Pendant la maraude nous avons eu un signalement d'un
jeune
qui attendait devant une boulangerie ( la seule o
vant une boulangerie ( la seule ouverte la nuit) pour avoir chaud. Ce
jeune
venait d'arriver sur Paris depuis Marseille où il
mais je n'en aurais pas imaginé une telle quantité, hommes ou femmes,
jeunes
et moins jeunes, errant dans un froid mordant. J'
ais pas imaginé une telle quantité, hommes ou femmes, jeunes et moins
jeunes
, errant dans un froid mordant. J'ai beaucoup de r
pas senti délaissé. J'ai été particulièrement touché par un scène: un
jeune
sans-abri (une vingtaine d'année) demandaient une
uste. Bien sûr ça ne s'est pas passé en même temps devant les yeux du
jeune
sans-abri.
ait pas lui donner cette place. Ces arguments étaient notamment qu'un
jeune
de 19 ans n'avait pas sa place au SAMU social sur
s travail. Finalement après l'intervention d'un autre coordinateur ce
jeune
à eu une place en hébergement. Je rejoins pour ma
e vue de l'écoutant j'aurais trouvé dommage de devoir attendre que ce
jeune
atteigne la trentaine et perde son travail avant
rs personnes, plus ou moins sympathiques, dont notamment un couple de
jeunes
. Ces 2 jeunes (18 ans ) étaient accompagnés de 2
plus ou moins sympathiques, dont notamment un couple de jeunes. Ces 2
jeunes
(18 ans ) étaient accompagnés de 2 chiens et vena
ans ) étaient accompagnés de 2 chiens et venaient d'Angers. Voir deux
jeunes
personnes comme celle ci nous pousse à nous poser
Ce qui m'a le plus marquée pendant cette garde était l'âge très
jeune
des personnes appelant le SAMU Social. Certains a
le SAMU Social. Certains avaient mon âge, d'autres étaient même plus
jeunes
. Le pire était l'appel de familles avec des enfan
née par la diversité des profils de ces individus. On y rencontre des
jeunes
, des personnes âgées, chacun. e avec sa propre hi
des personnes âgées, chacun. e avec sa propre histoire, en passant du
jeune
immigré fuyant la guerre en Syrie, au vieillard s
richissante sur le plan humain. L'équipe était vraiment très sympa et
jeune
. Bien intégré dans l'équipe directement. Des mome
eu l'occasion de rencontrer des gens aux profils très différents. Des
jeunes
(beaucoup de jeunes, on réalise alors la chance q
contrer des gens aux profils très différents. Des jeunes (beaucoup de
jeunes
, on réalise alors la chance qu'on a), des moins j
s (beaucoup de jeunes, on réalise alors la chance qu'on a), des moins
jeunes
, des femmes avec des enfants... Beaucoup d'entre
une relation solide est déjà installée. J'ai vu beaucoup de gens tres
jeunes
ce qui m'a touché. Certains refusent l'aide et le
'entre eux m'a tout de suite touchée. C'était la première fois que ce
jeune
Hongrois d'une trentaine d'année, en France depui
et ne parlant ni le français ni l'anglais, contactait le SAMU SOCIAL.
Jeune
, propre, beau, ancien athlète en Hongrie comme on
fou qui ancre nos clichés. Enfin dans nous avons eu un appel pour un
jeune
de 14ans qu'on a du amener au commissariat. Une f
e jeune homme perdu, venant d'arriver en France et de l'autre côté un
jeune
issu de milieu Bourgeois venu déclaré le vol de s
Une chose qui ma particulièrement marqué c'est une
jeune
femme qui avais arrêté notre camion à notre passa
les traits fatigués et triste, elle marchais seule avec un petit sac.
Jeune
et habillée comme beaucoup de femmes de son âge,
italier. Ici nous retrouvons des personnes, étrangères ou françaises,
jeunes
âgées, qui essaient de se débrouiller tous les jo
lade et en état d'ébriété. Pendant la maraude nous avons récupérer un
jeune
iranien qui était arrivé en France un mois avant
ent un logement pour la nuit. La personne suivante en revanche est un
jeune
qui a été signalé par des passant et qui ne souha
m'a le plus marqué dans cette nuit c'est de voir des sans abris très
jeunes
(< 25 ans) et qui ont envie de s'en sortir mai
première aventure sociale. J'ai été marqué par une rencontre avec un
jeune
d'une vingtaine d'années qui depuis 3 ans vivait
es SDF habitués du SAMU social. Ce qui m'a impressionnée, c'est l'âge
jeune
des SDF... et je ne savais pas que certains avaie
on de voir autrement. Ce qui m'a choqué, c'est le nombre important de
jeunes
de notre âge qui sont contraints de vivre dans la
eu plusieurs appels dont un concernant une famille ukrainienne avec 2
jeunes
enfants, arrivée en France depuis 15 jours, ne pa
uchée par le nombre de personnes dans la rue, et surtout le nombre de
jeunes
, de mon âge ou presque, alors qu'il n'y a que peu
Des gens de tout type sont aidés par le samu social :
jeunes
, femmes, personne en grande détresse, handicapés
courage, d'écoute. On voyait des personnes de tout âge voir des très
jeunes
, ce qui pouvait dérouter un peu.
Rencontre avec une
jeune
femme en maraude, épileptique et victime d’un vol
amilles pour lesquelles il y a très peu d'hébergement: par exemple un
jeune
couple avec un bébé d'1 an que nous avons rencont
m'a marquée était la rencontre par hasard en passant en camion d'une
jeune
femme dans la trentaine logeant sur le trottoir.
es qui n'appellent que pour un peu de soutien... Les "écoutants" sont
jeunes
et tentent de prendre certaines situations avec l
infirmière, douce et attentionnée. Nous avons notamment rencontré une
jeune
femme d'une trentaine d'année, à la rue depuis se
rue ne lui aura pas laissé cette honneur. Puis il y a eu ce groupe de
jeune
eux aussi, connus du samu. Ils étaient 3 et voula
eur il doit avoir froid", son père ne réagissant pas, elle à tendu au
jeune
son écharpe rose qui l'a remerciée mais lui a dit
insister, devant tant d'insistance, son père pris l'écharpe et dit au
jeune
"prenez là s'il vous plait, j'espère qu'elle vous
de fête. Une des choses m'ayant le plus marquée a été l'histoire d'un
jeune
garçon qui devait avoir mon âge, en conflit famil
par le fait que les 3 premières personnes qui ont appelé étaient plus
jeunes
que moi, dont un qui arrivait de Chine avec sa fe
it très intéressante bien qu' alarmante puisque nous avons ramasser 3
jeunes
en situation précaire "propres sur eux" de mon âg
famille, triste mais combattant, déterminé et débrouillard malgré son
jeune
âge . Par ailleurs, je me suis rendu compte que l
la première personne que j'ai vue lors de ma maraude. Il s'agit d'une
jeune
guinéenne de 29 ans qui est venue en France pour
mais revenue. Elle avait gardé son passeport et tout son argent... La
jeune
femme a réussi à aller à l'hôpital le plus proche
e l'absence de couverture sociale, ils ne pouvaient pas la garder. La
jeune
femme est donc ressortie avec une ordonnance de T
n centre, l'écoutante lui a proposé une place dans un centre, mais la
jeune
femme préférait dormir dehors plutôt que d'être s
taines réalités, notamment le nombre impressionnant de familles et de
jeunes
enfants dormant dans la rue en plein hiver. Je pe
situation qui m'a particulièrement marquée a été l'aide apportée à un
jeune
migrant de 16 ans! Normalement, la maraude ne pre
as en charge les mineurs et on les emmène juste au commissariat... Le
jeune
avait été refusé par la croix rouge pour le logem
ise de découvrir que la majorité des personnes qui appelaient étaient
jeunes
(20-30 ans). Ensuite je ne savais pas qu'il exist
ères qui s'étaient signalées. La plupart étaient des familles de gens
jeunes
avec des enfants en bas âge. Ils vivaient dans la
sent dans les rues de la capitale. J'ai été surpris de voir autant de
jeunes
, isolés de tout ainsi que des nouveaux retraités
amu social lorsque que nous nous sommes retrouvés face à un groupe de
jeunes
SDF d'une trentaine d'années très alcoolisés, ass
é frappée par le nombre d'appels de personnes en détresse, et du très
jeune
âge de celles-ci parfois. Les deux premiers signa
ouvenir le plus marquant de cette soirée fut la prise en charge d'une
jeune
femme, mère de 2 enfants ,qui avait été battue pa
ors par manque de place, les supplications de certains car ils ont de
jeunes
enfants.... C'est très difficile. On se sent asse
rançais, certains ne savent même ni lire ni écrire, des familles, des
jeunes
de 18 ans déjà à la rue,...).
l y en a une en particulier que je n'oublierais pas. C'est celle d'un
jeune
de 23 ans qui a appelé le 115 pour trouver un héb
. Je me souviens lors de la maraude que l' équipe a pris en charge un
jeune
tchèque voulant travailler chez EMAUS, présent de
Très bonne expérience pour un externe et même en général pour un
jeune
. Bonne organisation de la garde avec la double éc
pas forcément dans la rue et qui ne sont pas des grands exclu, ex un
jeune
de 18 ans en conflit familial étant sur Paris dep
de rencontrer des personnes très différentes (sortie de prison, tox,
jeunes
, SDF depuis plusieurs années). Cette expérience r
a première partie de cette garde, j'ai répondu au téléphone avec deux
jeunes
femmes. Je suis très admirative de l'empathie et
écoute. Tout d'abord j'ai été surprise du nombre de familles avec des
jeunes
enfants qui dorment dans la rue. On n'imagine pas
lors de la double écoute j'ai été touchée notamment par le cas d'une
jeune
femme qui devait se prostituer afin de pouvoir se
exclus de la soiciété nous avons récupérés deux femmes (dont une plus
jeune
que moi, ça fait énormément de peine) qui travail
ces à pourvoir -la diversité des personnes appelant le 115 (personnes
jeunes
avec parfois un emploi, en cours de régularisatio
Il est 19h30 je suis en double écouté à la régulation, une
jeune
femme d'une trentaine d'année appelle. Elle est é
r les aider. J'ai également trouvé qu'il y avait pas mal de personnes
jeunes
vivant dans la rue.
ec un homme bulgare dormant sous un porche. J'ai pris un café avec un
jeune
roumain qui vendait des fleurs à la sauvette et q
questions. Le premier signalement que nous avons eu était celui d'un
jeune
couple de 18 ans, à la rue depuis plus de 3 mois.
nt critiques. Pendant la maraude, nous avons surtout vu des hommes +-
jeunes
dont certains ont pu être ramené en centre d'hébe
fixe et surtout par l'âge de celles-ci qui peuvent parfois être très
jeunes
... J'ai apprécié pouvoir parler à ces personnes q
éphoniques. J'ai, en effet , fini en larmes en entendant l'appel d'un
jeune
de 19 ans, "mis dehors " par ses parents, qui ont
n de lui venir en aide si besoin, et qu'il s'agissait d'un couple, de
jeunes
, de mon âge... c'était vraiment marquant. Ce qu'a
nsons connaitre. Dans cette ville nous voyons tous tous les jours des
jeunes
, des vieilles personnes se reveiller ou s'endormi
r intéressante, qui devrait d'ailleurs être obligatoire pour tous les
jeunes
de France. Ça change complètement la vision qu'on
lors de ma double écoute de tomber uniquement sur des personnes plus
jeunes
que moi ! Je me suis retrouvée avec des personnes
touché c'était une famille de deux sœurs avec 3 enfants dont le plus
jeune
avait 1 mois. La mère était malade, fiévreuse, et
qui est très bien. On rencontre tout types de personnes. De la femme
jeune
avec un bébé de 3mois qui sont dans la rue depuis
la nuit (pour des raisons diverses) . Nous avons ensuite rencontré 3
jeunes
à qui nous avons pu proposer des places en centre
pu rencontrer plusieurs profils différents de personnes à la rue, des
jeunes
, deux frères, des femmes plus âgés, un homme avec
e peu agréable. Seulement 2 personnes (un homme très alcoolisé et une
jeune
femme avec son enfant) sont montés dans le camion
utants pouvaient être amenés à conseiller à des mères isolées avec de
jeunes
enfants de se mettre à l'abri pour la nuit dans l
bonne ambiance! J'ai particulièrement été touché par l'histoire d'un
jeune
syrien d'une vingtaine d'années que nous avons pr
lcoolisées. Ca m'a permis de me rendre compte qu'il y avait aussi des
jeunes
, des personnes âgés, des enfants, des femmes ence
d'hébergements sont-ils réellement une aide lorsqu'on conseille aux "
jeunes
" sans abris de ne pas s'y rendre par manque de sé
marqué est la maraude et la diversité des personnes qui y font appel (
jeune
femme de 18ans, etrangers, travailleurs pauvres,
discuté avec un certain nombre de personnes sans domicile, allant du
jeune
allemand lisant sur un coin de trottoir au migran
d qu’il a 18 ans et cela m’a fait réagir car il était quatre ans plus
jeune
que moi, et je ne m’y attendais pas. La deuxième
icultés. Lors de la double écoute cela m'a beaucoup touché lorsque de
jeunes
personnes ( 40-50 ans ) appellent pour demander u
tte nuit j'ai appris ce qu'était le samu social de Paris. J'ai vu une
jeune
femme ancienne toxicomane totalement désoeuvrée,
équipe de 3 personnes : une travailleuse sociale, un chauffeur et une
jeune
infirmière. Nous sommes allés au contact de plusi
n autre oeil. Le contraste est particulièrement saisisant , entre les
jeunes
parisiens qui sortent s'amuser, et les sdf , seul
r en équipe à travers les rues de Paris, à la rencontre des SDF. Plus
jeune
, j'avais déja eu l'occasion de participer à des M
r beaucoup d'idées recues sur les SDF: beaucoup d'entre eux sont très
jeunes
(a peine 20 ans), en rupture complète avec leurs
n un homme assez âgé connu depuis très longtemps des équipes, que des
jeunes
passant leurs premières nuits dehors, ou d'autres
is la situation qui en resultait m'a bouleversée. J'ai bien vu que la
jeune
femme qui travaillait avec moi partageait mes sen
elater une histoire, le premier appel à l'aide que nous avons eu: une
jeune
angolaise réfugiée derrière une porte d'immeuble
personnes ont. Un moment que je n'oublierais jamais: on a emmené une
jeune
femme (elle devait avoir mon âge) dans un centre
e pour certains de se trouver un toit, chaque nuit (exemple commun++:
jeune
femme avec un enfant en bas âge ne trouvant pas o
audrait qu’un stage obligatoire d’une semaine soit fait pour tous les
jeunes
pour qu’ils apprennent la vie ! » J’ai été beauco
e pour la nuit. Un signalement est arrivé dans la nuit, fait par deux
jeunes
qui aidaient un homme dans la rue. Nous y sommes
t d'un sdf "errant" dans la ville. L'équipe était très sympathique et
jeune
, de même que toutes les personnes à qui nous somm
ir. L'autre chose, que je garde en mémoire est le nombre important de
jeunes
à la rue, que nous avons croisé et demandant seul
i neuf), qu'il essaya de vendre pour cinquante euros. Il rencontra un
jeune
défavorisé, à qui il a voulu vendre le vélo pour
durant le briefing de 20h. Je me suis retrouvée dans une équipe de 3
jeunes
qui n'avais pas encore tous eu l'occasion de trav
sympatique. J'ai découvert les différents visages de la précarité, du
jeune
de 19 ans venu en France pour une vie meilleure,
se ( famille , couples , demandeurs d'asile , personnes handicapées ,
jeunes
) Certains appels sont frappants car ils nous mon
t de deuxième maraude (je pense que nous considérant comme des petits
jeunes
, ils nous accordent le droit de rentrer plus tôt)
es hommes sans emploi, sans papiers, imbibés d'alcool, mais aussi des
jeunes
de mon âge, qui sont en formation ou parfois même
i et, au fil de la nuit, j'ai rencontré des personnes de plus en plus
jeunes
et de plus en plus démunies. Cette expérience a r
du jour au lendemain pour tout le monde et à tout âge (rencontre d'un
jeune
père de 24 ans dans la rue après avoir été abando
sont dans des situations critiques. C’etait par exemple le cas d’une
jeune
femme de 20 ans qui venait d’être mise à la rue p
ain. Ce qui m'a le plus marqué c'est que pendant la double-écoute une
jeune
femme d'à peu près mon âge a appelé pour pouvoir
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