une ouverture d'esprit sur un corps professionnel que l'on n'a pas l'
habitude
de côtoyer. Les équipes sont très sympathiques et
t j’ai parlé avec beaucoup de gens qui sont sans domicile alors que d’
habitude
je le fais jamais. L’équipe en générale est sympa
vie d'infirmiers et d'assistantes sociales travaillant de nuit. Leurs
habitudes
et leurs habitués, la façon dont ils prévoient le
vais besoin de savoir. J'ai été au contact de gens que je ne cotois d'
habitude
jamais, et ça a été très enrichissant pour moi de
ainement, on voit un côté différent des sans-abris de celui qu'on a l'
habitude
de voir, que ce soit dans la vie quotidienne ou à
fre une approche de la médecine très différente de celle que l'on a l'
habitude
de vivre à l'hopital. La chose qui m'a le plus fa
eur futur métier et de nous confronter à des situations qu'on a pas l'
habitude
de voir en stage à l'hopital. C'est aussi l'occas
nnes les plus démunies de manière différente, alors qu'on a souvent l'
habitude
de passer devant eux dans la rue sans les regarde
des sans abris, les chercher plutôt que les éviter comme nous avons l'
habitude
de faire au quotidien, cela change notre percepti
s que cette garde est très différente de celles que l'on peut avoir l'
habitude
de faire à l'hôpital. Le fait de faire la double
ssement. J'ai donc fait connaissance avec des personnes que j'avais l'
habitude
de voir sans pour autant leur parler ou essayer d
us avons partager des cafés et soupes avec des personnes réticentes d’
habitude
ou au contraire demandeuse. J’ai appris une multi
e médical, en étant confrontés à des personnes que nous n'avons pas l'
habitude
de rencontrer, et zn nous permettant de comprendr
ela faisait plaisir à la personne, qui nous disait être très isolée d'
habitude
. La rencontre s'est terminée lorsque nous lui avo
tal. Les équipes du samu social connaissent bien les usagers et leurs
habitudes
, on découvre une communauté et ses besoins. Des b
C'était une garde très intéressante et différente de ce qu'on a l'
habitude
de voir à l'hôpital, on y voit une détresse humai
'a fait rencontrer. Pas agréable parce-qu'elle nous bouscule dans nos
habitudes
, nos préjugés. Indéniablement enrichissante en t
t une expérience assez enrichissante dans un milieu que je n'ai pas l'
habitude
de rencontrer. Cela m'a permis de voir les choses
e conversation. La connaissance des différentes personnes et de leurs
habitudes
est prépondérante pour une maraude efficace. Mais
s personnes auront plus besoin du travail de ces bénévoles plus que d
habitude
.. On maraude, on roule lentement à cause de cet t
e période où le samu social joue un rôle important, encore plus que d'
habitude
. La nuit a été rythmée par de nombreux allers-ret
ercher du regard les gens dans la rue, de porter intérêt à ceux que d'
habitude
on ne voit pas, est assez touchant. On passe outr
de parallèle, auquel je n'avais jamais fait attention auparavant. Les
habitudes
des uns, leurs problèmes, la complexité de l'impa
rer une population souffrante de maux différents de ceux que l'on a l'
habitude
de voir à l’hôpital. Je constate que la condition
, nous voyons des gens malades tous les jours mais nous n'avons pas l'
habitude
de rencontrer des gens isolés et en état d'extrem
à ne voir que des "clochards alcooliques et alcoolisés" comme j'ai l'
habitude
de les voir aux urgences. En effet j'ai vu une je
respond à une immersion dans un monde que l'on ne fait qu'effleurer d'
habitude
, et par lequel j'ai toujours été intriguée, voire
and-chose, tout en étant encadrés par des professionnels qui en ont l'
habitude
et savent l'aborder. Les mentalités changeraient
est très enrichissante pour nous car très différente de ce qu'on a l'
habitude
de faire/apprendre dans le cadre de nos études. L
ère que l'on côtoie tous les jours. La grande différence, c'est que d'
habitude
on essaye de l'ignorer et on passe son chemin, al
nt suivis de près sur les plans sociale et médicale, qu'ils ont leurs
habitudes
, leurs préférences même. Je renouvellerai volonti
e m'a aussi permis de venir au contact de personnes que je n'ai pas l'
habitude
de rencontrer, et de dépasser certaines appréhens
oyant, j'ai compris que cette garde, différente de celles dont on a l'
habitude
à l'hôpital, m'apprendrait beaucoup.
qui est démuni, désocialisé n'est pas chose aisée. Nous n'avons pas l'
habitude
de nous arrêter dans la rue pour serrer la main a
accueillantes, ils sont prêts à nous expliquer leur pratique et leurs
habitudes
si on s'y intéresse. Pendant ma nuit au SAMU Soci
et au final un petit peu ennuyeux pour un début de d3 où nous avons l'
habitude
d'être actif avec un vrai rôle à l'hôpital ! Peut
ter dans les Urgences de l'hôpital le plus proche, ces derniers ont l'
habitude
d'avoir ce genre de cas.
tte expérience intéressante, cela change complètement de ce qu'on a l'
habitude
de voir dans les hôpitaux. On se rend compte de l
. En revanche je me pose la question pour certains immigrés qui ont l'
habitude
d'appeler le Samu Social pour passer la nuit à la
aient finalement besoins de beaucoup plus d'informations et j'avais l'
habitude
de ce genre d'examens après un stage en Urgences-
e voyions plus les passants, nous cherchions les ombres, discrètes, d'
habitude
invisbles. Ce fut une expérience vraiment très en
té qu'il existait avec les SDF de Paris. Ils sont au courant de leurs
habitudes
, leurs préférences en terme de centres d'accueil,
maraude. Ça a été très enrichissant de côtoyer les équipes qui ont l'
habitude
d'aller à la rencontre de ces personnes. Savoir c
e semblait pas surpris de nous voir arriver, au contraire, il avait l'
habitude
de voir le samu social, de jour comme de nuit, de
able de voir à quelle point l'équipe connait les SDF, leur lieu, leur
habitude
, l'histoire de leur vie... afin de mieux les appr
st au contact de personnes particulièrement démunies que l'on a pas l'
habitude
de cotoyer (un peu dans les hôpitaux quand même),
l'on peut entendre leur lassitude et qui sont dans le système et ses
habitudes
depuis des années sans réelle conviction de s'en
nce humaine enrichissante, permettant de voir ce qu'on voit de loin d'
habitude
. Le fait que les sans abri se confient à nous, no
pe de 6 sdf qui étaient tous ivres mais on sent que les équipes ont l'
habitude
et font tout pour que tout se passe bien. Je suis
rcément être aidées Finalement en étant entourée d'une équipe qui a l'
habitude
on comprend vite que l'important c'est le respect
sent par se connaitre et créer des liens. Chacun à son histoire , ses
habitudes
, chaque cas est unique. Certains reconnaissent le
possibilités de prise en charge des personnes vivant à la rue. On a l'
habitude
aux urgences de voir le "clochard bourré" parler
n bien mauvais état, mais qui fonctionnent encore. Et surtout plein d'
habitudes
bien ancrées, pour faire ses lacets, pour mettre
par leur prénom, leur demandent de leurs nouvelles, connaissent leurs
habitudes
, où les trouver s'ils ne les ont pas vu depuis lo
e dans un camion du samu-social pour aller vers ceux que nous avons l'
habitude
de contourner,de regarder ce que nous choisissons
evaient se situer, et connaissant pour chacun leurs caractéristiques,
habitudes
... En conclusion, c'était une expérience très in
couvrir une population laissée à la marge de la société, que l'on a l'
habitude
de côtoyer aux urgences par ailleurs, mais pour l
Garde très différente des autres que nous avons l'
habitude
de faire à l'hôpital, aux urgences. Au Samu socia
omme des SDF simplement, j'ai appris leur nom, leurs histoires, leurs
habitudes
, on échange des sourires, une poignée de main, on
n café chaud. Cette nuit également nous sommes allés le voir. Comme d'
habitude
il ne voulait pas venir avec nous - même pas aprè
enceinte, le contexte étant absolument différent de ce dont j'ai eu l'
habitude
(pas de médecin, patient migrant après un voyage
lent sur Paris. Ils connaissent tous le monde, les personnalités, les
habitudes
de chacun, et c'est assez rassurant de savoir qu'
permettait de se familiariser avec les modes de fonctionnement et les
habitudes
du samu social (de plus j'ai eu la chance d'être
onnu des équipes qui savent alors où les trouver et connaissent leurs
habitudes
. Ensuite, il y a eut David et son chien, ancien m
e répète-t-il calmement. Il passera la nuit dans le même foyer qu'à l'
habitude
et demain il retournera dans la rue comme tous le