Pendant la maraude on voit deux
hommes
dans une ruelle. On s'arrete, ces 2 hommes etaien
nt la maraude on voit deux hommes dans une ruelle. On s'arrete, ces 2
hommes
etaient tres alcoolisés. L'un d'entre eux etait t
re eux etait tres agressif et a la limite d'etre violent mais le 2eme
homme
voulait bien etre hébergé. Il fallait par consequ
'une des rencontres que j'ai fait cette nuit est celle d'un couple. L'
homme
avait signalé sa femme comme enceinte et vulnérab
lorsque le travailleur social a demandé le certificat de grossesse, l'
homme
a sorti des papiers avec notamment un test aux bê
e a sorti des papiers avec notamment un test aux bêta hcg négatifs. L'
homme
savait qu'ils avaient plus de chances d'obtenir u
été marquée par un sans abris en particulier durant cette garde. Cet
homme
dormait sur ses affaires quand nous sommes allées
venir le voir, il nous a rapidement tendu la main pour la serrer. Cet
homme
s'appelait Armand. Il nous a raconté un bout de s
us a raconté un bout de sa vie, en sortant des photos de son sac. Cet
homme
avait été pompier et militaire, puis avait travai
uriant vivant en Guadeloupe avec sa femme et son fils et celui de cet
homme
seul à la rue dans Paris? Pendant que nous lui do
nous lui donnions un repas chaud et que nous discutions avec lui deux
hommes
marocains qui ne parlaient pas français sont venu
Ne parlant pas français le dialogue était quasi impossible. L'un des
hommes
venait d'Italie et Armand qui restait en retrait
n SDF proposait ses services pour discuter en italien pour aider deux
hommes
à trouver un foyer pour la nuit, alors que lui mê
utre se mêlaient continuellement. J'ai pu en particulier rencontrer l'
homme
le plus heureux qu'il m'ait été donné de voir jus
plus heureux qu'il m'ait été donné de voir jusque là dans ma vie. Un
homme
vivant dans la rue certes mais un homme riche int
oir jusque là dans ma vie. Un homme vivant dans la rue certes mais un
homme
riche intellectuellement et doué d'une réflexion
C'est une chance ineffable de pouvoir plonger dans la profondeur de l'
homme
. "L'homme - dont parle Victor Hugo - tellement ru
chance ineffable de pouvoir plonger dans la profondeur de l'homme. "L'
homme
- dont parle Victor Hugo - tellement ruiné qu'il
e le soleil..." Sauf qu'en ce moment, il ne lui reste que le froid, l'
homme
à la rue. Le SAMU social c'est l'urgence face au
Ils étaient trois, allongés au pied d'une agence bancaire, deux
hommes
et une femme. Le camion s'arrête, les regards se
m de rue. Il y a aussi sa fille, placée en banlieue non loin d'ici, l'
homme
de sa vie qui est quelque part, l'homme de sa vie
en banlieue non loin d'ici, l'homme de sa vie qui est quelque part, l'
homme
de sa vie qu'elle n'a pas revu depuis longtemps,
la face cachée de Paris mais tout de même bien visible. On a mis des
hommes
à l'abri dans des centres et c'est rassurant de s
res et un lieu (romain Rolland) qui m'a agréablement surprise. Un des
hommes
que l'on a pris en charge était en très mauvais é
ements qui lui ont été donnés... C'est satisfaisant de savoir que cet
homme
dormira dans des conditions correctes cette nuit.
J'ai vu une jeune femme ancienne toxicomane totalement désoeuvrée, un
homme
complètement soûl et agressif nous insultant viol
apé ayant fui le Soudan pour trouver un avenir meilleur.. J'ai vu des
Hommes
démunis, des situations délicates très difficiles
t de mon quotidien facile pour me rappeler qu'en bas de chez moi, des
Hommes
souffrent. J'ai adoré cette garde : En amenant de
d'accueil aux urgences où il a fallu de toute évidence accompagner un
homme
souffrant avec des antécédents médicaux important
t. Il est inadmissible d'être aussi irrespectueux sous prétexte qu'un
homme
est un "reclus de la société". Et "Vous lui dites
este tranquille", avec ce mépris évident dans le regard, comme si cet
homme
plié en deux allait lui sauter dessus! Etre à la
lui sauter dessus! Etre à la rue ne dispense pas du respect dû à tout
Homme
; à défaut d'être avenant, on peut au moins être
age de cette soirée qui restera ancrée dans ma mémoire est celle d'un
homme
passant sa nuit dans une cabine téléphonique, le
ssants, la ville de Paris plein feu en résonance avec la radio de cet
homme
sur une mélodie bien connue finissant par : "Ever
rler. Une des premières personnes que nous avons recueillies était un
homme
âgé d'une soixantaine d'années (dans la rue depui
place lui était réservée dans l'établissement Romain Rolland, mais l'
homme
en question ne souhaitait pas nous suivre puisqu'
is arrivés à l'établissement Romain Rolland, nous avons proposé à cet
homme
un repas chaud ainsi qu'une chambre pour pouvoir
é. Cet épisode m'a choqué car je ne comprenais pas la réaction de cet
homme
qui refusait une place au chaud et préférait reto
e nombreuses années) n'avaient plus la même perception des choses : l'
homme
se trouvait plus en sécurité dans la rue que dans
u 115 m'a permis avant tout de passer au-delà de mes préjugés sur ces
hommes
et femmes qui n'ont pas d'autres choix que de viv
tidiennement le 115. Cette nuit la, nous sommes allé à la rencontre d'
hommes
ou de femmes que l'équipe connaissait bien, car c
Stage très intéressant qui nous permet de prendre conscience de ces
hommes
, femmes et familles qui vivent au quotidien dans
échir et prendre conscience des conditions dans lesquelles vivent ces
hommes
et femmes.
gardiens du temple d’or de l’empathie, du réconfort . Dresse entre l’
homme
et son désespoir, vous êtes le dernier rempart en
entre l’homme et son désespoir, vous êtes le dernier rempart entre l’
homme
et la barbarie. Merci pour cette chaleur humaine
Nous avons croisé un
homme
de 33 ans qui vivait dans la rue, seul, assis sur
lui avons proposé de la nourriture, une boisson chaude ou un duvet, l’
homme
a refusé en nous répondant que nous devrions gard
SOCIAL, une rencontre m'a particulièrement marquée, c'est celle d'un
homme
seul sans domicile. Les volontaires avec qui j'ét
le connaissaient déjà, donc on a un peu discuté avec lui, c'était un
homme
assez âgé, qui avant avait un travail, vivait ave
t de maraude, nous avons amené 6 personnes dans différents centres (5
hommes
et seulement 1 femme !), beaucoup d'autres person
ées d'être pris en charge. La situation qui m'a le plus marqué est un
homme
de 25 - 30 ans qui travaillait dans la restaurati
langerie" est un immense refuge assez impressionnant avec plus de 400
hommes
réunis ! En tout cas j'ai beaucoup aimé cette nui
mion. Dehors, c'est une autre histoire. On reçoit un signalement d'un
homme
qui ne souhaite pas d'hébergement pour la nuit, m
r un café peut être, ou une soupe, ou juste discuter. On découvre cet
homme
barricadé dans une cabine téléphonique pour que p
qui a je trouve une connotation pejorative). Premier arret pour deux
hommes
, l'un connu du quartier, fort sympathique et un a
'hebergement). a l'arrivee au centre, nous apprenons que ce matin cet
homme
avait chuté de sa hauteur (puis?) convulsé. pour
jours. Une intervention qui m'a profondément marqué était celle d'un
homme
qui ne pouvait plus marcher depuis 2 semaines. En
oche en l'aidant a se déplacer ce qui était quasi impossible. Voir un
homme
dans un tel état m'a profondément perturbé et m'a
tre manière. J'ai été particulièrement touchée par l'histoire de deux
hommes
qui s'étaient rencontré dans la rue et vivaient e
onc à toutes les affaires qu'ils possédaient. Le souvenir de ces deux
hommes
démunis m'a profondément marquée. J'ai aussi fait
meur. On est tous parti, c était en février, il neigeait. Beaucoup de
hommes
étaient à la rue et certains mourraient à époque.
quartiers selon les signalements du 115. Et lorsque l'on trouvait un
homme
sur la route, on partait à sa rencontre. A t'il f
lui au centre Romain Rolland auquel nous l'avons amené avec un autre
homme
qui cherchait une place pour la nuit. Un signalem
alement est arrivé dans la nuit, fait par deux jeunes qui aidaient un
homme
dans la rue. Nous y sommes allés et comme il rest
Nous sommes allés voir un
homme
qui avait été signalé par un passant dans la rue
é par un passant dans la rue aux alentours de 21H. A notre arrivée, l'
homme
était allongé dans un canapé dans un recoin d'imm
nous. Les pompiers sont arrivés après 10 minutes et ont transporté l'
homme
jusqu'aux urgences.
apporte une autre vision des gens sans abris, et nous montre que des
hommes
et des femmes ne changent pas de trottoir mais au
très accueillante. Cette maraude nous a permi de trouver un toit à 6
hommes
et femmes qui auraient dormi dehors sans l’aide d
nse est le moteur principal de leur travail. Nous avons pu conduire 4
hommes
au foyer de Montrouge. Les choses qui m'ont le pl
ne douche et de le changer. En sortant de la douche, c'était un autre
homme
!! Et quand il souriait il ressemblait à Vincent
pas l'air très cadré. Car comme dit le proverbe : "donne un poisson à
homme
, il mangera un jour, apprend lui a pêcher , il ma
pêcher , il mangera toujours " L'impression que j'ai eu c'est que ces
hommes
et femmes sont dans la rue depuis des années et q
r fait. Mais pendant la nuit nous avons fait des soins d'hygiène à un
homme
qui ne s'était pas douché depuis 10jours et j'ai
ticulièrement marquée, c'était une femme, mariée pendant dix ans à un
homme
qui la battait, ses quatre enfants placés. Elle d
suis restée avec elle jusqu'à sa chambre. Elle a mangé en regardant l'
homme
derrière nous dans le réfectoire. Sa peur était v
age de ces personnes qui n'ont rien et qui survivent malgré tout. Ces
hommes
et femmes dans la rue ne sont pas que des "clocha
dans la rue ne sont pas que des "clochards" dans la rue, ce sont des
hommes
et des femmes comme tout le monde, qui méritent d
as à ce qu'il y ait autant de refus de soins, je pense notamment à un
homme
qui avait tellement d'ascite qu'il n'arrivait plu
efavorisées. J'ai été étonnée de voir qu'il y avait non seulement des
hommes
sans abris mais également beaucoup de femmes que
. La première personne sans domicile que nous rencontrons es un vieil
homme
de 70 ans qui demande spontanément un logement po
es du SAMU social, vers la goutte d'or. Nous prenons en charge un des
hommes
qui est a côté, l'habitué ne souhaitant pas nous
e nous met face à la triste réalité. J'ai rencontré des femmes et des
hommes
avec une étonnante gentillesse, honnêteté, et int
mpagné puisqu'il n'en avait pas envi. Nous avons amené à l'hôpital un
homme
en pré-Délirium Tremens qui nous a appelé car ses
i a rendu Nathalie furieuse : deux pompiers jetant sur un brancard un
homme
ivre tout en exprimant leur exaspération de devoi
gens. Des situations comiques parfoirs au téléphone : une femme ou un
homme
débitant des propos incohérents dans une langue i
n homme débitant des propos incohérents dans une langue inconnue, des
hommes
demandant à leur voisins de leur rappeler leur da
ignalé des personnes se trouvant dans des situations très variées: un
homme
qui avait été incarcéré jusqu'à récemment, une da
qu'à récemment, une dame jeune qui ne parlait que l'anglais, un autre
homme
vivant dans la rue depuis plusieurs années et vic
a permis de voir une autre facette de la société. Vers 2h du matin un
homme
dormait sur un carton dans un sac de couchage imb
l était paraparésique surement dû à une polyneuropathie alcoolique. L'
homme
n'arrêtais pas de dire qu'il voulait qu'on le lai
t les enfants des autres pour gagner plus d'argent. J'ai rencontré un
homme
qui préférait dormir dans la rue que d'aller dans
remière de la soirée a attiré mon attention : la prise en charge d'un
homme
dans le 10eme, bien connu du samu social, qui m'a
n de notre aide. puis nous arrivons place Franz Liszt. Un groupe de 4
hommes
30-40 ans originaires de l'Europe de l'est. Ils s
odeur est difficile à supporter, je m.habitue au bout de 5 min. les 3
hommes
s'endorment comme des bébés dans la chaleur et le
lité, on se croirait presque dans un centre UCPA! Nous déposons les 3
hommes
qui pour les uns discutent autour d'un plat puis
artons dans les rues du 10e. Nous empruntons une impasse... Tiens, un
homme
devant un petit square. Il est grand, mince, port
rs qu'il s'est isolé dans cette toute petite rue. Juste avant nous un
homme
lui a donné 50€. nous lui proposons un café et un
.. Mais ce soir il a de la chance. Nous repartons et retombons sur un
homme
âgé assis sur le rebord d'une fenêtre condamnee.
une expérience humaine intéressante et c'est rassurant de voir tant d'
hommes
et de femmes dévouées à rendre le quotidien d'aut
e des rencontres et de prendre vraiment le temps de discuter avec des
hommes
et des femmes vulnérables que l'on ne sait pas fo
té humaine tout au long de la nuit. Quelle surprise de rencontrer ces
hommes
et ces femmes qui paraissent invisibles dans notr
sentie moins utile lorsque après avoir donné 2 fois de la soupe à un
homme
ivre, celui ci les renverse sur lui. Ou quand un
upe à un homme ivre, celui ci les renverse sur lui. Ou quand un autre
homme
tout aussi alcoolisé nous supplie de lui trouver
trêmement touchée notamment par deux personnes : la première était un
homme
d'une cinquantaine d'année vivant seul sur le tro
e famille sans coeur qui le laisse dormir dehors?). La seconde est un
homme
d'une cinquaine d'année alcoolisé un Master de Ph
sées dans la rue; ce qui m'a le plus touchée, ce sont les regards des
hommes
et femmes qu'on aidait, leur reconnaissance, leur
u'ils manifestaient, et ce malgré leur situation. Je me souviens d'un
homme
à qui on a tendu du matériel pour la toilette ava
ent pour une nuit du "pôle famille", concernant les couples. Certains
hommes
- certes rares - seraient prêts à accepter une pl
r cela, certains écoutants ont décidé de ne pas proposer de place à l'
homme
si une place n'est pas garantie pour la femme. Av
appels téléphoniques au 115. J'ai été particulièrement touchée par un
homme
de 25 ans, arrivé d'Afrique en 2009, qui s'était
d. On lui a conseillé des adresses pour se doucher et dîner, puis cet
homme
a été récupéré par la maraude de nuit, mais je n'
suite, nous sommes partis en maraude. On est d'abord allé chercher un
homme
qui avait été signalé à l'équipe. C´était sa prem
op ce terme avec mendiants. La personne qui m'a le plus touché est un
homme
qui nous attendait à 23h pendant la tournée pour
me pourrait être amélioré, nous n'avions pas réussi à placer un vieil
homme
qui ne pouvait plus se déplacer à cause de douleu
e. Lors de notre dernière maraude dans le 14e nous avons rencontré un
homme
de 70 ans (très) connu du Samu Social, actuelleme
la rue attendent beaucoup d'eux, nous en avons eut l'exemple avec un
homme
qui plus que le café chaud appréciait surtout de
les Restos du Coeur par exemple). Ce qui m'a le plus marqué, c'est un
homme
d'environ 60 ans sur le Parvis de Notre-Dame, qui
suis pas matérialiste, je n'aime pas l'argent" comme il disait). Cet
homme
qui a réussi a vivre dans ces conditions durant t
ude nous avons vu plusieurs personnes dans la rue, principalement des
hommes
. L'expression "aller à la rencontre de ceux qui n
gants ! les leurs étaient en très bon état), un peu de compagnie.. Un
homme
nous a parlé pendant une dizaine de minutes de se
Ma garde au SAMU social, pour moi, ça restera cet
homme
. Seul, aucune affaire avec lui, juste sa bouteill
est inquiet pour Philippe, c'est lui qui a fait le signalement. Notre
homme
est tombé sur la tête à plusieurs reprises aujour
'avoir un toit. Lors de la maraude, nous avons fais la rencontre d'un
homme
d'une soixantaine d'années, avec lequel nous avon
soixantaine d'années, avec lequel nous avons longuement discuté. Cet
homme
m'a beaucoup ému, il nous a raconté son parcours.
, on est parti avec 2 signalements au début fait par des passants , 2
hommes
inconnus. Le chauffeur m'avait bien dit que je vi
ais , donc pas de pression ce qui était vraiment pas mal . Le premier
homme
, ne voulait pas nous parler , avant d'aller voir
i on a pu aussi parler un petit peu, et qui a eu une place aussi. Cet
homme
nous a un petit peu expliquer sa situation , et c
t de les traiter. Pour finir on se rend compte de la situation de ces
hommes
et femmes sans abris ce qui changera certainement
irés. Personne ne savait ce qu'il se passait. Nous avons fait monté 4
hommes
dans le camion afin de les déposer dans le refuge
frappe avant tout c'est que les personnes que l'on rencontre sont des
hommes
, des femmes avec un travail comme nous, une famil
était plus difficile qu'avec d'autres. Une rencontre m'a marquée : un
homme
d'une quarantaine d'année à la conversation riche
mais on n'y fait pas attention. Après cette garde, ce sont devenu des
hommes
comme vous et moi, dignes malgré leur misère et p
Le moment le plus marquant de ma garde était un appel d'un
homme
qui dormait dans la rue depuis 2 mois car sa femm
un grand sourire au lèvre. Après quelques minutes j'apprends que cet
homme
est bien connu des équipes du SAMU SOCIAL qui l'a
éléphone on trouva un hébergement pour le jeune homme. Quand au vieil
homme
à qui on servit une soupe chaude, celui ci refusa
Ce qui m'a beaucoup touché, c'était quand on a rencontré vers 2h30 un
homme
connu de l'équipe mobile qui n'avait pas trouvé d
pouvions pas en donner non plus car les centres étaient complets. Cet
homme
s'est mis à pleurer en disant qu'il ne pouvait pa
ncontrer un usager du samu social qui m'a beaucoup marqué. C'était un
homme
jeune de 30 ans, qui a appelé de son plein gré ca
us nous sommes déplacés avec le camion pour aller à sa rencontre. Cet
homme
souffrait de schizophrénie et était en rupture de
oire, et sommes repartis. Nous avions à peine démarré le camion que 2
hommes
nous ont sollicités successivement, et nous avons
15. Nous sommes ensuite partis à Romain-Rolland pour déposer les deux
hommes
. Arrivés là-bas, Sophie m'a fait visiter le lieu
rents services proposés. Alors que nous nous apprêtions à repartir un
homme
a sollicité Sophie : ce monsieur avait une plaie
us sommes ensuite repartis sur un signalement rue de Chabrol, pour un
homme
de 60 ans, qui était très agité (parce que très a
c mon écoutante, j’ai appris que nous étions passés de 1 femme pour 9
hommes
à 1 femme pour 4 hommes dans la rue, et que les c
pris que nous étions passés de 1 femme pour 9 hommes à 1 femme pour 4
hommes
dans la rue, et que les centres ne s’étaient pas
ptés, certains sont mixtes mais une grande majorité sont réservés aux
hommes
comme la Boulangerie ou la Mie de Pain. Je fus su
Lors de la double écoute, nous avons eu l'appel d'un
homme
qui donnait des nouvelles depuis la première inte
ions de vie sont il me semble très rudes! Une autre rencontre avec un
homme
vivant dans une cabine téléphonique, seul, refusa
n accepté d'être emmenés dans un centre d'hébergement, uniquement des
hommes
. Le plus perturbant, c'est d'être confrontée à la
On nous a signalé un SDF bd de l'Hopital. C"était un
homme
de 52 ans, tuberculeux et terriblement alcoolisé,
é pour moi une nuit passionnante, avant tout pour la rencontre de ces
hommes
et femmes que je croise toute l'année sans avoir
autres sont des oubliées de la rue. Ce qui m'a le plus émue, c'est un
homme
sdf qu'on a aidé à se relever et qui nous a dit :
Nous avons ensuite rencontré plusieurs personnes, majoritairement des
hommes
seuls, à la recherche d'un hébergement. Tous ont
du très faible nombre de places disponibles (seulement 7 places pour
homme
au centre Romain Rolland par exemple). Une femme
avec les gens c'est très enrichissant. Un moment qui m'a marqué : Un
homme
SDF qui veut absolument nous offrir à boire et à
de la détresse plus globale et la peur du lendemain qu'éprouvent les
hommes
et femmes rencontrées. La maraude nous rappelle q
léchissons pas forcément... J'éprouve une sorte d'admiration pour ces
hommes
et femmes qui se battent quotidiennement pour viv
de personne, puis une autre... nous nous sommes retrouvés avec quatre
hommes
réclamant un café. Ce qui m'a embêté c'est que l'
tre hommes réclamant un café. Ce qui m'a embêté c'est que l'un de ces
hommes
était de passage, était bien portant, bien habill
habitants des arrondissements visités. La détresse des femmes et des
hommes
en situation de précarité était évidente, l'indif
de la rue à la patiente aux troubles pyschiatriques en passant par l'
homme
reconnaissant et remerciant "pour tous ceux qui n
plus belle chose que j'ai pu recevoir a été de croiser le regard d'un
homme
à qui nous sommes venus en aide; j'ai saisi toute
emmes, le nombre de femmes vivant dans la rue étant frappant, puis un
homme
blessé handicapé qui gardait tout son courage et
de mon stage aux urgences. Je pense particulièrement à l'un d'eux, un
homme
très soigné : rasé de près et qui paraissait en b
somnolait à moitié dévêtue à même le sol, essayant de se coller à un
homme
, qui lui, dormait profondément sur un matelas. Lo
succès ! Rapidement, les choses se sont envenimés entre la femme et l'
homme
, qu'elle présentait comme son "copain", ou son "a
d'un centre social de proximité vint à notre rescousse, et entraîna l'
homme
avec lui, afin des les éloigner l'un de l'autre.
e avait violé les règles. Elle était donc retournée à la rue avec cet
homme
avec lequel elle entretenait une relation très am
lui trouver une place en foyer pour la nuit, et pour l'éloigner de l'
homme
. Mais à peine l'avait-elle quittée, qu'elle voula
t me conduire lors de situations délicates. Nous sommes allés voir un
homme
à 4h du matin qui était très agressif et qui nous
J'ai été beaucoup touché par un groupe de trois
hommes
qui nous ont arrêté assez tôt, vers 21h, pour qu'
c et m'expliquait les differents moyens qu'il employait pour tuer des
hommes
... Le départ en camion est different...
grand froid. La maraude montrait un autre aspect. Je me souviens d'un
homme
qui a vu le camion du samu social et qui est venu
oins âgés, pour trouver un hébergement, il est dur à comprendre qu'un
homme
de 25 ans pourra dormir au chaud mais que un bébé
équent de rencontrer des personnes. Néanmoins, nous rencontrâmes deux
hommes
, avec qui nous pûmes échanger longuement et cette
s ont été signalées ce soir là, nous avons tout de même accompagné un
homme
qui nous a fait signe en nous voyant au centre d'
ments, permet de mieux réaliser la précarité dans laquelle vivent ces
hommes
et femmes. Ils sont pour la grande majorité d'ent
a une histoire qui m'a assez marquée sur la garde. C'était celle d'un
homme
d'environ la cinquantaine, SDF depuis quelques an
ouver un endroit où loger et se retrouvent souvent violentees par des
hommes
. Je ne pensais pas que tant des cas de ce type ar
: 2 jeunes ont appelé le 115 pour venir en aide au "Père Pierrot" un
homme
vivant depuis 2 ans dans la rue, parlant de lui (
omain Rolland où on l'a examiné et nourrit et laissé pour la nuit. Un
homme
de l'âge de mon père à qui la vie n'a pas fait de
ait très vulnérable (problèmes psychiatriques) et sous l'emprise d'un
homme
. Puis nous avons sillonné Paris de signalement en
t. J'ai pu rencontrer des personnes de tous âges, majoritairement des
hommes
, français ou étrangers (ce qui parfois ne facilit
▲