hors Paris. J'aurais dû rester jusqu'à 5:40 pour attendre le premier
métro
, et puis marcher dans le froid et dans le noir, p
s le froid et dans le noir, pendant au moins 10 min pour rejoindre le
métro
. Comme j'ai voulu rentrer plus vite car fatiguée,
contré une personne qui dormait au dessus de la bouche d'aération des
métros
, ce qui lui permettait de se maintenir au chaud.
'origine roumaine et un enfant de 7 ans qui dormait sur une bouche de
métro
évacuant de la chaleur. La communication était di
personnel. Nous voyons des SDF tous les jours dans la rue ou dans le
métro
, et pourtant nous ne faisons pas attention à eux.
découvrir les sdf sous un autre angle (et pas les pénibles bourrés du
métro
). Expérience humaine sans égal c'est une très bon
ois sans rien faire dans les bureaux du SAMU social que le traffic du
métro
/rer démarre (ayant fini la maraude à 4h15 et le p
ffic du métro/rer démarre (ayant fini la maraude à 4h15 et le premier
métro
partant à 5h30). Ensuite, devoir rentrer chez soi
s lequel on vit. Croiser quotidiennement des SDF dans la rue, dans le
métro
, et s'habituer à ce paysage de misère est normal
semble des activités du samu social et aurait pu prendre les derniers
métros
.
valuation sociale. Cela faisait presque 4 ans qu'elle dormait dans le
métro
et faisait face à des problèmes que je n'imaginai
ndue limitée. On en voit tous les jours en allant travailler, dans le
métro
, etc... mais je n'en aurais pas imaginé une telle
tiens dans sa main un gros balluchon blanc. Ils l'ont trouvé dans le
métro
, caché.... Surement par un vendeur à la sauvette.
ide, est une expérience qui transforme, ce n'est pas la pièce dans le
métro
ou la nourriture donnée parfois, c'est la créatio
ais il m'aura fallu cette nuit pour arrêter d'ignorer les SDF dans le
métro
. Shame on me! Nous sommes nombreux à fuir leur re
des jeunes, des vieilles personnes se reveiller ou s'endormir dans le
métro
. Nous leurs donnons un sourire, au mieux accompag
à l'ancien Hospice Saint Michel (Lit Halte Soins Santé) situé près du
métro
Saint Mandé dans le 12ème arrondissement. Même si
une d'elle est assez courante : la brûlure à cause de l'air chaud des
métros
qui sortent par les grilles posées sur le sol des
r trouver l'hôpital et y être acceptée, pour enregistrer le chemin en
métro
qu'elle allait devoir faire. Les passants dans la
qu'est la misère humaine bien qu'on la rencontre très souvent dans le
métro
ou la rue. Créer un lien de quelques minutes ne s
ée par l'indifférence voire le mépris des gens dans la rue ou dans le
métro
lorsqu'un sans-abri leur adresse la parole. Et pa
ur écouter. Ne pas ignorer le SDF qui est à l'entrée de la station de
métro
, s'assurer qu'il va bien, et n'a besoin de rien,
marqué est peut-être cette femme qui pleurait à côté d'une station de
métro
car elle était épuisée... de dormir dehors, de ch
rs du combattant et que derrière les visages que l'on croise dans les
métros
, sur les trottoirs se cachent des personnes qui t
ons pas son compère en hypothermie sévère, comatant sur une grille du
métro
parisien. Celui-ci faisant valoir la vanité de no
ter les gens desepérés de trouver un toit au bout de 50 nuits dans le
métro
ou la rue était assez dur, surtout lorsque nous n
115 pour une demande d'hébergement en urgence : nous le retrouvons au
métro
Chateau d'Eau. Equipé d'un seul sac à dos, Mr. G
car ils avaient eu peur et avaient préféré dormir dans une bouche de
métro
. La suite de la nuit s'est très bien passée, nous
a rue, on la voit chaque jour au coin de tous les boulevards, dans le
métro
, ça nous paraît presque.... banal. Mais tant que
es Champs Elysées. À notre arrivée, ils sont situés sur une bouche de
métro
et refusent notre proposition de logement pour ce
peut voir des sans-abris tous les jours en allant travailler, dans le
métro
comme dans la rue. Mais je n'avais pas idée qu'il
articulier, pour qu'un peu on se balade dans Paris et qu'on prenne le
métro
, on est déjà bien habitué à fréquenter et parler
par dormir sur un banc, un trottoir, une bouche d'évacuation d'air du
métro
. Et ils s'abandonnent a leur propre sort. Ce n'es
vies qui sont là dans la rue et que j'évitais le plus souvent dans le
métro
et dans les gares.
ir un autre monde, pas celui que je vois tous les jours en sortant du
métro
. Le 115 téléphonique ne m'a pas vraiment plus, on
social, était un jeune homme qui dormait sur une grille d'aération de
métro
pour se réchauffer en compagnie d'un quadragénair
ontariat. J'ai vu une dame compètement transformée, sur une bouche de
métro
. Elle nous avait été signalée. Il faisait froid,
elle avait les gens nues. Elle mangeait sur les plaques de bouche de
métros
, sans aucun support, 5 ou 6 têtes de moutons.. C'
d'autre de son couchage pour les attirer, son malheur que le quai du
métro
ait été rétréci pour des travaux car lui et ses a
Boulangerie, l'un rue Poulet, l'autre rue Marx-Dormoy, le dernier au
métro
Marcadet-Poissonier. À chaque arrêt du camion, un
bord une jeune femme que nous devions aller chercher à la sortie d'un
métro
, et une fois arrivés sur place nous nous sommes r
iquées). On voit la misère tous les jours, sur les trottoirs, dans le
métro
etc... mais faire une garde au Samu Social permet
eut depuis le début de la soirée, et la, sur une bouche d'aération de
métro
, nous voyons un homme sans couverture, sans prote
sistante sociale. Elle était totalement perdue à l’idée de prendre le
métro
seule, avec son enfant et ses trente six milles v
u parfois moins brefs) avec des sans-abris au fil des années, dans le
métro
, dans les gares, dans les rues de Paris... je n'a
avancée. La camionnette s’arrête : un homme mal couvert dort sous le
métro
de la ligne 6. Il se réveille alors que nous nous
▲