n de l'utilité du Samu Social au moment dans la double-écoute lorsque
la plupart des
demandes de logement pour la nuit sont refusées f
Etant donné que nous sommes en été,
la plupart des
gens n'ont pas de problème de froid. Lors de notr
avons rencontré des personnes sur notre route, ce qui nous a retardé.
La plupart des
gens sont tous connus du SAMU social, ils ont tou
gement. Lors de la tournée dans le camion, j'ai ainsi pu constaté que
la plupart des
arrêts se soldaient par une impossibilité à subve
la plupart des arrêts se soldaient par une impossibilité à subvenir à
la plupart des
besoins : pas d'hébergement disponible pour la nu
la plupart une place en centre pour la nuit, de même dans le camion,
la plupart des
personnes demandant une place ont pu en avoir une
de savoir comment relationner avec elle. Ce qui m'a frappée c'est que
la plupart des
personnes rencontrées étaient contentes de nous v
ressante, mais c'est dommage qu'on n'y ait participé que la nuit, car
la plupart des
personnes sans abri dormaient, donc nous avons éc
s sociales étaient peu marqués, certains était même plus généreux que
la plupart des
personnes, mais ce qui m'a aussi beaucoup touché
f, j'ai été affecté à une équipe de "maraude", tout s'est bien passé,
la plupart des
sans-papiers que nous sommes allés voir ont été e
droit qu'ils connaissent, un peu comme leur "maison". Le contact avec
la plupart des
SDF s'est bien passé, ce sont des gens comme tout
, dans le métro, et s'habituer à ce paysage de misère est normal pour
la plupart des
gens. La nuit de maraude nous fait rentrer dans l
'être un travail facile et réjouissant. Et voir comme ils connaissent
la plupart des
sans-abris, leur lieux de vie et leur histoire, c
ieurs personnes au téléphone, qui appelées pour avoir un hébergement.
La plupart des
"interlocuteurs" étaient connus, c'est-à-dire qu'
eçu les places pour les hébergements que vers 19h15, heure à laquelle
la plupart des
interlocuteurs re-appellent pour avoir un abris.
ourage de sortir de son isolement et d'aller en avant. -Par ailleurs,
la plupart des
personnes qu'on a rencontré dormaient et ne voula
ntroduction au fonctionnement du samu social. Cela est dû au fait que
la plupart des
appels que j'ai entendus étaient des appels pour
yens pour construire de nouveaux refuges de qualité, car actuellement
la plupart des
centres sont de grandes salles où les personnes s
Cette garde était une très bonne expérience sur le plan humain.
La plupart des
sans abris étaient adorables et échanger avec eux
les missions du samu social, de voir et aider les gens que nous, pour
la plupart des
gens, ignorons dans la vie quotidienne. Ça fait p
AMU Social. La misère du monde est aux portes du camion. Étonnamment,
la plupart des
personnes que l'équipe que je suivait a recueilli
i été étonnée de voir que le personnel pendant la maraude connaissait
la plupart des
SDF, leur prénom, leur situation, leur histoire.
e était intéressante et il y a eu beaucoup d'appels. Malheureusement,
la plupart des
personnes qui appelaient n'ont pas pu avoir de li
on d'être vraiment utile, je me sentais bien. Les équipes connaissent
la plupart des
sans-abris et une véritable relation existe entre
maraudes. J'ai malgré tout été étonné quelque peu frustré de voir que
la plupart des
solutions proposées sont de rappeler le 115 encor
orment à l’extérieur. En effet, il existe bien des centres pour loger
la plupart des
personnes cependant quand on voit la qualité de l
fet, la démarche du SAMU social va dans un sens opposé à celui qu'ont
la plupart des
personnes au quotidien, qui consiste plutôt en l'
r moi, étaient enfait ceux que j'appelais "clochards"... et bien non,
la plupart des
SDF sont des gens comme vous et moi, dont vous ne
is imaginé, assez joyeuse, l'équipe connaissait le nom et le passé de
la plupart des
personnes vivent dans la rue et était très patien
es). Quand nous sommes partis en maraude après l'écoute téléphonique,
la plupart des
places en hébergement avaient déjà été attribuées
ir rencontrer davantage de personnes pouvant exprimer ses sentiments,
la plupart des
SDF rencontrés étant étrangers ou trop alcoolisés
SAMU SOCIAL avait plus de propositions à faire à ceux qui appellent.
La plupart des
gens qui ont appelé cherchaient un endroit pour d
ntres d'hébergements. Les gens travaillant au SAMU social connaissent
la plupart des
sdf et le lieu où ils vivent, ils sont vraiment i
le caractère humble des personnes dont j'ai pu faire la connaissance.
La plupart des
personnes que nous avons rencontrées se contentai
rent comme tout le monde... et sont souvent chaleureux, bien plus que
la plupart des
gens que nous croisons chaque jour. Une soirée gr
ent disponibles pour autant de demandes. Les places partaient vite et
la plupart des
réponses données aux personnes appelant au 115 et
la double écoute très interessante mais également très frustrante car
la plupart des
personnes appelant le 115 sont à la recherche d'u
rd pendant la maraude est le manque d'endroits où passer la nuit pour
la plupart des
sans abris comparé au nombre de personnes le néce
Paris donc nous avons surtout ramené les gens au centre de Montrouge.
La plupart des
personnes ramenées sont ivres mais il y avait un
t mais peut également être difficile car il y a très peu de places et
la plupart des
gens qui appellent n'ont pas de logements pour la
demandaient à être logées en centre d'hébergement, car je pensais que
la plupart des
«sans domicile fixe» refusaient, c'était ce que j
C'est le froid, la faim, la pluie, la détresse, la solitude alors que
la plupart des
gens sont bien au chaud chez eux. J'ai été frappé
rsonnes isolées dans la rue pour une évaluation social et infirmière.
La plupart des
personnes rencontrées refusent une nuit dans un c
compte de la réalité sociale dans laquelle nous vivons et à laquelle
la plupart des
étudiants ne font pas attention le reste du temps
ssi le rôle du SAMU SOCIAL, indispensable! Ils connaissent d'ailleurs
la plupart des
personnes qu'on rencontre et auxquels on apporte
importance de l'action du Samu social. Dans la vie de tous les jours,
la plupart des
gens passent à coté des sans-abris sans même leur
nd même assez nombreuses, mais j'ai été très surprise par le fait que
la plupart des
personnes rencontrées pendant ma garde ont refusé
dant leur transport vers les centres d'hebergement. J'ai constaté que
la plupart des
gens sont des habitués et donc connus des travail
'il marche dans la rue voit ce qui se passe. Je retiendrai 2 choses :
la plupart des
gens sont des gentils, une soupe chaude + 1 duvet
quée par l'implication des membres de l'équipe qui connaissaient déjà
la plupart des
personnes que l'on nous signalait, les reconnaiss
n réel intérêt pour saisir l'ampleur des efforts qu'il reste à faire.
La plupart des
usagers qui appellent pour obtenir une place dans
ns (et pas de maraudes à proprement parlé car au vu du mauvais temps,
la plupart des
personnes étaient allées s'abriter et n'étaient d
de façon approfondie au cours d'un appel. En plus, je pense que comme
la plupart des
gens, j'avais certains préjugés à propos de ces p
uniquement, les travailleurs du 115 connaissent personnellement bien
la plupart des
SDF de la ville (le logiciel informatique permet
au besoin immédiat de dormir au chaud. J'ai été surprise de voir que
la plupart des
personnes que l'on abordait dans la rue refusaien
me rend compte que, ce n'est pas "la place" en centre qui compte pour
la plupart des
appelant, c'est un RDV pratiquement quotidien, un