lier avec les Restos du cœur. On sait tous que certaines personnes ne mangent pas à leur faim en France. Cependant, je m'en sui

fants en bas âge, le travailleur social leur demanda s'ils avaient pu manger aujourd'hui. Cette question fut une prise de cons

fut plus choquante que la question, car cette famille n'avait pas pu manger de la journée. Cette garde est excellente à bien

idien, et se rendre compte du privilège que c'est de pouvoir rien que manger et dormir au chaud tous les soirs, de savoir où n

ger et dormir au chaud tous les soirs, de savoir où nous dormirons et mangerons le lendemain. J'ai également été marqué par un ho

, comment pouvoir les prendre correctement alors qu'il ne pouvait pas manger à sa fin et régulièrement tous les jours ? Cette

ipes qui reviennent à la charge tous les jours pour donner un toit, à manger , une écoute à des personnes qui sont tellement ma

ai participé à des maraudes, discuté avec des SDF, je leur ai donné à manger et à boire. Ce qui ressort de ça, c'est que tout

mbien il est confortable de rentrer chez soi le soir, d'avoir de quoi manger et d'être au chaud avec un toit sur la tête

te voir les gens sans les réveiller faute de pouvoir leur offrir qu'à manger .

limiter leur isolement social et leur offrir un endroit où se laver, manger et passer une nuit au chaud.

nt reléguée au second plan face aux impératifs vitaux que sont le "où manger ?" et "où dormir ?".

'a marqué : Un homme SDF qui veut absolument nous offrir à boire et à manger parce qu'il fait froid (une bouteille de jus et u

ement appris qu'il y avait des endroits où les plus démunis pouvaient manger , se laver et dormir gratuitement. J'ai beaucoup a

dépassées(100 km/h en ville, sans urgence réelle), pas de pause pour manger , et une proximité physique dans le camion avec de

i permet de proposer de vraies solutions: une place, une endroit pour manger . Pour la maraude, rester à l'arrière du camion pe

vérifier si les personnes sans domicile ont pu se laver, s'ils ont pu manger et s'ils ont de quoi dormir. ce qui est marquant

rue par l'acquisition de papier et aussi leur donner des adresses ou manger et ou se soigner

la rue et qui ne souhaitent pas d'aide si ce n'est peut etre de quoi manger . Je pense que cette garde est utile pour les étud

appellent pour avoir du soutien, de l'aide pour trouver où dormir, où manger , où se laver, ou simplement, où être écouté. Dura

ont expliqué comment elle pouvait trouver où dormir, où se laver, où manger sur Paris. Bref, cette garde était vraiment très

nt très intéressante et même si on n'a eu que 45minutes de pause pour manger à 2h du matin et que l'on a fini tard ou plutôt,

a pas vraiment: on a un toit où dormir au chaud pour la nuit, de quoi manger à notre faim, et de quoi se laver... Aussi on se

re, duvet etc) mais d'orientation des SDF vers des lieux pour pouvoir manger , se laver, entamer des démarches pour trouver du

s vers 21h faire la première sortie. Nous sommes rentrés vers 3h pour manger et ensuite on est ressorti et l'on m'a déposé sur

mes et de réaliser la chance que j'avais. Pouvoir vivre sous un toit, manger à sa faim, se couvrir du froid me semblaient être

sur le terrain pour parler aux SDF, leur donner un endroit où dormir, manger , boire, se laver. J’ai trouvé que beaucoup de SDF

personnes. La maraude s'est fait a la chaîne, en proposant à boire, à manger , un lieu chaud pour dormir sans s'attarder. S'il

aissé de manière général recourait aux besoins les plus fondamentaux: manger , dormir, avoir chaud, et qu'à eux seuls, ils suff

acile de s'y arreter. De cette garde j'en retiens 3 choses: vous avez mangez aujourdhui? vous avez un endroit ou dormir? pense

tte bonne nourriture chaude qu'on lui avait donnée, qu'il n'avait pas mangé depuis 3 jours et qu'il n'avait pas mangé chaud d

t donnée, qu'il n'avait pas mangé depuis 3 jours et qu'il n'avait pas mangé chaud depuis plusieurs mois. Il m'expliquait qu'i

portait un short, n’avait pas de veste, et nous a avoué ne pas avoir mangé dans la journée. Il n’y avait plus de places en c

juste avec leur regard quand ils pouvaient boire une soupe chaude et manger quelque chose. L'un d'eux nous a dit des mots qui

reconnaissants d'avoir quelqu'un à qui parler, un endroit chaud pour manger et dormir. La récompense pour avoir patienté de l

pour dormir au chaud pendant la maraude, généralement ils ont de quoi manger et se couvrir, aidés par les gens du quartier, du

ec elle de sa vie pour mieux la connaître. Nous sommes ensuite rentré manger et l'équipe m'a déposé chez moi juste après. La n

SDF qu'ils croisaient souvent en maraude. Au-delà de leur apporter à manger et de leur proposer une place en centre d'héberge

s familles dans la rue. On perçoit assez nettement qu'avec le fait de manger à sa faim, la plus grande précarité est de ne pas

trouvées pour faire comprendre un lieu de rendez vous, une adresse où manger ... J'ai aimé observer le déroulement d'une maraud

temps 6-7 personnes cherchant désespérément une place ou dormir, ou à manger , et tous n'ont pas pu avoir une place... J'ai été

pouvait lire le soulagement, la joie et la reconnaissance quand il a mangé son plateau repas au centre. Nous avons également

ieurs reprises des personnes qui vivaient à la rue, en leur donnant à manger , à boire, en leur donnant des couvertures, ou en

tant de refus. Il n'y a pas de briefing le dimanche, alors nous avons mangé un peu et nous sommes partis en camion. Nous avon

. Je trouve que c'est déjà une très bonne œuvre sociale leur donner a manger , des duvets, de l'eau, du café, du té, etc. même

de problèmes existentiels tous les jours du genre est ce que je vais manger ou pouvoir dormir aujourd'hui.... On a réellement

ent aider une maman avec un bébé de 1 mois, elle sentait que son bébé mangeait moins et commençait peut-être à être malade. Nous

rsonnes peuvent avoir accès à des travailleurs sociaux, et recevoir à manger et un peu de repos, mais que le dimensionnement d

erprète et essayer de l'aider, lui donner des infos sur où aller pour manger , passer ses journées et retrouver une communauté

lieux de signalement jusqu'à 2H30, heure à laquelle nous sommes allés manger avant de repartir jusqu'à environ 5H30 pour d'aut

très cadré. Car comme dit le proverbe : "donne un poisson à homme, il mangera un jour, apprend lui a pêcher , il mangera toujou

nne un poisson à homme, il mangera un jour, apprend lui a pêcher , il mangera toujours " L'impression que j'ai eu c'est que ces

voir arriver la brigade du SAMU SOCIAL, ils savent qu'il vont avoir a manger , et surtout un peu de compagnie le temps de quelq

nes hommes connus du 115 nous on accosté de manière vive, "voulant" a manger , fouillant dans le camion... Mais la situation a

bien surveillées. Je suis restée avec elle jusqu'à sa chambre. Elle a mangé en regardant l'homme derrière nous dans le réfect

ne sait ni lire ni écrire, elle a peur de ne pas trouver le lieu pour manger qu'on lui indique. Mr G ne parle que yéménite. Me

a rue. On comprend que ces gens n'ont pas, comme nous, l'assurance de manger ou de dormir sous un toit chaque jour. Le briefin

ignant. A notre arrivée au CHU de Montrouge, il nous remercia et alla manger .

nde, quand la journée entière est occupée à se poser la question : où manger , où dormir?

rs, de n'avoir personne à qui parler. On l'a douché, on lui a donné à manger et on lui a trouvé des vêtements propres. Le mons

. Le froid était vraiment paralysant ! Nous sommes rentrés pour aller manger (très bon repas d'ailleurs !), puis nous sommes r

est un RDV pratiquement quotidien, un passage inévitable pour dormir, manger ou bien même parler. Et plus que l'évaluation soc

si il était connu du service, où avait il dormi la nuit dernière, où mangeait il... Autre situation étonnante, un SDF dort dans

ne pas avoir pour raisons de sécurité, l'argent pour trouver de quoi manger au moins une fois par jour, et surtout les téléph

de repas mais ils leur donne des adresses d'endroits où ils pourront manger , leur trouver un hébergement s'il y a de la place

ontraire, le sourire d'autres sans abris en leur offrant à boire et à manger contraste avec la précédente situation. La nuit a

nnées sans se plaindre, sous la neige, dans la saleté et parfois sans manger . Intéressant de prendre le recul et de se dire fi

rgien ? Comment une personne à la retraite en vient à ne plus pouvoir manger et dormir dignement ? Le samu social ne résout pa

ils auront une place à un centre d'accueil pour SDF, quelque chose à manger , un matelas sur lequel dormi. Lors des maraudes,

t leur apporter quand cela est possible, une présence, un petit peu à manger ou à boire ou encore leur proposer une structure

otidien, leur parcours. Vers 2h30 nous sommes retourné au centre pour manger et à 3h30 nous sommes repartis sur la route. J’ai

discuté avec ces personnes, de les avoir écoutées, leur avoir donné à manger et à boire est déjà beaucoup chez ces personnes p

unique. Certains reconnaissent le camion, l'arrêtent pour demander à manger , des vêtements , une place pour dormir ou simple

té l'ampleur des dégâts, nous avons panser ses blessures puis donné à manger et nous lui avons trouvé une place dans un servic

ons trouvé, celui-ci nous a confirmé qu'il allait bien et a accepté à manger et à boire. Il ne voulait pas d'hébergement pour

centre Romain-Rolland. Ensuite c'est la maraude, on distribue de quoi manger , de quoi se couvrir, on recherche des places d'hé

e leur annoncer qu'il y avait une place pour eux afin qu'ils puissent manger et dormir au chaud sous un toit, ne serait ce que

e leur annoncer qu'il y avait une place pour eux afin qu'ils puissent manger et dormir au chaud sous un toit, ne serait ce que

se. Au final, l'équipe m'a déposé chez moi juste avant qu'ils aillent manger , sur le coup de 1h30 (merci!). J'aimerais simplem

i ne va pas ou d'aller dans un centre d’hébergement pour qu'il puisse manger , se doucher et dormir au chaud. Certains travaill

personnes en situation d'errance, soit en leur apportant à boire et à manger , soit en leur fournissant des pulls et des duvets

i tout les soirs avaient la même inquiétude pour savoir ou dormir ,ou manger , ou se laver et le fait de leur parler ,de les la

vec qui j'ai fais la maraude, je m'attendais à ce qu'on donne de quoi manger et qu'on vérifie rapidement la situation sociale

ait allongé au même endroit et qu'il ne bougeait que pour s'acheter à manger et faire sa toilette. Nous lui avons demandé de s

ne vont pas à l'école, qu'ils ne se lavent jamais et qu'ils peinent à manger depuis l'expulsion de l'hôtel ou ils vivaient. Ce

ue, et disait qu'elle avait besoin de notre aide car elle n'avait pas mangé de la journée et avait très mal aux jambes à caus

u lieu m'a fait visiter les chambres, le local médical, la salle pour manger , la salle de repos. Je n'ai malheureusement pas v

uellement des solutions, leur donner des informations pour chercher à manger ou s'habiller gratuitement. Parfois aussi donner

pe avec sympathie et simplicité enfin de leur proposer de quoi boire, manger , un emplacement pour la nuit ou simplement de dis

rrêter, de discuter avec eux, de leur donner quelque chose de chaud à manger . Ce petit effort pour nous, représente en réalité

t-elle eu l'occasion de voir un médecin et/ou une assistante sociale, mange-t -elle à sa faim ? Toutes les réponses sont retrans

e démène pour trouver une place dans un foyer de femmes. Elle n'a pas mangé depuis 24h, elle a marché pour ne pas avoir trop

ères. Sa demande d'asile a été déboutée. Il est seul à Paris, n'a pas mangé depuis longtemps, n'a pas dormi depuis des jours,

leuse sociale lui liste les rares endroits de la capitales où on peut manger à midi le week-end. Il sourit depuis qu'on l'a re

extra professionnel: il n'y a pas de place en foyer, pas d'endroit où manger ? On ne peut rien faire et pourtant on est tenté d

faire et pourtant on est tenté de donner un petit truc pour acheter à manger , on a envie de proposer à certains de dormir chez

uqueuses d'après Mr. Certainement une bronchite. Bref, il dit ne plus manger depuis 4 jours, mais qu'il n'a jamais mangé beauc

te. Bref, il dit ne plus manger depuis 4 jours, mais qu'il n'a jamais mangé beaucoup. L'abdomen est souple indolore, et le fo

regard lorsque j'ai insisté auprès d'elle de leur donner quand même à manger . Même si ce n'est pas un refus de manger, c'est q

de leur donner quand même à manger. Même si ce n'est pas un refus de manger , c'est quand même un refus de quelque chose et il

it prévu de dormir à même le sol, sans couverture, et qui n’avait pas mangé depuis des jours. Nous lui avons proposé de l’emm

groupe de jeune eux aussi, connus du samu. Ils étaient 3 et voulaient manger quelque chose de chaud et quelques vêtement. Il y

ur un trottoir, nous allons les voir une par une pour leur apporter à manger , une couverture, des vêtements. Le premier, Mahmo

au moins un nuit, leur permettre de prendre une douche, de boire, de manger , et même si certains refusaient malgré toutes nos

les rencontrer, de les accompagner dans des centres, de leur donner à manger , à boire ou même simplement de discuter avec eux

que de rester dans la rue (en prison au moins, il dormira au chaud et mangera trois fois par jour). L'écoutante le met en atten

ar contre, ils étaient tous ravis que l'on leur offre quelque chose à manger , et surtout que l'on vienne discuter avec eux! J'

s pu faire était de leur donner un sac de couchage, du café, un peu à manger . Cette nuit pour moi a été une première et j'en g

nt consister en un café, une soupe, ou un repas chaud s'ils n'ont pas mangé de la journée, mais aussi des vêtements et sous-v

lle dans un secteur pour aider des sans-abris, leur donner à boire, à manger , leur parler et parfois s'il reste de la place da

ès poliment) un hébergement pour la nuit. Nous lui avons donc donné à manger et à boire, et sommes repartis. Nous avions à pei

s et du chocolat chaud. Nous leur avons aussi donné des adresses pour manger , prendre des douches et rencontrer des assistante

sur la personne, sur son histoire, etc. Ils veulent dormir au chaud, manger gratuitement et point barre. Le point positif éta

avait été signalée. Il faisait froid, elle avait les gens nues. Elle mangeait sur les plaques de bouche de métros, sans aucun s

atin on m'a raccompagné chez moi en voiture sans avoir eu le temps de manger ou de faire une pause dans la soirée, il faisait

nique. Elle nous a précisé que ses enfants et elle-même n’avaient pas mangé depuis 3 jours et n’avaient pas un endroit où dor

ir doser. Ah la la sacré Rolland. Il est 3:30 du matin. Nous rentrons manger . La nuit aura été une expérience inedite, qui me

entre, les gens filent à la cantine se restaurer, certains n'ont rien mangé depuis plusieurs jours. On essaie tant bien que m