éveillé un matin a coté de son meilleur ami décédé dans la nuit, il a
cherché
du réconfort auprès de l'équipe, et il en a trouv
repartant m'a expliqué que c'était souvent le cas et que les gens les
cherchaient
pour ça, car ce qui leur manque le plus, dans la
bergés en centre pour la nuit car il fait froid. Nous allons donc les
chercher
, ce qui donne à la mission un air de taxi, mais n
ysique et de volonté à se manifester. Cependant, ceux que nous allons
chercher
tirent un véritable bénéfice des quelques heures
ultime de la mission tient malheureusement à ce que le temps d'aller
chercher
les uns et les autres, l'arrivée au Centre s'avèr
ai trouvé ca formidable. Aller directement auprès des sans abris, les
chercher
plutôt que les éviter comme nous avons l'habitude
garder le Paris d'en bas, le Paris que souvent on évite de regarder :
chercher
les individus dans la difficulté au pas d'une por
Globalement nous allions
chercher
des SDF pour les emmener dans des foyers. Ainsi q
assez tard (entre 21h et 22h) et nous avons passé beaucoup de temps à
chercher
un SDF que nous devions amener dans un centre san
d nombre d'appels venait de femmes enceintes, ou avec des enfants qui
cherchaient
un hôtel pour la nuit et qui devaient changer d'h
munication était difficile étant donné la barrière de la langue, nous
cherchions
à connaître l'identité des parents et de l'enfant
es. J'admire vraiment leur travail, ils sont à l'écoute des autres et
cherchent
réellement à les aider, à les sortir de la rue. C
e d'un 3ème (enceinte de 5mois), arrivée de Russie il y a 3 semaines,
cherchait
un endroit pour dormir car venait d'être expulsée
uent avec les usagers et essayent de comprendre leurs problèmes et de
chercher
des solutions. De l'autre côté, ça m'a permis de
rs pu les aider pour un appel en tant qu'interprète pour une dame qui
cherchait
un hébergement pour la nuit. Les maraudes en cami
quelque chose de prévisible. On voit les interventions d'urgence, qui
cherchent
des hébergements ponctuels, il nous manque l'abor
nts l'ont mis à la rue. Nous lui avons donnés RDV et sommes partis le
chercher
afin qu'il passe la nuit dans un centre d'héberge
est pas vue pendant quelque temps, les équipes ont pour mission de la
chercher
et de vérifier que tout va bien. Je ne pensais pa
amion qui répond aux appels du centre c'est à dire qui va directement
chercher
des personnes pour les emmener en centre d'accuei
sont courants, n'était pas très important: les personnes qu'on a été
chercher
n'étaient pas ravi de nous voir: il s'agissait pa
les équipes des différents camions ou est signaler les Sdf qu'il faut
chercher
plus particulièrement, un de ces Sdf signalé je l
on dans le samu social ! Rien que le fait d'être dans le camion et de
chercher
du regard les gens dans la rue, de porter intérêt
est un problème majeur étant donné le nombre de réfugiés qui viennent
chercher
refuge en région parisienne.
que réalise toutes les nuits les personnes du SAMU Social pour aller
chercher
les SDF et les emmener dans des refuges pour pass
r aperçu de toutes les personnes qui peuvent vivre dans la rue et qui
cherchent
de l’aide. La maraude nous permet d’aller à la re
se sent parfois completement désarmé. Par exemple, nous sommes allés
chercher
un sans abris en fauteuil roulant, paraplégique q
s mouvementée, on a recueilli une famille qui venait d'Albanie et qui
cherchait
l'asile. C'est un peu frustrant de pas pouvoir su
t où la coordinatrice ouvre, il s'asperge de l'essence qu'il est allé
chercher
à la station service.. Finalement les choses se s
uge pour la nuit en dehors de la boulangerie (mais comme on vient les
chercher
à 4h du matin et qu'ils vont devoir quitter les l
soient-ils. Je suis entrée dans l'autre Paris-la-nuit. Celui où l'on
cherche
les personnes qui n'ont rien parmi celles qui fon
avoir un lit pour dormir, certains profitant du système sans vraiment
chercher
à s'en sortir, et d'autres qui appelaient seuleme
ions à faire à ceux qui appellent. La plupart des gens qui ont appelé
cherchaient
un endroit pour dormir, mais quasiment aucune pla
uvrir. La double-écoute a été marquée par les appels des habitués qui
cherchaient
un endroit pour la nuit, qui s'opposaient aux com
lisé qu'elle nous demandais de l'aide tant cela m'étonnais. Mais elle
cherchais
bien un endroit où dormir au chaud, seulement voi
coup de monde dans les rues), nous ne voyions plus les passants, nous
cherchions
les ombres, discrètes, d'habitude invisbles. Ce f
larmes aux yeux: elle m'a expliqué que ça faisait des années qu'elle
cherchait
une assistante sociale, et qu'elle n'arrivait pas
cote d'ivoire, a la rue. Il y avait une veritable urgence a venir la
chercher
et a l'emmener dans un endroit sur. "on l'a vraim
ntre Romain Rolland auquel nous l'avons amené avec un autre homme qui
cherchait
une place pour la nuit. Un signalement est arrivé
ines personnes connues des équipes, à faire la liste des gens à aller
chercher
et à répartir les équipes dans les camions. Nous
teur et d'une infirmière uniquement. Pendant la nuit nous sommes allé
chercher
deux femmes enceintes pour les amener dans un cen
ns le voisinage de son ancien tortionnaire. En maraude, nous irons la
chercher
et l'amèneront, sûrement, à l'un de ces foyers qu
confrontée à l'impossibilité de trouver un lit pour quelqu'un qui en
cherchait
, mais peut être était-ce de la "chance"). Par rap
ère à leur santé. Ce qui m'a un peu marqué, c'est le fait que tous ne
cherchent
pas, malgré le froid qu'il faisait cette nuit, un
vons obtenu une "mise à l'abri" pour cette famille. Nous sommes allés
chercher
le siège pour bébé à la base du samu social, et e
sincérité que celle que ces équipes dégagent au quotidien. On n'a pas
chercher
à me cacher les difficultés énormes de moyen auxq
d'une station de métro car elle était épuisée... de dormir dehors, de
chercher
de quoi se nourrir et se laver. Le Samu social l'
'ai donc été en double écoute jusque 21h environ. Puis on est venu me
chercher
pour aller dans le camion. L'équipe était très sy
stratégie nécessaire pour toute ces personnes qui sont dehors et qui
cherche
chaque jour un lit pour dormir. Cela doit etre ép
rendais pas compte de la diffuculté que c'était de devoir chaque soir
chercher
un endroit pour dormir. Lors de la double écoute
ont la femme, vulnérable en raison d'une fausse couche toute récente,
cherchait
à se mettre à l'abri avec son compagnon pour l'ai
maraude. Les 3 premiers appels n'étaient pas présents quand on les a
cherché
. Le premier appel pour lequel on a pu faire quelq
mpliquée (dans la rue et le froid, sans habits réellement adaptés) ne
cherche
pas forcément d'aide et ne souhaite pas forcément
réfractaires aux soins, leur seule présence à l’hôpital prouve qu'il
cherche
encore à se soigner. Ce qui est loin d'être le ca
les et des médecins. Ce qui m'a plu: monter dans le camion pour aller
chercher
des familles ou des personnes isolées, leur appor
+ chauffeur) que je me suis sentie exclue toute la soirée , aucun n'a
cherché
à m'enseigner quelque chose, et ils m'informaient
utes les difficultés que peuvent avoir les sans abri, comme le lieu à
chercher
, les amis à ne pas avoir pour raisons de sécurité
une homme de 20ans, aux urgences de Saint Louis. Nous sommes allés le
chercher
, et il ne ressemblait en rien à l 'image des sans
ne me suis sentit déplacé et inutile alors même que j'étais motivé et
cherchais
à m'impliquer. De plus j'ai réaliser cette garde
tout cas) étaient très accueillantes. Initialement nous sommes allés
chercher
des personnes signalées que nous avons amené a Ro
uasi-totalité de ma garde nous avons rencontré des migrants. Certains
cherchaient
leur famille, d'autres avaient quitté leur pays i
tout juste sur Paris sans logement, et que nous sommes ensuite allée
chercher
au cours de la maraude pour l'emmener dans un foy
qu'il pleuvait toute la nuit. On se rend compte aussi que certains ne
cherchaient
qu'un interlocuteur avec qui discuter, pour sorti
(ce que on m'avais demandé de faire), mais ils voulaient juste aller
chercher
les personnes qui avaient appelé au 115; des pers
tement, et plus les voir comme des patients et pas comme des gens qui
cherchent
à "dormir" à l'hôpital. Dans l'ensemble une très
mobile, que j'ai trouvée très dynamique et motivée, nous sommes allés
chercher
plusieurs personnes ayant été signalées pour les
, ça vaut le coup de tenter. Tout particulièrement, nous sommes allés
chercher
un jeune Soudanais, un migrant venu en France, ay
impatience. Concernant la double écoute, de 18h à 20h, tout le monde
cherchait
un endroit où dormir, alors les conversations qui
t quasiment toute la nuit, on se trouve alors bien plus impliqué pour
chercher
les personnes dans la rue, poser des questions à
s, et ma constatation principale est que les sans abris "habitués" ne
cherche
que très peu un abri. La majorité de ceux désireu
ouver éventuellement des solutions, leur donner des informations pour
chercher
à manger ou s'habiller gratuitement. Parfois auss
n camion avec une équipe qui m'a très bien accueillie. Nous avons été
chercher
une dame qui devait aller dans un centre car elle
ider comme nous... Le moment qui m'a le plus marquée a été quand nous
cherchions
le deuxième signalement, pour une personne déjà c
que nuit. Ensuite, nous sommes partis en maraude. On est d'abord allé
chercher
un homme qui avait été signalé à l'équipe. C´étai
t le plus marquée sont d'abord une jeune femme que nous devions aller
chercher
à la sortie d'un métro, et une fois arrivés sur p
me les autres et non pas juste comme un homme alcoolisé "qui l'a bien
cherché
".
ssise à l'arrière du camion, à côté du monsieur que nous sommes allés
chercher
à Sainte Anne (avec Saint-Anne on pense tout de s
ermanenciers du 115 recueillent la détresse de ceux qui n’ont rien et
cherchent
un endroit où dormir. Les équipes de terrain mara
ans un centre et nous avons pu discuter avec lui de sa situation pour
chercher
des solutions à ses problèmes, ce que l'on a pas
uver du travail. Bien sûr, le SAMU social et les assistantes sociales
cherchent
à les aider, mais ils sont souvent impuissants, t
, mais si j'en ai retenu quelque chose c'est surtout qu'avant même de
chercher
à développer la maraude, il faut investir dans le
asculaient vers celui de Paris. Briefing : on est venu directement me
chercher
pour m'emmener au briefing tout en m'abreuvant d'
oulement de la nuit. Nous récupérâmes deux usagers non signalés et en
cherchâmes
un autre que nous ne trouvâmes pas. Nous les emme
e au 1er étage, j'ai réussi à trouver le coordinateur, M. F sans trop
chercher
. Il m'a donné un livret qui expliquait le déroule
uer une double-écoute pour avoir une idée du profil des personnes qui
cherchent
un logement pour la nuit, dans quelles conditions
itif. L’enfant choqué s’ouvre immédiatement, en reprend, s’intéresse,
cherche
à communiquer, je lui montre un avion en papier,
un foyer de femmes ce sera la caserne mixte de Reuilly Diderot. Elle
cherche
mon regard, elle a peur. On s'assure avec l'équip
e je reviendrai le lendemain soir la voir avant que le Samu vienne la
chercher
. - un jeune homme de 18 ans, qui a fui le Darfour
oit traverser paris demain de part en part (plus de 17km!) pour aller
chercher
des bons d'alimentation mais il sourit et il dit
. Leur mère est arrivée quelques minutes plus tard, elle était partie
chercher
des cartons. Elles étaient installées sur des mar
e regard le jour. Le camion du Samu social attire les SDF, on vient y
chercher
une place en refuge (qui arrivent au compte goutt
u'on pouvait faire plus: être plus efficace, , regarder plus de rues,
chercher
plus longtemps les gens signalés. Mais c'est une
alogue n’était possible (on nous a ainsi jeté de l’eau alors que nous
cherchions
à parler avec quelqu’un, mais d’après ce que m’a
Rennes, dans un logement social, et étaient venus à Paris pour venir
chercher
la grand-mère qui avait fait tout un périple depu
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