belle expérience humaine! Ce qui m'a le plus plu c'est les moments de
discussions
avec les gens. Ce qui est dur c'est quand on a pl
l'implication de l'équipe pour nous intégrer et faire participer aux
discussions
avec les personnes en difficultés. Les missions d
contrer les sans-abris, et hormis avec l un d eux qui était soul, les
discussions
se sont très bien passées.
n. D'autres part , on peut se rendre compte de l'impact positif d'une
discussion
qui permet une aide mentale phénoménale aux gens
longue, fatigante mais nécessaire. En effet, au travers de plusieurs
discussions
avec les intervenants du SAMU social, il m'appara
. Devant ces mots très durs, il m'apparait donc indispensable que des
discussions
soient organisés afin de réaffirmer l'engagement
vers les sans abri, pas seulement répondre à leur demande, entamer la
discussion
) en fait une expérience singulière et enrichissan
a nécessité de bien suivre son traitement et les moyens de consulter.
Discussion
enrichissante avec la personne sur sa vision sur
te leur faire un interrogatoire ou un examen clinique, mais une vraie
discussion
, autour d'un café. Incroyable. Une des meilleures
e, nous l'avons ramené à la Pitié. Son cas a été l'objet d'une réelle
discussion
au sein de l'équipe entre les "pour" continuer à
Une nuit étonnement joyeuse, d’échange, de
discussions
en diverses langues, de visite de Paris et de con
l une femme présentant des troubles psychiatriques suite à une longue
discussion
avec mise en confiance vis-à-vis du samu social.
in gré sans que la faculté de médecine me donne l'occasion. Certaines
discussions
avec des SDF étaient agréables, connaitre leurs p
ttentes concernant cette garde : je pensais que la part de social, de
discussion
avec les SDF serait importante dans l'activité du
ntrâmes deux hommes, avec qui nous pûmes échanger longuement et cette
discussion
fût pour moi enrichissante. J'admire franchement
mairies en raison de l épisode grand froid, seulement quelques breves
discussions
dans la rue. On est en tête avec des personnes qu
très calme en ce qui me concerne, avec peu de signalements, quelques
discussions
avec des habitués mais qui ne souhaitaient pas d'
ubliable, riche d'enseignements, de leçons de vie, de rires aussi, de
discussion
, de réflexions, de questions, une nuit dont on se
ichissante tant du point de vue organisationnel que accompagnement et
discussion
avec les personnes sans domicile. Il s'agit d'une
'un point vue humain j'ai aimé la garde, partager tout simplement une
discussion
autour d'un café, écouter des parcours de vie com
i du monter seul a l'arrière. Cela ne favorise pas les échanges et la
discussion
est difficile d'autant plus qu'ils sont en hauteu
e organisation essentielle à mes yeux. N'ayant jamais eu de véritable
discussion
avec des personnes sans domicile auparavant, ce s
t tres chaleureux et humain, la poignée de main qui commence toute la
discussion
est vraiment forte et elle permet de montrer que
n peut rencontrer à la rue. Très instructif la maraude bien sûr et la
discussion
avec les sans-abris, mais aussi l'écoute du 115 e
personnes, que ce soit sur l'échange social de premier abord avec la
discussion
et le café, que ce soit sur les propositions de p
raude qu'elle a accepté. Nous somme donc allé à sa rencontre et après
discussion
elle a accepté d'aller aux urgences voir un médec
foyer où il passera la nuit. Pendant le trajet, au plein milieu de la
discussion
, le Mr prononce une citation commune mais prenant
ses vêtements et dont la peau était devenue noire par la saleté, aux
discussions
même partielles entamées le temps d’un café chaud
ants social, les bons pour des repas, une visite chez le médecin, les
discussions
sur l’avenir... les foyers ont également été une
soins, etc...). L'équipe était formidable, pédagogue et ouverte à la
discussion
. J'ai découvert un nouveau monde auquel je ne m'a
a mangé son plateau repas au centre. Nous avons également partagé une
discussion
pendant deux heures avec des sans abris Roumains
d'origine russe écoutant de la techno à fond et sans réelle envie de
discussion
... un contraste saisissant avec les gens aux terr
et qu'on a laissé dans un hall d'immeuble, seule, au bout de 2h30 de
discussions
pour l'emmener dans un foyer, ce qu'elle a refusé
e pensais, certains appels au 115 sont destinés simplement à faire la
discussion
alors que je pensais que ces appels la était redi
ucun cas, et appréciaient l'aide qu'on leur offrait ou bien la simple
discussion
que l'on avait avec eux. Cette garde m'a fait déc
te question n'a pas été élucidé par cette garde malgré les nombreuses
discussions
que l'équipe et moi avons eu avec les sdf. J'ai p
s mettre dans des centres. C'est surtout une aide sociale, une petite
discussion
autour d'une boisson chaude pour leur montrer que
us sommes à l'arrière, et en contre plongé par rapport à eux : aucune
discussion
n'est possible, surtout si des sans abris sont ju
e avec les accents mais l’écoutant m’a aidée et a laissé des temps de
discussion
pour parler de chaque cas ce qui était intéressan
et je n'étais pas rassurée, mais finalement au fur et à mesure de la
discussion
lors du trajet nous avons discuté énormément, sur
tive (distribution de café, de soupe chaude, de couverture de survie,
discussion
avec les SDF à l'extérieur puis à l'arrière du ca
nd chose : un repas chaud, une paire de gants, un sourire, une petite
discussion
, peuvent suffire à les réconforter un petit peu.
rre" dans le reste de nos études puis dans notre pratique future. Une
discussion
de 10 minutes et un café sont parfois les seules
rès pauvre, pauvre en évènements, pauvre en contact humain, pauvre en
discussions
et finalement pauvre en apprentissage. La seule e
t axée, en plus de l'aide matériel et de logement, sur l'écoute et la
discussion
avec des personnes qui se sentent en marge. Et ce
était connu du Samu Social il y a quelques années. Nous entamons, la
discussion
: il n'avait besoin de rien, il profitait simplem
ouchant, nous permet de mieux les comprendre. J'ai été marqué par une
discussion
avec deux sans abri qui m'expliquait comment la m
rsonnes rencontrées refusent une nuit dans un centre, après une brève
discussion
, on leur propose une petite collation et une couv
rgence sociale au coeur de la prise en charge. Le partage de quelques
discussions
furtives avec les "usagers", mot couramment emplo
ci et maintenant, mais qui reste dignes et humaines. J'ai apprécié la
discussion
entre les trois agents de l'équipe à propos des e
on leur fait du bien sur le moment (tous nous ont remercié après nos
discussions
avec eux), ce n'est que bref et il faut recommenc
de logement pour cette nuit. Nous leur offrons une boisson chaude, la
discussion
s'engage et nous tentons de connaître leur identi
s positives avec des personnages très attachants (même au cours d'une
discussion
de quelques minutes!). L'équipe du samu social es
dormant dans une tente à qui on ne peut trouver un endroit ou dormir.
Discussion
entre l'infirmier et la TS sur l'adaptation aux d
à on bosse en véritable équipe. Chacun peut se permettre d'engager la
discussion
, d'émettre des avis, etc... De plus, ils ne s'occ
t différentes, qui n'hésitent pas non plus de leur côté à engager des
discussions
enrichissantes, et ces personnes là nous racontai
important en effet qu'outre l'aide matérielle apportée, une véritable
discussion
s'engage minimisant ainsi l'exclusion de la perso
eu d'évasion aux gens, de chaleur aussi (par les cafés, les thés, les
discussions
) J'ai été marqué par la gentillesse et la sympath
iter de leurs services. Le plus dur fut de les laisser à la fin de la
discussion
avec seulement des bols de soupe, de chocolat et
donc tombée enceinte lors de cette periode.. le fait d'entendre cette
discussion
m'a fait réalisé que des gens souffrent vraiment
n externat. Là encore peu d'échanges sur leurs vies personnelles : la
discussion
restait presque exclusivement médicale, mais déjà
réservatifs... C'est aussi l'occasion de créer du lien, au travers de
discussions
, souvent chaleureuses, parfois crûes, à la mesure
ales, et deux des usagers que nous avons transporté ont eu une longue
discussion
politique avec nous. Ce sont au final les rencont
et ou une paire de chaussette, une place en hébergement ou une simple
discussion
: le constat est clair, l'isolement est violent,
(notamment des différences de point de vue entre les membres !). Ces
discussions
m'ont amené à réfléchir à l'utilité, au rôle, et
t préférait retourner dans la rue pour dormir. C'est après une longue
discussion
avec l'équipe que j'ai compris que ces personnes
d'une dizaine de café distribués et une vingtaine de rencontres et de
discussions
et surtout un nombre incalculables de blagues, de
ts et les rediriger vers un centre adapté. Très peu de contacts ou de
discussions
avec les personnes recueillis. Pas de nourriture
ifférents centres ou l'on amenaient les personnes. J'ai assisté à une
discussion
entre Mr Virgile, a la rue depuis un certain temp
pas nous suivre pour X raison...) et tous, étaient très ouverts à la
discussion
, jamais agressif, toujours dans l'écoute. En résu
n comptant le temps d’installation, de lecture d’un fascicule puis de
discussion
avec la responsable...) puisque je n’ai pu suivre
pathiques. Nous restions auprès des personnes à la rue le temps d'une
discussion
autour d'un café chaud, d'écouter leurs doléances
illant), l'écoute téléphonique du 115 avec N., le briefing de 20h, la
discussion
avec les équipes, le café pré-ballade, je monte e
n simple café chaud, d'une bouteille d'eau, d'une cigarette, ou d'une
discussion
. Lors de ma nuit, j'ai pu rencontrer et parler av
un excès d'alcool, mais qui chez certains apparaît après un temps de
discussion
. Il m'a même semblé que bien souvent, ils préféra
embler peu utile et inintéressant. Mais c'est tout à fait normal, les
discussions
parlent sur des personnes qu'on ne connaît pas et
ncernaient des demandes d'hébergement d'urgence; peu d'échanges et de
discussion
donc centrées sur la personne, sur son histoire,
que nous avons croisé était originaire de Pologne. Il avait bu, et la
discussion
était de fait relativement limitée... en revanche
de l'est. Ils sont torchés. Nous leur serrons la main et entamons la
discussion
. Ils acceptent la proposition de passer la nuit e
us à l'extérieur. Nous leur apportons de quoi se réchauffer. Lors des
discussions
, c'était le jeune fils de 12ans qui nous parlait,