s une ruelle. On s'arrete, ces 2 hommes etaient tres alcoolisés. L'un
d'entre
eux etait tres agressif et a la limite d'etre vio
inais des personnes beaucoup plus en détresse mais une majeure partie
d'entre
eux semble s'être en réalité très bien "adaptée"
plusieurs sans abris nous disent qu'ils ne sont pas malheureux. L'un
d'entre
eux nous a même rapporté qu'il restait dans la mê
C'était une expérience intéressante. c'est vrai que la plupart
d'entre
nous ne l'aurait jamais fait si cela ne nous étai
is vraiment engager la discsussion) et on realise vite que la plupart
d'entre
eux sont des gens "normaux" qui veulent de l'aide
t le certificat d'urgence réanimation qui est déjà, pour la plus part
d'entre
nous, lourd en garde. A voir si elle ne peut pas
profession et nos études. Se rendre compte de la réalité de certains
d'entre
eux qui sont nos futurs patients (par exemple, au
n de parler à des sdf et j'ai pu m'intéresser au parcours de certains
d'entre
eux, discuter et comprendre que le profil type du
ent et soient contents de nous voir mais finalement une grande partie
d'entre
eux étaient plus désireux qu'on les laisse tranqu
nt, il n'y avait déjà plus de place et nous avons du laisser certains
d'entre
eux dans la rue alors que c'est eux qui ont le pl
Étant donné que c'était une nuit d'été où il faisait bon, la plupart
d'entre
eux allaient plutôt bien et c'était une bonne amb
nel de santé. Elle permet de côtoyer un milieu peu connu par beaucoup
d'entre
nous, celui de la rue. Il est impressionnant d'en
e voir le lien créé avec les membres du SAMU, et de voir que certains
d'entre
eux étaient vraiment content de nous voir arriver
ider cette garde à notre stage de réa ( a savoir celui où la majorité
d'entre
nous a 1 garde par semaine ) ?! elle serait bien
art et qu'il y a de la place en centre d'hébergement pour à peine 10%
d'entre
eux..... C'est particulièrement choquant de savoi
alors que d'autres refusaient tout contact avec nous. Notamment, une
d'entre
elle arrêtait tout mouvement, toute parole àl 'in
un projet social et sans repères dans des endroits inconnus. Beaucoup
d'entre
nous ne connaissent pas la réalité de ces gens qu
ourage pour la nuit alors que c'est plus à nous de les soutenir. L'un
d'entre
eux m'a même offert des ballons de baudruche à ch
aquelle vivent ces hommes et femmes. Ils sont pour la grande majorité
d'entre
eux dans une situation sociale très difficile mai
e avec eux. D'ailleurs, j'ai été très surprise de voir que bon nombre
d'entre
eux avait tissé de vrais liens avec certains béné
es hommes que nous avons rencontré dans la rue était très divers,l'un
d'entre
eux a été capable de me donner le jour de la sema
ntrée à l'hopital (en dehors des urgences ou du Samu) pour la plupart
d'entre
nous. En ce qui concerne l'écoute téléphonique, j
hance de nous exercer. Il faut que cette garde perdure, beaucoup trop
d'entre
nous ne connaissent pas ce milieu qui nous apport
rs. Pendant l'écoute ou la maraude, je me suis sentie (comme beaucoup
d'entre
nous j'imagine), frustrée de ne pas pouvoir faire
fleurs en plastiques qui s'illuminent et changent de couleur et l'un
d'entre
eux nous les offre à moi et l'assistante sociale.
ier contact avec les équipes de travailleurs sociaux pour la majorité
d'entre
nous et est une belle occasion de découvrir ce tr
les personnes sans abris. J'ai été agreablement surpris par certains
d'entre
eux meme si beaucoup ne voulaient pas d'aide. Le
, et j'ai été étonné qu'ils connaissent quasiment le prénom de chacun
d'entre
eux. Pour finir, je pense que cette garde nous fa
F a été excellent, c'est très déroutant de se rendre compte du nombre
d'entre
eux qui n'ont pas du tout "l'air d'en être". Nous
le peu de places des centres, et les conditions de nuit dans certains
d'entre
eux. Concernant la maraude, on a commence par les
qui avaient appelé pour dormir une nuit au centre de Montrouge. L'un
d'entre
eux m'a tout de suite touchée. C'était la premièr
cette nuit j'ai pu voir 2 types de SDF. Lors de l'écoute, énormement
d'entre
eux appelaient pour avoir un lit pour dormir, cer
ontrés étant étrangers ou trop alcoolisés pour parler. Néanmois, l'un
d'entre
eux a exprimé sa volonté de se confier à l'infirm
us avons croisé beaucoup de gens pendant cette maraude et la première
d'entre
eux fut Mme X. 60 ans fonctionnaire partie en pré
se de conscience et à défaut une belle expérience sociale pour chacun
d'entre
nous. Elle ne contribue pas à améliorer notre pré
l'esprit et de changer beaucoup d'idées recues sur les SDF: beaucoup
d'entre
eux sont très jeunes (a peine 20 ans), en rupture
ser un peu d'aide et de soutient aux sdf. Nous avons pris en charge 2
d'entre
eux pour les amener à un centre d'hébergement mai
r le fait que beaucoup des ces usagers n'étaient pas alcoolisés, l'un
d'entre
eux est venu dire bonjour à l'infirmier de l'équi
nt touchantes ont-ils a nous raconter. C'est d'ailleurs pour beaucoup
d'entre
eux sans doute la seule perspective d'avenir : no
demander si et pourquoi seuls les précaires aident les plus précaires
d'entre
nous. Enfin, on se rend bien compte qu'on agit pa
distribué des denrées et des duvets à quelques personnes, mais aucune
d'entre
elles ne nous a sollicités pour l'aider dans des
discutant avec les usagers , on se rend compte que finalement chacun
d'entre
nous est susceptible de se retrouver dans cette s
renant de découvrir la gentillesse et la reconnaissance de la plupart
d'entre
eux malgré des situations déplorables. A l'hopita
étaient tous très sympathiques, et non agressifs. Je pensais que peu
d'entre
eux acceptaient de l'aide mais en fait non, au co
arroi des personnes que nous avons croisées lors de la maraude. L'une
d'entre
elles avait fait deux fausses couches, attribuées
is de santé) parce qu'il était agoraphobe et qu'en même temps le fait
d'entre
seul (dans une chambre) l'angoissait aussi beauco
oute et refusaient parfois notre aide matérielle ou alimentaire. L'un
d'entre
eux récupérait des livres et jouets et les dispos
les Fixes, isolés dans leur précarité. Nous avons transférés certains
d'entre
eux dans les différents centres d'hébergement (no
enduraient, quel type de profil ils avaient. Ca peut arriver à chacun
d'entre
nous : par exemple, un monsieur qui venait d'être
est arrivée là... Et on se dit que cela peut arriver à n'importe qui
d'entre
nous, même à quelqu'un qui a tout donné pour réus
enduraient, quel type de profil ils étaient. Ca peut arriver à chacun
d'entre
nous : par exemple, un monsieur qui venait d'être
'ai l'impression que cette conversation à remonté le moral à certains
d'entre
eux. Au final, j'ai beaucoup aimé cette expérienc
n change d'échelle, on s'adresse à l'individu en personne. La plupart
d'entre
eux se sont montrés très accessibles, et je pense
ple de trouver la juste distance. J'ai vu au total 3 centres, et deux
d'entre
on été une aggréable surprise : j'avais pas mal d
sale, parfois il y a même des rats et je comprends pourquoi beaucoup
d'entre
eux préfère la rue à des conditions insalubres de
e qu'on a), des moins jeunes, des femmes avec des enfants... Beaucoup
d'entre
eux étaient soulagés de voir arriver le camion, e
ue des gens sales, bourrés toute la journée voire dangereux. Beaucoup
d'entre
eux sont plutôt chaleureux, reconnaissants, ont b
p, cette situation est juste le fruit du "pas de chance", et beaucoup
d'entre
nous pourrai si retrouver... Une de mes rencontre
quemment. On va à un autre signalement pour trouver un jeune homme de
d'entre
25 et 30 ans qui dormait au niveau d'une bouche d
u'il n'y avait pas de place pour les 3 dans un seul centre ( et l'une
d'entre
eux etant une femme), et à les convaincre de se s
a. Pour finir, ce fut une très bonne experience et meme si la plupart
d'entre
nous ne travaillera jamais au Samu Social je pens
eillante. Rencontre de plusieurs sans abris, un peu discuté avec l'un
d'entre
eux, tous très sympathiques. Pas très différents
avec nous, d'autres nous diront gentiment non merci et encore certain
d'entre
eux accepteront de monter avec nous dans le camio
itude globale des "usagers", comme les appelle le SAMU Social. Nombre
d'entre
eux se sont montrés très bavards, très désireux d
dans le 13ème arrondissement, aussi ai-je été surprise de voir nombre
d'entre
eux se manifester à l'approche du camion, héler l
est lié au fait qu'ils appellent très régulièrement -16 ans pour l'un
d'entre
eux- et qu'ils ont donc intégré parfaitement le d
s et être rassurés sur ce point. En effet, pour probablement beaucoup
d'entre
nous, c'est une expérience totalement nouvelle et
vraiment qu'on était limités. Finalement on a trouvé une place pour 3
d'entre
eux , le 4eme préférant rester dans sa voiture ce
iné qu'ils puissent être sans abris c'était assez déstabilisant. L'un
d'entre
eux par exemple était en train de jouer aux carte
font des pauses de 20 min toutes les 2h... Tout ça pour que certaines
d'entre
elles répondent plus que sèchement aux gens qu'el
comme on était en été et qu'il avait fait beau dans la journée aucun
d'entre
nous n'était habillé de façon adaptée au climat.
n repas le soir et un repas le matin, une salle télévision, dans l'un
d'entre
eux, une salle de jeux. Ils y ont l'occasion de v