que je ne m'étais jamais vraiment posé la question, et que de toutes
façons
c'est quelque chose de difficilement imaginable.
ncue que distribuer cette garde à l'ensemble des étudiants de la même
façon
et sans imposer le redoublement en cas d'absence
r fort et ému. Nous ne sommes probablement pas assez sensibilisé à la
façon
de communiquer avec une personne sans-abri depuis
érieur sur le fonctionnement de ce centre, et d'être confrontée d'une
façon
différente aux personnes sans logement que l'on c
l'on met au quotidien face aux personnes qui sont à la rue, dans nos
façons
d'interagir (ou justement de ne pas interagir) av
un poids pour les différentes équipes. Je suis content d'avoir vu la
façon
dont travaillent ces équipes même si je n'ai pas
es différentes missions du samu social. On change peut être un peu sa
façon
de voir cette institution et on se rend compte de
s sociales travaillant de nuit. Leurs habitudes et leurs habitués, la
façon
dont ils prévoient leur nuit, dont ils écoutent l
matisation des données. Lors de la maraude, l'équipe est intervenu de
façon
soudée, synergique et s'est montré très investi d
à la rencontre des personnes à qui je n'adresserais pas la parole de
façon
spontanée. J'ai pu les interroger, connaître un m
dinaire. A l'issue de cette nuit je ne verrai plus les SDF de la même
façon
et irait plus facilement à leur contact. Une supe
est pas moins pire. A l'avenir je ne verrai plus ces gens de la même
façon
, j'oserai plus aller vers eux pour discuter. Brav
vec les gens de la rue. C'est cette décontraction qui m'a plue, cette
façon
d'aborder l'autre sans exprimer de pitié.
à la misère en France, et c'est quelque chose qui a fait basculer ma
façon
de voir la vie. Une très bonne expérience
t des personnes en difficultés et de leur venir en aide et cela de la
façon
la plus naturelle possible. On se rend compte qu'
ctive d'une maraude le soir de noël constituait pour moi une curieuse
façon
de fêter le réveillon. Mais l'accueil des équipes
réinsertion des personnes en difficultés par la création de lien (de
façon
différente que les Restos du Coeur par exemple).
orte. C'est cette recherche du bonheur par la simplicité (un peu à la
façon
Épicure) qui m'a le plus impressionné.
la rue, j'ai beaucoup appris des intervenants du Samu social, de leur
façon
de s'impliquer sans jamais être intrusifs, et de
ans la bonne humeur, avec une équipe absolument géniale. J'ai aimé la
façon
dont les gens peuvent être reconnaissants lorsqu'
eu l’occasion de découvrir le SAMU social de Paris, de comprendre la
façon
dont ses équipes fonctionnent et surtout d’aller
é, ce qui est particulièrement intéressant pour comprendre ensuite la
façon
dont ils sont pris en charge à l’hôpital. En effe
misère que le samu social ne semble pouvoir prendre en charge que de
façon
"palliative" et quelque part, que de façon "super
r prendre en charge que de façon "palliative" et quelque part, que de
façon
"superficielle". Au delà du réconfort matériel en
rsonnel des "usagers" pour leur rendre une dynamique de vie. De cette
façon
, ils peuvent espérer garder une dignité et s'éloi
nt des inégalités en France, j'ai donc été heureuse de participer (de
façon
maigre et symbolique certes) à une maraude au sam
nné de la proximité de mon équipe avec les personnes de la nuit. Leur
façon
de communiquer et leur capacité d'écoute est exem
sitives : "je suis heureux", " je suis plus heureux qu'avant", "cette
façon
de vivre me va", comme si leur situation leur con
pathiques et m'ont expliqué beaucoup de choses sur leur travail et la
façon
dont se déroulait habituellement les nuits. Elles
férentes pathologies de la rue qu'elles étaient amenées à soigner. De
façon
générale, la nuit fut très instructive. J'aimerai
complètement désocialisées. Une des situations qui m'a marqué est la
façon
dont a géré l'équipe du samu social lorsque que n
social est riche d'émotion. Au début curieuse de découvrir une autre
façon
de vivre, émue par des rencontres diverses et var
nos hôpitaux, et surtout de la necessité de les prendre en charge de
façon
beaucoup plus globale ou au moins plus pragmatiqu
recevoir des soins. On a pu ainsi découvrir une petite partie de leur
façon
de vivre dans la rue. L'équipe sur place était tr
es chansons de « Johnny » que notre compagnon de route chantonne à sa
façon
… Il est 4h40, c’est la fin de la garde, et je gar
'intégrer cette expérience dans le cursus de médecine ; au-delà de la
façon
d'aborder un SDF en tant que tel, on apprend de m
a été une expérience très intéressante et enrichissante de multiples
façons
. Je l'ai effectuée le 26 Décembre 2010, nuit de g
uotidien de ces bénévoles qui m’a fait réaliser qu’il y a beaucoup de
façon
d’aider les autres à toutes les échelles et que c
ce soit les ecoutants ou les maraudeurs, on aborde la rue d une autre
façon
, apprendre à écouter les autres, découvrir que ap
altéré, et que la prise en charge d'un patient ne peut s'effectuer de
façon
efficace sans prendre en charge la dimension soci
rsonnes, certaines nous recevant mieux que d’autres. J’ai apprécié la
façon
dont mon équipe se présentait aux usagers et le f
ude face à certains patients, même lorsque l'on pense agir de la même
façon
indifféremment de la personne. Par ailleurs les t
rs plans. Sur le plan médicale premièrement, elle permet d'aborder de
façon
concrète la prise en charge des patients en situa
e (au sens figuré du terme). J'ai découvert un autre monde, une autre
façon
d'apporter un peu d'humanité, qui ne se résume pa
de. J'ai beaucoup appris durant cette courte nuit sur les différentes
façons
ressentir sa vie dans la rue, certains sont dépas
haitant en centre. les équipes sont confrontées au manque de moyen de
façon
cruelle la double écoute m'a permis de voir que l
garde au SAMU Social est bénéfique pour l'ensemble des étudiants. De
façon
plus personnelle, j'ai apprécié rencontrer ces tr
mesures sociales proposées aux personnes en situation précaire et la
façon
dont celles ci sont mises en place en pratique. L
s dortoirs impersonnels. J'ai bien sûr honte de mon pays, honte de la
façon
d'accueillir ces êtres humains. Cette sombre situ
édical; seuls quelques agents de sécurité, qui font régner l'ordre de
façon
non conventionnelle. Et des lits à perte de vue d
ante. Elle m'a permis de voir la nuit et le monde qui l'entoure d'une
façon
différente : entre gens qui rentrent de soirée, S
avec les personnes SDF ou avec l'équipe de maraude... J'ai changé ma
façon
de voir les personnes SDF. J'ai aimé voir ces gen
ûle. Je n'avais jamais réalisé que l'on pouvait se brûler d'une telle
façon
. Je passe tous les jours devant ces grilles, marc
ise aussi que les gens du 115 sont obligés de gérer des situations de
façon
"économique", "raisonnée", ce qui nous paraît par
ser etc"...). Un point , néanmoins, me paraîtrait souhaitable: que de
façon
systématique on passe 15 mn en entretien avec le
nt répondu a toutes mes questions et surtout qui font leur travail de
façon
admirable. Un point négatif: il faudrait éviter d
Ce fut une expérience enrichissante, principalement pour voir la
façon
de s'adresser à des gens dans une grande détresse
ement,...) , et me faisant participer à la prise en charge des SDF de
façon
active (distribution de café, de soupe chaude, de
ément de leur temps. Cette garde me servira très certainement pour ma
façon
de pratiquer plus tard en tant que médecin.
cuter avec lui et de s'être occupé de lui. - On pense souvent mais de
façon
erronée que ce dont les SDF ont le plus besoin c'
uveau) Par la suite, pendant la maraude, j'étais assis à l'arrière de
façon
quasi-constante auprès de SDF ivres (dont un étai
in qu'il puisse aller se doucher et utiliser un peu d'électricité. Sa
façon
optimiste de voir les choses est remarquable. J'e
le plus marquant lors de cette garde au Samu social de Paris a été la
façon
dont le camion en maraude a pu être interpellé. Q
leur vie quotidienne et donc de la prendre en charge d’une meilleure
façon
en tant que soignant mais aussi en tant qu’humain
nt d'analyser au court de la double écoute et au cours de la ronde la
façon
de parler, d'écouter et de faire comprendre malgr
cité de ce SAMU, capable d'agir véritablement pour aider les gens, de
façon
concrète - mais aussi une impression de n'être ca
a permis de voir comment le SAMU social venait en aide aux usagers de
façon
concrète. Finalement la nuit est passé très vite
ti, c'est pourquoi nous devons faire avoir un oeil critique sur notre
façon
d'accueillir les patients dans les services d'urg
de la soirée pour comprendre le fonctionnement du samu social, et la
façon
dont sont coordonnées toutes les action; et même
pondre de rappeller, toujours rappeller, tout en sachant que de toute
façon
ça sera certainement en vain La marraude : Là on
s n'avons pas aperçu. C'est toujours un contact particulier ; mais de
façon
très étonnante, un grand nombre nous accueille en
ergement. De plus cela m'a permis de découvrir le 115 ainsi que leurs
façons
d'attribuer un hébergement (selon la constitution
ssante sur le plan humain, et je trouve que ça a énormément changé ma
façon
de voir les choses. Je ne pensais pas qu'il était
c le temps, on oublie, on "s'habitue". Petit recadrage bien utile. De
façon
plus pragmatique, cela nous permet (encore une fo
ce qui rend les étudiants surchargés et toujours plus obtus dans leur
façon
de voir les choses par manque de temps, il faut l
s. Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes
façons
de prise en charge des sans abris ou des gens ave
s. Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes
façons
de prise en charge des sans abris ou des gens ave
s. Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes
façons
de prise en charge des sans abris ou des gens ave
s. Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes
façons
de prise en charge des sans abris ou des gens ave
s. Le travailleur social à eu le temps de m'apprendre les différentes
façons
de prise en charge des sans abris ou des gens ave
ant d'écouter les gens qui vivent dans la rue, car c'est la meilleure
façon
de leur venir en aide. Finalement, le plus étonna
mais ces allusions à sa dure vie semblaient de ce fait renforcées. De
façon
générale, ce qui m'a le plus frappé est l'attitud
passé plusieurs jours (parfois semaines) à la rue. La seconde est la
façon
très stéréotypée dont se déroule l'appel. Systéma
e comment s’exprimer face à des situations de vie très difficiles, de
façon
posée et aidante. Ensuite le débrief avec l’EMA,
des lignes, la charte et l’organisation du service sont présentées de
façon
succincte. J’ai commencé ma garde par faire de la
e expliquée par de simples mots. Les remerciements des familles et la
façon
dont ils expriment leur reconnaissance redonnent
avait un conflit IDE/assistance sociale (elles n'avaient pas la même
façon
d'aborder les personnes en difficulté). L'avantag
entre les histoires des gens qui se retrouvent à la rue. Toujours de
façon
brutale, alors que "tout allait bien avant", qu'i
'hiver sera rude, ils seront moins nombreux en avril et puis de toute
façon
, depuis quand les gouvernements s'occupent-ils de
s enfoncés dans leur fauteuil et qui répètent sans arrêt "oh de toute
façon
on ne peut rien faire !!") Bref, ok, ce n'est pas
ipe pour ramener les pris en charge vers les centres d'hébergement de
façon
plus groupées permettraient aux autres équipes d'
e disponible en centre pour la nuit, et le fait qu’il faudra de toute
façon
recommencer le lendemain car les places sont attr
les éventuels passagers puisque ceux ci sont à l’arrière et de toute
façon
trop fatigué pour partager leurs expériences. L’é
ons à ses problèmes, ce que l'on a pas forcément le temps de faire de
façon
approfondie au cours d'un appel. En plus, je pens
er (contrairement à l'hôpital ou c'est plus speed...). Enfin de toute
façon
je trouve que c'est une expérience formidable, et
i connait les noms de chaque SDF, leur caractère, leur histoire, leur
façon
de penser et de faire. Ce qui m'a déplu finalemen
vite qu’on ne le pensait. Ce qui m’a émue c’est également de voir la
façon
dont l’équipe de maraude, les accueillants dans l
u contraire il les y maintient indéfiniment ! Vouloir aider chacun de
façon
totalement égalitaire c'est un beau projet, mais
manité. Cela m'a beaucoup touchée, je ne "les" verrai plus de la même
façon
. De même que le travail du chauffeur ne se limite
abris pour qui l'accès aux soins est quasi inexistant. Mais de toute
façon
pour certains ils se pensent "déjà foutu" alors à
vices hospitaliers...... Le déroulement de ma garde s'est passé de la
façon
suivante: accueil et présentation du 115 (notamme
important de vivre cette expérience. On apprend des réactions et des
façons
de discuter des travailleurs du Samu Social. Ce q