areté des solutions d'urgence proposables aux personnes en rupture de logement et surtout de réaliser à quel point il est diffic

digne et de s'intégrer socialement lorsque l'on ne bénéficie pas d'un logement stable. L'action du SAMU SOCIAL est remarquable d

apporter un soutien humain et matériel à des personnes en rupture de logement tout en respectant la personne qu'ils sont ainsi

plus étonné étant le refus de certaines familles ou SDF d'accepter un logement pour la nuit, préférant rester dehors malgré le f

oid. La double écoute était aussi informative avec la répartition des logements , les demandes des familles et les aides qui peuve

re fois que je faisais une maraude avec la possibilité de proposer un logement aux sans-abris. Cela change beaucoup dans l'appro

e nouveaux centres permettront de répondre à la demande importante de logement d'urgence cet hiver.

négatifs. L'homme savait qu'ils avaient plus de chances d'obtenir un logement de longue durée. Les intervenants ont donc propos

nir un logement de longue durée. Les intervenants ont donc proposé un logement pour la nuit, mais pas plus. Ils ont refusé.

e une organisation de soutien, de visite, de transport, de centres de logements et médicaux qui est mise en place. Malheureusemen

nts et médicaux qui est mise en place. Malheureusement le problème du logement se repose quotidiennement pour les habitants des

Et la grosse difficulté c’était pour elle le manque d’adaptation des logements dans les centres d’accueil par rapport à ses capa

onditions de vie de partie importante de la population qui n’a pas de logement . Cependant ces gardes seraient beaucoup plus adap

très intéressante car on ne se rend pas compte du nombre de gens sans logement fixe et on est très peu informés sur la possibili

les familles avec enfants en bas âges à qui on ne peux pas offrir un logement faute de place. L'équipe était très chaleureuse e

important pour les étudiants en médecine de comprendre les enjeux du logement d’urgence et de l’isolement de certaines populati

ence des difficultés engendrées par la précarité à plusieurs niveaux ( logement , alimentation mais également santé). J’ai appréci

r cela permet de prendre contact avec les personnes ayant besoin d'un logement pour la nuit ou tout simplement besoin d'interact

ement besoin d'interaction, de discuter avec des gens. La visite d'un logement a été formateur car cela m'a vraiment permis de m

ence originale, pas tres marquante quand on est de garde au urgences.( logement vs douleur). Un peu pénible d'être à l'arrière du

peu interpellé était d'amener certains SDF aux urgences par manque de logement .

l pour la nuit. Puis expliquer les demarches a faire pour recevoir un logement plus permanent, mais surtout qu'il serait plus fa

facile de rester chez son proche au vu de la duree d'attente pour un logement social.

e. Néanmoins, même s'ils n'ont pas tous la possibilité d'accéder à un logement pour la nuit, l'équipe du SAMU SOCIAL les accompa

it découvrir les différents lieux d'hébergement de ces personnes sans logement , comme l'établissement ROMAIN ROLLAND, dans quell

une adolescent qui a appelé qui venait d'arriver seul sur paris, sans logement ni connaissance, et qui semblait désorienté. Dans

al au moment dans la double-écoute lorsque la plupart des demandes de logement pour la nuit sont refusées faute de place. Heureu

dame prétendant être enceinte afin de bénéficier d'avantages sur les logements pour la nuit, ce qui rappelle que les abus peuven

des familles avec bébé de moins de quelques mois qui souhaitaient un logement sans recevoir les places réservées pour une nuit

écoute ou lors de la maraude. Aller à la rencontre des personnes sans logement lors de la maraude permet de découvrir différente

. Par ailleurs, j'ai été surprise que certaines personnes refusent un logement pour la nuit.

des personnes dans le besoin. Cette aide passe par la recherche d'un logement social où passer la nuit, par le don de nourritur

isolées de tout lien social. J'ai été surpris lors de la visite d'un logement social qui était considéré comme un "luxe" alors

ouver un hébergement d’urgence et être pris en charge pour trouver un logement plus pérenne. Nous avons aussi rencontré une dame

ession, sous curatelle, arnaquée par sa tutrice, puis expulsée de son logement et dans le rue depuis un an elle nous a beaucoup

és par son courage et sa détermination à se battre et à récupérer son logement malgré des ennuis de santé. On réalise qu'un acci

nce humanitaire enrichissante, on découvre un peu la course contre le logement des SDF à l'arrivée de l'hiver, les stratégies de

e aide ou bien alors d’autres l´acceptent mais faute de place dans un logement social nous sommes obligés de les laisser dormir

utilité du samu social lors de la double écoute lorsque la demande de logements pour la nuit sont quasi toutes refusés faute de p

diversité de profil et de parcours qui mènent à des situations de non logement ). Cependant, elle était pour ma part également fr

que par ailleur). Le système générale du samu social, i.e. trouver un logement pour 1 nuit, me laisse également un sentiment par

été expulsée de son appartement car elle n'arrivait plus à payer son logement avec sa petite retraite. Cette dame restait très

était à bout de force de se battre pour essayer de trouver un nouveau logement , elle se sentait totalement abandonnée par le soc

oindre le 115 pendant des heures mais ne parviennent pas à obtenir un logement pour la nuit car les places sont plus qu'insuffis

vait se séparer... Ensuite même pour ceux qui obtiennent une place en logement (que ce soit en appelant le 115 ou des personnes

ous permet de réaliser le nombre important de personne n'ayant pas de logement . C'est une tout autre approche à la personne que

met de nous sensibiliser à la difficulté aux quotidiens de trouver un logement . J'ai apprécié la maraude où on prend contact ave

risiens : puisque les signalisations étaient données à des numéros de logement défini, mais ce n'était pas les résidents de ces

numéros de logement défini, mais ce n'était pas les résidents de ces logements qu'on venait visiter... drôle de paradoxe. une ex

s rencontrons es un vieil homme de 70 ans qui demande spontanément un logement pour la nuit. La personne suivante en revanche es

nuit passée au SAMU social. Des contacts pris, des repas donnés, des logements trouvés pour certains, mais surtout un réel senti

s personnes qui n'ont pas de revenus suffisants pour pouvoir avoir un logement . L'aide apportée par le Samu social n'est pas sim

L'aide apportée par le Samu social n'est pas simplement de trouver un logement pour la nuit ou pour la semaine, certaines person

ilités mises en oeuvre pour accueillir les personnes démunies de tout logement mais aussi par la prise de conscience des limites

e du SAMU social et son interaction avec les personnes demandeuses de logement .

n avant la garde que les moyens étaient très limités et les places de logement peu nombreuses mais de voir les chiffres et d'ent

re des gens et leur donnaient des conseils pour essayer de trouver un logement .

uels ils sont confrontés comme le manque de place dans les centres de logement ... Pour finir, l'équipe est très sympathique et t

misère plus ou moins cachée. Les personnes sont soient en demande de logement ou alors veulent surtout discuter autour d'une bo

par l'entreprise où il travaillait donc il perdait son travail ET son logement ... Je me souviens aussi d'un appel téléphonique :

ns aussi d'un appel téléphonique : une dame venait d'être expulsée du logement dans lequel elle vivait depuis 3 mois avec ses en

par l'entreprise où il travaillait donc il perdait son travail ET son logement ... Je me souviens aussi d'un appel téléphonique :

ssi d'un appel téléphonique : une dame venait de se faire expulser du logement dans lequel elle vivait depuis 3 mois avec ses en

des difficultés auxquels étaient confrontés les personnes démunis de logement ) que sur le plan professionnel. Par ailleurs l'éq

e de la nuit dans le camion, nous avons surtout emmené des usagers au logement : l'appel pour savoir si il reste des places est

comme vous et moi, qui travaillent mais qui ne peuvent pas trouver de logement et qui doivent dormir dans la rue. Le SAMU social

n charge des SDF, puisque qu'on propose à ces derniers uniquement des logements d'urgence à renouveler chaque nuit ou des soins d

sent les gens du samu social de Paris en se démenant pour trouver des logements ou bien en leur apportant un soutien psychologiqu

des à travers Paris et du centre d'écoute 115 pour la répartition des logements ainsi que le suivi des personnes faisant la deman

ociale, soit désormais une association pérenne en matière de droit au logement et qu'aucune solution durable n'ait été proposée

iqué d’écouter tous les problèmes d’une personne et de lui refuser un logement par exemple faute de place. Par ailleurs, les mar

de certains personnes (migrants notamment) de trouver un repas et un logement , alors même que ces personnes sortent d'une pério

ôt que de donner sans compter pour pallier aux problèmes aigus (faim, logement ) elle tend à responsabiliser et à donner une réel

demandeurs d'asile / nuit sur Paris) en dépit d'un système efficace ( logement hôteliers, collaboration avec système associatif)

re deux personnes dans la rue à propos d'une seule et unique place en logement pour la nuit.

des nouvelles depuis la première intervention, il avait maintenant un logement et touchait le RMI. Les maraudes en mai sont moin

sence de réponses possibles à de nombreuses demandes téléphoniques de logement pour la nuit et la confrontation directe au déses

onnaissant pas le fonctionnement, lorsqu'ils ont appelé pour avoir un logement , il n'y avait déjà plus de place et nous avons du

une agressivité. - Les femmes qui travaillent le jour et n'ont pas de logement quand arrive la nuit. Si je les avais croisé dans

premier temps avant de répondre à ses besoins de survie (nourriture, logement ...) et c’est peut être ce qui manque parfois dans

m'a montrée la diversification des types de personnes demandeuses de logement . J'ai été un peu choqué après deux appels: celui

e des personnes recevant les appels etait non seulement de trouver un logement mais aussi de prendre des nouvelles, de s'enquéri

du SAMU SOCIAL, ce qui est le plus frappant étant le peu de places de logement disponibles pour énormément de demandes.

'avoir un aperçu du cauchemar quotidien que vivent les personnes sans logement et les problèmes pratiques qui se posent pour leu

disponibles pour la nuit à 19h12 précises, les personnes cherchant un logement pour la nuit le savent bien et appellent toutes e

rsonne que les gens du samu social connaissaient déj, puis trouver un logement pour une autre ou même distribuer de la nourritur

rès fatiguée, la mère a bout de nerfs, avec des pleurs à l'arrivée au logement . C'était l'occasion de se rendre compte que le sa

prenante. J'ai été vraiment étonnée de voir autant de personnes sans logement la nuit, à peine s'arrêtait-on cinq minutes, qu'i

al : d'une part, j'ai été mise face au manque de moyen concernant les logements d'urgence, notamment pour les lits de femme, et d

te, on découvre que beaucoup de personnes même si on leur a trouvé un logement préfèrent rester là où elles sont. Beaucoup d'his

té chronique, plus ou moins autonomes, qui tentaient de se trouver un logement et des sanitaires pour prendre soin d'eux même à

e maraude positive. Partir à la rencontre des personnes démunis, sans logements , permet de mieux réaliser la précarité dans laque

tions obligés d'informer des familles avec enfant/nourrisson qu'aucun logement n'etait disponible pour les accueillir . La visit

ouble écoute où les appels se multipliaient pour trouver une place en logement qu'on ne pouvait pas donner, et la maraude où cha

en leur donnant un peu d'eau ou de nourriture ou en leur trouvant un logement (seulement pr une nuit), le lendemain tout recomm

der? N'y aurait il pas d'autres solutions comme leurs trouver un vrai logement ? J'admire le courage des travailleurs d'Ivry sur

e écoute qui concernait une femme enceinte de 8 mois qui demandait un logement pour la nuit et qui a été refusé faute de place e

yant appelés le 115 afin de les emmener dans les différents foyers de logement et qu'il n'y a pas réellement eu de démarche de l

la rue doivent appeler plusieurs fois par jour pour espérer avoir un logement pour une seule nuit, que les démarches administra

t-ce qu'un peu de chaleur humaine et celle d'une soupe, à défaut d'un logement définitif.

en état d'ivresse des urgences. Possibilité de visiter les centres de logement et de voir quelles solutions sont proposées a ces

a la rue avec ses 2 enfants ... Elle appelait le 115 à l'aide pour un logement d'urgence pour la soirée. Ce témoignage m'a beauc

du SAMU social. J'ai pu faire le constat assez honteux que travail et logement ne vont pas forcement ensemble en France...( à pa

suite j'ai aussi été frappée par l'appel d'un monsieur qui n'a pas de logement malgré son emploi, et qui a peur de le perdre sui

d'impuissance de l'équipe du samu social à proposer des solutions de logement aux sdf demandeurs qui m'a le plus attristé. En e

rons forcément amener à côtoyer des personnes SDF ou en difficulté de logement dans notre exercice professionnel. On est pas seu

it intéressante pour comprendre comment fonctionne la répartition des logements d'urgence sur Paris et l'Ile de France, savoir qu

resse des personnes, et ne peuvent le plus souvent pas aboutir sur un logement (que ce soit pour la nuit, ou sur plus long terme

meur. J'admire le rôle de l'infirmier qui prend soin des SDF dans les logements , qui s'occupent de les laver et de soigner les bl

prendre mais avait besoin de soutien pour cela. On l'a emmené dans un logement social où l'infirmière lui a refait son pansement

ns abris devait constituer un dossier pour ensuite pouvoir obtenir un logement pour la nuit sur un simple coup de fil et autres.

. Ce soir-là, nous avions aidé quelques SDF à les conduire jusqu'à un logement du 115, en chantant et en riant dans la voiture.

stratives. Beaucoup de personnes rappellent chaque soir pour avoir un logement , le nombre important de familles demandeuses m'a

ant qui dormait dans les toilettes de son école car il n’avait pas de logement et que l’assistante sociale lui avait dit qu’elle

s dans les toilettes publiques et nous ne pouvions lui proposer qu’un logement pour une nuit... C’était un peu difficile de le l

ie de double écoute est assez révélatrice du manque de place pour les logements sociaux, l'écoutante m'a expliquer énormément de

Cette aide ne peut quasiment pas être apportée (limite des places de logements ) et reste à l'appréciation de l'écoutant. Assez d

rir des situations très variées, entre signalements et maraude, café, logement , problèmes médicaux, problèmes sociaux... ayant t

ue j'imaginais à la base (réfugiés politiques, travailleurs mais sans logement , etc.). La maraude a également été une une expéri

eux des solutions, certaines personnes n'appelant pas pour trouver de logement pour la nuit mais demandant des renseignements po

alheureusement on ne peut dans la plupart des gars aider à trouver un logement que pour une nuit... J'ai aussi pu voir ce qu'éta

urs et ce pendant plusieurs heures le 115 dans l'espoir de trouver un logement pour la nuit. Pour le froid, mais pas seulement ;

bébé de 3mois qui sont dans la rue depuis 2 semaines et demandeurs de logement , a la personne à la rue depuis 15ans qui demande

sexuelles. Et celui rempli de menaces d'une femme dont la demande de logement n'avait pas été pourvue. Pour ce qui est de la ma

aux plus démunis, leur apporter de la nourriture, des vêtements et un logement pour la nuit. Il a énormément plu cette nuit et d

personnes qui viennent à la rencontre du samu social pour demander un logement pour la nuit, et malheureusement se voit refuser

s des usagers ( clochardisation depuis 10 ans, migrants en demande de logement , usager rélevant de la psychiatrie et qui trouve

e. Nous avons parcouru des rues de Paris et avons pu leur trouver des logements pour la nuit. C'est une bonne expérience.

ubit une agression sexuelle, celle-ci était alors à la recherche d'un logement . L' écoutant lui avait conseillé d'aller voir un

ale, alors que "tout allait bien avant", qu'ils avaient un métier, un logement , une vie normale.. Au-delà de ces récits quasimen

ependant, ils insistent tous sur le fait qu'il s'agit de proposer des logements d'urgence, voire de commencer les démarches socia