ssé 2h a faire la queue aux urgences de la pitié pour une plaie de la
main
et dans un centre d'accueille a attendre que une
pe très sympa qui m'a permis de vite prendre mes marques et mettre la
main
a la pâte. Je regrette juste de ne pas avoir été
ais je n'avais jamais été confrontée à leur "quotidien". Serrer leurs
mains
gelées, voir leurs pieds nus sur le trottoir, sen
es personnes violentes, mais le samu social a géré la situation d'une
main
de maître, je ne me suis jamais sentie en danger.
personne en difficulté dans les rues de Paris, qui n'attendent qu'une
main
tendue pour tenter de retrouver une vie "normal".
contentes de nous voir, même si c'était uniquement pour un serrage de
main
et un café. Aussi la bienveillance et la gentille
e formidable, Frank qui est toujours de bonne humeur, Cécile qui a la
main
sur le coeur et Sara qui écoute inlassablement et
ble, à 2h du matin un 24 décembre pluvieux, une bouteille de vin à la
main
, il pourrait passer pour un professeur d'universi
es personnes en nécessité toujours avec du respect et leur donnant la
main
et le sourire. Même les conditions difficiles du
l'on peut nous reprocher de vouloir porter des gants pour serrer les
mains
de certaines personnes, ce n'est pas de l'arrogan
t de voir le SAMU social venir le voir, il nous a rapidement tendu la
main
pour la serrer. Cet homme s'appelait Armand. Il n
e très belles petites photos de lui et sa famille passaient entre nos
mains
. Les visages souriant et propres était bien les m
passage stratégique, nous remercient par leur sourire, un geste de la
main
ou partent en maugréant contre la vie... Des équi
ignes. En plus de son sac à dos personnel, un des trois tiens dans sa
main
un gros balluchon blanc. Ils l'ont trouvé dans le
l'on a accompagné en camion dans un dortoir, avec pour seul bagage en
main
une malette de travail. Je suis sortie de cette g
nité, qui ne se résume parfois qu'à un sourire et même une poignet de
main
. C'est dure de se l'avouer, mais il m'aura fallu
nde seulement un café. Ce qui m’a le plus choqué, c’est de serrer les
mains
de ses personnes et de s’appercevoir qu’elles son
Pour être tout à fait franc, je suis arrivé les
mains
dans les poches. Je n'avais pas envie de monter d
ial, que de sourires, que de foux rires, que de coeurs serrés, que de
mains
tendues, que de chaleur humaine... J'aimerais sur
ce SDF, qui, bien installé dans sa cabine téléphonique, sa bière à la
main
nous déclame: Poète, prends ton luth ; la nuit, s
ur donne au moins une petite chance de s'en sortir en leur tendant la
main
, en les guidant, en les soignant si ils en ont be
aux urgences (arthrite septique ?)... L'équipe m'a quasiment forcé la
main
pour que je dise "oui" ou "non" pour appeler une
c ses trois enfants de 10, 8 et 2 ans avec pour seul bagages un sac à
main
et une poussette. Pendant le transport, nous appr
u et on leur redonne une part d'humanité, avec un simple bonsoir, une
main
serré, une oreille à l'écoute et un peu de soupe.
Nous avons emmener aux urgences un jeune homme qui s'était ouvert la
main
avant de l'emmener dans un foyer, là aussi, très
n jeune homme d'une trentaine d'années nous fait de grands signes des
mains
et nous invite à le rejoindre un grand sourire au
lacent stratégiquement à un endroit ou les camions passent, lèvent la
main
et trouvent un place facilement alors que parfois
aine d'années. Vêtu d'un pantalon troué, et ainsi obligé de placer sa
main
sur ce trou pour empêcher le passage du courant d
en social. Le camion est souvent accueilli par de grands saluts de la
main
et des sourires. J'estime que cette approche avec
ue je voulais garder floue - consciemment ou non : celle de tendre la
main
vers l'autre sans en avoir peur ... parce que les
restée près du camion. Un jeune homme s'est approché, et m'a tendu la
main
pour se présenter. Je ne me souviens pas de son p
ver ! Nous approchons, Mallory est douce, avenante, elle leur tend la
main
pour leur donner un peu d'humanité. Nous leur pro
re la démarche complète. J'ai par ailleurs dû prendre mon courage à 2
mains
pour ausculter la jambe de cette femme enceinte,
ciation, suivies depuis plus de 10 ans, les vieux de la vieilles. Une
main
leur sera tendu à tous. Ca tombe bien, ils en ont
e. Un monde où toute petite chose compte. Un petit geste : serrer une
main
, servir une soupe ; un petit sourire ; un petit m
Cette fois, elle m’est signifiée par des regards incertains, par des
mains
fragiles, par des visages vieillis, marqués par l
é son calme et a pris le temps et le recul nécessaire pour prendre en
main
la situation en accordant à la femme quelques heu
encore il règne une très bonne ambiance. Nous sommes remis entre les
mains
d’une équipe que nous accompagnerons touts la nui
un café, une écoute, ou tout simplement un sourire c'est une première
main
tendue ! Et puis cette garde m'a aussi permis de
s patients ne disposent pas de leur santé mais la remettent entre les
mains
des soignants ; c'est tout l'inverse qui s'est pr
e d'aide (assistances sociales dans sa mairie) et reprendre sa vie en
main
. Je dirai qu'ils lui ont donné du courage de sort
re un autre salaud qui s'est échappé. Merci aux gens, le coeur sur la
main
, qui circulent la nuit pour apporter un iota de c
it chaleureux. Oui, vraiment, convivial. Bon un peu "folklo" mais des
mains
qui se serrent, des rires, des amitiés entre usag
availleurs sociaux, les écoutants, qui ont fait de leur métier, cette
main
tendue vers les personnes les plus démunies... et
tache souvent à sourire, saluer, et si j'ai de la monnaie à porter de
main
, à donner quelques pièces à ceux qui le réclament
nsais qu’ils ne se lavaient jamais !!) ou des duvets. On leur sert la
main
, on leur demande leur prénom et leur date de nais
te sociale. Lorsqu'on part elle nous dit merci. Quand je lui tends la
main
, elle me demande si je serai là demain soir. Je l