beaucoup de chose sur le ressenti que l'on a des sans abris que l'on croise chaque jour dans la rue, ou que l'on sera amené a

ris que l'on croise chaque jour dans la rue, ou que l'on sera amené a croiser aux urgences et dans les services d'hospitalisati

et vraiment utile ! L'équipe était très sympathique et pédagogue. On croise des profils de gens à la rue très différents, on

e gens à la rue très différents, on se rend compte que chaque jour on croise bien plus de gens SDF que ceux que l'on remarque

, voire même attirée. Quel est le quotidien de tous ces gens que l'on croise , assis dans la rue et dont on ose pas croiser le

e tous ces gens que l'on croise, assis dans la rue et dont on ose pas croiser le regard? Qu'à-t-il bien pu se passer dans leur

maraude m'a permis d'entrevoir le monde et le quotidien de gens qu'on croise mais avec qui on échange rarement : les SDF. Il é

n qu'avaient les travailleurs du SAMU social avec certains SDF qu'ils croisaient souvent en maraude. Au-delà de leur apporter à ma

pe très sympa. Pour une nuit j'ai été en contact avec les gens que je croises , les gens oubliés. Je savais l'importance de la m

ience permet de porter un regard different sur ces personnes que l on croise tous les jours sans faire attention.

avec des situations difficiles qu'on n'a pas forcément l'occasion de croiser en pratique à l'hôpital. Cela nous permet de pren

nt pour que l'on viennent les aider ou simplement les personnes qu'on croise durant la maraude. Un grand bravo a cette équipe!

trouvé ça très intéressant de rentrer en contact avec des gens qu’on croise au quotidien mais qu’on « fui » plus ou moins, ma

trouvé ça très intéressant de rentrer en contact avec des gens qu’on croise au quotidien mais qu’on « fui » plus ou moins, ma

x aborder et comprendre le système du samu social et les sdf que nous croisons ensuite dans nos différents stages à l’hôpital.

ents qui étaient attribués à mon équipe. En 6h de maraude, nous avons croisé un nombre extremement restreint de nécessiteux. D

ne belle expérience qui fait porter un autre regard sur les SDF qu'on croise au quotidien.

st de rencontrer les personnes vivant dans la rue, personnes que l'on croise régulièrement sans les connaître. Cela m'a permis

ochards prend une dimension completement différente que lorsqu'on les croise dans la rue en pleine journée avec une approche t

, des personnes en difficulté financière mais nous ne faisons que les croiser (et à peine les regarder). La garde au samu socia

t un réel parcours du combattant et que derrière les visages que l'on croise dans les métros, sur les trottoirs se cachent des

t là j'ai rencontré un profil de gens sans abris qui, si je les avait croisé dans la rue, je ne me serais jamais dit qu'ils n'

J'ai apprécié cette garde, le contact avec les sdf que l'on croise tous les jours sans leur adresser la parole par p

les rues et qu'on ne connait dans le fond que très peu même si on les croise bien (trop) souvent. Elle m'a donné d'une part un

réjugés sur les SDF et j'avais tendance à ignorer cette misère que je croise au quotidien. Cette garde m'a permis d'écouter pl

met de mieux appréhender le dialogue avec les SDF, personnes que l'on croise souvent tous les jours, sans réellement savoir co

apprécié cette expérience qui permet de rencontrer des gens que nous croisons dans la rue tous les jours sans savoir trop quoi

en charge des personnes en difficulté, nous rapproche de celui qu'on croise dans la rue et dont on évite le regard très souve

permet d'entrer en contact avec ces personnes défavorisées que l'ont croise chaque jour sans forcement leur prêter attention.

t pas apporter dans la vie de tous les jours aux nécessiteux que l'on croise dans la rue. de plus l'équipe du samu social est

ages de la prise en charge des sdf à paris. Lorsqu'on vit à paris, on croise chaque jour minimum une dizainne de sdf, et cela

is ce qui changera certainement notre vision si l'on est amener à les croiser aux urgences par exemple.

déniablement utile car dans les services hospitaliers, il m'arrive de croiser des patients sans papiers, sans domicile, hébergé

nrichissante et en même temps laisse un sentiment d'impuissance, on a croisé beaucoup de familles roumaines dans la rue qu'on

le regard que je porterai sur les personnes que j'aurai l'occasion de croiser dans la vie de tous les jours. Bon courage a tout

nes nécessiteuses sont plus nombreuses qu'on le croit, et que l'on en croise tout les jours sans s'en douter !

et réellement impliquée et touchée par la vie des personnes que l'on croise ou que l'on a au téléphone. Cette expérience perm

utile et même assez heureux d'avoir passé la nuit avec des gens qu'on croise peut être tous les jours sans les remarquer.

J'ai trouvé ça passionnant de rentrer en contact avec des gens qu'on croise au quotidien mais qu'on "fuit" plus ou moins puis

ppris qu'on pouvait tisser des liens forts avec des gens alors qu'ils croisent qu'un bref moment nos vies. Je trouve cette garde

ionnante, avant tout pour la rencontre de ces hommes et femmes que je croise toute l'année sans avoir jamais pris la peine d’é

ontrastait avec le mal-être que je ressentais à chaque fois qu'un SDF croisait ma route. Je me dis à présent que la chaleur huma

Voir, entendre, toucher, discuter avec les même personnes que j'ai croisé sans réellement les voir - pendant mon stage aux

e jour et n'ont pas de logement quand arrive la nuit. Si je les avais croisé dans la rue jamais je ne me serais douté de leur

idées que l'on se fait sur le profil des personnes dans le besoin. On croise très peu de "SDF" comme on l'entend. Les personne

ger avec eux m'a tout simplement fait découvrir un autre monde, qu'on croise pourtant tous les jours sans s'y attarder. J'ai c

etc. Ma nuit a été plutôt calme, nous avons ratissé le quartier sans croiser beaucoup de monde, mais je pense tout de même que

à emporter, les réactions à avoir, le type de personnes que l'on peut croiser , les missions... Malgré le nombre d'externes qui

s d'avoir une première pour aborder ce type de personnes quand je les croiserais en stage. Ce n'était pas évident de trouver la bo

de choses. Il rend compte de la réalité de la vie dans lequel on vit. Croiser quotidiennement des SDF dans la rue, dans le métr

Lors de la maraude, la plus belle chose que j'ai pu recevoir a été de croiser le regard d'un homme à qui nous sommes venus en a

atteignait encore plus directement par le contact avec des gens qu'on croise tous les jours et que finalement on pourrait cont

e eux m'a même offert des ballons de baudruche à chaque fois qu'il me croisait dans le centre avec un énorme sourire! J'ai beauc

ouvrir ce que vivent les personnes en difficulté sociale, que l'on ne croise pas forcément au cours de nos stages ou pour lesq

plus jeune. A la nostalgie d'y retourner, s'ajoutait l'excitation de croiser éventuellement des gens que je connaitrais, mais

n de croiser éventuellement des gens que je connaitrais, mais je n'ai croisé personne. Il faisait déjà nuit depuis un certain

iquement utilisé de nos jours par ces addictes du numéro 115. Je n'ai croisé personne, pas vraiment ; juste des inconnus qui n

l'utilité de simplement "recenser" les différences personnes que nous croisions sans leurs apporter une aide même minime ( collat

e même la maraude permet d'aller à la rencontre de personnes que l'on croise tous les jours mais que l'on regarde à peine, de

s discussions dans la rue. On est en tête avec des personnes que l on croise tous les jours sans même les voir. La dureté de l

j'imagine), frustrée de ne pas pouvoir faire plus pour eux. Quand on croise une famille de 5/6 personnes dans la rue et qu'on

et en enseignement, mais le temps parait parfois long lorsque l'on ne croise personne lors de la maraude. L'équipe composée d'

bserver faisait preuve beaucoup d'empathie envers les démunis qu'elle croisait pendant la maraude et ça m'a touché de voir ces p

ressante et très enrichissante au niveau des relations humaines. Nous croisons souvent des personnes sdf dans la rue et malheure

Nous avons croisé un homme de 33 ans qui vivait dans la rue, seul,

pouvoir établir un contact avec ces personnes dans le besoin que l'on croise , au final, un peu tous les jours. J'ai aimé pouvo

Je voudrai adresser un grand merci à toutes les personnes que j'ai pu croiser durant cette nuit , et qui ont réussi à me faire

marauder dans mon quartier et donc d'aller voir des personnes que je croise au quotidien sans avoir jamais discuté avec eux m

ine conscience de la réalité et dureté de la vie de personne que nous croisons dans la rue au quotidien sans y prêter trop atten

issement en cherchant des usagers. On est appelé nul part, donc si on croise quelqu'un c'est intéressant, dans le cas contrair

cela permet de mieux comprendre la situation de nombreux sdf que l'on croise régulièrement en stage au SAU, -j'ai eu l'occasio

ancaire, deux hommes et une femme. Le camion s'arrête, les regards se croisent . Quelques poignées de main après, nous apprenons

» ça. S’arreter pour parler et aider comme on peut ces gens, que l’on croise tous les jours mais auxquelles malheureusement on

ns le 4ème arrondissement. Malheureusement avec la pluie nous n'avons croisé qu'une dizaine de personne à qui nous avons offer

richissante sur le plan humain et social, car malgré le fait que l'on croise souvent ces sans-abris dans la vie de tous les jo

tablir le contact avec des personnes en marge de la société, que l'on croise tout les jours dans la rue/metro, mais avec qui o

t sont souvent chaleureux, bien plus que la plupart des gens que nous croisons chaque jour. Une soirée gravée au burin dans ma m

onfrontée d'une façon différente aux personnes sans logement que l'on croise dans notre quotidien. D'abord faire la double éco

s entretiennent une relation particulière avec tous les gens que l'on croise , notamment les "habitués" qui font appel au 115 d

aiment impliquée. Elle connaissait le nom de beaucoup de SDF que l'on croisait par hasard dans la rue, ainsi que les emplacement

en mémoire est le nombre important de jeunes à la rue, que nous avons croisé et demandant seulement des chaussettes, un bonnet

des nouvelles des personnes connues par leurs services quand ils les croisent par hasard. Pas beaucoup de signalements cette nu

nuit donc nous tournons avec le camion dans les dédales des rues sans croiser beaucoup de gens qui ont besoin de nous. Nous amè

omprendre et surtout d'en avoir moins peur; en tout cas ceux que j'ai croisé ont été plutôt agréables et toujours reconnaissan

se familiariser avec les personnes qui appellent et donc que l'on va croiser au cours de la garde. De plus elle permet de prés

upart d'entre eux malgré des situations déplorables. A l'hopital nous croisons souvent des patients sans domicile fixe et il est

e. Mon camion s’étant vu attribuer le quartier autour de la Pitié, je croise parfois les personnes rencontrées au cours de la

s. Pendant la maraude, nous avons été confrontés à un monsieur qu'ils croisent régulièrement depuis 4 mois, et malgré le fait qu

garde très intéressante pour se faire une idée de quoi faire quand on croise un sdf dans la rue ou à l'hôpital. J'ai été un pe

ce, style dans l 'air du temps... un jeune homme standard comme on en croise mille en soirée. Il était visiblement alcoolisé,

dispensable pour notre futur métier qui inévitablement nous amènera à croiser des personnes dans la difficulté ou l'exclusion.

cette nuit a vraiment transformé mon regard sur les sans-abris que je croise depuis et sur ma manière d'interagir avec eux.

personnes dans le besoin. Pendant la maraude, les personnes que l'ont croise n'ont pas nécessairement le désir de nous parler.

s, j'ai donc eu l'occasion d'aller à la rencontre de personnes que je croise chaque jour dans ma vie et à qui je n'adresse qu'

qui ont besoin d'avantage de soins et de suivi et qui vont forcement croiser notre chemin (au moins durant nos études...). A n

iale et de la réalité du quotidien que vivent tant de personnes qu'on croise dans la rue... Parce qu'avec le temps, on oublie,

ompte de la réalité des conditions de "vie" de ces personnes que nous croisons tous les jours dans la rue sans (plus ou moins) y

urs) on comptait 6 naissances par jour. Pendant la maraude nous avons croisé un couple dont la femme était enceinte et une fem

n lit infirmier pour la nuit. Le plus beau souvenir que j'ai a été de croiser son regard, quand on est reparti, très reconnaiss

nous avions pu proposer un hébergement pour des personnes qui avaient croisé notre chemin plus tôt dans la soirée et qui n'ava

uit, il ne restait qu'une place en hébergement dans un centre et on a croisé 2 amis qu'on ne pouvait pas séparer donc on leur

tout est différent, on porte un regard neuf sur des situations qu'on croise pourtant quotidiennement. J'admire le travail de

nt en hôtel, appel de riverain pour apporter de l'aide un SDF qu'il a croisé ), j'ai aussi pu découvrir l'organisation du stand

s maraudes ont l'obligation de s'arrêter auprès des familles qu'elles croisent tout en sachant qu'elles ne pourront pas leur pro

ndant cette nuit lors des maraudes, j'ai vu des gens que j'avais déjà croisé (sans y faire attention) lors de balades. Ces per

i était à quoi je m'attendais ( la réalité est aussi que nous n'avons croisé qu'une seule personne dans cette situation dans l

ce fut que de rencontrer ces gens, parler avec ces personnes que l'on croise tous les jours dans les rues de Paris sans y pret

ne personne déjà connue. Nous marchions sur le trottoir et nous avons croisé un riverain qui nous a indiqué où est ce qu'il av

lcooliques d'Europe de l'est."... Population qu'il n'a absolument pas croisé durant sa garde!! Pour ma part, sur les quatre si

ur une anecdote qui m'a marqué : le dernier sans-abris que nous avons croisé était originaire de Pologne. Il avait bu, et la d