me été étonné par le peu de places d hébergements disponibles, par le
choix
arbitraire mais nécessaire qu'ils doivent faire p
bonne ils ne sont pas toujours a l'écoute de tous et doivent faire un
choix
a qui ils proposent un hébergements. Je ne pense
le SAMU social. Proposer ces gardes aux étudiants en leur laissant le
choix
d'y aller ou non semble plus adapté.
avait vis à vis des personnes vivant dans la rue, un respect de leur
choix
de vie et de leur autonomie ainsi qu'une véritabl
avait vis à vis des personnes vivant dans la rue, un respect de leur
choix
de vie et de leur autonomie ainsi qu'une véritabl
immigré sans papier, sans qualification ou même pauvre. C'est même un
choix
de vie pour certains, ce qui me parraissait et me
des différents appelants, et la difficulté morale d'avoir à faire le
choix
de leur proposer ou non un lit pour la nuit. La m
e logement tout en respectant la personne qu'ils sont ainsi que leurs
choix
. Merci pour cette précieuse opportunité.
el, on apprend de manière plus concrète le respect de l'autre, de ses
choix
et de son libre arbitre ; en effet, les études de
-delà de mes préjugés sur ces hommes et femmes qui n'ont pas d'autres
choix
que de vivre dans la rue. Même si nous avons pu t
mon équipe se présentait aux usagers et le fait qu’elle laisse libre
choix
à ces personnes de décider ce qu’elles veulent qu
cial seraient mieux appréciés par des externes à qui on laisserait le
choix
de s'y rendre sur la base du volontariat.
vraiment motivés par le bien être de l'usager tout en respectant leur
choix
quant à la prise en charge. Pendant la double éco
r le libre-arbitre et l'importance de ne pas juger les gens sur leurs
choix
. Il faisait entre -5° et -10° cette nuit là, c'es
u Samu Social n'est pas toujours facile, il faut savoir respecter les
choix
des personnes qui ne veulent pas être aidées ou n
ux reste indispensable mais que partir dans le camion devrait être un
choix
de l'étudiant et pas une obligation.
et son bébé de 2 mois dans un lit ou juste un adulte bien portant, le
choix
fait m'a quelque peu surprise.
outent, conseillent, ne sont jamais intrusifs, prennent en compte les
choix
et respectent toujours la décision finale, sans i
e ne devais citer qu'un moment qui m'a touchée pendant cette nuit, le
choix
serait difficile... J'ai malgré tout été frappée
nce me parait indispensable dans la formation médicale. Cependant, le
choix
de la mettre sur le stage d'urgence réa où l'on c
ntité de personnes en besoin poussait souvent les employés à faire un
choix
sur la personne à aider.
uctuante. Je pense simplement, par ce fait, qu'il faudrait laisser le
choix
aux équipes d'accepter de marauder ou non avec de
nsports en commun à 05.00 du matin.... Pourquoi ne laisse-t-on pas le
choix
aux élèves qui le désirent de le faire plus près
n stage puis rester éveillé jusqu'à 5h du matin), on devrait avoir le
choix
de faire cette garde ou non. Néanmoins je suis co
ations personnelles et familiales délicates, des gens qui ont fait le
choix
d'être dans la rue ou alors des personnes qui n'o
r avec des lits de camps envahis par les parasites mais cela reste un
choix
. D'autres (personnes âgées, malades...) vont pour
un duvet, une écoute... Le plus dur est probablement d'accepter leur
choix
de ne pas vouloir aller en hébergement et de dorm
hoisir qu'un petit nombre pour les logements. C'est très aléatoire ce
choix
je trouve, et ça nous donne un aperçu de la compl
st trop précaire pour assumer un enfant, mais les femmes n'ont pas le
choix
et se retrouvent dans une précarité encore pire.
cette courte expérience m'a un peu changée et je crois impactera mes
choix
de vie dans le futur. Je précise que j'ai tendanc
, je redoutais un peu cette garde obligatoire, dont je n'avais pas le
choix
de la date, j'avais peur de ne pas savoir comment
un travail ou d'engager des formations. Leur travail se résout à des
choix
perpétuels sur la personne à aider et des résulta
ficulté que l’on pouvait avoir à loger les différentes personnes, les
choix
difficiles parmi les demandeurs alors que l’on ai
uite je me rends compte que les personnes travaillant ici le font par
choix
et non par dépit. Première constatation, le 115 e
que cela pouvait être frustrant au début mais qu'ils n'avaient pas le
choix
, ayant 300 lits pour 9000 appels par jour. Après
est très restreint et plusieurs critères sont pris en compte dans le
choix
des places attitrées, l'âge et l'état de santé so
e crois que cette soirée m'a poussée à me rappeler les raisons de mon
choix
de métier, mais également les moyens que je pourr
, j’ai vu l’accueil dans un centre, la visite avec l’infirmière et le
choix
d’aller aux urgences suite à une consultation tél
il reste une seule place dans tous les foyers. Il s'agit de faire un
choix
en se basant entre autre sur l'état de santé de l
la rue ne sont pas si faciles et que ce n'est pas forcément juste un
choix
ou un abandon de vie mais surtout une accumulatio
re et préfère encore rester dehors. C'est bien dommage mais c'est son
choix
. Monsieur lui à un chez lui où il va retourner ma
us les soirs, si nous n'y allons pas nous serons rétrogradés dans les
choix
de stage, etc... Mais en fait, on ne nous présent
is. On pourrait facilement croire que certains sans-abris le sont par
choix
, par besoin de liberté, de non-volonté de travail
ant toute cette garde. Je suis admirative de leur dévouement, de leur
choix
de faire des maraudes alors qu'ils pourraient trè
calmes, ils ne leur en veulent jamais. C'est ainsi. Ils respectent le
choix
des gens. L'aide ne doit jamais être forcée. Ils
usagers. Lorsque les gens appellent le 115, c'est qu'ils n'ont pas le
choix
. S'il ne reste plus de place, l'alternative c'est
pour que ce soit à leur disposition, et que les usagers fassent leur
choix
, librement. J'étais admirative quant à cette orga
. 26 euro (Monsieur Duguet, vous comprendrez j'espère que je fasse le
choix
de ne pas accorder « euro » parce que je considèr