tant d'entrer en contact avec des situations difficiles qu'on n'a pas
forcément
l'occasion de croiser en pratique à l'hôpital. Ce
permet de prendre en considération des points auquels on ne pense pas
forcément
lors de la PEC sociale d'un patient. Stage utile,
étéorologiques affreuses la nuit la plus enneigés de toute cet hiver.
Forcément
le nombre d appels étaient proportionnels au nomb
nous ouvre les yeux sur de nombreux problèmes auxquels on aurait pas
forcément
médité. Merci pour cet nouvel fenêtre !
e heune, volontaire et dynamique, qui met tout de suite à l'aise. Pas
forcément
très utile dans la vie quotidienne d'un practicie
ous montrant un public faisant appel au 115 que l'on ne rencontre pas
forcément
dans la rue et qui ne sont pas des grands exclu,
très intéressante dans le contact avec les Sdf avec lesquels on a pas
forcément
le temps ou l'envie de parler a l'hôpital.
C'est une expérience très enrichissante. On apprend
forcément
en faisant cette garde. Cela permet de découvrir
férente de la médecine, un travail social que nous ne rencontrons pas
forcément
au sein des stages hospitaliers. Approcher des pe
n, il est important de voir certaines réalités dont on ne se rend pas
forcément
compte. C'est vraiment une chance d'avoir pu pass
évoué à aider les autres. Les 2 heures de doubles écoutes ne sont pas
forcément
nécessaire, une heure serait suffisante !
C’est une expérience enrichissante car on ne connaît pas
forcément
ce milieu et les aides sociale proposées aux pers
difficile il faut savoir s’approcher des personnes qu’on n’aurait pas
forcément
abordé en tant que civile. C’est assez dure psych
me tout le monde, qui méritent d'être écoutés et aidés. Ils n'ont pas
forcément
eu de chance dans leur vie, ils méritent donc qu'
les guidant, en les soignant si ils en ont besoin etc. Il ne faut pas
forcément
grand chose : un repas chaud, une paire de gants,
une bonne ambiance et un travail d'équipe formidable. Ils ne sont pas
forcément
très nombreux dans cette association, mais ils on
rmatrice, cette garde m'a permis de voir un aspect que je ne vois pas
forcément
lors de mes stages de médecine : c'est l'aspect s
Cette nuit a été très enrichissante, decouvrir ce monde de la rue m'a
forcément
fait ouvrir les yeux. L'équipe dans le camion a v
ns la rue et le froid, sans habits réellement adaptés) ne cherche pas
forcément
d'aide et ne souhaite pas forcément parler au per
éellement adaptés) ne cherche pas forcément d'aide et ne souhaite pas
forcément
parler au personnel du samu social. Je pense que
mieux connaître les conditions de vie de ces personnes, dont on a pas
forcément
conscience. On se rend d'autant plus compte, que
ervices que l'on peut proposer aux plus défavorisés dont on n'est pas
forcément
au courant. De plus, cela nous permet d'avoir aus
scuter avec des hommes et des femmes vulnérables que l'on ne sait pas
forcément
comment aborder sinon. Mon seul regret est que no
social a été une expérience vraiment intéressante. On ne se rend pas
forcément
compte de l'importance qu'aura le suivi social et
ntre d'hébergement; les autres personnes rencontrées ne voulaient pas
forcément
d'hébergement. Je ne me suis pas vraiment senti u
ser quelques questions de santé auxquelles ces personnes n'aurait pas
forcément
répondu si la travailleuse sociale n'avait pas ou
en situation d’exclusion. Ce qui était le plus important n’etait pas
forcément
de fournir un abri pour la nuit ou un repas, c’et
d'empathie, venir en aide à ceux qui en ont besoin mais qui n'ont pas
forcément
les moyens de demander de l'aide. Le dévouement d
rqué par la prise en charge de certaines personnes qui n'auraient pas
forcément
demaundé de l'aide par elles-mêmes, mais qui étai
rend conscience que l'aide qui est proposée aux sans abris, n'est pas
forcément
acceptée par ceux ci. D'où une certaine incompréh
rience très enrichissante, et c'est quelque chose que je n'aurais pas
forcément
eu l'occasion de faire par moi-même. Les équipes
sées, et le côté social est vraiment au premier plan, on ne vient pas
forcément
leur offrir de la nourriture mais parfois seuleme
ère sociale que l'on côtoie mais à laquelle nous ne réfléchissons pas
forcément
... J'éprouve une sorte d'admiration pour ces homm
des personnes formidables au sein de l'équipe bien que ne sachant pas
forcément
écrire correctement... Elle nous permet de nous r
s tournent en rond depuis 20 ans... et la maraude, on ne s'attend pas
forcément
à ça, il y a des gens de toutes sortes. C'est bea
s gens qui exerceront des métiers sociaux par la suite, et qui seront
forcément
confrontés à des situations un peu similaires à c
Social a été très intéressante : de voir la misère de près nous fait
forcément
réfléchir et relativiser. J'ai découvert le Samu
travail est vraiment important. Après chaque arrêt ne signifiait pas
forcément
une place d'hébergement, du coup les gens étaient
ntact. Néanmoins, il est difficile de repartir après la pause, et pas
forcément
nécessaire de notre point de vue, étant donné la
permet de voir un autre domaine de prise en charge qu'on ne voit pas
forcément
pendant nos études de médecine.
aux sans-abris. Une prise en charge au jour le jour ne me semble pas
forcément
efficace et prometteuse. C'est assez illusoire en
rtant de demande, et de la difficulté de les satisfaire, il n'est pas
forcément
évident d'entendre dire que untel devra dormir de
marquant c'est d'aller à la rencontre de personnes qui ne veulent pas
forcément
d'hébergement mais juste "discuter un peu".... Po
ue vivent les personnes en difficulté sociale, que l'on ne croise pas
forcément
au cours de nos stages ou pour lesquelles ça ne s
stage de réa où nous avons 15 gardes dans notre service ce n'est pas
forcément
le meilleur compromis.
it de les rencontrer et de se forcer à aller les voir car nous serons
forcément
amener à côtoyer des personnes SDF ou en difficul
e vérité tout autre, sur Paris et ses habitants, que je ne voyais pas
forcément
et qui pourtant était sous mes yeux. Un grand mer
e médicale future (en particulier aux urgences car nous ne savons pas
forcément
comment réagir face à des situations de précarité
malheureusement dans notre vie de tous les jours nous n'y prêtons pas
forcément
attention. Cette garde m'a permi de découvrir que
qu'en hiver pour débloquer des hébergements du coup l'hiver n'est pas
forcément
la période la plus difficile pour ces personnes l
re. Je pense donc que cette garde est très utile car nous n'avons pas
forcément
l'occasion de faire des maraudes et je pense qu'e
différente et complémentaire : les personnes rencontrées ne sont pas
forcément
en cours de réinsertion, comme le public que je c
Nous ne nous rendons pas
forcément
compte de la détresse de ces personnes qui vivent
compliquées, qui sortent du cadre médical et qu'on ne rencontrera pas
forcément
à l’hôpital. Un des moments de la maraude qui m'a
que ça peut arriver à tout le monde, et que les sans-abri ne sont pas
forcément
juste des personnes qui n'ont rien fait dans leur
ial m'ont confié que parfois l'externe était "de trop" car il prenait
forcément
un siège qui pourrait être utilisé par une autre
ité qui ont besoin de l'aide du SAMU social, qui ne correspondent pas
forcément
aux préjugés que l'on peut avoir : cela peut conc
s permet de réaliser que les personnes sans domicile fixe ne sont pas
forcément
totalement exclues de toute prise en charge, soci
nous faire partager leur univers. Au total une bonne expérience, pas
forcément
à répéter (je pense qu'on fait à peu près le tour
croise tous les jours mais auxquelles malheureusement on ne fait pas
forcément
attention. Cela m’a vraiment fait ouvrir les yeux
parce que ceux qu'on voit en stage (surtout aux urgences) ne sont pas
forcément
informés ou suivis, et on peut les aider à entrer
ctuer une garde au SAMU SOCIAL, car dans nos stages on ne se rend pas
forcément
compte qu’il existe une aussi grande précarité, u
nous avons déjà beaucoup de gardes et de travail, nous n'y allons pas
forcément
avec entrain.
u'imaginer. Tous les gens à qui nous sommes venus en aide ne sont pas
forcément
touchants, ce sont des hommes et des femmes plein
à leur parler, alors que spontanément il est vrai que ce ne sont pas
forcément
les personnes vers qui nous nous dirigeons dans l
ée à rencontrer et soigner des personnes vivant dans la rue mais sans
forcément
prendre le temps d'échanger avec elles. De plus,
us les D2 car cela relève de l'absurdité et que tout le monde n'a pas
forcément
envie de devoir rester toute la nuit à marauder p
tin pour ceux qui habitent loin par exemple, et certains n'auront pas
forcément
l'envie d'être confronté à ce genre de milieu non
us, étudiants en médecine, puissions observer cela. Cela nous apporte
forcément
quelque chose pour nous et notre futur métier! En
uite du chauffeur du fourgon qui était très risquée et ne mettait pas
forcément
à l'aise, d'autant plus qu'il s'agit d'une garde
de signalements cette nuit là, avec la chaleur les gens n'avaient pas
forcément
envie de passer la nuit en hébergement. Globaleme
en place pour les hébergements d'urgence, ce avec quoi je n'étais pas
forcément
familiarisée avant ! Ensuite, j'ai pu assister au
e voir un autre côté des gens à la rue, un côté auquel on ne fait pas
forcément
attention quand on passe à côté d'eux : ils ont b
e de la nuit. Sur le côté pratique, le siège du samu social n'est pas
forcément
pratique d'accès en transports...
é dans leur vie quotidienne, plutôt qu'à l'hôpital où ils ne sont pas
forcément
toujours bien accueillis ... J'ai rencontré des p
e douche gratuite ou des machines à laver, auxquelles on ne pense pas
forcément
Les points à améliorer seraient : -Du côté de la
propres. Le plus dur de la maraude est de serrer la main des gens pas
forcément
propres, serrer la main de quelqu'un qui vous dit
l'occasion de discuter avec ces mêmes personnes que l'on n'aurait pas
forcément
cotoyées "en temps normal", et surtout l'occasion
ompte que certaines personnes demandeuses au 115 ne ressemblaient pas
forcément
physiquement aux sdf que nous voyons tout le temp
le nombre de place en foyer est limité. Ce que les gens ne savent pas
forcément
aussi c'est qu'il y a beaucoup de personnes qui t
(moins de jugement, plus d'empathie) sur des personnes que l'on sera
forcément
amenés a côtoyer aussi bien dans notre vie person
ce travail était parfois un peu fastidieux et on l'on ne faisait pas
forcément
grand-chose de la nuit. Heureusement pour moi ce
qui nous entourent au quotidien et sur lesquelles on ne réfléchit pas
forcément
quotidiennement. Ce qui m'a le plus amené à réflé
ec les personnes que nous allions voir, qui pour moi ne voulaient pas
forcément
être aidées Finalement en étant entourée d'une éq
lques habitués, qui pour certains en pousuivant leurs rêves n'ont pas
forcément
les moyens pour de s'offrir un logement, gardent
n a peu, et elles sont par conséquent remplies très rapidement et pas
forcément
par les personnes qui me semble (encore une fois
les conditions de travail des personnes au SAMU social qui n'ont pas
forcément
le matériel ou les ressources nécessaires pour fa
r à l'hôpital pour les personnes en difficulté sociale, sans attendre
forcément
le passage souvent long à venir de l'assistante s
bles chaque soir ne sont pas systématiquement données, et ne sont pas
forcément
non plus données aux gens qui ne pourront pas avo
lement à l'hôpital. Le contact avec cette patientèle aux Urgences est
forcément
appréhendé sous un angle différent après une mara
r un appartement, avoir une famille aimante, avoir des amis n'est pas
forcément
une banalité. Les personnes que j'ai rencontré hi
on complètement fictive de la rue et des ces personnes, qui n'est pas
forcément
la réalité. Je tire du positif de cette garde qui
e que quand on arrive chez soi à 7h après une longue nuit, on n'a pas
forcément
envie de repartir à la fac quelques heures plus t
ire et très intéressante mais je trouve aussi que nous n'y sommes pas
forcément
assez préparés ; ni avant ni après. Nous savons t
t confronté quand on travail dans ce milieu. Les gens ne tiennent pas
forcément
très longtemps face à la misère humaine à l'état
'ai pas eu de formation et que les personnes au téléphone ne sont pas
forcément
d'une extrême gentillesse son attitude déplacée.
peut exister dans notre société aujourd'hui, et donc on ne tient pas
forcément
compte (ou du moins pas assez) dans la prise en c
'intégrer à l'équipe. Il n'y a que trois places à l'avant donc on est
forcément
à l'arrière avec les personnes, pour ma part cela
e faire à l'hôpital, aux urgences. Au Samu social, nous ne voyons pas
forcément
des gens malades, parfois même, n'ont pas appelé
J'avais quelques a priori avant cette garde car je ne suis pas
forcément
à l'aise avec les plus démunis dans la vie de tou
e pour se sortir de la rue ne sont pas si faciles et que ce n'est pas
forcément
juste un choix ou un abandon de vie mais surtout
vent dans la rue, oui ce sont des gens "normaux", non ils ne sont pas
forcément
dangereux/agressifs/alcoolisés), de voir à quel p
uation pour chercher des solutions à ses problèmes, ce que l'on a pas
forcément
le temps de faire de façon approfondie au cours d
e entente car ces gens doivent être habitués à recevoir des soins pas
forcément
très "aimables" de la part du personnel soignant
places d'hébergement, qui sont à la fois extrêmement limitées et pas
forcément
adaptées (beaucoup préfèrent dormir dans la rue q
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