point c'est dur de dormir dehors par ce temps froid et pluvieux. J'ai
discuté
avec un monsieur de 60 ans a la rue depuis plusie
es métros, ce qui lui permettait de se maintenir au chaud. Le fait de
discuter
avec elle m'a permis de casser mes clichés sur le
mis de casser mes clichés sur les sans-abris. Le simple fait que nous
discutions
avec elle, il m'a semblé que cela faisait plaisir
un autre aspect de la médecine faite par les infirmières. J'ai adoré
discuter
avec les gens que j'ai rencontré durant la nuit.
er : les personnes composant l'équipe en maraude prennent le temps de
discuter
avec les personnes rencontrées dans la rue, et pa
ette nuit. Certains étaient très contents rien que du fait de pouvoir
discuter
avec nous autour d'un café, alors que d'autres, b
enrichissante. La nuit et en particulier le repas donne l'occasion de
discuter
avec les différents intervenants.
rues de Paris ainsi: apporter de l'aide; accepter le refus de l'aide;
discuter
de tout et de rien; rentrer dans une maison sans
on de maraude. Ils s’arrêtent dès qu’ils repèrent un SDF pour d’abord
discuter
avec lui puis ils distribuent de l’eau, un café o
pas dormir dehors. Une assistante sociale, présente à bord du camion,
discute
avec le SDF pour tenter de faire un point rapide
trouvé cette garde très enrichissante humainement, cela m'a permi de
discuter
un peu avec les persones qui vivent dans la rue,
itant un centre d'hébergement d'urgence à Montrouge. J'ai égalment pu
discuter
avec toute l'équipe de la maraude pour connaitre
leur travail quotidien. Aussi cette garde m'a permis d'écouter et de
discuter
avec les sans-abris, quelque chose que je ne fais
J'ai beaucoup apprécié ma garde au Samu Social. J'ai eu l'occasion de
discuter
avec des personnes défavorisées et d'entrevoir le
ns très enrichissante, le fait de s'arrêter pour voir les sans abris,
discuter
avec eux des choses les plus banales de la vie ça
stoire d'une personne particulière, car chaque personne avec qui on a
discuté
était unique et mériterait que je m'étende sur pl
partis en maraude, au bout de quelque minutes nous nous arrêtons pour
discuter
avec un monsieurs SDF et très rapidement s'est co
e métro ou la rue. Créer un lien de quelques minutes ne serait-ce que
discuter
(d'une partie de leur histoire ou simplement de l
ment l'hebergement) La nuit dans le camion est plutot sympa , on peut
discuter
avec les personnes sans abris . On comprend pourq
SAMU social. J’ai aussi beaucoup aimé l’équipe avec qui j’ai beaucoup
discuté
et ils m’ont laissé faire les soins infirmiers. C
Marauder dans un camion dans Paris et rendre visite aux plus démunis,
discuter
, offrir café, bonnet, endroit pour dormir ... C'é
ontrer des personnes sympathiques, motivées et très humaines. J'ai pu
discuter
avec des personnes sans-abris, comprendre leur pa
tte garde. C'est très interressant de faire de la double écoute et de
discuter
avec les personnes du samu social des situations
nt la double écoute que de rencontrer les clochards dans la rue et de
discuter
un peu avec eux. Je trouve que c'était très intér
forces qui régissaient mes années à venir. J’ai beaucoup aimé rester
discuter
avec lui, pour une personne souvent seule qui ava
social pour sentir le contact naître facilement avec les sans abri et
discuter
simplement du quotidien, des besoins momentanés o
e terrain et qui ont signalé, certains sans-abri qui nous abordent et
discutent
comme si on se connaissait depuis longtemps, d'au
bitué, déjà bien connu), il nous a tous serré la main et a commencé à
discuter
, un bras au-dessus de mon épaule et l'autre sur c
ndant très longtemps au SAMU social ! » ... Au final, nous étions 7 à
discuter
au milieu du trottoir !! Comme de bons amis prena
une vingtaine d'années qui depuis 3 ans vivait sans logis. Nous avons
discuter
simplement avec ce jeune homme accompagné de son
omicile. Depuis que j'ai fait cette garde, je prends plus le temps de
discuter
avec ces personnes en appliquant les conseils qui
est important. Malheureusement je n'ai pas vraiment eu l'occasion de
discuter
avec les personnes que nous avons aider. Je suis
e monde. Quelques rencontres touchantes mais souvent assez brèves: on
discute
un peu, on donne du café, de la nourriture mais i
moyens mis en oeuvres pour les aider. Cette nuit m'a permis de mieux
discuter
avec ces personnes en difficulté dans leur vie qu
de brûlures étendues. Nous sommes restés longtemps avec lui, beaucoup
discuté
et il nous a offert des gâteaux de Noël. Ce geste
. J'ai fait la double écoute en "back-line" ce qui permettait de bien
discuter
avec les gens pour évaluer leurs besoins et les c
nes personnes sont tellement isolées qu'ils appellent uniquement pour
discuter
, pour avoir 10 min de compagnie alors que pour l
double écoute permet de se rendre compte des problèmes sociaux et de
discuter
de l'histoire et expérience des usagers Grace au
rai plus ces gens de la même façon, j'oserai plus aller vers eux pour
discuter
. Bravo à tous les maraudeurs pour ce que vous fai
tuation de précarité. J’ai pu réaliser à quel point le simple fait de
discuter
avec eux leur apporte déjà du soutien. En revanch
leur demander s'ils n'ont besoin de rien, ou alors tout simplement de
discuter
avec eux ... C'est une très bonne leçon d'humilit
iance. on decouvre comment fonctionne et ce qu'est le samu social. on
discute
avec des SDF, on leur apporte des couvertures, à
oir trop quoi penser, de découvrir leur histoire et leur parcours, de
discuter
... C'est également très intéressant de comprendre
l'occasion de faire des rencontres et de prendre vraiment le temps de
discuter
avec des hommes et des femmes vulnérables que l'o
quipes mais aussi ceux qui vivent dans la rue. Ça a été l'occasion de
discuter
avec eux, aussi, d'approcher un peu de leur quoti
des sdf et j'ai pu m'intéresser au parcours de certains d'entre eux,
discuter
et comprendre que le profil type du sdf n'existai
personnes sont soient en demande de logement ou alors veulent surtout
discuter
autour d'une boisson chaude. A poursuivre dans le
rouver un logement à plus long terme). C'est également intéressant de
discuter
avec ces personnes qui nous racontent leurs histo
é et violent avec qui je me suis retrouvée à l'arrière. Sinon j'ai pu
discuté
avec un homme d'une cinquantaine d'année très aim
tie qui m'a le plus touché est l'atelier double-écoute parce que l'on
discute
beaucoup plus avec les personnes dans le besoin.
point que j'ai trouvé un peu dommage c'est le fait de ne pas avoir pu
discuter
plus avec les personnes rencontrées pendant la ma
rsonnes pour lesquelles on a eu un signalement. Je ne pensais pas que
discuter
avec des SDF pouvait être aussi instructif et int
Polonais. Or je suis moi-même bilingue polonais, ce qui m'a permis de
discuter
un peu plus longuement avec eux, sous le regard é
ns sanitaires catastrophiques et des états de santé souvent fragiles.
Discuter
avec les équipes fait prendre conscience de l'acc
différentes missions du SAMU social. Avec l'équipe, nous sommes allés
discuter
avec des sans-abris et c'était très enrichissant.
ontre-coeur au Samu social. Je ne voulais pas aller serrer la main et
discuter
avec les clochards, d'autant plus en pleine canic
et j'entendais mal ce qui se passait à l'avant... Cela m'a permis de
discuter
avec les sdf qui ont été conduits au centre penda
as l'habitude de voir en stage à l'hopital. C'est aussi l'occasion de
discuter
avec les personnes qui travaillent au SAMU SOCIAL
vec un homme qui plus que le café chaud appréciait surtout de pouvoir
discuter
, cela lui changeait des journées passées à se fai
vraie gentillesse sans hypocrisie. Je n'avais jamais eu l'occasion de
discuter
avec des personnes vivant dans la rue, et je ne m
ut ... Elle m'aura aussi permis de me rendre compte de la richesse de
discuter
avec ces gens de la rue, de leur parcours, de leu
pour moi une formidable expérience humaine. J’ai toujours trouvé que
discuter
avec les sans-abris apporte beaucoup, mais je pre
uver et sinon nous avons accompagner deux personnes dans un centre et
discuter
avec quelques autres personnes sur le chemin. C'e
oxicomane (alcool et héroïne) depuis l'age de 17 ans. Nous avons bien
discuté
, et cela m'a permis de prendre conscience d'une r
avoir pour la première fois un contact direct avec les sans-abris, de
discuter
avec eux, voir dans quelles conditions ils vivent
illeurs, les maraudes nous ont permis d’aller au contact des gens, de
discuter
avec eux, de comprendre leur situation. De même,
rencontre de personnes dans le besoin. J’ai ainsi eu l’opportunité de
discuter
longuement avec un sans-abri d’origine portugaise
un centre où elles avaient des places réservées. Nous avons également
discuté
à plusieurs occasions avec des SDF et nous sommes
grand-chose en matière d’expérience humaine. Il n’est pas possible de
discuter
avec les éventuels passagers puisque ceux ci sont
de toute façon trop fatigué pour partager leurs expériences. L’équipe
discute
donc entre elle, ce qui est très sympathique, mai
e de motivation. J'ai aimé aller à la rencontre des gens dans la rue,
discuter
avec eux et échanger. La bonne humeur et le souri
l et un conducteur), très bonne ambiance à bord du véhicule ! J'ai pu
discuter
avec plusieurs SDF dans la nuit, tous différents
aire ça au moins une fois dans sa vie pour que par la suite on puisse
discuter
avec les gens dans la rue afin qu'ils gardent une
dormant dans la rue. Cette nuit m'a aussi appris à savoir aborder et
discuter
avec les personnes en grande difficulté sociale r
up plus humaine et je comprend mieux la situation des SDF en ayant pu
discuter
avec eux (surtout que j'ai pu parler roumain avec
et nourriture, mais aussi et surtout d'être présents pour écouter et
discuter
avec des personnes, souvent très isolées.
in, en allant à la rencontre des sans-abris et avec la possibilité de
discuter
, à la fois dans la rue, dans le camion, ou au sei
nes dans la rue ne soient pas abandonnées. Rencontrer ces sans abris,
discuter
et échanger avec eux m'a tout simplement fait déc
la rue depuis plus de 20 ans, et avec qui chaque équipe s’arrête pour
discuter
, prendre un café, ou simplement s’assurer que “to
peut aider concrètement les gens avec des gestes simples: simplement
discuter
, donner un repas chaud... Une bonne expérience hu
oir comment se déroule une nuit au samu social J'ai bien aimé pouvoir
discuté
avec les gens c'est très enrichissant. Un moment
'aller au contact de ceux qui sont souvent vus sans être regardés, de
discuter
avec eux, d'apporter ce qu'il est possible d'appo
abris que nous prenions en charge ou avec qui nous allions simplement
discuter
. Ca m'a rassuré, j'ai compris qu'on pouvait affro
J'ai particulièrement apprécié une intervention durant laquelle j'ai
discuté
avec une jeune sans abri, qui devait d'ailleurs a
e écoute, puis 6 heures de maraude dans les rues de Paris. Nous avons
discuté
avec plusieurs SDF connus de l'équipe avec laquel
e l'occasion de découvrir les différents centres d'hébergement, et de
discuter
avec les gens que nous y avons conduit.
és entre les usagers habituels et les gens du 115, ils se retrouvent,
discutent
, prennent un café... et au final c'est peut être
e nous fait rentrer dans la vie de ces SDF un peu plus en profondeur,
discuter
avec eux et apprendre comment ils s'en retrouver
Nous avons pu nous poser pendant une bonne trentaine de minutes pour
discuter
avec une personne que les gens du samu social con
pas violents et alcoolisés, qu'ils souhaitent juste de temps en temps
discuter
et boire un petit café. Cette garde au samu socia
J'ai été globalement bien accueillie, et c'est instructif de pouvoir
discuter
avec des gens qui bossent là bas régulièrement, e
une équipe sympathique. J'ai découvert les foyers, le mode de vie et
discuté
avec quelques personnes sans domicile, j'ai sans
le plan humain. La première partie en double-écoute a été utile pour
discuter
avec des travailleurs sociaux et des coordinateur
t du tout et dure au maximum 10 minutes. Ils distribuent les rôles et
discutent
de quelques cas de SDF non vus depuis un moment.
ien entendu pour la soupe et les chaussettes mais aussi je pense pour
discuter
. Ils étaient tous en tout cas très agréable (mais
de l’ambulancier avec lesquels j’étais. Très drôle, il avait envie de
discuter
, nous avons passé un bon moment avec lui. Vers 1h
es pour les emmener dans des centres d'hébergement, parfois sans même
discuter
avec elles. Bien sûr cette mission est nécessaire
e de la quantité limité des places. Enfin pendant la maraude, j'ai pu
discuter
avec l'équipe du camion mais aussi avec certains
centre pour la nuit) et de le voir heureux d'avoir quelqu'un avec qui
discuter
. Garde à poursuivre+++
La double écoute est tres intéressante, on peut
discuter
avec le personnel, on voit les différentes struct
ices hospitaliers. La présence de la pluie n'a pas permis de beaucoup
discuter
avec les sans-abris, ce que j'ai trouvé dommage,
e sourire! J'ai beaucoup aimé le contact avec les sans abris, pouvoir
discuter
réellement avec eux et réaliser leurs difficultés
llers-retours vers les centres d'hébergement qui furent l'occasion de
discuter
avec des sans-abris dans le camion. A côté de ça,
), ce qui a permis à l'équipe et donc moi même de prendre le temps de
discuter
longtemps avec chaque personne que nous avons ren
e de personnes qui ne veulent pas forcément d'hébergement mais juste "
discuter
un peu".... Pour moi, l'une des réflexions issues
nt social. Un appel m'a particulièrement frappé et le fait d'en avoir
discuté
avec l'écoutant m'a fait prendre conscience que b
dans Paris? Pendant que nous lui donnions un repas chaud et que nous
discutions
avec lui deux hommes marocains qui ne parlaient p
un coin de rue sentant mauvais, ou un SDF proposait ses services pour
discuter
en italien pour aider deux hommes à trouver un fo
nc appeler dans le futur dans les conditions adaptées. J'ai bien aimé
discuté
avec les sdf, l'assistante social faisait très bi
, on fume une clope après chaque personne déposée en centre, on reste
discuter
une demi h après la pause repas), après c'était u
centre Romain Rolland ou l'on rencontre vraiment les SDF, ou on peut
discuter
et rigoler avec ces personnes isolés, ou on peut
enés à cotoyer-au même titre que le stage infirmier de PCEM2. J’ai pu
discuter
avec la travailleuse sociale et l’infirmière inté
'un logement pour la nuit ou tout simplement besoin d'interaction, de
discuter
avec des gens. La visite d'un logement a été form
un peu mieux leur parcours. En effet j'ai trouvé très interessant de
discuter
avec les sans abris, et j'ai appris beaucoup sur
s du SAMU social, avec un vétirable respect réciproque. J'ai aussi pu
discuter
avec un SDF de mon âge qui m'a exposé ses difficu
rapport au médical. J'étais bien intégrée à l'équipe et j'ai beaucoup
discuté
notamment avec l'IDE. Par ailleurs j'ai pu voir d
très précaire étaient aux urgences. On pas alors vraiment le temps de
discuter
, d'écouter... Lors de cette garde, j'ai pu réelle