avoir une place...), les mécanismes d'exclusion, l'inaction politique
face aux
sans abris... J'en ressors un peu attristée par n
ux sans abris... J'en ressors un peu attristée par notre indifférence
face aux
grands exclus. Garde à renouveler absolument pour
t je me sens plus apte à réagir et je me sens enfin un peu plus utile
face à
une personne en situation d'exclusion dans la rue
dénote en partie un manque de moyen du samu social qui sont débordés
face à
une précarité de plus en plus importante en Franc
reste que le froid, l'homme à la rue. Le SAMU social c'est l'urgence
face au
silence du monde, c'est la révolte face à l'isole
AMU social c'est l'urgence face au silence du monde, c'est la révolte
face à
l'isolement de l'autre. Merci à la faculté pour c
Me confronter à autant de misère et me sentir totalement impuissante
face à
celle-ci était perturbant. J'admire donc d'autant
Une belle expérience humaine qui nous met
face à
la dure réalité de la rue. Équipe dynamique et à
role important que celui du Samu social. Malheureusement trop minime
face au
nombre important de sans domiciles. Leur apporter
llante et j'ai admiré leur implication, leur écoute, et leur patience
face à
un public parfois alcoolisé ou agressif. J'ai été
membres du samu social. Néanmoins, je sais quel comportement adopter
face à
une personne en détresse dorénavant.
acceptation des aides. La nuit avait été très dures émotionnellement
face à
la misère des gens, mais l'équipe présente avec m
Être
face à
des personnes en grande précarité, n'a pas été év
et en rupture de traitement, vol des papiers d'identité, culpabilité
face à
un séjour en prison... les usagers du 115 me semb
par eux mêmes. J'ai été déçue de voir a quel point le 115 est démuni
face à
la grande précarité. Un verre de soupe, un héberg
t grand hangars, mais je trouve ça très important de s'être retrouvée
face à
la réalité des choses. Je pense que je serai beau
réalité des choses. Je pense que je serai beaucoup plus compréhensive
face à
ces patients dans le milieu médical suite à cette
evanche, le nombre de place limité en centre d'henergement d'urgence,
face aux
nombre élevé de demande est étonnant et alarmant.
coup marqué. Je me suis senti à la fois utile et impuissant notamment
face à
certains refus d'assistance. J'étais assez intimi
ur mise à disposition. Toute l'équipe fut acceuillante et informative
face aux
nombreuses questions que je me suis posé. Bonne e
ose que cette garde au SAMU SOCIAL soit obligatoire car elle nous met
face à
la triste réalité. J'ai rencontré des femmes et d
qu'il n était pas toujours possible de trouver des solutions surtout
face à
l importante demande. La maraude s est aussi bien
car c'est une expérience très immersive qui apprend à garder du recul
face à
des situations qu'on serait tenté de juger un peu
a détresse de certaines personnes, qui est encore différente de celle
face à
laquelle nous sommes confrontés tous les jours à
nge de notre cadre hospitalier où l'on nous confronte à une inégalité
face à
la santé, cette fois c'était une inégalité social
on s'est reproduite durant la maraude où on était quelque peu démunis
face aux
"usagers".
st à l'écoute et aide au maximum. On reste malgré tout parfois démuni
face aux
SDF ne voulant pas être hébergé... c'est assez di
ion des personnes qui y travaillent, leur bienveillance et leur force
face à
ces situations difficiles, les liens tissés entre
o, ça nous paraît presque.... banal. Mais tant que nous ne sommes pas
face à
cela, cela reste abstrait. Là j'ai pu entendre et
u entendre et voir la détresse des gens "dans la galère", leur colère
face aux
peu de moyens auxquels ils peuvent recourir , la
à la rue. J'ai pu observer les différentes réactions de ces personnes
face à
notre présence, avec parfois des rejets violents
algré ça je pense que l'action du SAMU sociale reste une goutte d'eau
face au
problème et qu'il faudrait faire bien plus à une
s (lors de la double écoute) et encore une fois on se sent impuissant
face à
la détresse des personnes à aider
enrichissante sur le point personnel. J'ai été agréablement surprise
face aux
respects des personnes sans abris envers nous. C'
voir que certains ont abandonner l'idée de se réintégrer socialement
face aux
lourdeurs administratives et au manque de moyens
avoir un "cours" sur les moyens proposés aux professionnels de santé
face à
un sdf hospitalisé pour accompagner sa sortie de
vêtir le manteau du Samu Social m'a permis de me sentir plus à l'aise
face aux
SDF; ma culpabilité et mon sentiment d'impuissanc
pas être dans la rue. De plus, le samu social est souvent impuissant
face à
des SDF, installés avec toutes leurs affaires dan
garde est tout de même difficile intellectuellement car elle nous met
face à
la misère humaine.
garde est tout de même difficile intellectuellement car elle nous met
face à
la misère humaine.
ons à une garde du samu social. En effet, cela nous met pour une fois
face à
ces personnes en difficultés non plus à domicile
le fait que leur santé puisse être à ce point reléguée au second plan
face aux
impératifs vitaux que sont le "où manger ?" et "o
il faut aussi se rendre compte que souvent on se sent très impuissant
face à
la détresse extrème de certains SDF. Je voudrais
fants..... C'est assez frustrant de voir le nombre de place d'accueil
face au
nombre de personnes qui dorment dehors et que se
a géré l'équipe du samu social lorsque que nous nous sommes retrouvés
face à
un groupe de jeunes SDF d'une trentaine d'années
oyeuse lorsqu'on nous raconte leurs anecdotes, sentiment de réconfort
face au
sourire et remerciement lorsqu'on leur offre un s
yers d'accueil étaient prises.. Je me souviens de deux femmes, seules
face aux
dangers de la rue, qui désespéraient de devoir tr
mpte du manque de moyens. En effet, les foyers sont trop peu nombreux
face à
la demande. Les membres du Samu social sont oblig
en sortant de cette soirée au samu social : d'une part, j'ai été mise
face au
manque de moyen concernant les logements d'urgenc
oncernant ma garde au samu social, notamment sur comment se comporter
face aux
gens vivant dans la rue. Pour cette première mara
e partie de soirée j'ai été frappé par le peu de places d'hébergement
face au
nombre d'appels. J'ai aussi constaté la difficult
appels. J'ai aussi constaté la difficulté que les écoutants éprouvent
face aux
usagers ne parlant pas français ou très peu. Dans
u samu social,la gentillesse et le calme avec lesquelles ils fesaient
face à
ces situations très difficiles. Je pense que cett
ar cet organisme. En allant ainsi vers les personnes en difficulté et
face à
la dure réalité de la rue, on réalise l'importanc
nt d'amputation. Cette réticence nous fait réfléchir à notre attitude
face à
certains patients, même lorsque l'on pense agir d
ticulier aux urgences car nous ne savons pas forcément comment réagir
face à
des situations de précarité).
'ayant pas assez de moyens pour accueillir plus de monde on se trouve
face à
une situation compliquee. Le SAMU social doit tou
te garde soit inclut dans notre formation. Plus tard, quand je serais
face à
un patient sans abri je lui proposerai d'appeler
rer que c'en est un), c'est que je me sens toujours aussi impuissante
face à
la détresse des personnes sans-abri, ne sachant p
ussi être confrontées à la violence et devoir faire preuve de fermeté
face aux
personnes demandeuses. Une garde très intéressant
ourtant rien n'est fait. Je ne peux rester que dans l'incompréhension
face à
l'ignorance des plus faibles par les plus puissan
, leur bibliothèque, les chatons.. Au cours de notre maraude on a été
face à
diverses situations. On s'est fait insulter une f
nrichissante. La double-écoute m'a permis de voir le manque de moyens
face au
nombre de demandes. Il était surprenant de voir s
ant la nuit, j'ai été particulièrement marqué par le manque de places
face à
un afflux de demande. Un homme nous a arrêté, il
us n'avons plus rien du tout. Et ça m'a beaucoup attristé de voir que
face à
la détresse de ces gens nous n'étions finalement
change. Je pense que cette garde nous aide à retrouver notre humilité
face à
la vie, à relativiser les choses quand on pense à
athie incroyable de l'equipe du Samu, les moyens restent bien limités
face à
l'ampleur de la charge. Des sans abris qui préfèr
is vraiment besoin de discuter. Voir tant d'humanité et de solidarité
face à
parfois des situations difficiles, a été très tou
mise à l'aise et m'ont bien guidée sur comment réagir et se comporter
face à
des personnes en face desquelles on peut finaleme
nt de passer de l'autre côté de la barrière que l'on met au quotidien
face aux
personnes qui sont à la rue, dans nos façons d'in
lent au SAMU social font preuve d'une incroyable humanité et empathie
face aux
SDF, trop souvent ignorés par la société. Je ne n
créer un premier lien et de montrer notre respect et notre attention
face à
leur situation, je m'y suis vite habituée et cela
st vraiment dérisoire par rapport à la demande. On se sent impuissant
face à
la situation car le but est d'aider ces personnes
ue tout le monde en profite mais il est difficile de rester de marbre
face à
ses incompréhensions. Puis après une rapide prése
ement de l'externe et il est assez facile de rester totalement passif
face aux
équipes.
parce qu'il avait peur de ce sentiment d'isolement, d'être tout seul
face à
4 murs, de n'avoir personne à qui parler. On l'a
it les conditions de mission difficiles et nous mettait d'autant plus
face au
désarroi des personnes que nous avons croisées lo
ut ça nous permet d’apprendre à appréhender des situations difficiles
face à
des personnes en situation de précarité et sans r
r moi une découverte. J'ai pu observer comment se comportait l'équipe
face à
une personne dans la rue dans le besoin, j'ai bea
en sur quelques appréhensions avant cette garde, comment se comporter
face à
la misère de la rue, afin ne pas en faire trop ma
au service de l'usager tant les capacités d'accueil sont anecdotiques
face à
la demande à cette période de l'année. La prise e
d'énergie solaire dans un contexte de licenciement économique. Mr. G,
face à
cette solitude, décide rapidement de quitter le p
est tres rare, mais ca ne m'a pas dérangée, bien au contraire, d'etre
face à
cette réalité de la rue. Lors de la maraude, les
eu enseignée durant nos études. Elle nous permet aussi de nous mettre
face à
la dure réalité de la rue, de la vie que mène tou
être que bénéfique pour notre avenir de médecin. Nous nous retrouvons
face à
une minuscule facette de la misère des personnes
me. Pour finir ce qui m'a attristée c'est que nous étions impuissants
face à
sa misère et qu'il ne pouvait qu'attendre des rép
on se sent un peu impressionné, on ne sait pas comment se positionner
face aux
personnes... peut-être qu'un petit debriefing ava
dre mesure, aux problématiques que rencontrent les équipes de maraude
face à
des sans abris en hypothermie, qui ne veulent pou
Malgré une petite appréhension
face à
un milieu que je n'ai jamais fréquenté du tout (e
ont découle également un sentiment d'impuissance voire d'accablement,
face à
une misère que le samu social ne semble pouvoir p
t pour hommes sur Paris, et un seul centre d'hébergement pour femmes)
face à
une demande importante (plus de 7000 demandeurs d
surprise par la possibilité/nombre d'hébergement qui est insuffisant
face à
une demande de plus en plus importante. Néanmoins
e dire quoi que ce soit à ce sujet et j'admire le phlegme de l'équipe
face à
cette situation. Je souhaite bon courage à toute
maine, cette garde permet de voir les limites de notre système social
face aux
immigrants et demandeurs d'asile qui sont de plus
science que, dans la majorité des cas, nous sommes totalement démunis
face à
leur détresse. Je ne dis pas que j'ai été traumat
ail dans ce milieu. Les gens ne tiennent pas forcément très longtemps
face à
la misère humaine à l'état pure. Mais j'ai eu la
s démunis de notre société. L'impuissance et l'impossibilité d'action
face à
certaines situations complexes est quelque chose
dans les foyers et logements d'accueil étant restreintes, on fait ici
face à
d'énormes problèmes logistiques. L'autre appel qu
à traiter. J'ai vraiment rencontré des gens qui, bien que désemparés
face à
l'ampleur de la tâche, étaient vraiment investis
raiment à ce moment là que nos soucis deviennent néants et poussières
face à
ce que l'on a devant nous... J'ai été aussi très
J'arrive au Samu social et me retrouve
face à
toutes ces petites fourmis travailleuses ! Tout d
ntiel. De plus, cela m’a appris à mieux comprendre comment s’exprimer
face à
des situations de vie très difficiles, de façon p
nche, en étant présent au briefing, je me suis retrouvée mal à l'aise
face à
toutes les équipes du SAMU social, car on représe
nts de vue, ce qui me confère une impression paradoxale d'impuissance
face à
cette problématique : quel que soit l'intervenant
ts enjeux, ressentir les difficultés des usagers, et des travailleurs
face à
des nuits froides, pluvieuses, des refus de prise
trottoir, la terre, l'eau, et l'urine. Tout le quartier était ameuté
face aux
hurlements et il fallut plusieurs fois s'interpos
r elle était la 1ère et que je ne pensait pas me retrouver aussi vite
face à
des situations aussi tragiques. Mais c'était auss
é et on prend soin d'eux, sans mettre de pitié dans les comportements
face à
eux. Les gens travaillant au SAMU social sont vra
on pourvues" lors de la double-écoute, frustration de l'équipe mobile
face au
manque de réactivité de leur hiérarchie...) - une
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