j'ai ainsi aperçu des histoires de vies aussi diverses que celle d'un
couple
dont la femme, vulnérable en raison d'une fausse
les de familles de migrants avec de tout jeunes enfants (notamment ce
couple
dont l'enfant n'avait pas plus de deux semaines..
eu de place disponible dans les centres d'accueil, notamment pour les
couples
ne souhaitant pas être séparés. L'équipe était vr
le politique 0femme 0famille dehors presque toute les familles et les
couples
sont au chaud pour la nuit. L’equipe était génial
L'une des rencontres que j'ai fait cette nuit est celle d'un
couple
. L'homme avait signalé sa femme comme enceinte et
s pour lesquelles il y a très peu d'hébergement: par exemple un jeune
couple
avec un bébé d'1 an que nous avons rencontré dans
rs de la garde. Des personnes seules aux familles, en passant par les
couples
, tous avaient en effet des histoires et des parco
mptait 6 naissances par jour. Pendant la maraude nous avons croisé un
couple
dont la femme était enceinte et une femme avec un
ate que les pères les abandonnent quand elles tombent enceinte car le
couple
est trop précaire pour assumer un enfant, mais le
es de personnes sans-abris (familles avec enfants, personnes isolées,
couples
). Les maraudes sont également très enrichissantes
oblématiques quotidiennes des gens dans le besoin, et par exemple les
couples
qui vivent dans la rue sont souvent séparés par m
bâtiments et une salle commune qui communiquait ce qui permettait au
couple
de se retrouver. Pour la maraude, c'est une expér
SAMU SOCIAL ne fournit pas assez de stabilité sur le long terme) à un
couple
expulsé de leur hébergement que nous avons pu dép
rire et continuaient de chanter malgré la fatigue et le froid puis un
couple
avec un bébé de 11 jours, pour ces trois derniers
ions. Le premier signalement que nous avons eu était celui d'un jeune
couple
de 18 ans, à la rue depuis plus de 3 mois... Ca m
rsonne, afin de lui venir en aide si besoin, et qu'il s'agissait d'un
couple
, de jeunes, de mon âge... c'était vraiment marqua
près de la Gare d'Austerlitz, lorsque le camion s'est arrêté pour un
couple
. Nous avons vu arriver quasiment en même temps 6-
rentes mais complémentaires. J'ai été particulièrement marquée par un
couple
d'albanais de 22 et 23 ans, tout juste arrivés à
nde d'hébergement pour la nuit et de l'âge parfois élevé de plusieurs
couples
à la rue, avec des problèmes de santé. N'ayant ja
différents de sans abris avec des personnes seules, des migrants, un
couple
et une famille. Je pense que cette garde est indi
tte famille égyptienne exilés politiques avec deux petits garçons, ce
couple
Roumain qui travaillent au black la journée; etc.
ment rendu compte lorsque, à minuit et alors que nous recueillions un
couple
avec 2 enfants en bas âge, le travailleur social
places sont plus qu'insuffisantes. Cela me fait notamment penser à un
couple
qui avait une place pour homme mais rien pour la
ulièrement marqué: nous avons eu vers 3h un signalement concernant un
couple
, une femme handicapée en fauteuil roulant dépenda
mpte que les profils sont loin d’être ceux que l'on pense ( famille ,
couples
, demandeurs d'asile , personnes handicapées , je
ablissements compte tenu du refus de se séparer lorsqu'il s'agit d'un
couple
ou d'une famille, de la distance et de la peur du
d'une nuit, les difficultés que représente ces possibilités pour les
couples
et familles qui sont toujours séparés par l'absen
ergement ont été attribuées très vite. On a eu un signalement de deux
couples
, l'un avec un nourrisson de 1 mois et l'autre un
us "choquante" pour moi, en particulier un appel : il s'agissait d'un
couple
dont la femme était enceinte de 2 mois ; après av
ans la rue. Le choc m'a saisi quand elle m'a ensuite expliqué que les
couples
étaient toujours moins prioritaires que les perso
ntes solutions : 5 places par jour pour les femmes, 2 places pour les
couples
, 8 places pour les hommes en moyenne... Tous ça p
on est un homme, voire une fois tous les quinze jours quand on est un
couple
! Et quand enfin ils ont une place, le lendemain
ssister à un premier appel qui fut très intéressant. C'était un jeune
couple
sénégalais qui vivait à la rue depuis plus de 6 m
ossiers d'hébergement pour une nuit du "pôle famille", concernant les
couples
. Certains hommes - certes rares - seraient prêts
e ces personnes leur apportent. J'ai été touché par la rencontre d'un
couple
sans domicile fixe depuis quelques années, toujou
pels. D'abord celui d'une femme qui faisait part des difficultés d'un
couple
de roms qui vivait en bas de son immeuble, puis d
er plusieurs personnes, plus ou moins sympathiques, dont notamment un
couple
de jeunes. Ces 2 jeunes (18 ans ) étaient accompa
n a eu des appels de personnes seules, de familles (nombreuses) et de
couples
. Meme lorsque les appelants ne pouvaient être héb
a soirée mais malheureusement il n’y avait plus de place pour lui. Le
couple
a donc du se separer pour la nuit - Un jeune homm
maine avec déjà une place en hôtel social dans le 78 pour la nuit, un
couple
soudanais que l'on conduira au centre Romain-Roll
redirigé un monsieur dans un parcours de soin, tenté de convaincre un
couple
qui avaient une place en centre d'accueil d'urgen
tes, de la mère seule avec plusieurs enfants qui venait d’arriver, au
couple
avec un enfant en bas âge, jusqu’à la mère encore
te m'a permis d'appréhender différentes situations (des familles, des
couples
, des personnes seules, immigrées ou non...) et de
eggae à l’harmonica, au Mr avec son chapeau décoré, à Moustique, à ce
couple
se trouvant à la rue le temps d’une nuit, à ce Mr
les personnes pour lesquels nous nous sommes arrêtés cette nuit : un
couple
qui n'a pas voulu se rendre au centre Romain Roll
re la manche plutôt que d'être héberger, certains préfèrent rester en
couple
plutôt que d'être séparé. Or le nombre de places
ation différentes : personnes isolées, femme seule avec jeune enfant,
couple
sans enfant, personne vivant sa première nuit deh
ce isolée en centre (les places familles en centre sont plus pour les
couples
avec des jeunes enfants) mais le mari de la jeune
c'était bien qu'ils s'entendent bien car c'était pas évident pour les
couples
séparés de garder de bon contacts, puis nous parl
entendait: la quantité importante de demandes de personnes seules, en
couple
ou en famille à traiter. J'ai ensuite assisté à u
tion éminemment touchante fût celle où nous sommes allés récupérer un
couple
et leurs trois enfants (l'un avait un an, et les
femme seule avec un bébé d'un an et une petite fille de 8 ans, et un
couple
de jeunes roumains avec un enfant d'un mois. La f
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