famille de
migrants
dormir dans un hôtel, j'ai pu échanger avec eux e
maraude. Pour la quasi-totalité de ma garde nous avons rencontré des
migrants
. Certains cherchaient leur famille, d'autres avai
o. La famille Russe : MH : Appel du 115, signalement d’une famille de
migrants
russes 5 personnes, 2 adultes, 3 enfants devant l
e la famille et présentation de leur chambre. Conclusion : Famille de
migrant
Russes ayant fuis violences physiques et sociale
t particulièrement, nous sommes allés chercher un jeune Soudanais, un
migrant
venu en France, ayant probablement été torturé pl
'équivalent de mon âge qu'il vit dehors et se débrouille; et puis les
migrants
qui viennent en nombre, certains plus jeunes que
ion qui m'a particulièrement marquée a été l'aide apportée à un jeune
migrant
de 16 ans! Normalement, la maraude ne prend pas e
ial assez "général" aujourd'hui (notamment avec l'arrivée massive des
migrants
qu'il faut aider à se loger et à acquérir une sit
ment différent de ce dont j'ai eu l'habitude (pas de médecin, patient
migrant
après un voyage traumatisant et visiblement diffi
'avant) avec des gens de tout bord, des SDF, hommes comme femmes, des
migrants
, des jeunes à la rue... Tous ont leur place dans
lais approximatifs des deux cotés, de faire une évaluation d'un jeune
migrant
, avec l'infirmière. Il aura une consultation avec
qui sont dans la précarité (perte d’emploi, expulsion d’un logement,
migrants
). J’ai ensuite participé à la double écoute. Ensu
er. J'ai croisé différents types de personne: une femme fragilisée et
migrante
économique arrivée depuis 3 mois, un homme connu
t, est diplômé, et surtout a parfaitement conscience de son statut de
migrant
économique, si défavorable dans le contexte polit
pour s'en rendre compte et repiquer les trous. Nous avons amené deux
migrants
au centre Romain Rolland et leur avons proposé un
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