centre, j'ai directement été prise sous l'aile d'une opératrice, pas
mal
d'appels sur différentes situations. On m'a ensui
urte pause, on part en camion. De belles rencontres, des histoires de
mal
chance... Mais surtout, une précarité que le samu
parler avec eux, cependant j'ai trouvé que nous faisions en fait pas
mal
le taxi: le nouveau centre la boulangerie nous de
: le nouveau centre la boulangerie nous demandant de leur ammener pas
mal
personne qui n'était pas du tout aux mêmes endroi
se cette nuit là et beaucoup de demandes. Un petit bébé roumain avait
mal
au ventre. Expérience importante dans la vie médi
ans le cadre des études médicales ne me paraît pas évident et on a du
mal
à trouver notre place lors de cette garde.
de se retrouver dans la rue. L'equipe est très sympa et nous aide pas
mal
à prendre nos marques
ial permet de rencontrer une partie de la population que l'on connait
mal
du fait de sa désocialisation. Le plus frustrant
structive, elle m'a permis de découvrir un domaine que je connaissais
mal
, de voir les solutions sociales mises en place po
à largement été en contact avec des sdf. De plus, nous enchaînons pas
mal
de stage à garde en d2, donc peut être que ce ser
a tention peut monter avec un interlocuteur mécontant. Il y avait pas
mal
de personnes appelant pour avoir une place pour d
quant avec le sourire les protocoles. On a vu et intervenu auprès pas
mal
de gens démunis vivant dans des situations assez
commence par la double écoute téléphonique à 18h. Ils recevaient pas
mal
d'appel pour des demandes d'hébergement pour la n
s mal d'appel pour des demandes d'hébergement pour la nuit. L'été pas
mal
de centre d'accueil ferment leurs portes donc il
des usagers il faisait très froid et il pleuvait. On a distribuer pas
mal
de soupe et de café sur une grande place et le re
ent notre aide, et préféraient dormir dans le froid. J'ai eu assez de
mal
à comprendre ce genre de décision. Sinon au nivea
ès motivé en pensant que je passerai ma nuit à voir des gens qui vont
mal
et pour lesquelles on ne peut pas suffisamment fa
Le SAMU social est un organisme qui je connaissais très
mal
avant cette nuit. Je pense que sa mission est ess
llé était sympathique, mais j'étais assise a l'arriere et j'entendais
mal
ce qui se passait à l'avant... Cela m'a permis de
mes qui peuvent être de tous types. L'ambiance qui règne est positive
mal
grès la misère rencontré, ce qui permet de ressor
une nuit calme apparemment mais nous avons tout de même rencontré pas
mal
de personnes à la rue. J'ai pu observer les diffé
nuit a été très productive et on a pu apporté de la nourriture a pas
mal
de personnes. On a également pu trouvé une place
patients défavorisés que l'on voit à l'hôpital, dont on a parfois du
mal
à imaginer les conditions de vie et les difficult
cin, qui par définition devrait etre un humaniste. J'avoue m'etre pas
mal
ennuyée pendant la maraude, mais les équipes étai
urs âges. Après un long moment à essayer de communiquer tant bien que
mal
, nous décidons de leur laisser des soupes chaudes
grée. La nuit a été assez tranquille avec peu de signalisation et pas
mal
de maraude. J'ai une vision beaucoup plus humaine
r le nombre de mères avec enfants en bas âge à la rue et qui avait du
mal
à trouver un toit, pour lesquelles il était diffi
uverts à toutes mes questions. Au cours de la nuit, nous avons vu pas
mal
de gens et avons pu les aider plus facilement que
t personne au final, donc beaucoup de temps perdu en voiture, avec le
mal
des transports du à la mauvaise conduite de la co
nement, j'ai pu faire un peu le tour de tous les cas mais ça m'a fait
mal
quand une personne nous a suppliés de l'heberger
dre ce qu'ils font très à coeur. Malheureusement, j'ai eu beaucoup de
mal
à voir en quoi ce que nous faisions était vraimen
éphoniques, en particulier de mineurs ... J'aurais personnellement du
mal
à leur annoncer (de nombreuses nuits d'affilé, po
oid et il pleuvait donc les usagers que nous avons rencontrés étaient
mal
en point. Certains cependant refusaient notre aid
J'ai le
mal
des transports donc évidemment passer toute ma nu
t ceci sans distinction entre le SDF alcoolisé et souillé, articulant
mal
, et le SDF propre sur lui parlant parfaitement le
d'une garde au samu social et rencontrer une population souffrante de
maux
différents de ceux que l'on a l'habitude de voir
'ailleurs trouvé bizarre que les écoutants semblent avoir beaucoup de
mal
à participer aux maraudes alors qu'un étudiant ex
rue parce qu'il ne s'entendait pas bien avec sa mère. Il s'était fait
mal
à l'orteil à cause de ses chaussure et marchait d
faire de plus pour les aider. J'ai également trouvé qu'il y avait pas
mal
de personnes jeunes vivant dans la rue.
’impression que le SAMU Social n’etait qu’une solution palliative aux
maux
de tout ces gens dans le besoin Sinon mis à part
ique, cette misère en plein Paris est vraiment différente. J'ai eu du
mal
sur le moment à poser des questions, intervenir à
graves (dans ma garde j'ai vu : erysipèle, problèmes psychiatriques,
mal
perforant plantaire, état de mal épileptique chez
erysipèle, problèmes psychiatriques, mal perforant plantaire, état de
mal
épileptique chez un épileptique connu et alcooliq
jeune couple de 18 ans, à la rue depuis plus de 3 mois... Ca m'a fait
mal
au coeur, j'avais envie de les prendre dans mes b
plus jeune avait 1 mois. La mère était malade, fiévreuse, et avait du
mal
à le porter. Il faisait froid, et le plus grand q
. Il prenait des cours de français avec pôle emploi, et tant bien que
mal
essayait de trouver un travail. Arrivé à Romain R
pas fait grand chose pendant cette garde étant donné qu'on a reçu pas
mal
d'appels pour des personnes qui au final n'étaien
les difficulté qu'ils peuvent rencontrer. L'équipe nous explique pas
mal
de choses et très sympa. Ce qui m'a vraiment marq
nces +++, en hospitalisation aussi) mais que l'ont connait finalement
mal
. Pendant la garde au samu social on se trouve dan
t fait voler son téléphone et ses papiers et était tombé d'une "dalle
mal
positionnée" sur la route et s'était fait mal aux
tait tombé d'une "dalle mal positionnée" sur la route et s'était fait
mal
aux 2 jambes. Cet homme était particulièrement to
u du quartier, fort sympathique et un autre connu du samu social fort
mal
empoint. Il accepte de dormir ce soir dans un cen
u samu social, dont je n'avais que très vaguement entendu parler. Pas
mal
de points positifs (pour aucun point négatif !) :
it particulièrement froide, sans doute en dessous de 0, et j’avais du
mal
à supporter la température, alors que je ne sorta
ne pouvant pas s'occuper de ses deux filles diabétiques (diabète très
mal
équilibré), sa femme en dépression. Puis rapide b
rs dessus et ignorais ces sans-abris qui se réchauffent tant bien que
mal
pour résister au froid sans que l'on ne fasse rie
et professionnel. Le SAMU social est un organisme que je connaissais
mal
et avec lequel le milieu médical est pourtant app
ente dans le 14eme arrondissement. La nuit de ma maraude, un individu
mal
intentionné a mis le feu à leur tente, et donc à
un centre d'hébergement mais malheureusement l'information avait été
mal
transmise pour l'un des 2 sans abris que nous avo
ements que nous sommes allé voir. Les centres d'acceuil sont vraiment
mal
considérés par les habitués. Apparemment ils n'ai
ur le plan physique que mental... Le samu social essaie tant bien que
mal
d'aider ces personnes, mais cette aide transitoir
out si des sans abris sont juste à côté de nous ... (on se voit assez
mal
parler de la précarité, et des précédents dossier
x-ci n'étaient plus occupés. Malheureusement, la maraude comprend pas
mal
de temps passé au téléphone, ce qui n'est pas trè
lement deux ont accepté d'être hébergés pour la nuit . J'ai encore du
mal
a comprendre cette attitude de refus mais j'ai ac
homme dans un foyer, une famille dans un centre et distribuerons pas
mal
de soupes et cafés chauds; Au final, une expérien
lle répond aux questions sans souci et nous explique spontanément pas
mal
de choses. L'ambiance est très agréable. Et l'équ
. N'étant plus habitué à dormir en intérieur et dans un lit il a très
mal
vécu sa nuit au centre et n'a quasiment pas dormi
de ces personnes, et enfin la précarité sociale et matérielle parfois
mal
supportée de certains de ces établissements. Par
qu'il y a de plus normal. Mais je pense que pour ceux qui ont plus de
mal
, par peur par exemple de leur agressivité, de leu
On découvre également le métier de travailleur social, un travail si
mal
payé faisant appel à des valeurs pourtant si esse
ur la maraude en elle-même. Pour le début de la garde, on a passé pas
mal
de temps avec un membre de l'équipe qui nous a ex
. J'ai découvert une organisation que, finalement je connaissais très
mal
. J'ai très bien été accueillie sur place et ai ef
ette prise en charge au long cours se fait tout de même tant bien que
mal
. Le hasard de la randomisation a fait que la majo
Paris, on voit malheureusement des SDF à chaque coin de rue, ça fait
mal
au coeur mais ça s'arrête là. Durant cette nuit,
Paris, on voit malheureusement des SDF à chaque coin de rue, ça fait
mal
au coeur mais ça s'arrête là. Durant cette nuit,
quation avec la demande... Pour la partie maraude, j’ai parfois eu du
mal
à trouver ma place vis à vis des personnes rencon
envoyaient des œufs en direction de ces personnes qui sont déjà bien
mal
en point... Je me suis cru chez les sauvages ! Qu
maraude, les demandes non pourvues sont celles qui m'ont fait le plus
mal
, j'avais vraiment envie de pouvoir loger tous ceu
de l'hygiène. Il avait deux prothèses de genoux et avait terriblement
mal
. Notre mission ce soir a été de tout faire pour q
ment, un homme d'une cinquantaine d'années qui avait paru fiévreux et
mal
en point aux équipes de jour. Lorsque nous l'avon
sonne en besoin. L'écoutant était disponible pour moi mais j'avais du
mal
à saisir si oui ou non il y avait des critères bi
rs sociaux ont le coeur grand ouvert pour accueillir petits et grands
maux
qui jalonnent la vie de ces hommes et ses femmes
te nuit sera à recommencer demain, à cause d’un système que je trouve
mal
fait et trop compliqué (même la travailleuse soci
rue. On y passe tous les jours mais on n'y reste pas. On a passé pas
mal
de temps avec un sdf qu'on nous avait signalé en
d'un appel du central ou à la recherche d'une personne "vraiment très
mal
". Appel qui est censé nous prévenir quand il faut
us avons reçu un appel d'un monsieur ne parlant pas français, et très
mal
anglais, pour lequel nous avons du faire appel à
son ami, et le rejet de sa famille, et qui se débattait tant bien que
mal
pour essayer de s'en sortir et de loger par-ci pa
ail n'intéresse pas les médecins de la nouvelle génération? Serait-ce
mal
rémunéré? Serait-ce déconsidéré dans la professio
rce que ça le gênait pour marcher et non pas parce que ça lui faisait
mal
, par exemple.
rce qu'elle nous apprend à aborder des personnes qui (même si on a du
mal
à se l'avouer) peuvent parfois nous faire peur ;
durant notre dernière intervention vers 5h : une personne, qui tenait
mal
sur ses deux jambes, nous a demandé un café. Le t
se au souvenir d'un sdf amené aux urgences de neuro chir qui fut très
mal
accuilli, mais aussi a de nombreux autres exemple
avec des SDFs, ni de parler avec eux, et personnellement je l'ai très
mal
vécu... Je n'ai pas réussi à trouver le sommeil e
de notre aide car elle n'avait pas mangé de la journée et avait très
mal
aux jambes à cause de l'agression qu'elle avait s
sont l'attitude d'une personne à la double écoute qui répondait très
mal
aux appels, j'ai trouvé même si je n'ai pas eu de
sitif dans notre future carrière de médecin. Nous avons rencontré pas
mal
de gens pendant la nuit mais le contact et le rôl
e, personne n’a de difficultés pour se loger quelque part, j’avais du
mal
à imaginer qu’il y avait autant de sans abris dan
ses incertitudes et de son histoire. Je suis mal à l'aise, je me sens
mal
pour elle. Elle nous confie sa vie : sa naissance
tude de côtoyer aux urgences par ailleurs, mais pour laquelle on a du
mal
à s'imaginer leur condition de vie. La double éco
ocaux du 115 on me fit lire un polycopié sur l'histoire du 115, assez
mal
fait, peu interessant. Puis le coordinateur s'int
débrouiller et les attentes des sdf et j'attendais de cette garde pas
mal
de réponses (qui seraient positives). J'ai été "c
comme les places - se comptent au compte-gouttes. L’appel d’Oskar est
mal
tombé. C’est-à-dire qu’il a manqué l’étroite fenê
ue. La nuit est déjà bien avancée. La camionnette s’arrête : un homme
mal
couvert dort sous le métro de la ligne 6. Il se r
ains n'ont rien mangé depuis plusieurs jours. On essaie tant bien que
mal
avec des anglais approximatifs des deux cotés, de
t qu'il a 2 stents mais qu'il ne prend pas ses traitements et qu'il a
mal
à la poitrine, nous faisons ce qu'on peut pour lu
assistante sociale, une infirmière et un ambulancier. J'ai eu plus de
mal
à m'intégrer, d'autant plus que l'équipe ne se co
des SDF aux urgences, alcoolisés, rarement capables de définir leurs
maux
et venant le plus souvent pour un toit. Le risque
e le SAMU social amène seulement les SDF aux foyers (qui est déjà pas
mal
, mais quand même très restreint par rapport à ce
▲