ssitants une prise en charge personnalisée et peu conventionnelle. Le
manque
de moyen des équipes est assez sidérant, en fait
euvent répondre à la demande que d'une infime partie des usagers, par
manque
de place dans les SHU, par manque d'écoutants...
'une infime partie des usagers, par manque de place dans les SHU, par
manque
d'écoutants... Cette structure me parait nécessai
La garde au samu social m'a fait réalisé le terrible
manque
de moyen en France pour accueillir les sans abris
double écoute, beaucoup d'appel aboutissaient à des refus à cause du
manque
de place dans les centres d'accueil. Je trouve tr
hange, apprend. Ils ont accès dans leur quotidien à quelque chose qui
manque
cruellement à de (trop) nombreux médecins aujourd
ejetés. Ca donne envie d'y retourner pour trouver ce qui peut parfois
manquer
à l'hôpital... Mais le manque de temps, je pense,
urner pour trouver ce qui peut parfois manquer à l'hôpital... Mais le
manque
de temps, je pense, ne me le permettra pas. On sa
nables et en quantité suffisante pour dormir et la réalité qui est le
manque
de place et le manque de moyen pour faire face à
suffisante pour dormir et la réalité qui est le manque de place et le
manque
de moyen pour faire face à ce phénomène. Mes préj
esment j'ai evidamment assisté à des refus de prise en charge parcque
manque
de place. C'est dire le manque quantitatif de lit
à des refus de prise en charge parcque manque de place. C'est dire le
manque
quantitatif de lit disponible, ce sur quoi j'ai é
ventions d'urgence, qui cherchent des hébergements ponctuels, il nous
manque
l'abord plus prolongé de suivi des sans-abris. On
'abord plus prolongé de suivi des sans-abris. On a l'impression qu'il
manque
d'hébergements d'urgence, mais surtout on ne voit
de du samu social pour de diverses raisons, dont certaines à cause du
manque
de sécurité au sein même des locaux du samu socia
du samu social (vol, aggressions entre sdf). Cela dénote en partie un
manque
de moyen du samu social qui sont débordés face à
ui m'a un peu interpellé était d'amener certains SDF aux urgences par
manque
de logement.
s aidé que 4 personnes et laissé beaucoup d'autres dans le froid, par
manque
de place dans les hébergements d'urgence mais aus
d, par manque de place dans les hébergements d'urgence mais aussi par
manque
de temps et par une organisation peu productive.
facilement leurs expériences. J'ai particulièrement été choque par le
manque
de moyen en terme d'hébergement.
et de montrer que l'on considère la personne d'égal à égal. en été le
manque
de place est vraiment important ce qui empeche tr
es personnes le souhaitant en centre. les équipes sont confrontées au
manque
de moyen de façon cruelle la double écoute m'a pe
e. Malheureusement je t’ai trouvé qu’on ne leur apporte pas beaucoup,
manque
de moyen.
pu visiter le centre d'hébergement Je trouve dommage cependant qu'il
manque
autant de place pour les femmes que l'on doit lai
les travailleurs du SAMU social. Malgré cela, j'ai été marquée par le
manque
de ressources disponibles pour aider les personne
isponibles pour aider les personnes faisant appel à eux; notamment le
manque
de places en hébergement d'urgence, saturés avec
lorsqu'on conseille aux "jeunes" sans abris de ne pas s'y rendre par
manque
de sécurité? Bien sûr, j'ai conscience que nous s
j'ai conscience que nous sommes bloqués dans cette initiative par le
manque
évident de moyens (financiers, personnels) mis à
rencontrés dans la prise en charge des personnes en difficulté, et du
manque
de moyens pour y parvenir (manque d'hébergement,
des personnes en difficulté, et du manque de moyens pour y parvenir (
manque
d'hébergement, notamment pour les femmes). Quand
ement, on ne sait pas ce que la vie nous réserve. J'ai été étonnée du
manque
de moyens dans les centres, je me souviendrais d'
malheureusement pas faire un soin de la qualité qu'il aurait voulu :
manque
de matériel, manque de temps, mais quand même le
faire un soin de la qualité qu'il aurait voulu : manque de matériel,
manque
de temps, mais quand même le sentiment d'avoir ét
parfois un peu frustrante car l'on doit refuser des hébergements par
manque
de place. La maraude permet de se rendre compte d
evendications. Ce qui revenait le plus souvent était leur ressenti du
manque
de compréhension de la part des autres.
e ce que les personnes dans la rue disaient et de se rendre compte du
manque
de moyen du samu social qui ne peut pas répondre
de 20h, nous étions trois (le chauffeur, une infirmière et moi car il
manquait
le travailleur social). Au départ nous n'avions p
C'était une expérience très enrichissante, nous
manquons
d'experience dans le domaine du social dans nos é
atience et tolérance. De plus, cela permet une prise de conscience du
manque
de ressources disponibles pour véritablement aide
cialisation. Le plus frustrant quand on participe à la maraude est le
manque
de moyen évident. Des ressources alimentaires, ve
’a permis de voir que malgré le travail des travailleurs sociaux , le
manque
de moyens étaient énorme par rapport au personnes
jours et j'ai trouvé ça difficile car je n'étais pas habitué à un tel
manque
d'hygiène. En tous cas l'équipe était très accuei
ans des urgences afin qu'ils puissent être au chaud pour une nuit par
manque
de place dans structures accueils un vendredi soi
n entend très peu parler au quotidien et m'a interpellé, ainsi que le
manque
de lits d'accueil.
ial très noble et à encourager mais j'ai cependant été frappée par le
manque
d'efficience du système. Concernant la double éco
à des critères totalement subjectifs dépendant de l'interlocuteur. Le
manque
de personnel est peut être en cause mais devant l
ste mon avis que devant les moyens importants mis en place ce système
manque
cruellement d'efficacité. Errer dans les rues tou
e ne connaît pas assez son action. L'initiative est très louable mais
manque
d'efficacité à mon sens. Sur le plan médical, auc
ent, le plus difficile aura été de constater que l'on est limité, par
manque
de personnel, par manque de moyens, par manque de
ra été de constater que l'on est limité, par manque de personnel, par
manque
de moyens, par manque de places dans les centres.
e l'on est limité, par manque de personnel, par manque de moyens, par
manque
de places dans les centres. Si seulement on pouva
ressantes, les "usagers" sont attachants. On peut se rendre compte du
manque
de moyen du samu social aussi bien dans les camio
seront amené à avoir comme patient des SDF. Je regrette cependant le
manque
de considération de l'équipe, qui n'était pas du
e si les infirmières sont très investies et compétentes. En effet, le
manque
de volonté et/ou les manques de moyens et d'éduca
ès investies et compétentes. En effet, le manque de volonté et/ou les
manques
de moyens et d'éducation thérapeutique ne permett
d'hébergements,on a du souvent refuser des attributions à cause de ce
manque
de places. Ça fait réaliser la chance qu'on a d'a
r. Les missions sont souvent compliquées car les places d'hébergement
manque
surtout passée la trêve hivernale. Les rencontres
rier, nous avons quand même du laisser des SDF dans la rue du fait du
manque
de place dans les centres d'hébergement. C'est un
ément conscience. On se rend d'autant plus compte, que le SAMU social
manque
crucialement de moyens et est loin de pouvoir pre
s-abris, surtout en période de froid. Malheureusement, le SAMU social
manque
de moyens : très peu de sacs de couchage, soupes
ment des équipes, les problèmes auxquels ils sont confrontés comme le
manque
de place dans les centres de logement... Pour fin
Ce fut une expérience très enrichissante à ne pas
manquer
dans notre cursus d'études médicales. Ce stage d'
’adresses disponibles dans les mairies, etc. On constate également le
manque
de moyens, les équipes faisant le maximum malgré
nt les financements ; en une seule nuit il est facile de constater le
manque
des moyens, pour ces personnes faisant un si beau
permet une vision différente de la vie. Elle permet aussi de voir le
manque
de moyen pour la prise en charge des personnes dé
ltés auxquelles doivent faire face les professionnels du samu social (
manque
de place, difficultés matérielles, etc...) Une éq
La première partie double écoute est assez frustrante du fais du
manque
de place d’hébergement et du peu de possibilité o
fixe et le fait de pouvoir les aider un peu même si j'ai constaté un
manque
de moyen important. Au final, garde enrichissante
nt une place ont pu en avoir une, mis à part quelque uns à cause d'un
manque
de place dans les centres. Je trouve cette garde
ce n'est pas possible de répondre à toutes les demandes du fait d'un
manque
de moyens financiers et d'un manque de logement n
toutes les demandes du fait d'un manque de moyens financiers et d'un
manque
de logement notamment. Ca a été une très belle ex
ule chose : que Dieu l'emmène au paradis retrouver sa famille qui lui
manque
tant.
ure d'accueil pour les personnes les plus vulnérable et la cruauté du
manque
de place dans celle-ci et des efforts qu'il reste
rmément de demandes d'hebergement qui ne peuvent etre satisfaites par
manque
de place. Cela permet aussi de se rendre compte d
femmes avec un travail comme nous, une famille une fierté à qu'il ne
manque
qu'une chose un toit ou dormir.
de se réintégrer socialement face aux lourdeurs administratives et au
manque
de moyens offerts par l'administration. La distri
de bénévoles prenant en charge les personnes défavorisées malgrés le
manque
de moyens. J'ai par contre été déçu (même si je l
ement, j'ai vu à quel point la mission du SAMU SOCIAL est limitée par
manque
de moyens financiers, à quel point les employés s
nque de moyens financiers, à quel point les employés sont usés par ce
manque
et ont l'impression de ne pas suffisamment aider
rouvé l'écoute très intéressante, même si les salariés du SAMU social
manquaient
de réponses précises à mes questions (estimation
ygiène. Les équipes sont très sympathiques, je regrette simplement le
manque
d'informations au préalable fournies sur les diff
it aux urgences notamment. Aussi une prise de conscience sur l'énorme
manque
de moyens alloués aux actions sociales de premièr
la plupart du temps. Cependant on en ressort un peu frustré devant le
manque
de moyen qu'on les équipes pour venir en aide aux
ve très dommage le fait de refuser la prise en charge d'un usager par
manque
de moyens et de structures et espère que plus de
d'annoncer aux gens que l'on ne peut rien faire pour eux parce qu'il
manque
des places dans les centres d'hébergement . Les d
t propres et ne donnaient pas l'impression de vivre dans la rue et de
manquer
de nourriture, de vêtements... Ça permet de réflé
que vivent les personnes sans abris dans la rue. J'ai été surpris du
manque
de place disponibles dans les foyers d'accueil, d
agnie. C’etait Intéressant de se rendre compte à quel point il y a un
manque
cruel de centres d’accueil à Paris pour ces perso
écoute que l'aspect maraude. Cela m'a permis de réaliser l'ampleur du
manque
de moyen des services d'aide sociale (plus de pla
besoins de survie (nourriture, logement...) et c’est peut être ce qui
manque
parfois dans nos hôpitaux. Par ailleurs, je souli
beaucoup de SDF qui sont obligés de passer la nuit dans le froid par
manque
de centres pouvant les accueillir la nuit. L'équi
nrichissante au niveau social et humanitaire. J'ai pris conscience du
manque
de moyen qui était à disposition et du peu d'espo
'une fois. La difficulté également de devoir expliquer aux usagers le
manque
de place dans les structures d'accueil de nuit, o
ment, et les raisons pour lesquelles ils font ce travail. Evidemment,
manque
clairement de moyen surtout pour les lits. Sans r
nditions (même estivales) dans lesquelles vit cette population, et le
manque
de moyens mis à disposition pour l'aider et l'héb
r situation, devoir leur annoncer qu'ils passeront la nuit dehors par
manque
de place, les supplications de certains car ils o
al (ne restant que le matin). Je trouve que c'était quelque chose qui
manquait
à notre formation. Cette garde permet d'abolir le
que nous habitons. Je trouve que cette initiative est belle mais elle
manque
clairement de moyen financiers et humains tant l'
difficiles où nous devions dire aux gens de rester dirmir dehors mar
manque
de place. J'ai fait un stage aux urgences de Sain
ux peut aussi être le reflet d'une certaine détresse du personnel qui
manque
de moyen. Mais sur le moment je n'ai pas posé cet
nt laquelle le Samu refuse une demande mais aux dire du personnel, le
manque
d'infrastructure et les directives qu'ils reçoive
r aide et on peut se demander si cela n'intervient pas trop tard. Par
manque
de moyen, ils privilégient les situations les plu
chissante. L'équipe est très sympathique. Je me suis rendue compte du
manque
de moyens. En effet, les foyers sont trop peu nom
nt de cette soirée au samu social : d'une part, j'ai été mise face au
manque
de moyen concernant les logements d'urgence, nota
ompte concrètement (même si on est déjà au courant de ce problème) du
manque
de structure d'aide aux personnes dans le besoin,
epuis quelques semaines. Et la grosse difficulté c’était pour elle le
manque
d’adaptation des logements dans les centres d’acc
L'expérience sociale est grande. Ce qui est dommage c'est le
manque
considérable de moyens : seulement 4 sacs de couc
ge ne joignant plus les deux bouts, etc...) Un bémol cependant est le
manque
de place dans les centres d'hebergement , de maté
t une des premières nuit de grand froid, aussi j'ai été confrontée au
manque
important de lits malgré les conditions météorolo
e pas oublier cette empathie nécessaire à notre exercice médical, qui
manque
à certains praticiens. Si le temps me le permetta
tout le monde en centre, avec un repas chaud et un toit pour dormir,
manque
de place et trop de demande.
tre en communication avec un écouteur social. Une attente bien due au
manque
de moyens car aussitôt un appel fini, un autre es
bri, un lit, pour la nuit. Suit le briefing. Ce qui en ressort est le
manque
de place. Il est stipulé qu'il n'y a pas de place
urs sociaux force le respect même si - de mon point de vue - certains
manquent
à la nécessité d'une juste distance professionnel
out à fait disponible à répondre aux interrogations de l'étudiant. Le
manque
de moyen attriste un peu quant à la demande des g
J'ai vraiment apprécié faire cette garde. J'étais impressionné par le
manque
de place en centre lors de la double écoute, en 3
ne vont pas forcement ensemble en France...( à paris en tout cas). Le
manque
de moyen pour accueillir et s'occuper de ces pers
où dormir pour la plupart de nos signalements. J ai du faire face aux
manque
de moyen que recontre quotidiennement le 115. Cet
heureusement il n'y avait pas d'infirmiers avec nous car le personnel
manque
. Ce fut une bonne expérience humaine.
nt la volonté de sortir de la rue. Seulement, on ressent fortement le
manque
de moyens à disposition : la grande majorité des
à un réel sentiment de fierté envers les intervenants, et je n'ai pas
manqué
de les remercier pour leur travail.
nombre de personnes que l'on ne peut pas prendre en charge à cause du
manque
de place dans les refuges disponibles et du nombr
s sans abris, c'était fort. Par ailleurs j'ai aussi été choqué par le
manque
de moyen dont dispose le 115, en effet on s'en re
laver. J’ai trouvé que beaucoup de SDF étaient finalement surtout en
manque
de compagnie et très heureux qu’on vienne juste l
Lors de la double écoute au 115, ce qui m'a le plus marquée est le
manque
de place par rapport à la demande : lorsque quelq
iant de l'aide du samu social. J'ai ete principalement marquee par le
manque
de moyen dont beneficient les infirmiers pour rea
u avant. La première partie de double écoute est assez révélatrice du
manque
de place pour les logements sociaux, l'écoutante
abilité des conditions de vie, l'insécurité, l'alcool, le moral et le
manque
de places en hébergement forment un cocktail déto
ue le problème se situe dans la prise en charge en aval, notamment le
manque
de places en CHRS (foyer longue durée, apparemmen
différence entre la demande vis à vis d'hébergements d'urgences et le
manque
de ressources disponibles. Il est assez effrayant
ions d'urgences qui peuvent durer plusieurs années, montrant ainsi le
manque
de place à long terme permettant à ces personnes
sur le terrain notamment. A la fois un retour à la triste réalité du
manque
de places en hébergement d'urgence, illustré par
▲