moralement. Par exemple, laisser 2 femmes dont une enceinte de 7 mois
dormir
dans la rue car elles ne veulent pas dormir dans
nt une enceinte de 7 mois dormir dans la rue car elles ne veulent pas
dormir
dans 2 centres différents.
domiciles. Leur apporter du soutient avec la proposition d'un lieu ou
dormir
est essentiel pour ne pas que ceux qui n'ont plus
dormir est essentiel pour ne pas que ceux qui n'ont plus la chance de
dormir
sous un tout se sentent oubliés.
faire, il n'est pas forcément évident d'entendre dire que untel devra
dormir
dehors car il a déjà bénéficié de trois nuits en
un hébergement, il est dur à comprendre qu'un homme de 25 ans pourra
dormir
au chaud mais que un bébé de 1 an devra dormir de
homme de 25 ans pourra dormir au chaud mais que un bébé de 1 an devra
dormir
dehors car les hébergements ne sont pas fait pour
souffrait d'un syndrome de Korsakoff et on lui a trouvé un place pour
dormir
mais 3h de négociations ont été nécessaire pour f
is 3h de négociations ont été nécessaire pour finalement qu'il puisse
dormir
une seule nuit. Le SAMU SOCIAL fait beaucoup pour
Le dilemme est de trouver un endroit acceptable où
dormir
chaque nuit, ce que nous voyons tous les jours sa
attention. Le Samu Social reçoit beaucoup d'appels. Quelques SDF vont
dormir
à la Boulangerie, un immense hangar avec des lits
e du Nord à attendre le feu vert pour envoyer une famille de migrants
dormir
dans un hôtel, j'ai pu échanger avec eux en angla
homme tout aussi alcoolisé nous supplie de lui trouver un endroit où
dormir
mais que nous savons qu'il ne sera accepté nulle
e. Arrivé sur place il a ouvert la porte de la chambre ou 3 personnes
dormaient
déjà et il a préféré rester dehors pour la nuit c
la nuit car je cite "Il ne souhaiterai même pas à son pire ennemi de
dormir
dans cette chambre ".
Le moment le plus marquant de ma garde était un appel d'un homme qui
dormait
dans la rue depuis 2 mois car sa femme l'avait mi
aisait le trajet inverse. Il devait aller travailler la journée, mais
dormait
dehors. C'était la première fois qu'il appelait l
ur rentrer chez moi et jusqu'à hier je ne savais même pas qu'un homme
dort
là chaque nuit, avec un simple duvet pour se couv
chaque nuit, avec un simple duvet pour se couvrir. Un autre monsieur
dort
sur une grille de metro qui laisse ressortir un a
social et tous les jours il s'inquiète de l'endroit où il va pouvoir
dormir
la nuit suivante. La double écoute était égalemen
ontre les habitués qui appellent chaque jour pour avoir un endroit ou
dormir
d'urgence, et ceux qui appellent moins régulièrem
ulièrement: ceux là ont été perdus de vue, ils ont voyagé parfois, on
dormi
dans des cages d'escaliers pour se protéger du fr
Romain Rolland par exemple). Une femme enceinte appelait pour pouvoir
dormir
dans un centre, l'écoutante lui a proposé une pla
lui a proposé une place dans un centre, mais la jeune femme préférait
dormir
dehors plutôt que d'être séparé de son conjoint.
t ivres. J'ai été émue par la rencontre avec une famille roumaine qui
dormait
dans la rue avec leur deux enfants. Il n'y avait
de voir le nombre de place d'accueil face au nombre de personnes qui
dorment
dehors et que se nombre diminue avec l'arrivée de
s se ruer sur le camion dés qu'ils nous vus. Certains voulaient aller
dormir
dans un centre, d'autres voulaient juste une soup
une soupe chaude. La nuit était plutôt froide et plusieurs personnes
dormaient
à même le sol, à peine protégées par des boites e
ue les personnes appellent autant pour savoir s'il y a une place pour
dormir
que pour parler. Et au marodage, j'ai vu que la t
ersonnes qui n'ont pas accès au téléphone, veulent avoir une place ou
dormir
la nuit aussi bien qu'une compagnie avec boisson
me , très malade avec un traitement lourd mais qui avait trop souvent
dormi
dans un centre. Cela m'a permis de savoir un peu
les personnes qui se rendent aux Urgences pour trouver un abris pour
dormir
) . La maraude c'est très bien passée, l'équipe a
(une mère avec deux enfants de bas âge ) qui n'avait pas de lieu pour
dormir
. Cette mère avait peur que la police vienne lui e
ont beneficier d’un toit. Un appel qui m’a marquée et un étudiant qui
dormait
dans les toilettes de son école car il n’avait pa
. Aller sur le terrain pour parler aux SDF, leur donner un endroit où
dormir
, manger, boire, se laver. J’ai trouvé que beaucou
fait a la chaîne, en proposant à boire, à manger, un lieu chaud pour
dormir
sans s'attarder. S'il dormait, on vérifiait juste
nt à boire, à manger, un lieu chaud pour dormir sans s'attarder. S'il
dormait
, on vérifiait juste qu'il respirait. A la longue,
y en aura pas assez pour tout le monde. Comment choisir qui mérite de
dormir
au chaud en ces nuits particulièrement glaciales?
es de vêtements, j'ai froid. Qu'en est il de toutes ces personnes qui
dorment
dehors depuis plusieurs nuits? Certains n'ayant m
Puis nous tombons sur Mr, qui vient de trouver un matelas. Il préfère
dormir
dehors plutôt que de courir le risque de le perdr
le, nous ne pouvons pas grand chose pour permettre à ces personnes de
dormir
au chaud, par contre, nous avons la possibilité d
e choc car il ne m'était pas naturel d'aller parler aux personnes qui
dorment
dans la rue. Non pas que je n'y prêtais pas atten
s qui paraissait rassurée d'avoir croisée notre chemin afin de ne pas
dormir
dehors. Il y avait aussi cet homme à qui ont avai
chaussures et couverture qui surement par méfiance a préférer rester
dormir
dans la gare. Ou encore cet homme d'un certain âg
ormir dans la gare. Ou encore cet homme d'un certain âge qui tenait a
dormir
devant la banque car il avait des affaires a régl
aisant. Cependant, la dernière personne que nous avons rencontré a du
dormir
dehors, et j'ai trouvé cela très dur de lui appre
très dur de lui apprendre qu'il n'y avait plus de place de libre pour
dormir
, et qu'il allait devoir passer encore une nuit de
ment reconnaissants, plus demandeurs d'attention et d'un endroit pour
dormir
que de soins. Mais ça permet de connaitre un peu
pour avoir de quoi se nourrir, un endroit pour se réchauffer ou pour
dormir
. On m'avait initialement informé sur le grand iso
ontré au cours de cette nuit un SDF qui aurait souhaité pouvoir aller
dormir
dans un centre mais cela lui a été refusé en rais
ble en fauteuil roulant et c'est pour cette raison qui choisissait de
dormir
dans la rue. Il préférait rester dehors pour s'oc
e. Il préférait rester dehors pour s'occuper de son ami plutôt que de
dormir
au chaud. Lorsque nous leur avons proposé d'un li
e de place dans un logement social nous sommes obligés de les laisser
dormir
dehors, ce qui peut être assez frustrant.
ens dans le besoin, on essaye de leur trouver une place à l'abri pour
dormir
la nuit. Néanmoins, cette solution ne l'est que p
les écoute. Et on repart avec ceux qui sont épuisés et ont besoin de
dormir
au chaud. Il yavait des sans abris étalé par terr
uverts, à l'abri du vent, de la neige. On ne savait pas parfois s'ils
dormaient
ou s'ils étaient morts. Tous étaient ravis d'avoi
us avons discuté avec plusieurs sans abris, certains ne voulaient pas
dormir
en centre et refusaient notre aide. Alors que d'a
refusaient notre aide. Alors que d'autres recherchaient un endroit où
dormir
, faute de places ne pouvions leur proposer une so
le. Je trouve cela frustrant en revanche de leur offrir un endroit où
dormir
pour la nuit, en leur disant qu'ils devront parti
qui m'a étonnée, est le fait que des hommes refusent une chambre pour
dormir
, car celle-ci est trop loin de "chez eux", et que
st difficile d’entendre comme justification de refus « vous avez déjà
dormi
au chaud hier soir, ce soir vous n’avez pas de pl
ormi au chaud hier soir, ce soir vous n’avez pas de place, vous devez
dormir
dehors », même si l’on se rend compte par la même
lent réellement s’en sortir ou qui souhaitent juste avoir un repas et
dormir
au chaud le temps d’une soirée. C’est bien dommag
ude nous a permi de trouver un toit à 6 hommes et femmes qui auraient
dormi
dehors sans l’aide de cette équipe. Je suis très
rmet de se rendre compte de ce quil se passe dans la rue pendant quon
dort
Chez nous. L'équipe etait très sympa également. E
visite aux plus démunis, discuter, offrir café, bonnet, endroit pour
dormir
... C'était génial ! Il faut absolument continuer
manche jusqu'à 23h sous 3°C alors qu'elles avaient toutes un hôtel où
dormir
. L'autre chose, que je garde en mémoire est le no
ou encore un caleçon pour rester propre mais sans jamais accepter de
dormir
au chaud et sans même prononcer la moindre plaint
nuit, nous avons été sur deux signalements. Il y en a un qui a voulu
dormir
sur place, tandis que nous n'avons pas réussi à t
nts parisiens, ça fait toujours plaisir à admirer tandis que la ville
dort
. Dans l'équipe, il manquait un TS, par conséquent
ui vivent dans la rue appellent à 19h pour savoir si, oui ou non, ils
dormiront
au chaud plutôt que dans la rue. On comprend que
prend que ces gens n'ont pas, comme nous, l'assurance de manger ou de
dormir
sous un toit chaque jour. Le briefing a ensuite é
sibilise à la difficulté de la vie des SDF pour trouver un endroit où
dormir
, se nourrir J'ai aimé être en leur contact pour l
d'hébergement Romain Rolland pour les quatre qui auront la chance de
dormir
sous un toit ce soir. Et demain ? Recommencer.
1 semaine ou 1 an, on est autant éligible à avoir un toit sous lequel
dormir
. Dans la seconde partie de la soirée, nous sommes
dangereux ; si bien que l'on apprend que ce monsieur préfère parfois
dormir
dans le local à poubelles au rez-de-chaussée. L'é
payée 800€/mois par l'Etat français), sans serrure, avec des SDF qui
dorment
par terre à l'intérieur, plus de douche car cassé
'a beaucoup touchée. Ils etaient alcoolisés mais ont accepté de venir
dormir
au foyer et profiter d'un repas chaud.
esquels il avait bénéficié d'un lit infirmier. N'étant plus habitué à
dormir
en intérieur et dans un lit il a très mal vécu sa
dans un lit il a très mal vécu sa nuit au centre et n'a quasiment pas
dormi
, c'est pourquoi il avait pris la décision d'en pa
diffuculté que c'était de devoir chaque soir chercher un endroit pour
dormir
. Lors de la double écoute j'ai entendue des situa
é mises à la rue suite à des problèmes financiers et ne savant pas ou
dormir
à même pas 30 ans. Lors de la maraude nous avons
is de voir une autre facette de la société. Vers 2h du matin un homme
dormait
sur un carton dans un sac de couchage imbibé d'ur
nous l'avons donc réveillé pour le ramener dans un endroit chaud pour
dormir
mais impossible de comprendre un mot tant le taux
ervir un café, discuter un peu, mais ne pas leur proposer de place où
dormir
(parce qu'ils y ont déjà dormi 6 jours plus tôt p
mais ne pas leur proposer de place où dormir (parce qu'ils y ont déjà
dormi
6 jours plus tôt par exemple) Voire dans le pire
i aimé le fait de pouvoir aider des personnes à trouver un endroit oú
dormir
, ou bien leur remonter le moral avec une boisson
que certaines familles avec plusieurs enfants en bas âge continuent à
dormir
dans la rue en raison du nombre encore insuffisan
tres pour gagner plus d'argent. J'ai rencontré un homme qui préférait
dormir
dans la rue que d'aller dans l'un des centres d'h
mprendre pourquoi certains sdf préfèrent rester dehors plutot que d'y
dormir
. Cette garde doit être poursuivie et maintenue po
ent au quotidien dans ces conditions difficiles, pendant que d'autres
dorment
, et j'ai été frappée par leur humanité.
t et chantent au karaoké, savourant l'instant présent et la chance de
dormir
une nuit au chaud. Cette joie de vivre avec si pe
vant dans la rue au point que certaines de ces personnes refusent d'y
dormir
.
tains sans-abris, certes rares, refusaient notre aide, et préféraient
dormir
dans le froid. J'ai eu assez de mal à comprendre
loin de pouvoir prendre en charge chaque personne défavorisée, devant
dormir
dans la rue.
d, constituant ainsi comme une chaîne d'empathie vers ceux qui encore
dorment
dehors.
lle possible. On se rend compte qu'il y a de nombreuses personnes qui
dorment
dans les rues la nuit et souvent dans des conditi
, difficile de savoir qu’en plein hiver, sous la pluie, des personnes
dorment
dehors. Cette garde ne m’a pas laissé indifférent
le vivant à la rue et essayant chaque jour de trouver un endroit pour
dormir
.
voir Les SDF sans même les réveiller ni leur adresser la parole s'ils
dorment
, j'ai trouvé que c'était inutile. Je pense qu'il
rue. Nous avons été à la rencontre d'une femme enceinte de 7 mois qui
dormais
dans la rue. Malgré le fait qu'elle refusait une
onde le sait, il n'y a pas assez d'abris, et voir autant de personnes
dormir
dehors dans ce froid fait beaucoup de peine.
personnes tout juste majeures qui appelaient pour trouver un toit où
dormir
la nuit, des personnes plus jeunes que moi ! On n
des centres d'hébergement car ils avaient eu peur et avaient préféré
dormir
dans une bouche de métro. La suite de la nuit s'e
en l’occurrence au centre de Montrouge. Pour les autres SDF, certains
dormaient
et nous vérifiâmes qu'ils étaient bien vivants, n
nt d'accepter leur choix de ne pas vouloir aller en hébergement et de
dormir
la nuit dehors, sans insister. Cela ne se passe p
taient rejetées. C'est dur de devoir dire aux gens qu'ils vont devoir
dormir
dehors cette nuit faute de places.
e l'aide pour se loger. Avoir un travail ne suffit pas forcement pour
dormir
correctement, je m'y attendais pas du tout.
ravaillent mais qui ne peuvent pas trouver de logement et qui doivent
dormir
dans la rue. Le SAMU social apporte une aide déte
fronté a la misère sociale, et on réalisé a quelle point c'est dur de
dormir
dehors par ce temps froid et pluvieux. J'ai discu
tre fourni comme des lieux convenables et en quantité suffisante pour
dormir
et la réalité qui est le manque de place et le ma
autre vision des choses, que strictement personne ne veux continuer à
dormir
dans la rue. Piste de réflexion: jusqu'ou aider l
u Samu Social, actuellement en maison de retraite, mais qui continu à
dormir
dans la rue. J'ai appris plus tard qu'il connait
ous, une famille une fierté à qu'il ne manque qu'une chose un toit ou
dormir
.
iation avec l'ordre de Malte,mais cela était différent car ceux ci ne
dormaient
pas dans la rue mais sur le bateau à Javel. Les p
is un mois. Je ne m'attendais pas à trouver des enfants de si bas age
dormir
comme ça dehors! Une des deux familles était comp
n'y ait participé que la nuit, car la plupart des personnes sans abri
dormaient
, donc nous avons échangé qu'avec très peu de pers
s dans les centres d'accueil pour la nuit, bien qu'une partie préfère
dormir
dehors que de côtoyer les centres où la sécurité
commun: leur gentillesse. Même sans bien, sans argent et sans toit où
dormir
, elles avaient gardé ce qui est le plus important
ndant la maraude de cette nuit, nous avons rencontré une personne qui
dormait
au dessus de la bouche d'aération des métros, ce
roid à claquer des dents en face de personnes qui elles y vivent et y
dorment
, dans ce froid, alors que nous on retrouve notre
us les voir comme des patients et pas comme des gens qui cherchent à "
dormir
" à l'hôpital. Dans l'ensemble une très bonne gard
nne et fastidieuse pour avoir une place dans un centre d'accueil pour
dormir
. Ca m'a permis aussi d'aborder différemment ces p
omplets. Cet homme s'est mis à pleurer en disant qu'il ne pouvait pas
dormir
dans la rue car il avait trop peur, etc. Au final
e signalement pour trouver un jeune homme de d'entre 25 et 30 ans qui
dormait
au niveau d'une bouche d'aération et qui ne parla
é vers un spot fréquenté de plusieurs hommes et femmes sans abris qui
dormaient
dans des tentes et des duvets. On leur a proposé
dans le 19è, à la rencontre de famille avec enfants (2 et 4 ans) qui
dormait
dehors. A cet âge, on ne devrait pas être dans la
le avec la mère, le père d'origine roumaine et un enfant de 7 ans qui
dormait
sur une bouche de métro évacuant de la chaleur. L
reuses personnes se font agressées pour quelques sous ou un lieu pour
dormir
. D'autres sont contraintes de continuer à vivre d
cond plan face aux impératifs vitaux que sont le "où manger ?" et "où
dormir
?".
quand ces personnes étaient heureuses de trouver un endroit chaud où
dormir
au moins pour cette nuit. Une équipe dévouée qui
usagers reçus dans les centres afin que le plus grand nombre puisse y
dormir
régulièrement. L'accueil par les équipes était vr
u nombre de personne qui attendaient chaque jour un nouveau lieu pour
dormir
et éviter de passer la nuit dans le froid (bref,
fournir un lit et un repas. Certains refusent notre aide, ils veulent
dormir
dans la rue, ils s'y sentent "bien", je pense pou
préparés ; ni avant ni après. Nous savons tous qu'il y a des gens qui
dorment
et vivent dans la rue, on en voit tous les jours
son petit lit douillet après avoir maraudé et rencontré des gens qui
dorment
à même le sol, cela peut quelque peu déstabiliser
la rue ,qui tout les soirs avaient la même inquiétude pour savoir ou
dormir
,ou manger, ou se laver et le fait de leur parler
né un sac de couchage à la place , il était très inquiet de savoir ou
dormir
. Une autre histoire m'a aussi beaucoup touchée ,
e nombreux personnes dans le besoin. Certaines personnes souhaitaient
dormir
au chaud et d'autres avaient envie de boire quelq
mme qui vivait à la rue depuis plusieurs mois et qui avaient envie de
dormir
au chaud cette nuit. Un de ses amis connu par le
ce sourire de cette famille à qui on leur annonçait qu'ils pouvaient
dormir
à l'abri le temps d'une nuit .
de la double écoute, pas facile de dire non à un toit à quelqu’un qui
dort
dans la rue... Nous avons commencé la maraude en
qui ne devraient pas, si une volonté politique réelle le permettait,
dormir
à la rue dans un pays comme le notre. Un seul pet
avait des endroits où les plus démunis pouvaient manger, se laver et
dormir
gratuitement. J'ai beaucoup apprécié le bon accue
mois), arrivée de Russie il y a 3 semaines, cherchait un endroit pour
dormir
car venait d'être expulsée de Gare du Nord; On se
'écouter le rassurer. C'était un monsieur très triste, qui est rentré
dormir
à l'auberge en ayant le grand sourire aux lèvres
le mission: trouver un toit aux plus défavorisés pour qu'ils puissent
dormir
ce soir. Ce numéro, le 115, représente tellement
la rue, qui désespéraient de devoir trouver un endroit à l'abri pour
dormir
, car personne ne leur viendrait en aide pour cett
a pratiquement l'équivalent de la population d'une deuxième ville qui
dort
dans les rues de Paris. Même désocialiés et margi
il peut être difficile de vivre à la rue et de ne pas savoir ou on va
dormir
au jour le jour... surtout pour les personnes ave
à une multitude de sans-abris que venaient pour avoir un endroit pour
dormir
ou seulement une boisson chaude. Les profils des
jet au long terme. L'aide ne se limite donc pas au besoin immédiat de
dormir
au chaud. J'ai été surprise de voir que la plupar
upart des personnes que l'on abordait dans la rue refusaient de venir
dormir
en foyer, il disaient être dans la rue "chez eux"
foyer, il disaient être dans la rue "chez eux" et ne se voyaient pas
dormir
ailleurs (un monsieur racontait même, désolé, qu'
fait une brève évaluation sociale. Cela faisait presque 4 ans qu'elle
dormait
dans le métro et faisait face à des problèmes que
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