pour longtemps est celle des deux foyers(garel et Montrouge)visités..
Dure
dure la vision de ces lieux censés être un lieu d
longtemps est celle des deux foyers(garel et Montrouge)visités.. Dure
dure
la vision de ces lieux censés être un lieu de rep
C'était
dur
mais ça m'appris bcp de choses
r rer de 5h20 puis avoir une correspondance pour la banlieue... C'est
dur
dur dur après une nuit blanche dans le froid et l
r de 5h20 puis avoir une correspondance pour la banlieue... C'est dur
dur
dur après une nuit blanche dans le froid et l'ode
5h20 puis avoir une correspondance pour la banlieue... C'est dur dur
dur
après une nuit blanche dans le froid et l'odeur d
it beaucoup mieux organisée que celle au SAMU 75. La double-écoute ne
dure
que deux heures et nous permet de cerner grossièr
devienne ennuyeux (comme c'est le cas au SAMU 75, où la double écoute
dure
théoriquement NEUF HEURES de suite). La période d
dizaine de sans abris, moitié signalisation, moitié maraude. Le plus
dur
n'a pas été ce que je pensais, ce n'était pas dur
ié maraude. Le plus dur n'a pas été ce que je pensais, ce n'était pas
dur
d'aller vers les usagers, de leur serrer la main,
la main, leur offrir une boisson chaude et discuter avec eux. Le plus
dur
c'était de savoir que malgré notre passage, malgr
a déjà bénéficié de trois nuits en hébergement cette semaine. Le plus
dur
est peut être cependant de voir la difficulté qu'
, avec enfant plus ou moins âgés, pour trouver un hébergement, il est
dur
à comprendre qu'un homme de 25 ans pourra dormir
e plus plu c'est les moments de discussions avec les gens. Ce qui est
dur
c'est quand on a plus d'hébergements disponibles
besoin, essayer de leur apporter un peu de réconfort. C'était parfois
dur
aussi de se confronter à la détresse de certaines
up apprécié la garde, c'était très enrichissant. C'était aussi un peu
dur
au niveau des appels quand nous devions refuser u
es personnes très agréables. C'était une expérience très émouvante et
dure
mais qui donne envie de faire partie de l'équipe
Une belle expérience humaine qui nous met face à la
dure
réalité de la rue. Équipe dynamique et à l'écoute
nuit. Néanmoins, cette solution ne l'est que pour une nuit et il est
dur
de ne pas pouvoir avoir des solutions durables po
Cette garde m'a permi de me rendre compte de la
dure
réalité que certaines personnes ont a affronter a
ation avec eux pour une acceptation des aides. La nuit avait été très
dures
émotionnellement face à la misère des gens, mais
. Accueil très agréable des infirmiers qui m'ont bien expliqué cette
dure
réalité . Jai trouvé ça effectivement reeellement
à cause du manque de place dans les centres d'accueil. Je trouve très
dur
le système qu'il faille appeler chaque jour à une
Nuit tres enrichissante humainement parlant, parfois un peu
dur
car on fait fasse à beaucoup de misère et qu'on a
ce point de vue, ça s'est amélioré au fil des heures mais ça restait
dur
.
t aider parmi plusieurs sans abri, et ce sont ces moments là les plus
durs
. Je n'oublierai jamais le regard de détresse d'un
uipe nous ramène à chaque fois chez nous après la pause du diner (qui
dure
environ une heure entre 3h et 4h) alors que ce mo
des gens qui sont ignorés par tout le monde. Ils font un boulot très
dur
et sans doute pas assez reconnu. Merci a eux.
La garde au samu social nous confronte avec une
dure
réalité qui hélas peut très facilement passer ina
ion des difficultés rencontrées. La chaleur à Paris et au moins aussi
dure
à supporter que les hiver. Beaucoup de rencontres
ion des difficultés rencontrées. La chaleur à Paris et au moins aussi
dure
à supporter que les hiver. Beaucoup de rencontres
emps de m'expliquer le fonctionnement du 115. C'était cependant assez
dur
de devoir refuser des lits à la grosse majorité d
Les 2heures au service de double écoute ont été très
dures
, quasiment aucunes places d'hébergement même pour
e indispensable dans la survie de ces personnes. Ce qui a été le plus
dur
c’est de sentir que malgré la douleur et le froid
ébergement d'urgence et qu'autant de demandes étaient rejetées. C'est
dur
de devoir dire aux gens qu'ils vont devoir dormir
ent confronté a la misère sociale, et on réalisé a quelle point c'est
dur
de dormir dehors par ce temps froid et pluvieux.
fficile avec énormément de conviction, c'est ce qui me paraît le plus
dur
quand au quotidien on à l'impression que rien ne
nctionnement et l'existence du SAMU social. Certaines situations sont
dures
à accepter ainsi que le fait de voir que certains
t 2h le fonctionnement de la plate-forme avec des acronymes tous plus
dur
à comprendre les uns que les autres. Et merci éno
as à côté, ceux qui abandonnent .. etc.) La partie maraude a été plus
dure
psychologiquement mais très utile car on se rend
ital. Dans l'ensemble une très bonne garde, très intéressante, un peu
dure
, mais très utile.
vet supplémentaire et des chaussettes pour aider à tenir durant cette
dure
nuit d'hiver. ..
sont dans de très grandes difficultés et cela peut être un petit peu
dur
au départ. Mais au final, j'en suis ressortie trè
passe une nuit entière en maraude ! J'ai découvert un métier vraiment
dur
, mais également très important et enrichissant hu
fait, je me demandais si les équipes étaient suivies, du fait de leur
dure
activité....
Expérience très enrichissante, dommage que le temps de double écoute
dur
si peu de temps. J'ai été globalement bien accuei
lère contre ça... Même si la plupart étaient redevables. Mais le plus
dur
pour ceux qui ont pu passer la nuit en centre c'e
us démunis. Cette expérience m'à beaucoup marquée et touchée, le plus
dur
était de dire à des personnes qu'ils allaient pas
l'heure peu tardive les centres étaient déjà plein et leur déception
dure
à encaisser. Je trouve que les infirmiers et AS q
voir organisé cette garde. Ce fut extrémement enrichissant, mais très
dur
aussi, la réalité de la rue, la misère humaine, l
puisse de fait leur trouver un abris transitoire. J'ai trouvé ca très
dur
d'entendre la détresse de ces personnes et d'écou
s pour s'en sortir prennent des mois et des mois, à quel point il est
dur
de s'accrocher dans ces conditions... c'est tout
t de gentillesse. Je me suis rendu compte à quel point ça devait être
dur
à vivre, en plus du mépris et du rejet de la soci
anisme. En allant ainsi vers les personnes en difficulté et face à la
dure
réalité de la rue, on réalise l'importance de cet
tente, mais je comprends bien que la vie sans domicile fixe doit être
dure
. Donc plutôt une nuit qui m'a enrichi sur le plan
ens ont l’air globalement content de pouvoir y aller, même si cela ne
dure
qu’une nuit. Ils devront attendre le lendemain au
maraudé, était motivée!! Mais cette expérience a été également un peu
dure
: avec la double écoute on entend des familles ent
utais bien que le nombre de place était limité mais j'ai trouvé assez
dur
de devoir annoncer aux personnes qui nous demanda
une place pour la nuit, même si cela n'est que temporaire... Le plus
dur
c'est de devoir dire qu'il n'y a plus de place po
e l'évolution des personnes qu'on aide, mais c'est techniquement très
dur
même pour le samu social.. Partenariat à perpétue
que nous avons rencontré a du dormir dehors, et j'ai trouvé cela très
dur
de lui apprendre qu'il n'y avait plus de place de
sitive. Ensuite la maraude, il y a avait des moments particulièrement
durs
quand on allait à la rencontre des familles qui n
fonctionne "au jour le jour" et il est donc difficile de retrouver la
dure
réalité la nuit suivante!
quer à des personnes qu'elles vont devoir passer la nuit dehors était
dur
.
se résume parfois qu'à un sourire et même une poignet de main. C'est
dure
de se l'avouer, mais il m'aura fallu cette nuit p
misère comme on l'est rarement dans la vie de tous les jours. Le plus
dur
pour moi est de faire face à la détresse de famil
ur de nous, tous les jours, pour se rendre compte que la vie est plus
dure
pour certaines personnes et qu'elles ont besoin d
ital public. Cela m'a permis de me rendre compte qu'il n'était pas si
dur
de briser la glace et d'instaurer un dialogue ave
trer, nous qui sommes pour la plupart issu d'une classe favorisée, la
dure
vie dans la rue, et nous qui sommes de futurs soi
spoir de se sortir de cette situation, parfois très compliquée. C'est
dur
de résumer cette expérience en 3 phrases, mais je
omprendre là système de fonctionnement des foyers d'hébergement et la
dure
tâche des personnes qui doivent accepter ou bien
Les rues sont vides, l'équipe se connait, je connais personne. Un peu
dur
dur au début les gens parlent entre eux, je suis
rues sont vides, l'équipe se connait, je connais personne. Un peu dur
dur
au début les gens parlent entre eux, je suis timi
se loger ce soir faite de place. Je trouve l expérience suffisemment
dure
comme ca en plus du stage en réanimation toute la
dans un hébergement disant que ce n'était pas sa place et ce fut très
dur
de repartir en la laissant seule sous cette abri-
prime sur toute autre chose. Cependant je trouve dommage que cela ne
dure
qu'une nuit. En effet, même s'il est difficile de
s qu’on n’aurait pas forcément abordé en tant que civile. C’est assez
dure
psychologiquement quand soi-même nous avons vécu
ns et ne parlait pas un mot de français avec son mari... C'était très
dur
de repartir sans pouvoir les aider. Je ne regrett
ersonnes engagées dans le Samu social, leur travail peut parfois être
dur
(par exemple, lorsque les sans abris apprennent q
taine de places dans un foyer spécialement dédié à eux... Ce fut très
dur
d'annoncer à une famille de réfugiés albanais ave
rouvent. Les gens au bout du fil ont bien souvent des histoires assez
dures
: certains sont des immigrés qui ne savent pas où
rue , en général des étrangers, c'était en effet les appels les plus
durs
pour moi. Ensuite moment de débriefing pour répar
trop grand nombre de personnes, de découvrir un autre monde. Le plus
dur
était la frustration de voir autant de personnes
ers administratifs, la lutte quotidienne pour rester propres. Le plus
dur
de la maraude est de serrer la main des gens pas
'Hôpital. Cette garde nous permet aussi d'imaginer (partiellement) la
dure
réalité de ce que peut être une vie dans la rue e
ces personnes souvent isolées de pouvoir parler à quelqu'un. Le plus
dur
est de ne pas pouvoir répondre à leurs attentes t
aller vers eux, les écouter et les aider du mieux qu'on peut. Le plus
dur
à accepter en tant qu'aidant et qui génère une ce
ouver un toit au bout de 50 nuits dans le métro ou la rue était assez
dur
, surtout lorsque nous n'étions pas en mesure de l
de personnes habituées recherchant un logement pour la nuit. L'appel
dure
moins de 2 minutes, la personne s'identifie, on r
une tasse de café, une soupe chaude, un duvet, une écoute... Le plus
dur
est probablement d'accepter leur choix de ne pas
erci de nous organiser une garde au SAMU SOCIAL, c'est une expérience
dure
mais enrichissante. J'ai été choquée par le manqu
Chapeau aux personnes qui travaillent au 115, vous faites un travail
dur
mais à la fois extraordinaire ! Cette nuit a été
candide en disant cela, mais je ne réalisais pas à quel point il est
dur
de vivre dans la rue. Pourtant j'ai toujours été
enter des heures pour qu'à la fin ils partent ". Devant ces mots très
durs
, il m'apparait donc indispensable que des discuss
ée durant nos études. Elle nous permet aussi de nous mettre face à la
dure
réalité de la rue, de la vie que mène tous ces ge
s centres d'hébergements... les conditions peuvent parfois être assez
dures
, et on comprend mieux le refus de certaines perso
ertaines situations avec le sourire alors que les phrase, elles, sont
dures
à entendre. D'ailleurs, une écoutante m'avouera q
al il perdait son emploi après quelques mois car le rythme était trop
dur
à suivre avec le fait de vivre dans la rue et il
n est confrontée (et qui m'était auparavant très abstraite), elle est
dure
, parfois désespérante, mais il me paraît maintena
ait pas motivé à me former, me transmettre ce pourquoi ils font ce si
dur
métier, tant psychologiquement que physiquement a
vorisé à côté ! J'ai un profond respect pour ces gens qui travaillent
dur
pour tenter d'aider les autres, avec des moyens t
aude et leur dire que nous n'avions pas de places, ce qui était assez
dur
.. Je sors de cette soirée assez chamboulée par ce
acter le 115 afin qu'ils puissent profiter de leurs services. Le plus
dur
fut de les laisser à la fin de la discussion avec
UE arrive... On se doute à aucun moment que cela peut être à ce point
dur
pour ces sans abris. Ces gens sont tellement heur
ire beaucoup d'efforts bien qu'on me mettait à l'écart, c'était assez
dur
. A la double écoute, on sent aussi une réticence
aucun support, 5 ou 6 têtes de moutons.. C'est une réalité extrement
dure
à voir. Elle nous a juste demandé un café et un s
our permettre de garder une trace des demandes d’hébergement. C’était
dur
d’entendre dire aux sans abris qui téléphonaient
pu faire cette expérience avec le 115. Malgré le fait que la nuit fut
dure
, elle m’a montrée que s’il y a des gens dans les
ait presque oublier sa situation à l'écouter, mais ces allusions à sa
dure
vie semblaient de ce fait renforcées. De façon gé
révoir l'avenir, aider ces gens à se remettre sur les rails ! Le plus
dur
sera de leur annoncer qu'il n'y a plus de place d
cile de s'imaginer dormir dehors par ce temps là. Et pourtant, ce fut
dur
d'entendre l'écoutante du 115 répéter qu'ils n'av
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