ement et des sanitaires pour prendre soin d'eux même à la sortie de l'
hôpital
. Cela me fait reconsidérer le point de vue, essen
dans la rue, ce qui aide pour le contact qu'on doit avoir ensuite à l'
hôpital
avec les patients. Cette expérience est différent
Cette expérience est différente de toutes celles qu'on peut avoir à l'
hôpital
, et tout à fait complémentaire.
ante et enrichissante. C'est un décor qui est vraiment différent de l'
hôpital
et tout aussi (voire plus) demandant de connaissa
le principe du SAMU social n'etant pas de soigner ces personnes et l'
hôpital
n'ayant pas assez de moyens pour accueillir plus
e en oeuvre pour soigner ces personnes ce qui à mon sens dévalorise l'
hôpital
. Cette expérience restera très enrichissante.
e des situations très précaires auxquelles nous sommes confrontés à l'
hôpital
. Pour finir je voudrais saluer la motivation ains
essant d'aller à la rencontre d'un public auquel on est confronté à l'
hôpital
(aux urgences +++, en hospitalisation aussi) mais
sonnes en difficulté que l'on n'a pas beaucoup le temps d'écouter à l'
hôpital
en temps qu'étudiants. Cela ne peut être que béné
mpas. Rencontrer les personnes qui vivent dans la rue, en dehors de l’
hôpital
, m’a permis de les comprendre un peu mieux. La ma
tés dans leur cadre de vie est une réelle plus-value à notre vécu à l'
hôpital
. Il faut rendre hommage aux différents profession
u social m’a permis de découvrir un autre domaine que la médecine des
hôpitaux
. L’aspect humanitaire était au cœur de cette nuit
de découvrir un aspect relationnel que nous ne voyons pas au sein des
hôpitaux
. Elle permet aussi de nous rendre compte de la di
de maraude permet de se rendre compte de chose qu'on ne voit pas à l'
hôpital
. Le seul bémol de cette expérience eSt que notre
ficiles qu'on n'a pas forcément l'occasion de croiser en pratique à l'
hôpital
. Cela nous permet de prendre en considération des
is a été très enrichissant en offrant une autre vision que celle de l'
hôpital
ou du badin dans Paris. Je garde un très bon souv
ience. Faire sortir les étudiants en Médecine de leur fac et de leurs
hôpitaux
est une très bonne chose et les confronter à ces
é une approche de la prise en charge des plus démunis différente de l’
hôpital
qui fut très enrichissante. Les différentes perso
, ceux sont des personnes que l'on rencontre PArfois au urgence de l'
hôpital
et on ne sait pas toujours comment les aborder .
ant les problèmes sociaux auxquels ont est amené à être confronté à l'
hôpital
et les solutions qui peuvent être amenées. Cela p
risées et sans domicile, que nous sommes souvent amenés à soigner à l'
hôpital
, et avec qui nous avons parfois tendance à être m
s fausse pitié, et de s'en inspirer pour son propre comportement, a l'
hôpital
comme dans la vie. Sur les modalités de la garde,
petit café ! On a notamment transporter un SDF depuis le 105 Bd de l'
hôpital
jusqu'au centre Romain Rolland. Je pense que j'ai
ça, ça change vraiment de tout ce qu'on peut voir tous les jours à l'
hôpital
... D'ailleurs cela m'a vraiment donné envie d'êtr
uand je suis confrontée à soigner une personne sans domicile fixe à l'
hôpital
... malheureusement j'ai bien peur que le cadre de
fixe à l'hôpital... malheureusement j'ai bien peur que le cadre de l'
hôpital
ne soit pas en faveur d'une bonne entente car ces
aider, et qui ont tout leur temps a leur consacrer (contrairement à l'
hôpital
ou c'est plus speed...). Enfin de toute façon je
hissante pour comprendre ces personnes que l'on rencontre souvent à l'
hôpital
dans un cadre totalement différent de leur quotid
oir une prise en charge sociale des personnes en dehors du cadre de l'
hôpital
. L'approche de l'équipe du Samu social est intére
is une ronde de nuit pour aller aider ceux qui en avaient besoin. A l'
hôpital
il n'est pas rare de rencontrer des SDFs, même si
e si souvent ils sont réfractaires aux soins, leur seule présence à l’
hôpital
prouve qu'il cherche encore à se soigner. Ce qui
e versant de ce milieu défavorisé auquel on est confronté souvent à l'
hôpital
. Cela permet de faire face à une réalité qu'on ig
te de celle face à laquelle nous sommes confrontés tous les jours à l'
hôpital
. J'ai éprouvé beaucoup de respect pour les person
gestion de situations complexes que l'on peut également retrouver à l'
hôpital
mais cette fois avec un regard très différent et
tions auxquelles nous ne sommes pas confrontés lors de nos stages à l'
hôpital
. Je trouve que les équipes sont très accueillante
sante, avec une découverte d'une population que l'on connaît bien à l'
hôpital
et beaucoup moins en dehors. J'ai pu parler avec
oncerne la partie sociale que nous n'avons pas l'occasion de voir à l'
hôpital
. Ce fut donc très enrichissant sur le plan person
u'on a l'habitude de voir, que ce soit dans la vie quotidienne ou à l'
hôpital
. Nos principales missions étaient d'amener les sa
aire une idée de quoi faire quand on croise un sdf dans la rue ou à l'
hôpital
. J'ai été un peu déçue par la double-écoute qui n
aux travailleurs sociaux avec qui nous avons très peu de contact à l'
hôpital
. En conclusion, une garde très intéressante et fo
fois aux urgences par Médecin du Monde et amenée par les Pompiers à l’
Hôpital
Saint-Antoine pour malaise sur une hyperkaliémie
une autorisation de délivrance de ce médicament par la pharmacie de l'
hôpital
. Quelques jours plus tard elle se présente aux ur
ce qu'ont le SAMU social et les personnes défavorisées vis à vis de l'
hôpital
". Pour reprendre leurs mots : " L'hôpital n'en a
défavorisées vis à vis de l'hôpital". Pour reprendre leurs mots : " L'
hôpital
n'en a rien à faire de nous, pour eux nous sommes
iqué un diabète de type I et pourtant il était sorti contre-avis de l’
hôpital
dans lequel on proposait de l'hospitaliser. Ça m'
n. Peu m'importe de savoir les aléas de la vie des gens. En stage à l'
hôpital
je parle des dossiers des patients avec l'assista
t des questions auxquelles nous sommes peu confrontés directement à l'
hôpital
. Les membres de l'équipe que j'ai rencontrés étai
cial est selon moi une expérience humaine complémentaire à celle de l'
hôpital
, dans le cadre de nos études. Elle rend compte de
ura le suivi social et l'accompagnement des patients à la sortie de l'
hôpital
lorsque ceux-ci viennent de milieux défavorisés.
lus générale, plus sociale des patients défavorisés que l'on voit à l'
hôpital
, dont on a parfois du mal à imaginer les conditio
aussi), elle nous fait voir un public que nous ne rencontrons pas à l'
hôpital
, elle nous fait aller sur le terrain, loin du con
« d’égal à égal », sans l’effet blouse blanche ou l’effet cocon de l’
hôpital
. Je sentais bien que les travailleurs du SAMU soc
nvers les personnes les plus défavorisées, celles qu’on « évite » à l’
hôpital
. Mais aussi beaucoup de frustration car le travai
ans abris en hypothermie, qui ne veulent pour rien au monde aller à l'
hôpital
. J'ai aussi pu échanger avec les équipes sur l'ac
niser un mini stage au samu social pour certains médecins de certains
hôpitaux
...) Enfin j'ai eu l'occasion de visiter un centre
très différente de celles que l'on peut avoir l'habitude de faire à l'
hôpital
. Le fait de faire la double écoute puis de maraud
ès bonne manière d'imaginer la manière dont ils vivent en dehors de l'
hôpital
et comprendre leurs besoins ainsi que dépister le
aucoup plus sociale que les services d'urgences que nous côtoyons a l'
hôpital
et c'est l'aspect humain qui est mis en avant. Ce
ant pour comprendre ensuite la façon dont ils sont pris en charge à l’
hôpital
. En effet, les SDF que l’on retrouve dans nos ser
ieux comprendre la réalité de la vie des SDF que l'on perçoit peu à l'
hôpital
. Les équipes du samu social connaissent bien les
ide à la personne, particulièrement la personne dans le besoin, que l'
hôpital
! La double écoute au 115 est peut-être un peu lo
est un côté qui doit encore être amélioré dans la prise en charge à l'
hôpital
des personnes défavorisées, moins de jugement sur
comme des patients et pas comme des gens qui cherchent à "dormir" à l'
hôpital
. Dans l'ensemble une très bonne garde, très intér
la rue car il avait trop peur, etc. Au final on l'a déposé devant un
hôpital
, pas devant l'entrée car ils m'ont expliqué que s
ital, pas devant l'entrée car ils m'ont expliqué que si les gens de l'
hôpital
nous voyaient, ils pouvaient se pleindre ou dépos
ple, on a eu un signalement pour un monsieur aux urgences d'un de nos
hôpitaux
universitaires (sans citer le nom) donc nous arri
me racontait les problèmes qu'elle avait à faire accepter un SDF à l'
hôpital
malgré qu'il nécessitait une hospitalisation d'au
onnent et d'avoir des contacts avec les gens de la rue en dehors de l'
hôpital
et au plus proche de leurs soucis. Le concept qui
très intéressante et différente de ce qu'on a l'habitude de voir à l'
hôpital
, on y voit une détresse humaine non liée a la mal
pilepsie durant notre conversation avec lui et nous avons conduit à l'
hôpital
une femme présentant des troubles psychiatriques
ec les démunis que le contact strictement médical qu'on aurait eu à l'
hôpital
, et permet aussi de se rendre compte qu'on peut a
iture, logement...) et c’est peut être ce qui manque parfois dans nos
hôpitaux
. Par ailleurs, je soulignerais comme point négati
ends mieux maintenant les difficultés de nos assistantes sociales à l'
hôpital
. Pour finir je remercie vraiment l'équipe avec qu
isque le suivi médical, obtenir des médicaments ou même consulter à l'
hôpital
est compliqué dans la rue, soit pour une question
,sentiment d'accomplissemnt lorsqu'on envoie une personne blessée à l'
hôpital
... Bref, c'est un monde inconnu de la plupart de
écouvre là une médecine de terrain, loin de la médecine de pointe des
hôpitaux
, où des gestes simples (nettoyage des plaies,etc.
ne très bonne chose nous qui ne voyons pas souvent le côté social à l'
hôpital
(ne restant que le matin). Je trouve que c'était
voir d'une manière différente leurs passages aux urgences et dans nos
hôpitaux
, et surtout de la necessité de les prendre en cha
pour ma formation, car la détresse sociale est aussi bien visible à l’
hôpital
et notamment aux urgences. Je pense que cette gar
is en camion, avec des équipes vraiment motivées. Même (surtout?) à l'
hôpital
, on ne voit pas souvent des gens ayant une telle
l de notre métier car bon nombre de gens en difficulté se rendent à l'
hôpital
pour recevoir des soins. On a pu ainsi découvrir
ous ne connaissent pas la réalité de ces gens qu'on voit beaucoup à l'
hôpital
mais malheureusement peu connaissent la vrai réal
à voir avec la misère que nous voyons pourtant également beaucoup à l'
hôpital
dans les services. Le milieu fait tout. Je trouve
t social et défavorisées hors le contexte de soins que nous avons à l'
hôpital
. Même si nous avons peu été en contact avec eux,
it parfait. Je me sens beaucoup plus a l'aise dans la rue et même à l'
hôpital
avec eux. J'ai vraiment l'impression de mieux les
t il fallait trouver une solution. Au final nous sommes allé voir à l'
hôpital
Saint Joseph en espérant trouver une solution. No
domicile ! Cela m a permis d avoir un regard différent de celui de l
hôpital
où la hiérarchie est assez présente ! C est impor
en détresse social nécessitant des soins au décours de sa sortie de l'
hôpital
). Un événement qui m'a particulièrement marqué ét
uffrante de maux différents de ceux que l'on a l'habitude de voir à l’
hôpital
. Je constate que la condition sociale défavorable
i, qui n'est "pas bien". Celui-ci, en hypothermie, souhaite aller à l'
hôpital
. Étant amputé des deux pieds, il possède un faute
de ma garde, on a notamment pris en charge un usager qui sortait de l'
hôpital
contre avis médical et qui refusait d'y retourner
ue son enfant ait la nationalité française. elle vient de sortir de l'
hôpital
, son enfant a seulement 3 jours et elle est compl
Staff de 20h très surprenant, qui ressemble à une véritable RCP d'un
hôpital
qui serait alors tout Paris, avec des vraies pris
vailleurs sociaux et des infirmiers. On voit un aspect différent de l’
hôpital
de leur fonction ce qui permet de mieux comprendr
ecin est très divers (et pas uniquement ce que l'on voit en stage à l'
hôpital
). Nuit très intéressante qui fait réfléchir sur l
nous est aussi transmis que cette femme s'était enfuie la veille de l'
hôpital
après avoir été été signalée par un psychiatre co
. Puis dès qu'ils se mettent a aborder la journée qu'elle a passé à l'
hôpital
et sa rencontre avec le psychiatre, elle se braqu
ne personne cherchant à minimiser les symptômes pour ne pas aller à l’
hôpital
. Une autre personne était une femme arrivée en Fr
sage temporaire à Paris. Depuis cette incident, elle fait le tour des
hôpitaux
parisiens et sans ressources stables, elle s'est
airement au mauvaises experiences que j'ai pu avoir aux urgences de l'
hôpital
. Je ne regrette qu'une chose, qu'il n'y ait pas p
teurs. Cette garde fut enrichissante sur le plan humain, en effet à l’
hôpital
la plus grande place est faite pour l'urgence et
SDF nécessitant à la fois des soins, mais aussi une aide sociale. À l'
hôpital
, nous n'avons pas forcement l'occasion de suivre
sourire et un prénom. C'est quelque chose que l'on perd beaucoup à l'
hôpital
, entre le manque de temps mais aussi les préjugés
onne envie d'y retourner pour trouver ce qui peut parfois manquer à l'
hôpital
... Mais le manque de temps, je pense, ne me le pe
ui sortent du cadre médical et qu'on ne rencontrera pas forcément à l’
hôpital
. Un des moments de la maraude qui m'a le plus fra