sent dans nos services sans qu'on puisse réellement les comprendre ou
imaginer
ce qu'ils vivent. La garde est comme on se l'imag
s comprendre ou imaginer ce qu'ils vivent. La garde est comme on se l'
imagine
, elle nous montre ce qu'on doit voir et pour cela
pas mal de gens et avons pu les aider plus facilement que je n'aurais
imaginé
. Étant donné que c'était une nuit d'été où il fai
bien et c'était une bonne ambiance qui régnait à chaque rencontre. J'
imagine
que l'hiver les conditions sont très différentes.
essante. J'ai pu constaté un aspect tout à fait différent de ce que j'
imaginais
, un aspect très humain. Un grand bravo aux équipe
és. Je savais l'importance de la misère sociale a Paris, mais je ne l'
imaginais
pas ce point.
la garde au samu social n'a pas du tout été comme je me l'
imaginais
. Plus un moment de rencontres et de partage, qu'u
Cette garde était très intéressante, en effet je ne m'
imaginais
pas bien le rôle exact du samu social! J'ai égale
ur le plan moral mais en même nous confronte à une réalité que l'on n'
imagine
pas toujours.
La garde au samu social fut exactement comme je me l'
imaginait
: les employés sont vraiment investis et des pers
à-vis du SAMU social et des personnes à qui elles venaient en aide. J'
imaginais
des personnes beaucoup plus en détresse mais une
est très bien reçu et présenté au briefing de 20h. Dans le camion, j'
imagine
que l'ambiance doit énormément dépendre de l'équi
s comme il y en avait beaucoup. J'ai vu beaucoup de côtés que je ne n'
imaginais
pas aussi fréquent lorsque l'on vit dehors notamm
vers et entre les sdf. La plupart n'étaient pas agressifs alors que j'
imaginais
qu'ils le seraient plus même si une fois je ne me
! La double écoute m' a particulièrement surprise, je n'aurais jamais
imaginé
qu'autant de familles avec enfants en bas âge fai
nts défavorisés que l'on voit à l'hôpital, dont on a parfois du mal à
imaginer
les conditions de vie et les difficultés. De plus
ersonnes en situation difficile sont bien plus nombreuses que je ne l'
imaginais
, que les raisons de cette situation sont égalemen
lus démunis. Ceux-ci sont encore une fois plus importants que je ne l'
imaginais
, même si les choses étant telles qu'elles le sont
ivité dont j'avais déjà maintes fois entendu parler mais dont je ne m'
imaginais
pas pleinement le quotidien. J'en garde un souven
ne hors du commun. C'est une plongée dans un monde que l'on ne peut s'
imaginer
et que des beaux discours ou des reportages télé
ile, hébergés par le samu social. C'est donc une très bonne manière d'
imaginer
la manière dont ils vivent en dehors de l'hôpital
ment c'était très enrichissant, Ca nous confronte à une réalité qu'on
imagine
pas forcement ou du moins pas comme ça, et à une
C'est une garde très enrichissante. Au lieu de s'
imaginer
la misère comme tous les jours, nous sommes plong
permis de découvrir une partie du travail social et médical que je n'
imaginais
même pas. Un travail de terrain important et diff
u'elle dormait dans le métro et faisait face à des problèmes que je n'
imaginais
pas être la première préoccupation d'un sans abri
tiques sociales que posent certaines personnes malades, que l'on ne s'
imagine
pas au 1e abord. J'ai été marqué par l'expérience
n en percoit l’ampleur et l’étendue. Le quotidien raconté, comprit et
imaginé
des gens de la rue nous touche et nous meurtrit t
s en allant travailler, dans le métro, etc... mais je n'en aurais pas
imaginé
une telle quantité, hommes ou femmes, jeunes et m
vec la misère social est déjà fréquent en milieu hospitalier 3 : Je n'
imagine
pas en quoi passer cette nuit somme toute assez i
bre de familles avec des jeunes enfants qui dorment dans la rue. On n'
imagine
pas qu'une grande partie des personnes sans domic
coute ou la maraude, je me suis sentie (comme beaucoup d'entre nous j'
imagine
), frustrée de ne pas pouvoir faire plus pour eux.
Début de la vague de grand froid. Difficile de s'
imaginer
dormir dehors par ce temps là. Et pourtant, ce fu
gera du froid, et j'aurai l'air d'un des leurs comme ça" mais je ne m'
imaginais
pas à ce moment là que je me sentirai autant part
d'avoir affaire à un panel d'usagers bien plus large que celui que j'
imaginais
à la base (réfugiés politiques, travailleurs mais
ssante, passionante mais néanmoins éprouvante.. On peut difficilement
imaginer
ce que vivent ces personnes tous les jours ( entr
e plus grand qui devait avoir 3 ans portait des sandales. J'osais pas
imaginer
le froid qu'il devait ressentir.
'appels que recevait le 115 et l'écoute des situation m'a permis de m'
imaginer
un peu ce qui m'attendait pour le reste de la soi
Je garde un bon souvenir de ma garde au SAMU social. Je n'
imaginais
pas du tout l'organisation qui était derrière la
MU social pour avoir un logement. Avant d'aller à cette garde je ne m'
imaginait
pas du tout que je serai confrontée à cette situa
grées enceintes). La maraude a été, contrairement à ce que je m'étais
imaginé
, assez joyeuse, l'équipe connaissait le nom et le
m'ont donné une autre vision de la rue. Une vision bien pour que je l'
imaginais
, et surtout une envie de les aider.
Ce fut une expérience de découverte pour moi. J'
imaginais
le SAMU SOCIAL comme de la médecine bénévole en p
nuit dehors, seuls. Parce que ces conditions de vie que je ne peux qu'
imaginer
, c'est leur quotidien, c'est ce qui leur est fami
sté sur ma faim quant à cette expérience, probablement parce que je n'
imaginais
pas combien la marge de manoeuvre du SAMU social
revoir un quotidien que je ne connaissais pas et que je ne faisais qu'
imaginer
. Tous les gens à qui nous sommes venus en aide ne
de la vie dans la rue même si à mon échelle, je pense que jamais je n'
imaginerais
ce que ça représente vraiment. Toute l'équipe du
part, j'ai pu constaté le manque de moyens attribués à cette cause. J'
imaginais
naïvement le nombre d'hébergements proposés plus
fiter du beau temps ( été ). L'approche a été plus facile que je ne l'
imaginais
. Le contact est très bien passé. La plupart de ce
y en a beaucoup d'associations qui aident les plus défavorisés, je n'
imagine
pas une institution qui soit aussi organisée et s
t empathie face aux SDF, trop souvent ignorés par la société. Je ne n'
imaginais
pas à quel point leur mission était indispensable
ne équipe adorable d'un bout à l'autre. Concernant le double appel, j'
imaginais
que le 115 s'occupait uniquement de trouver un lo
ch beige, chaussures en cuir très bien cirées, il eut été difficile d'
imaginer
qu'une telle personne ne possède pas de chez soi.
eur est clairement posé. La double écoute est le moment où on tente d'
imaginer
l'autre, cette personne qui demande de l'aide. Ra
r au lendemain. Bien sûr, on me l'avait déjà dit, mais je n'avais pas
imaginé
à quel point il suffisait de peu de choses. En re
Comme beaucoup d'autres externes ( j'
imagine
), le patient SDF n'est pas celui dont je préfère
s rues plus loin; pas autant de déni ou d'indifférence que je pouvais
imaginer
. Étonnée par la diversité des personnes, certaine
a garde au Samu social de Paris une nuit d'été plutôt chaude. Et je m'
imaginais
, en m'y rendant, que je ne ferais qu'aller parler
dans la rue à la sortie de l'Hôpital. Cette garde nous permet aussi d'
imaginer
(partiellement) la dure réalité de ce que peut êt
s une chambre) l'angoissait aussi beaucoup. Je ne m'étais pas du tout
imaginé
qu'une telle situation était possible auparavant
soir même. Aucune solution n'a été trouvée pour elle. Elle a donc, j'
imagine
, dormi dehors avec ses deux enfants... Quelques c
n toit où dormir la nuit, des personnes plus jeunes que moi ! On ne s'
imagine
pas à notre âge qu'il y a des adolescents dont le
soir-même. Aucune solution n'a été trouvée pour elle. Elle a donc, j'
imagine
, dormi dehors avec ses deux enfants... Quelques c
ciale et des centres fournissant nourriture, vêtements, et douches. J'
imaginais
également qu'il y aurait une coopération entre le
de faire une garde au samu social ! On "connait" tous, on essaie de s'
imaginer
la pauvreté des gens vivant dans la rue, on la vo
nde de la rue dont je connaissais l'existence sans vraiment pouvoir l'
imaginer
et le comprendre, dans sa diversité de profils qu
Ma garde au SAMU social de Paris s'est déroulée comme je l'
imaginais
. Pendant la maraude, nous sommes allés à la renco
ues en double écoute au 115 juste avant la maraude me reviennent et j'
imagine
les tragédies qui ont poussées chaque personne à
e personne à se retrouver dans la rue. Comment pouvons-nous prétendre
imaginer
ce que vivent ces personnes ? J'ai était frappée
moigne à nouveau d'un véritable climat de confiance qui a nécessité j'
imagine
des années pour être établi. La rencontre que j'a
à quel point il nous est impossible de nous mettre à leur place et d'
imaginer
même vaguement ce qu'ils ressentent tous les jour
démène pour donner procurer des couvertures, la mairie les jettent. J'
imagine
que ce sont les habitants qui demandent ce genre
t cette garde au SAMU social (notamment parce que je n'arrivais pas à
imaginer
le contact avec les sans domicile fixes) mais ell
our tenter d'avoir un place dans un centre pour la nuit, et surtout d'
imaginer
l'angoisse quotidienne de ne pas savoir où l'on v
sonne n’a de difficultés pour se loger quelque part, j’avais du mal à
imaginer
qu’il y avait autant de sans abris dans la ville
côtoyer aux urgences par ailleurs, mais pour laquelle on a du mal à s'
imaginer
leur condition de vie. La double écoute en début
l mais assez pour que je tombe malade. Il est vraiment difficile de s'
imaginer
alors dormir comme eux, dehors, plus ou moins cou
e trajet vers les foyers où on les déposait pour passer la nuit. Je n'
imaginais
pas pouvoir autant m'amuser malgré le spectacle d
e centre. Le centre, beaucoup plus grand et plus luxueux que ce que j'
imaginais
, va non seulement accueillir notre géorgien, le n
du SAMU social m'a été expliqué, je n'en savais pas grand chose, je n'
imaginais
pas que chaque jour des sans abris appelaient pou
e de cette nuit. Chaque SDF a son histoire et je ne peux m'empêcher d'
imaginer
celle de chacun désormais. Cette garde permet de
le samu social , rencontrés dans un contexte autre je n'aurai jamais
imaginé
qu'ils puissent être sans abris c'était assez dés
ble écoute car j'ai été très surprise de son déroulement. Alors que j'
imaginais
ce système dépersonnalisé, j'ai été étonnée de re
out engagées à 100% dans leur mission et non des bénévoles comme je l'
imaginais
. J'ai pu constater tout au long de la nuit l'imme
se rend compte qu'il y a tellement de gens dans la rue, on est loin d'
imaginer
combien... Et j'étais agréablement surprise par c
i sur les "clauchard", il y a de tout, plus de femmes que ce que l'on
imagine
, des jeunes, des immigrés, des français pure souc
nir. Ce qui m'a troublé par la suite, une fois l'appel terminé, fût d'
imaginer
cette maman et son enfant en total désarroi dans
t sur moi et pourtant je sentais le froid, alors que je ne pouvais qu’
imaginer
ce qu’eux pouvaient ressentir) et qui avait appel
du retour, alors que les rues de Paris défilent sous mon regard, je m’
imagine
la camionnette conduite par Mohammed comme une lu
en ce dernier, ils ont lié le leur avec une telle intensité que je m'
imagine
que ces deux histoires individuelles sont indélia
r chaque soir un étudiant en médecine différent, je les aurais plutôt
imaginés
blasés. J'eus la chance d'être dans une Equipe Mo
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