catégories de SDF, ce qui était un peu déroutant au début : ceux qui
demandaient
de l'aide et ceux qui n'en demandaient pas. Je m'
déroutant au début : ceux qui demandaient de l'aide et ceux qui n'en
demandaient
pas. Je m'attendais à la première catégorie mais
as à la deuxième. Je ne savais pas trop quoi penser du fait qu'ils ne
demandaient
pas d'aide... Une sorte de résignation totale de
nque de moyens. En effet, les foyers sont trop peu nombreux face à la
demande
. Les membres du Samu social sont obligés de refus
es du Samu social sont obligés de refuser un nombre très important de
demande
d'hébergement y compris des demandes venant de fe
fuser un nombre très important de demande d'hébergement y compris des
demandes
venant de femmes enceintes ou avec enfants ce qui
Ce fut cependant compliqué d'un point de vue émotionnel. En effet, la
demande
de la part des sans abris est très forte sur Pari
le de trouver des places pour tout le monde et d'accéder à toutes les
demandes
. La détresse de certaines personnes peut donc êtr
de comprendre sur le terrain comment l'équipe accède aux différentes
demande
suite aux appels du 115. Les différentes alertes
es différentes alertes émises dans la nuit permettent de répondre aux
demandes
des personnes les plus en détresse. J'ai été ravi
esters pour les commerces environnement. Globalement les gens ont peu
demander
de nourriture ou de couverture au samu social, ma
de nourriture ou de couverture au samu social, mais ils disent qu'ils
demanderont
quand il fera plus froid. Une belle expérience hu
rdination indiquant qu'une femme bien connue du 115 avait appelé pour
demander
une place. Il nous est aussi transmis que cette f
psychiatre comme dangereuse pour elle et pour autrui. La coordination
demande
a l'équipe de présenter à la dame la possibilité
ue complètement, refuse de répondre aux questions de l'équipe qui lui
demande
des explications sur ce qui s'est passé. Elle fin
même si j'en comprends les raisons qui est de répondre uniquement aux
demandes
des usagers pas de les anticiper. : si l'on s'éta
pu lui proposer la place en centre qui lui était réservé mais elle ne
demandait
à ce moment plus rien. L'autre chose qui m'a marq
le écoute téléphonique à 18h. Ils recevaient pas mal d'appel pour des
demandes
d'hébergement pour la nuit. L'été pas mal de cent
il ferment leurs portes donc il est difficile de répondre à toute les
demandes
et la priorité est donnée aux personnes malades,
onnes malades, aux familles ou aux gens qui avaient déjà eu plusieurs
demandes
non pourvues dans les jours qui précèdaient. A pa
ette écoute était très intéressant car à cheval entre les appels pour
demande
d hébergement et l attribution des quelques lieux
nibles. Experience très importante pour se rendre compte du nombre de
demandes
et de la faible offre disponible. La maraude s es
rrive vite à court de nourriture et on ne donne pas de couverture sur
demande
. Chaque véhicule maraude dans un secteur limité,
t très longs, ce qui est assez fatiguant. Malgré l'aide du 115, on se
demande
quelles sont les perspectives d'avenir des sdf (d
eait que pour s'acheter à manger et faire sa toilette. Nous lui avons
demandé
de s'asseoir et il a immédiatement vomis. Il souf
ler le 15 mais comme nous étions "à 3 minutes de Bichat" ils nous ont
demandé
de le transporter nous même. Après 10 minutes, no
demandé de le transporter nous même. Après 10 minutes, nous lui avons
demandé
de se remettre debout afin de l'amener dans le ca
u faire plus d'un pas avant de reperdre connaissance. Nous avons donc
demandé
à la coordination du Samu social de rappeler pour
ement touché par un scène: un jeune sans-abri (une vingtaine d'année)
demandaient
une place dans un foyer mais ces derniers étaient
et, un autre sans-abri un peu plus vieux, réfugié, qui avait fait une
demande
de papier, a été prioritaire pour avoir une place
apprécié le vieil homme qui offrait des sachets de Gaviscon sans rien
demander
en retour. J'ai surtout observé et je me suis dem
scon sans rien demander en retour. J'ai surtout observé et je me suis
demandé
pourquoi le SAMU social n'était pas plus connu. J
ui sont à plusieurs étapes de la désinsertion sociale, de ceux qui ne
demandent
qu'à retrouver une vie "normale" (très minoritair
nstante augmentation. On salue l'implication des employés, mais on se
demande
si malheureusement le SSP n'est pas en train de v
5, ce qui m'a le plus marquée est le manque de place par rapport à la
demande
: lorsque quelqu'un appelait, son dossier était e
iné et si le demandeur avait eu une nuit en foyer dans la semaine, sa
demande
n'était pas prioritaire et il n'avait aucune chan
plus démunis. D'autant plus que ce n'est pas une chose facile que de
demander
de l'aide pour ces personnes. J'ai pu être en con
ute ou lors de la maraude, ces derniers n'iont pour la plupart jamais
demandé
de l'aide par eux mêmes ou bien éprouvent une cer
offrir un logement, gardent tout de même le sourire devant nous et ne
demandent
pas plus qu'une petite soupe pour faire face à la
ment que le SAMU social était en mesure de proposer, par rapport à la
demande
. On se rend compte du véritable souci qui existe,
améliorer, ce serait surtout d'un point de vue organisationnel : nous
demander
dans quel quartier on habite pour nous mettre dan
en difficultés. Cette expérience m'a fait réaliser l'importance de la
demande
a travers la double écoute.
Je me suis
demandée
si je pouvais faire qqch pour ces gens, mais c'ét
s en charge tard le soir . Il venait de finir de travailler et nous a
demandé
un abri pour la nuit .
. Les moyens mis en place étaient encore trop faible par rapport à la
demande
apparente. Je respecte énormément le travail fait
Tres éprouvant car grosse averse cette nuit là et beaucoup de
demandes
. Un petit bébé roumain avait mal au ventre. Expér
du Samu Social au moment dans la double-écoute lorsque la plupart des
demandes
de logement pour la nuit sont refusées faute de p
ucoup touché lorsque de jeunes personnes ( 40-50 ans ) appellent pour
demander
un ébergement pour la nuit. Malheureusement toute
pour demander un ébergement pour la nuit. Malheureusement toutes les
demandes
ne peuvent pas aboutir. La personne qui m'a encad
nications de ceux qui appelaient pour la première fois et pour qui la
demande
ne pouvait pas toujours être satisfaite. Lors de
que de places dans les structures d'hébergement force à prioriser les
demandes
. Le luxe d'une nuit de répit n'est accordé qu'aux
possibilité du SAMU social est d'encourager les gens à réitérer leur
demande
plus tard. J'ai ensuite rencontré ces personnes d
rrêt ou feu rouge. De nombreuses personnes nous on arrêtées pour nous
demander
juste une bouteille d'eau ou des vêtements propre
ie de la soirée se déroule en double écoute avec un TS qui répond aux
demandes
des appelants, cherchant tous une place pour pass
e, l'humilité et la gentillesse avec laquelle les appelants font leur
demande
. Que les TS soient polis et réconfortants, certes
très froid, nous n'avons pas eu beaucoup d'appels. Les sans abris ne
demandent
pas tous de l'aide, loin de là. Aller à la boulan
stion de l'utilité du samu social lors de la double écoute lorsque la
demande
de logements pour la nuit sont quasi toutes refus
arement l'occasion d'entrevoir. Cela m'a permis de mieux cerner leurs
demandes
et revendications. Ce qui revenait le plus souven
écoute était aussi informative avec la répartition des logements, les
demandes
des familles et les aides qui peuvent leur être p
un homme d'une trentaine d'années qui marchait dans la rue. Il nous a
demandé
des gants, de la soupe et un café, nous lui avons
en plus proposé des chaussettes et de l'eau qu'il a accepté. On lui a
demandé
comment il allait, ce qu'il faisait durant le jou
es centres d'hébergement, qui est vraiment dérisoire par rapport à la
demande
. On se sent impuissant face à la situation car le
onnes en détresse mais malheureusement on ne peut pas répondre à leur
demande
par manque de moyens. Les nouveaux appelant s'éne
nte. Je pense que tout le monde se fait un idée des personnes pouvant
demander
de l'aide mais on se rend vite compte que les pro
endant une nuit la détresse dans laquelle ces gens peuvent vivre, les
demandes
très variés et la difficulté des travailleurs du
oute est le moment où on tente d'imaginer l'autre, cette personne qui
demande
de l'aide. Rapidement, on se rend compte que n'im
uations pénibles (les chauffeurs, particulièrement). On en vient à se
demander
si et pourquoi seuls les précaires aident les plu
ce limité en centre d'henergement d'urgence, face aux nombre élevé de
demande
est étonnant et alarmant. Cela permet de relativi
ne sans domicile que nous rencontrons es un vieil homme de 70 ans qui
demande
spontanément un logement pour la nuit. La personn
on connait de jour. Voir les SDF reconnaître les personnes du Samu et
demander
un petit café ! On a notamment transporter un SDF
oujours possible de trouver des solutions surtout face à l importante
demande
. La maraude s est aussi bien passée. J avais de l
j'ai pu observer. L'équipe était très sympatique et ils m'ont souvent
demandé
mon ressenti, mon opinion ou si je connaissais un
treint. J'espère que de nouveaux centres permettront de répondre à la
demande
importante de logement d'urgence cet hiver.
ou", sous les yeux des automobilistes abasourdis. Puis nous lui avons
demandé
ce qu'on pouvait faire pour lui, et Amadeus ("...
é ce qu'on pouvait faire pour lui, et Amadeus ("... Gabriel!") nous a
demandé
juste un café, et surtout d'aller danser avec lui
des enfants. C'est insupportable. Arrivés au centre d'accueil, l'aîné
demande
si on a quitté la France comme si le camion avait
ervis. Il est temps d'aller dormir: quelques larmes coulent, le cadet
demande
s'il rentrera un jour chez lui. La travailleuse s
s chauds . J'ai moins aimé le fait que l'on doive refuser beaucoup de
demandes
et de voir aussi certaines réactions de personnes
on pourrait se
demander
l utilité et la pertinence de faire une garde au
abris avant d'aller à leur rencontre, d'essayer de les aider, de leur
demander
s'ils n'ont besoin de rien, ou alors tout simplem
t des gens "normaux" qui veulent de l'aide sans pour autant faire des
demandes
irraisonnables. Au final, grande experience de vi
e de me rajouter encore des heures parmi les nombreuses que l’on nous
demande
déjà... bien évidemment malgré le, expérience que
es et de la misère plus ou moins cachée. Les personnes sont soient en
demande
de logement ou alors veulent surtout discuter aut
lequel on proposait de l'hospitaliser. Ça m'a fait comprendre que la
demande
de soin n'est pas universelle. La santé chez les
'il y avait si peu de places en hébergement d'urgence et qu'autant de
demandes
étaient rejetées. C'est dur de devoir dire aux ge
trouver un hébergement. Il travaille la journée et tous les soirs il
demande
de l'aide pour se loger. Avoir un travail ne suff
ce qui m'a marqué c'est le peu de places en centre pour le nombre de
demandes
(elles peuvent partir en quelques secondes). Pour
nt d'intérêt médical, par contre un intérêt humain oui. Du coup je me
demande
s'il ne vaudrait pas mieux que la garde soit fait
pte à quel point il était difficile de donner un abri à quelqu‘un qui
demandait
de l‘aide. Je n‘étais non plus pas consciente à q
cette garde (aller vers les sans abri, pas seulement répondre à leur
demande
, entamer la discussion) en fait une expérience si
de était aussi fort instructive malgré la conduite "imprudente". Cela
demande
beaucoup de courage, d'écoute. On voyait des pers
ous sommes souvent confrontés à des personnes sans-abris qui viennent
demander
de l'aide aux urgences, et là avec le samu social
pluieey du froid, et d autres qu ils faut laisser dehors malgré leurs
demandes
.
le au 115. Or, lors de notre arrivée, lorsque le travailleur social a
demandé
le certificat de grossesse, l'homme a sorti des p
s de ma garde nous sommes restés 4 heures avec la même personne. Cela
demande
beaucoup de patience.
dre compte de la faible capacité d'acceuil en centre par rapport à la
demande
qui est importante .
ée de la nuit, et surtout de se rendre compte qu'il y a énormément de
demandes
d'hebergement qui ne peuvent etre satisfaites par
r dans les meilleurs conditions et le peu de place disponibles pour l
demande
répartition des logements ainsi que le suivi des personnes faisant la
demande
d'un hébergement. Une garde qui devrait rester ob
auxquelles sont confrontées les personnes les plus défavorisées. Elle
demande
à mon avis beaucoup de patience et de compréhensi
isme du médical en me confrontant avec un autre type de population en
demande
d'aide sociale et humaine et d'une distance profe
a nuit ou un repas, c’etait parfois juste l’échange que ces personnes
demandaient
. Par exemple, j’ai rencontré une personne qui mal
epas ou des habits propres. C'est bouleversant de voir la quantité de
demandes
par rapport aux possibilités existantes actuellem
e à ceux qui en ont besoin mais qui n'ont pas forcément les moyens de
demander
de l'aide. Le dévouement de l'équipe est formidab
le nombre de places d'hébergement très limité par rapport à l'immense
demande
. Par ailleurs, les travailleurs du SAMU Social on
ent, et tout le monde s'est levé et est parti vers le hangar. J'ai du
demander
à l'organisatrice qui était l'équipe de mon camio
uipe de mon camion car personne d'autre ne me repondait quand je leur
demandait
. Elle m'a accompagné gentiment jusqu'au camion où
lorsque l'IDE et la TS ont emmené un usager pour parler avec lui j'ai
demandé
gentiment si je pouvais assister, la TS a demandé
arler avec lui j'ai demandé gentiment si je pouvais assister, la TS a
demandé
3 fois a l'usager si il était "sûr" de bien voulo
ge en hébergement, ne pouvait être satisfaite que pour une partie des
demandes
. J'ai vu des personnalités variées qui étaient to
ocial, j'ai commencé par la double écoute, où de nombreuses personnes
demandaient
à être hébergées. À 20h, j'ai été mis en associat
u centre d'appels par l'absence de réponses possibles à de nombreuses
demandes
téléphoniques de logement pour la nuit et la conf
des équipes est assez sidérant, en fait ils ne peuvent répondre à la
demande
que d'une infime partie des usagers, par manque d
ormais, j'irai plus facilement vers des sans-domicile-fixes pour leur
demander
s'ils ont ou non envie que l'on appelle le 115 po
compte qu'il faudrait encore plus de moyens pour palier à toutes les
demandes
. Ce n'est pas facile d'annoncer aux gens que l'on
suffisante. Il s'agit davantage que de donner un lit de promouvoir la
demande
et l'effort personnel des "usagers" pour leur ren
plus isolés, qui devraient solliciter le plus du SAMU Social, qui en
demande
le moins... J'ai passé une nuit enrichissante ave
tait" le Samu Social, donc une aide à leurs yeux. Une personne a même
demander
un câlin comme réconfort auprès de Félix. Les int
m'a agréablement surpris car lors de la double écoute la majorité des
demandes
n'avaient pu aboutir.
'accueil, de la nécessité de trier les usagers, de contextualiser les
demandes
et de faire alterner les usagers reçus dans les c
es différents centres d'hébergement ne sont pas du tout adaptées à la
demande
.
rant, on se rend compte que ce sont des personnes chaleureuses qui ne
demandent
qu'à être aidées ce qui peut aider à lutter contr
Lors de la double-écoute, nous avons du décliner de nombreuse
demandes
d'hébergement en raison du très faible nombre de
et que se nombre diminue avec l'arrivée des beaux jours alors que la
demande
est toujours aussi forte.
st difficile, car les opérateurs répondent souvent négativement à des
demandes
d'hébergement de gens dans le besoin. Les équipes
ts qui peuvent être fait par des particuliers ou par les personnes en
demande
. Le Samu Social transporte les personnes jusqu'au
nner des couvertures/café/eau/chaussettes/nourriture aux personnes en
demande
, informe, donne des premiers soins infirmiers. Po
(j'ai déjà fait l'évaluation mais a la
demande
du mail je la refais) La garde au Samu Social éta
e, j'ai pu voir la difficulté des bénévoles à répondre aux nombreuses
demandes
et au manque de moyens. Cela était très instructi
ques vêtements. Des sans-abri venaient à notre rencontre parfois pour
demander
un hébergement pour la nuit, car elles n'arrivaie
nnel. On se rend davantage compte que les personnes dans le besoin ne
demandent
presque rien. Je trouve que les équipes font un t
ant étant le peu de places de logement disponibles pour énormément de
demandes
.
ait d'être expulsée de Gare du Nord; On se rend vraiment compte de la
demande
et des conditions précaires dans lesquelles viven
nifie que les appels de 18h à 19h se limitent à "j'entends bien votre
demande
monsieur mais je vous invite à rappeler plus tard
et a été dans l'incapacité de continuer la maraude. De ce fait, je me
demandais
si les équipes étaient suivies, du fait de leur d
un double écoute de 2h environ. Principalement des renouvellements de
demande
d’hebergement. Même si on le sait et on en est co
uméro soit en permanence saturé d’appels ! C’est dire l’ampleur de la
demande
, et le nombre de nécessiteux dans la région paris
ondant à ces appels, dont le travail d’écoute et de compréhension des
demandes
formulées est souvent difficile (usagers en état
mbreuses et par la même impuissantes ; et je ne peux m’empêcher de me
demander
pourquoi les différents gouvernements qui se sont
nnel m'ont expliqué les conditions dans lesquelles le Samu répond aux
demandes
de logement. Je n'ai pas assisté à une écoute pen
Je n'ai pas assisté à une écoute pendant laquelle le Samu refuse une
demande
mais aux dire du personnel, le manque d'infrastru
ain stade d'exclusion qu'ils peuvent déployer leur aide et on peut se
demander
si cela n'intervient pas trop tard. Par manque de
rde fut la rencontre avec les personnes vivant dans la rue. Certaines
demandaient
ouvertement de l'aide à l'équipe alors que d'autr
en confiance. La double écoute à cette heure ci concerne beaucoup des
demandes
d'hébergement pour la nuit, et on n'a pas trop de
En double écoute du 115 on s'aperçoit du nombre important de
demande
, et de la difficulté de les satisfaire, il n'est
'avons pas pu aller rencontrer des personnes qui n'avaient pas été en
demande
du SAMU SOCIAL, ce qui est en fait une de leurs m
expliquent pleins de choses. On se rend compte de l’importance de la
demande
d’hébergement pour la nuit comparée aux places di
▲