normément sur le plan humanitaire et ma fait connaître la réalité des
gens
qui habitent dans la rue et surtout les migrants
inconnus. Beaucoup d'entre nous ne connaissent pas la réalité de ces
gens
qu'on voit beaucoup à l'hôpital mais malheureusem
alheureusement peu connaissent la vrai réalité des difficultés de ces
gens
. Cette garde nous apprends a connaître mieux ces
ficultés de ces gens. Cette garde nous apprends a connaître mieux ces
gens
pour mieux les soigner. Le principe de la médecin
est soigner des malades et pas des maladies. Donc plus on connait ces
gens
mieux on les soignes, ce genre de nuit nous appre
nte pour les étudiants en médecine. Cela permet de voir autrement les
gens
dans la rue. Ce qui m'a le plus marqué, ce n'est
ent les gens dans la rue. Ce qui m'a le plus marqué, ce n'est pas les
gens
qu'on aidait mais plutôt les gens qui aidaient. C
'a le plus marqué, ce n'est pas les gens qu'on aidait mais plutôt les
gens
qui aidaient. Ce sont des gens passionnés, qui on
les gens qu'on aidait mais plutôt les gens qui aidaient. Ce sont des
gens
passionnés, qui ont une vrai vocation, et qui app
C’était en fait la première fois que je passais du temps avec des
gens
qui vivent dans la rue (ou plus largement, des ge
du temps avec des gens qui vivent dans la rue (ou plus largement, des
gens
susceptibles de s’adresser au Samu Social). Je me
tibles de s’adresser au Samu Social). Je me souviens à quel point ces
gens
m’ont paru différents les uns des autres. Certain
ion normale et parlent tous seuls. En fait, la plupart sont juste des
gens
« normaux » : un irlandais avec lequel j’ai eu le
, qu’on discutait avec lui en lui donnant de la soupe ou du café. Les
gens
qui passent nous regardaient avec surprise, avec
oirée, de partager le « regard des autres » que doivent supporter ces
gens
toute la journée. Mon camion s’étant vu attribuer
Des
gens
de tout type sont aidés par le samu social : jeun
ou la réinsertion est très important pour eux mais également pour les
gens
qui y travaillent. Le travailleur social m'a impr
illeur social m'a impressionné par sa capacité à communiquer avec les
gens
aidés, il en connaissait beaucoup ce qui rend le
J'ai passé une agréable expérience avec des
gens
généreux. Je trouvais un autre aspect de la médec
e la médecine faite par les infirmières. J'ai adoré discuter avec les
gens
que j'ai rencontré durant la nuit.
ginais, en m'y rendant, que je ne ferais qu'aller parler aux nombreux
gens
qui dormaient dans le rue, vous savez ceux qu'on
de côté. La double écoute m'a permis de cibler un peu plus le type de
gens
en relation avec le samu social et j'avoue que j'
samu social et j'avoue que j'ai été assez surprise : en entendant ces
gens
habitués à demander à la standardiste, toujours a
pour lui" à montrouge ce soir, j'ai éprouvé de la compassion pour ces
gens
. Des situations comiques parfoirs au téléphone :
andardiste ... Et plus tard au cours de la soirée, j'ai découvert ces
gens
, pour beaucoup des femmes en situations irréguliè
rience. Equipe très sympa. Pour une nuit j'ai été en contact avec les
gens
que je croises, les gens oubliés. Je savais l'imp
. Pour une nuit j'ai été en contact avec les gens que je croises, les
gens
oubliés. Je savais l'importance de la misère soci
és, qui acceptent les repas et hébergement depuis plusieurs mois, des
gens
qui préfèrent rester dehors avec toutes leur affa
, des gens qui préfèrent rester dehors avec toutes leur affaires, des
gens
qui ont clairement besoin de soins medicaux. L'éq
pe est très professionnelle et arrive à avoir un bon contact avec les
gens
.
idaire, altruiste mais difficile cependant. Les travailleurs sont des
gens
remarquables, généreux et philanthropes. L'écoute
ateurs répondent souvent négativement à des demandes d'hébergement de
gens
dans le besoin. Les équipes sont soudées entre el
font dans la bonne humeur. Elles permettent d'aller à la rencontre de
gens
à côté desquels on passe habituellement sans les
voir la nuit et le monde qui l'entoure d'une façon différente : entre
gens
qui rentrent de soirée, SDF, prostituées... tout
ue j'appelais "clochards"... et bien non, la plupart des SDF sont des
gens
comme vous et moi, dont vous ne soupçonneriez pas
les croisant la journée, qu'ils n'aient pas d'endroit où dormir. Ces
gens
, en dormant dehors, sont exposés à de nombreux da
en dormant dehors, sont exposés à de nombreux dangers : le froid, les
gens
alcoolisés... et pourtant, si certains acceptent
J'admire vraiment tous les
gens
du samu social, pour leur côté humain, détendus d
arfois, et qui dans le plus grand naturel viennent en aide à tous les
gens
qu'on ignore volontairement dans la rue! Je trouv
que je ne connaissais pas et que je ne faisais qu'imaginer. Tous les
gens
à qui nous sommes venus en aide ne sont pas forcé
emmes plein de personnalité et j'ai apprécié les voir comme tels. Les
gens
du samu social se disputent avec l'un, rient avec
es interventions (et que je comprends tout à fait pour le respect des
gens
et la sécurité des maraudeurs) empechent d'aider
des gens et la sécurité des maraudeurs) empechent d'aider beaucoup de
gens
(zones vertes, privées etc...) . Les moyens allou
tc...) . Les moyens alloués sont bien malheuresement pauvres pour des
gens
qui font du tres bon travail. L'équipe a été très
J ai passe la nuit dans le camion a recherche des
gens
qui avaient pris rendez vous dans la journee. Les
gens qui avaient pris rendez vous dans la journee. Les histoires des
gens
sont toutes differentes sur le comment du pourquo
érience humaine très enrichissante. Cela apporte une autre vision des
gens
sans abris, et nous montre que des hommes et des
des femmes ne changent pas de trottoir mais au contraire abordent les
gens
dans le besoin pour un café, une soupe ou bien un
'équipe était très sympathique et pédagogue. On croise des profils de
gens
à la rue très différents, on se rend compte que c
différents, on se rend compte que chaque jour on croise bien plus de
gens
SDF que ceux que l'on remarque malheureusement. O
ns SDF que ceux que l'on remarque malheureusement. On apprend que les
gens
à la rue doivent appeler plusieurs fois par jour
rouvé cette garde au samu social très enrichissante , nous voyons des
gens
malades tous les jours mais nous n'avons pas l'ha
des tous les jours mais nous n'avons pas l'habitude de rencontrer des
gens
isolés et en état d'extreme précarité. Ce qui m'a
e camion pouvait leur distribuer et même lors de la double écoute les
gens
sont habitués ils donnent directement leur date d
rmit de passer beaucoup de temps à marauder, et aller au contacte des
gens
. Autant la partie "taxi social", consistant presq
artie "taxi social", consistant presque qu'exclusivement à amener les
gens
qui se signale au 115 dans les centre d'hébergeme
ante, autant la partie maraude où l'on va spontanément au contact des
gens
est très intéressante et très enrichissante sur l
ut avoir des défavorisé, et qui devrait être proposé à l'ensemble des
gens
en formation dans le domaine de la santé et du so
qu'à 04h30. J'ai trouvé ça passionnant de rentrer en contact avec des
gens
qu'on croise au quotidien mais qu'on "fuit" plus
up d'amour, j'ai appris qu'on pouvait tisser des liens forts avec des
gens
alors qu'ils croisent qu'un bref moment nos vies.
s en tant que soignant (car parfois difficile de communiquer avec des
gens
d'autres milieux sociaux, surtout des gens en gra
le de communiquer avec des gens d'autres milieux sociaux, surtout des
gens
en grande précarité) mais aussi en tant que perso
opre. Apprendre à aller au delà des clichés, des stéréotypes, que les
gens
ne doivent pas être enfermés dans des cases... Le
ais c'était tout de meme intéressant que ce soit niveau contact : les
gens
étaient quasi-tous contents de nous voir pouvoir
afé chaud et surtout parler je pense. Je me suis rendu compte que les
gens
qui faisaient appel au 115 n'étaient pas que des
compte que les gens qui faisaient appel au 115 n'étaient pas que des
gens
totalement exclus de la soiciété nous avons récup
nuit comme ça dans les missions du samu social, de voir et aider les
gens
que nous, pour la plupart des gens, ignorons dans
samu social, de voir et aider les gens que nous, pour la plupart des
gens
, ignorons dans la vie quotidienne. Ça fait plaisi
es. Ce qui m'a le plus marqué,c'est de constater qu'une partie de ces
gens
se retrouvent dans cette situation alors que dans
cependant je pense que cette garde devrait être facultative pour les
gens
qui ne se sentent pas capable de la faire ou qui
i ont peut être un passé ou un vécu plus ou moins proche de celui des
gens
que nous aidons.
main. Il était instructif de voir le rapport entre les aidants et les
gens
aidés car leur connaissance les uns des autres le
positif d'une discussion qui permet une aide mentale phénoménale aux
gens
aidés.
J'ai été touchée par la réelle envie d'aider les
gens
que nous transmet le personnel du Samu Social. A
nuit c'est une victoire. Lors de la maraude, le fait d'aller vers les
gens
pour les aider, leur proposer un thé, de l'eau et
priori selon lequel il faudrait se battre toute la nuit pour que les
gens
acceptent de venir dans le camion, que l'atmosphè
ce décontractée, même si l'on abordait des sujets difficiles avec les
gens
de la rue. C'est cette décontraction qui m'a plue
Ces quelques heures à parcourir les rues de Paris à la recherche de
gens
à qui l'on ne prête jamais attention fut très enr
ais l'impression de participer à un combat perdu d'avance : aider des
gens
dans une telle misère à accéder à un lit pour la
s du Samu social, je m'y suis installé dès mon arrivé, et écouter les
gens
desepérés de trouver un toit au bout de 50 nuits
lutte sans fin pour eux, un éternel recommencement. Au téléphone les
gens
racontent plus facilement leur histoire, l'entend
ysage quotidien et qu'on avait fini par oublier. La plupart était des
gens
qui avaient vecu des concours de circonstances au
ès interessante car nous avions des cadeaux de noel qui ravissait les
gens
et le contact avec eux était à chaque fois des pl
eriode.. le fait d'entendre cette discussion m'a fait réalisé que des
gens
souffrent vraiment au coeur de Paris... La derniè
onnes m'ont touchée pendant cette nuit lors des maraudes, j'ai vu des
gens
que j'avais déjà croisé (sans y faire attention)
ée, j'étais contente de voir qu'on pouvait fournir dans l'urgence aux
gens
un toit à peu près decent et de la nourriture. J'
nt lui. Même si il ne s'agit pas d'un travail de fond pour la vie des
gens
, l'urgence (notamment pour les grands exclus) est
ds exclus) est très importante à traiter. J'ai vraiment rencontré des
gens
qui, bien que désemparés face à l'ampleur de la t
s cette garde nous permet au moins de découvrir les structures et les
gens
qui s'occupent d'eux. Je retiens principalement l
camion et sa passion pour ce en quoi elle croit. Petit bémol pour les
gens
qui n'habitent pas paris être coincé à ivry à 4h3
ès une nuit blanche dans le froid et l'odeur de la rue... Respect aux
gens
qui gardent une apparence propre et distinguée to
ntres auxquels nous sommes allés n'avaient même pas un draps pour les
gens
et ces derniers ne passaient qu'une nuit (moi qui
ne le métro, on est déjà bien habitué à fréquenter et parler avec des
gens
en situation de détresse sociale et la contributi
SAMU sociale m'a paru très peu significative (comme dit plus haut les
gens
sont hébergés quelques heures à peine, sans réel
t les duvets et vivre donnés. Cependant je salue l'oeuvre de tous ces
gens
qui dans le fond et sur la durée contribuent à be
uper de sdf qui sont la plupart du temps alcoolisés, et insultent les
gens
du samu social, autant dire pas toujours de recon
tant dire pas toujours de reconnaissance mais c'est important que des
gens
le fassent car les sdf restent malgré tout des hu
quée. Outre le fait que j'ai découvert sous un autre angle la vie des
gens
qui vivent dans la rue, j'ai beaucoup appris des
r sans jamais être intrusifs, et de leur capacité a transmettre à des
gens
vivant dans des situations précaires le respect q
rticulièrement été émue lors de la double écoute pendant laquelle les
gens
se livrent réellement, et n'hésitent pas à expliq
meur, avec une équipe absolument géniale. J'ai aimé la façon dont les
gens
peuvent être reconnaissants lorsqu'on leur donne
ermis de réaliser la détresse profonde dans laquelle sont plongés les
gens
vivant dans la rue et le travail formidable que r
es gens vivant dans la rue et le travail formidable que réalisent les
gens
du samu social de Paris en se démenant pour trouv
ial m'a profondément marquée et a changé mon regard sur la ville, les
gens
et les sans abris. Etant purement parisienne, les
s intelligents que beaucoup de personnes car ils voient la vie et les
gens
passer sous un autre angle.
pu mieux comprendre les problèmes sociaux que peuvent rencontrer les
gens
grâce à la double écoute. Ensuite, la maraude m’a
ble écoute. Ensuite, la maraude m’a permis d’aller à la rencontre des
gens
et de pouvoir échanger avec eux. Cela permet d’ap
Aller au devant des
gens
pour leur proposer une aide peut sembler difficil
on se sent utile et même assez heureux d'avoir passé la nuit avec des
gens
qu'on croise peut être tous les jours sans les re
ela de différents points de vue : essayer de répondre aux besoins des
gens
au téléphone, découvir l'équipe qui travaille dan
ir l'équipe qui travaille dans le camion, et aller à la rencontre des
gens
dans la rue. Cependant, le sentiment principal qu
ntiment de frustration : celui de ne pas pouvoir faire assez pour ces
gens
dans le rue, d'etre parfois heurté à leur rétisse
SDF, mais des
gens
qui travaillent la journée, et qui n'ont pas d'hé
s actions sociales mises en place la nuit dans Paris afin d'aider les
gens
dans le besoin. L'organisation est impressionnant
samu social pleine de motivation. J'ai aimé aller à la rencontre des
gens
dans la rue, discuter avec eux et échanger. La bo
i permet "d'humaniser" les personnes SDFs même si le contact avec les
gens
est assez rapide et superficiel en une nuit, ce n
superficiel en une nuit, ce n'est pas une nuit au chaud qui sort ces
gens
de la rue, et c'est difficile de se rendre compte
Expérience très enrichissante, les
gens
avec qui j'ai fait la maraude étaient très gentil
à toutes mes questions. Au cours de la nuit, nous avons vu pas mal de
gens
et avons pu les aider plus facilement que je n'au
que le SAMU SOCIAL a une vrai place dans la société afin d’aider les
gens
dans la détresse. Cette nuit m’a montrée comment
les gens dans la détresse. Cette nuit m’a montrée comment aborder les
gens
sans a priori, mais aussi une grande satisfaction
ntre nous, celui de la rue. Il est impressionnant d'entendre tous ces
gens
appeler le 115 ou frapper à la vitre du camion, e
ou frapper à la vitre du camion, en quête d'un abri pour la nuit. Des
gens
dans la détresse, qui peuvent rester toutefois ex
ne m'a pas vraiment plus, on se croirait gestionnaire d'un hôtel, les
gens
appelaient pour savoir si on allait leur trouver
rsonne. Sinon je pense que le SAMU social pourrait recruter parmi les
gens
de la rue qui le désire, cela rendrait plus enric
e, cela rendrait plus enrichissant les expériences partagées avec les
gens
, et ils les comprendraient mieux aussi. Je trouve
rouve ce point là assez paradoxal car le samu social se dit aider les
gens
, mais finalement ne les embauchent pas parce qu'i
inquiète sur son déroulement et surtout sur ma réaction vis à vis des
gens
que j'allais rencontrés. Je trouve cette garde né
nt assez préparés ; ni avant ni après. Nous savons tous qu'il y a des
gens
qui dorment et vivent dans la rue, on en voit tou
soi, dans son petit lit douillet après avoir maraudé et rencontré des
gens
qui dorment à même le sol, cela peut quelque peu
t être devrait il avoir une sorte de "préparation" pré-garde avec des
gens
du SAMU social qui pourraient nous en expliquer l
travail de la nuit, dans le froid, et qui passe inaperçu aux yeux des
gens
(et surement que j'aurai fait pareil avant) est e
t : cela permet d'entretenir des liens, d'offrir un peu d'évasion aux
gens
, de chaleur aussi (par les cafés, les thés, les d
tent à certaines personnes, le fait qu'ils se tiennent au courant des
gens
les plus "connus" du SAMU, qu'ils prennent des no
ls prennent des nouvelles des personnes qu'ils ont amené. Ce sont des
gens
vraiment adorables, qui ont fait que cette expéri
et la priorité est donnée aux personnes malades, aux familles ou aux
gens
qui avaient déjà eu plusieurs demandes non pourvu
ent chaude, ainsi que des cafés, des repas, des duvets... Souvent les
gens
nous interpellent d'eux mêmes. L'équipe prend aus
sard. Pas beaucoup de signalements cette nuit là, avec la chaleur les
gens
n'avaient pas forcément envie de passer la nuit e
st à faire au moins une fois. Cela permet de voir d'un autre oeil les
gens
qui sont dans la rue, si un jour, sûrement, on es
autre approche par rapport à notre pratique courante, car ce sont des
gens
qui, à la différence de la majorité des personnes
eaucoup de places dans les centres d'accueil par rapport au nombre de
gens
dehors, ce qui fait que en deuxième partie de nui
0 ans... et la maraude, on ne s'attend pas forcément à ça, il y a des
gens
de toutes sortes. C'est beau de voir les liens cr
C'est beau de voir les liens créés entre les usagers habituels et les
gens
du 115, ils se retrouvent, discutent, prennent un
Les
gens
du 115 étaient très accueillants et j'ai adoré la
ient très accueillants et j'ai adoré la proximité qu'ils ont avec les
gens
de la rue. Mon équipe était formidable: Séverine,
e que c'est une expérience importante à vivre, d'autant plus pour les
gens
qui exerceront des métiers sociaux par la suite,
ce depuis le P2) J'espère que le fait de faire la garde permettra aux
gens
de changer un peu leurs avis qu'ils ont sur les p
rience enrichissante sur le plan personnel. Je fut étonné de voir des
gens
se ruer sur le camion dés qu'ils nous vus. Certai
a mis en place pour que le samu social puisse venir en aide à plus de
gens
dans le besoin.
quelques situations téléphoniques difficiles où nous devions dire aux
gens
de rester dirmir dehors mar manque de place. J'ai
oeu plus himaine et solidaire, l'équipe connaissant souvent déjà les
gens
que nous rencontrions lors de la maraude. Très be
sont des choses simples mais cela permet d'améliorer le quotidien des
gens
qui en ont besoin. La médecine permet d'aider les
utres, mais cela n'est que complémentaire d'une aide sociale pour les
gens
qui sont dans des situations de détresse.
entre-aide des SDF entre eux est impressionnante. Les difficultés des
gens
de la rue sont tellement variées, tant par rappor
par rapport à la langue que par rapport à une sorte de tabou que les
gens
s'imposent et qui les empêchent de s'ouvrir à l'a
e contact humain est retrouvé, sans trop de complexe des 2 côtés. Les
gens
sont sincères, malgré leur conditions. On peut ob
ami, leur chien, leurs affaires pour une place en foyer. Ce sont des
gens
très intelligents sur qui il s est abattu des évé
ments vraiment malheureux et malchanceux. Mon camion était composé de
gens
vrmt très humains et sympathiques qui répondaient
estions! Ils avaient tjs un ton rassurant et doux pour s adresser aux
gens
. c etait une nuit de tres grand froid et un appel
ait "très plaisir" de pouvoir prendre du temps et de m'occuper de ces
gens
, que l'on voit malheureusement de plus en plus de
centres. Par ailleurs d'apporter quelques minutes de réconfort à ces
gens
. J'ai aussi trouvé un contraste surprenant entre
que le Samu Social, doit continuer ses missions, pour permettre à ces
gens
de vivre dans de meilleures conditions et de crée
xpérience très intéressante car on ne se rend pas compte du nombre de
gens
sans logement fixe et on est très peu informés su
n voit un SDF. J'ai aussi eu une prise de conscience sur le nombre de
gens
dans le besoin et les moyens qui ne sont pas suff
e la plus intéressante de la garde reste la maraude. On rencontre des
gens
de tous les âges avec des histoires parfois très
hantes. Ce qui m'a le plus interpelé, c'est la durée depuis quand les
gens
sont dans la rue et le fait que certains n'ai pas
amu social très intéressante, humainement enrichissante tant avec les
gens
dans la rue qu'avec les équipes; je pense que c'e
ans notre future carrière de médecin. Nous avons rencontré pas mal de
gens
pendant la nuit mais le contact et le rôle du sam
paru un peu frustrantes car cela ne permet pas vraiment d'"aider" les
gens
sur le court ou long terme. Comme par exemple une
ne personne, respectant la mentalité que le risque est de pousser les
gens
à s'installer dans la rue et de pérenniser cette
histoires des sdf et de se rendre compte de la vraie précarité de ces
gens
nte, qui permet de prendre conscience de certaines réalités (oui, des
gens
vivent dans la rue, oui ce sont des gens "normaux
certaines réalités (oui, des gens vivent dans la rue, oui ce sont des
gens
"normaux", non ils ne sont pas forcément dangereu
ereux/agressifs/alcoolisés), de voir à quel point le quotidien de ces
gens
est une lutte pour la survie. On réalise aussi qu
en de ces gens est une lutte pour la survie. On réalise aussi que les
gens
du 115 sont obligés de gérer des situations de fa
i sont extrêmement sur la défensive et ne veulent pas d'approcher des
gens
. Encore une fois, c'est une expérience nouvelle e
s mots et de l'écoute, et le guide conseil. On fait le point avec les
gens
pour savoir où ils en sont dans leurs démarches,
sont tout court. Puis on enchaîne très vite sur des "transports", des
gens
qui demandent à être transportés à la Boulangerie
transportés à la Boulangerie, porte de Clignancourt, qui accepte les
gens
pour la nuit par vagues de tranches horaires. On
nches horaires. On m'explique que depuis certains soucis d'ordre, les
gens
ne peuvent être pris à la Boulangerie qu'en passa
t là à la Boulangerie, faute d'avoir reçu assez d'appels. Beaucoup de
gens
nous arrêtent à ce moment là, beaucoup connaissen
n'y a pas de profil type. Dans la soirée, nous rencontrerons plein de
gens
au vécu différent. Notre TS réussit à faire rire
certaines personnes nous racontent qu'elles se font haranguer par les
gens
ivres "Hé, les clochards !". Départ d'Ivry à 5h d
de la maraude on a vraiment l'impression de se rendre utile pour les
gens
qui en ont besoin. Bonne ambiance dans le camion.
SAMU social font un travail humanitaire qui aide beaucoup les
gens
plus demunis mais malheureusement , il n ' y a pa
couvrir la double écoute et en même temps la variété des attentes des
gens
faisant appel au 115. Durant la maraude, j'ai été
pel au 115. Durant la maraude, j'ai été surprise par la diversité des
gens
que nous avons croisés ainsi que leurs problèmes
! Rien que le fait d'être dans le camion et de chercher du regard les
gens
dans la rue, de porter intérêt à ceux que d'habit
que d'habitude on ne voit pas, est assez touchant. On passe outre les
gens
, les magasins, les beaux monuments parisiens ...
savoir une forme de respect d'eux même. A mon sens le travail de ces
gens
est extrêmement important et mériterai d'être mie
mement important et mériterai d'être mieux connu afin d'apprendre aux
gens
que c'est la peur qui les empêche de tendre la ma
très sympa. Même si on a tous les jours l'occasion de rencontrer des
gens
de la rue, on ne prend pas forcement le temps de
e, c'est qu'au final je n'ai pas vraiment eu l'impression d'aider ces
gens
. Même s'ils apprécient une nuit au chaud, un café
ir les difficultés auxquelles sont confrontés quotidiennement tant de
gens
,l'injustice et le décalage qui existe par rapport
a beaucoup touché ce sont les qualités humaines qui caracterisent les
gens
que j'ai rencontré au samu social,la gentillesse
garde par la double écoute où j’ai trouvé difficile d’annoncer à des
gens
qu’ils devaient dormir dans la rue car il n’y a p
vé ces trajets un peu ennuyant car nous avons peu de contact avec les
gens
dans la rue et cela me parait peu optimal. Une fo
out d'abord j'ai bénéficié d'une expérience unique en rencontrant des
gens
qui donnent leur temps pour les plus démunis. Je
lus démunis. Je les ai observé donner de leur personne pour aider des
gens
rejeter par la société dans un contexte hivernal
ute lors de laquelle nous n'avons fais que refuser des logement à des
gens
en nécessité faute de place. Notre place dans cet
u social ! On "connait" tous, on essaie de s'imaginer la pauvreté des
gens
vivant dans la rue, on la voit chaque jour au coi
ela, cela reste abstrait. Là j'ai pu entendre et voir la détresse des
gens
"dans la galère", leur colère face aux peu de moy
ngue pour d'autres, le recours aux soins devenu un luxe pour eux. Ces
gens
vivent au jour le jour, heure par heure, la seule
ine! Ce qui m'a le plus plu c'est les moments de discussions avec les
gens
. Ce qui est dur c'est quand on a plus d'hébergeme
Expérience intéressante qui nous fait réfléchir. Les
gens
de l'équipe étaient gentils et humains. Mais la f
j'ai été agréablement surprise par la gentillesse des
gens
rencontrés dans la rue et par l'ambiance dans le
connaissances ni d'expérience des moyens qui existent pour aider les
gens
défavorisés. J'ai fait partie d'une équipe sympat
e seulement observateur mais aussi pouvoir aider activement. Tous les
gens
qu'on a rencontré au cours de la nuit ont été gen
..). Lors des maraudes, c'était géniale de pouvoir interagir avec ces
gens
qu'on ignore généralement dans la rue et de se re
ait les aider à se sentir mieux. Ce soir la, j'ai rencontré pleins de
gens
venant de pays différents avec des histoires diff
ne suis pas prêt d'oublier, en effet être confronter à la misère des
gens
, et constate qu'ils arrivent à vivre dans des con
15, en effet on s'en rend bien compte lors de la double écoute où les
gens
disent avoir attendu 1h sans avoir personne; mais
tudiants, pour que chacun puisse se rendre compte de la situation des
gens
dans la rue. Les gens qui y travaillent sont très
cun puisse se rendre compte de la situation des gens dans la rue. Les
gens
qui y travaillent sont très gentils. Les horaires
été intriguée, voire même attirée. Quel est le quotidien de tous ces
gens
que l'on croise, assis dans la rue et dont on ose
l'exclusion sociale est un sujet tabou, peut-être parce que parler de
gens
qui n'ont rien nous fait culpabiliser pour ce que
dans le cadre de nos études. Voir les moyens employés pour aider des
gens
à avoir une place où dormir le soir, la générosit
e humeur des équipes du samu social, se rendre compte que beaucoup de
gens
sont en grande détresse tous les jours a cause de
'avons pas ou peu l'occasion d'apprendre à véritablement "parler" aux
gens
qui sont en face de nous, de s'intéresser à leur
mettre face à la dure réalité de la rue, de la vie que mène tous ces
gens
, ces familles qui galèrent tous les jours, qui ne
lèrent tous les jours, qui ne vivent plus mais survivent. Ce sont des
gens
qui ont besoin d'avantage de soins et de suivi et
la difficulté principale vient essentiellement de l'indifférence des
gens
et non pas de la difficulté financière. Garde trè
ressante, une étape indispensable dans le parcours d'un externe . Les
gens
sont très accueillants et toujours prêt à nous ap
a précarité sociale au plus près. C'est une autre manière d'aider les
gens
en allant à leur rencontre directement.
de discuter avec eux et des les écouter nous rappelle que ce sont des
gens
qui ont un vécu derrière eux, et surtout énorméme
pas loin d'un drame qui nous montre de facon brutale la détresse des
gens
.
es, le briefing et le terrain. Je me suis rendue compte aussi que les
gens
que nous aidons sont très attachants: c'est humai
tachants: c'est humainement enrichissant de pouvoir discuter avec des
gens
qui n'ont pas la chance d'être logés, ou d'autres
que ces hommes et ces femmes accomplissent chaque jours pour tous ces
gens
délaissés est fantastique. Ce qui m'a le plus mar
m'a le plus marqué c'est cette facilité qu'ils ont à parler avec ces
gens
à les aider du mieux qu'ils peuvent, toujours en
a réalité sociale. Il est important de ne pas se désintéresser de ces
gens
qui ont besoin de soins mais qui parfois ne peuve
uit, une couverture , un café ou tout simplement venir au contact des
gens
pour leur parler un peu, en revanche j'ai découve
ur prénoms... Ce qui m'a frappée aussi c'est de voir que certains des
gens
à qui l'on portait assistance ne matchaient pas d
ance ne matchaient pas du tout le "profil type" que je me faisais des
gens
aidés par le samu social , rencontrés dans un con
cette soirée : le pourquoi ? je n'arrive pas à comprendre comment ces
gens
qui m'apparaissaient tout à fait sympathiques, re
lance, leur simplicité et la facilité avec laquelle ils vont vers ces
gens
m'a vraiment impressionnée, je sais que pour moi
dans l'organisation du Samu Social. J'ai compris par exemple que les
gens
ne meurent pas de faim à paris, car il existe de
s par la sympathie, la générosité, la solidarité qui existe entre ces
gens
et également envers le personnel du Samu Social,
teur, ça fait de la peine. Par ailleurs l'accueil est très bon et les
gens
sympas, même si ce ne sont pas les gens les plus
l'accueil est très bon et les gens sympas, même si ce ne sont pas les
gens
les plus cools que j'aie rencontré. Je pensais na
gens les plus cools que j'aie rencontré. Je pensais naïvement que les
gens
qui travaillent au samu social étaient bénévoles,
r. Le double appel du 115 m'a permis de voir vers où on renvoyait les
gens
lorsqu'il n'y a pas de places ou lorsqu'on veut p
es gens lorsqu'il n'y a pas de places ou lorsqu'on veut préserver ces
gens
des centres d'hébergement d'urgence. Ce qui m'a b
ant un hôpital, pas devant l'entrée car ils m'ont expliqué que si les
gens
de l'hôpital nous voyaient, ils pouvaient se plei
m'a permis d'avoir un tout autre aperçu de ce qu'était la vie de ces
gens
sans domicile. Un homme m'a particulièrement touc
Il était dans la rue depuis presque 15 ans, avait "son trottoir", les
gens
qui le connaissaient venaient lui rendre visite e
Cela m'a permis de me rendre compte de la complexité d'accueillir ces
gens
dans le besoin, de la nécessité de plus de renfor
e 115 et son organisation. J'ai donné des couvertures, rencontrai les
gens
, examiné certain. Des histoires variées des parco
Je me suis demandée si je pouvais faire qqch pour ces
gens
, mais c'était toujours une pensée rapide sans vra
et social. La confrontation avec la misère humaine et la détresse des
gens
peut être difficile à supporter d'un point de vue
L'écoute télephonique n'étais pas très interressante, simplement des
gens
qui apellent pour avoir une place en foyer. La ma
ir qui il y a". Équipe très accueillante. Plutôt bon contact avec les
gens
que nous avons rencontré.
rette que le travail du SAMU SOCIAL soit ponctuel et ne suive pas les
gens
sur plus longtemps. La double écoute était intere
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