U, originaire de Slovaquie, vivait dans la rue depuis. Il prenait des
cours
de français avec pôle emploi, et tant bien que ma
en France. Atteint de maladie psychatrique depuis 3ans, il aurait au
cours
d'une bouffée délirante entrepris son voyage. La
s, notamment le fait qu'il y a des personnes qui sont suivies au long
cours
par le samu social alors que je pensais que le bu
our une prise en charge dans l'instant comme des mesures pour le long
cours
(avec des assistantes-sociales...) Par ailleurs t
faudrait supprimer la maraude et approfondir la partie (en format de
cours
) sur la prise en charge sociale.
tion devant les difficultés (plus de couverture sociale, démarches en
cours
), la nécessité du traitement. Orientation de la p
e car nous n'avons eu que deux interventions. J'aurais aimé avoir un "
cours
" sur les moyens proposés aux professionnels de sa
étonnée de voir qu'ils ne proposaient pas de prise en charge au long
cours
(pour au moins quelques mois). Pendant la maraude
e a été très formatrice grâce aux indications de l'équipe, surtout au
cours
des marraudes sans signalement. Les conditions mé
umain. Par contre je ne pense pas qu'il soit impératif de la faire au
cours
du stage de réa, par ailleurs déja très dense en
déjà un enfant en bas âge, une autre qui était enceinte de 9 mois. Au
cours
du briefing il a été dit que dans les hôtel socia
briefing il a été dit que dans les hôtel sociaux (hébergement au long
cours
) on comptait 6 naissances par jour. Pendant la ma
une prise en charge plus intélligente qui s'essaye à être sur le long
cours
avec des projets de vie et des aides pour essayer
globale de ce que l'on peut proposer aux personnes dans le besoin au
cours
des interventions. J'ai trouvé très utile égaleme
Je pense que cette garde au samu social est une étape importante au
cours
des études médicales. Il est bon d'etre parfois c
pas apprécié cette garde qui n'a fait que me fatiguer un peu plus au
cours
d'un stage de réanimation déjà très prenant.
CIAL de Paris, aux problématiques posées ainsi qu'à leur évolution au
cours
du temps, des saisons, et du contexte national ou
ersonnes qui vivent dehors. Certains se sont forgés une "carapace" au
cours
du temps, et préfère se débrouiller eux mêmes plu
on a pas à jongler avec le garde de notre service et où le rythme des
cours
est beaucoup plus léger.
n jeune de 18 ans en conflit familial étant sur Paris depuis peu et a
cours
de plan pour dormir chez des amis. Après, la réun
ersonnes appelant le 115 (personnes jeunes avec parfois un emploi, en
cours
de régularisation ou régularisées, ou à l'inverse
ute m’a particulièrement déçu car nous n’avons traité que 2 appels au
cours
desquels nous n’avons été d’aucun recours Durant
différentes ne ciblant pas exactement la même population. En effet au
cours
des maraudes, l'objectif est de connecter avec le
t complémentaire : les personnes rencontrées ne sont pas forcément en
cours
de réinsertion, comme le public que je connais mi
personnes qui sont venues réclamé cafés, eaux etc et nous avons été à
cours
très rapideent Certains sans grande amabilité d'a
de travail et SDF qui attendent pendant des mois une aide social "en
cours
de traitement"). Je remercie énormément les diffé
ce que l'on a pas forcément le temps de faire de façon approfondie au
cours
d'un appel. En plus, je pense que comme la plupar
et même si je n'ai eu qu'un petit aperçu de ce que l'on peut voir au
cours
d'une maraude, cette garde m'a finalement montré
l'on rencontrait et pris des initiative. Je n'ai pas été trop pris de
cours
ni impressionné par eux, finalement ça ressemble
te (qui a duré moins de 30min pour ma part), donc peut être faire un "
cours
" ou nous envoyer les papiers nécessaires avant po
En effet, les SDF ont des problématiques que l'on aborde pendant nos
cours
mais de manière très lointaine et "globalisante".
urgent d'un hébergement de nuit : mais cette prise en charge au long
cours
se fait tout de même tant bien que mal. Le hasard
ours été très positives avec des personnages très attachants (même au
cours
d'une discussion de quelques minutes!). L'équipe
d'urgence proposées sont dérisoires, ne s'intègrent pas dans le long
cours
, sont des rustines de dernier recours qui ne perm
est une fille). De plus, cela ne permet pas d'assister aux éventuels
cours
de l'après-midi (parce que quand on arrive chez s
mmener à l'hopital. Nous avions aussi prevu de recuperer un homme, en
cours
de traitement pour la gale, pour l'amener dans un
lle avait quitté les lieux le jour-même alors qu'aucune solution long
cours
n'avait été trouvée et l'hébergement était donc r
re, j'ai rencontré une étudiante à Science Po, qui avait eu plusieurs
cours
/interventions de la part du SAMU social, et je pe
me retrouvais à déambuler dans le bâtiment en essayant de réciter les
cours
que j'avais appris dans la journée. Bref. Je trou
pauvreté et de l’exclusion beaucoup plus percutant que n’importe quel
cours
de sociologie. Les permanenciers du 115 recueille
ver sans pouvoir mettre en pratique est rarement productif surtout au
cours
d'une expérience si fugace (sur ce point il aurai
et ont ainsi une relation durable avec eux. En ayant ce suivi au long
cours
, on assiste parfois à des miracles où certains so
ires. J'ai ensuite effectué 2h de double-écoute avec un opérateur, au
cours
desquelles j'ai pu découvrir le travail d'écoute,
ah en a donc profité pour m'expliquer la prise en charge des CPAO. Au
cours
du trajet jusqu'à Romain-Rolland, j'ai été impres
plus que nous, comme le suggère l'évocation des séjours de rupture au
cours
d'une conversation. Les séjours de rupture sont d