s n'avons pas de gants, de m'assoir avec eux dans le camion, avec les
mauvaises
odeurs etc... Globalement je ne trouvais pas ça h
n rentrant chez moi et je n'arrête pas d'y repenser... Cela a été une
mauvaise
expérience pour moi, alors que certains étudiants
u l'impression de subir cette garde comme une punition, j'ai passé un
mauvais
moment, et cela m'a encore plus éloignée de l'app
t les yeux sur un coté éthique jusque la gardé dans l'inconscient. Le
mauvais
coté de la garde reste de loin le trajet a faire
sociale qu'on offre aux démunis (et qui est soit disant je pense très
mauvaise
) en ile de france.
le biaisé des urgences où nous accueillons ceux qui sont dans le plus
mauvais
état. J'ai aussi été très intéressée par le fait
m'a semblé suffisant pour se faire une idée , un souvenir , ni bon ni
mauvais
, mais dont on se souviendra !
ui ne demandent qu'à être aidées ce qui peut aider à lutter contre la
mauvaise
image que ceux-ci ont auprès du personnel de sant
eaucoup de temps perdu en voiture, avec le mal des transports du à la
mauvaise
conduite de la conductrice. Rencontrer les gens d
es personnes qui sont en d'incurie complet, très isolées, semblant en
mauvais
état général et parfois ne souhaitant pas venir a
rtenariat avec les étudiants en médecine. Certains trop passif et une
mauvaise
organisation avec les étudiants dans la même équi
aux urgences seraient judicieux : en effet aux urgences on a une très
mauvaise
vision des personnes dans la rue.
le). Les infirmiers m'ont egalement relaté des annecdotes revelant le
mauvais
accueil que ces personnes en situation de precari
s de me faire insulter et maltraiter. En somme, c'était, pour moi, un
mauvais
moment à passer. Je m'étais complètement trompée.
. Cette nuit m'a donné envie d'aider les sans-abris, contrairement au
mauvaises
experiences que j'ai pu avoir aux urgences de l'h
e m'a beaucoup intéressée. La communication est souvent difficile: un
mauvais
réseau, des bruits parasites, un français approxi
après m'avoir expliqué que certains services d'urgence voyaient d'un
mauvais
oeil la présence des sans-abris parmi leurs patie
de garde aux urgences et où je regarderai un SDF alcoolisé, qui sent
mauvais
, qui vient de partir,.. avec mépris : j'espère me
ement surprise. Un des hommes que l'on a pris en charge était en très
mauvais
état, couvert de selles et d'urine, sans chaussur
et le parcours qu'ils peuvent avoir. Avec le contexte de grève et de
mauvais
temps j'ai malheureusement assisté à très peu de
s d'hébergement d'urgence, qui leur a laissé un goût amer suite à une
mauvaise
expérience. Ce fût une nuit très enrichissante et
ut d'être vecue. C'est bien triste, d'autant que l'espoir est dans le
mauvais
camp...
pondre à toutes nos questions. Par contre, la nourriture est vraiment
mauvaise
(la moins chère possible produite par Sodexo), ma
6 ans d’incarcération et avait quitté la région pour se couper de ses
mauvaises
fréquentations. Il était en rue depuis quelques j
J'avais beaucoup d'appréhension pour cette garde, ayant déjà vécu de
mauvaises
expériences personnelles avec certains SDF (insul
être contraints de passer la nuit dehors alors que la météo est très
mauvaise
.
rtains sont totalement réfractaires à toute aide extérieure malgré un
mauvais
état de santé. Ce fut très intéressant d'analyser
était très intéressante ! Certains co-externes m'avaient parlé d'une
mauvaise
ambiance avec les équipes qui n'appréciaient pas
sociaux, aucun accueil, seulement des vigiles qui les regardent d'un
mauvais
oeil. Le dortoir est immense, avec de nombreux li
'Aide avec qui j'étais, bien qu'un peu distante au départ (à cause de
mauvaises
expériences passées avec certains externes), a ré
us, des chaussures amputées de moitié, et des jambes et pieds en bien
mauvais
état, mais qui fonctionnent encore. Et surtout pl
efficace, au final, que celui des Danaïdes. J'ai donc passé une très
mauvaise
soirée, à quelques jours des partiels, entre deux
toire, qu'il aurait pu aller loin mais parce qu'il était née dans le "
mauvais
quartier" avait fini plusieurs fois en prison et
(Romain Gallant) aux centres plus précaires où sévissent violence et
mauvaise
hygiène. Les équipes sont très sympathiques, je r
tuation que celle-ci dans la nuit à Paris dans un coin de rue sentant
mauvais
, ou un SDF proposait ses services pour discuter e
s affecté à un camion, mais au centre d'accueil pour les personnes en
mauvaise
santé à l'hospice Saint Michel de Saint Mandé. D'
s aperçu un homme couché par terre, sans couverture. Il était en bien
mauvais
état. L’infirmier lui a pris la température qui é
rs très bonne, je pense que certains de mes co-externes ont laissé un
mauvais
souvenir à l'équipe, je crois principalement par
par des riverains (et pas de maraudes à proprement parlé car au vu du
mauvais
temps, la plupart des personnes étaient allées s'
nous avons conduis à Montrouge était très alcoolisée et sentais très
mauvais
, c'était vraiment humainement repoussant.. Une fo
riques, beaucoup de SDF ou des personnes précaires ne semblent pas en
mauvaise
santé physique ou psychique et "n'ont pas l'air"
se : ne pas retrouver un prisonnier connu qu'on avait vu la veille en
mauvaise
état. Encore un autre salaud qui s'est échappé. M
'humanité, de chaleur humaine. Et puis pour ceux qui n'ont pas eu de "
mauvaise
" expérience des centres, un endroit où dormir cet
ent le temps de commencé la maraude, apparemment j'étais tombé sur le
mauvais
camion, celui de la maraude pure. Dit comme ça ça
e. C'est pourquoi je pense que rendre cet atelier obligatoire est une
mauvaise
idée, car cela donne l'impression à certains prof
sés qui ne sont pas assez insistants et impliqués ? - A noter le très
mauvais
accueil des services d’urgence envers le SAMU soc
sés qui ne sont pas assez insistants et impliqués ? - A noter le très
mauvais
accueil des services d’urgence envers le SAMU soc
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