très froid, nous avons maraudé de 22h à 5h d matin avec une pause au
centre
vers 3h. L'équipe était vraiment accueillante, no
es dans la rue, d'ailleurs certains ne souhaitaient pas être amené en
centre
malgré le froid. Nous sommes tombés par hasard su
eune enfant de maximum 2 ans que nous avons convaincu de se rendre au
centre
d’accueil dédié, j'ai pu visité le centre avec un
s convaincu de se rendre au centre d’accueil dédié, j'ai pu visité le
centre
avec un membre de l'équipe qui m'a expliqué le fo
alement par le fait que plusieurs personnes aient refusé de dormir en
centre
car beaucoup craignaient pour leurs affaires et l
étéo était bonne, ce n'était pas une journée d'hiver. l'expérience du
centre
d'appel était sympa, avec une jeune femme très ge
i était bien dans le sens ou l'on est bien intégré dans la réalité du
centre
d'appel. néanmoins à l'heure ou non arrivons les
éanmoins à l'heure ou non arrivons les appels sont pour des places en
centre
de sommeil, donc rien de bien intéressant ... pas
i est de la maraude: j'ai été dans le camion qui répond aux appels du
centre
c'est à dire qui va directement chercher des pers
à dire qui va directement chercher des personnes pour les emmener en
centre
d'accueil. la météo étant bonne, le véritable bes
météo étant bonne, le véritable besoin d'un lit pour dormir dans des
centres
, où apparemment la violence et les vols sont cour
port pour des personnes en difficultés entre leur lieu habituel et un
centre
pour dormir, peu d'échange. bien que l'équipe ave
s n'aient pas plus de moyens ou de lits disponibles. De plus certains
centres
sont vétustes et les places dans ces centres sont
nibles. De plus certains centres sont vétustes et les places dans ces
centres
sont souvent refusées par les SDF.
faible nombre de places disponibles (seulement 7 places pour homme au
centre
Romain Rolland par exemple). Une femme enceinte a
par exemple). Une femme enceinte appelait pour pouvoir dormir dans un
centre
, l'écoutante lui a proposé une place dans un cent
ir dormir dans un centre, l'écoutante lui a proposé une place dans un
centre
, mais la jeune femme préférait dormir dehors plut
fonctionnement du SAMU social et on s’aperçoit, par exemple, que les
centres
d'accueil n'ont souvent rien d’accueillant et que
lant et que de nombreux SDF préfèrent refuser un hébergement dans ces
centres
. Il s'agit d'une expérience enrichissante.
PARIS fut très formatrice pour moi. J'ai pu y découvrir le travail du
centre
115 et mieux comprendre les conditions de vie des
de l'équipe avec laquelle j'étais, accompagné deux sans-abris dans un
centre
d'hébergement d'urgence et rencontré un monsieur
avons proposé d'établir un dossier afin de le faire admettre dans un
centre
d'hébergement pour l'hiver.
ué à dormir en intérieur et dans un lit il a très mal vécu sa nuit au
centre
et n'a quasiment pas dormi, c'est pourquoi il ava
is la décision d'en partir le matin, en ayant prévenu le personnel du
centre
. Il avait vu le médecin du centre mais n'était pa
n, en ayant prévenu le personnel du centre. Il avait vu le médecin du
centre
mais n'était pas resté suffisamment longtemps pou
seils avisés notre chauffeur à réussi à le convaincre de retourner au
centre
pour compléter les examens et nous l'y avons cond
me bien connu du samu qui refusait depuis toujours l'accueil dans les
centres
d'hébergement ou dans les lits médicalisés (qui l
a réinsertion sociale. Lors de la maraude j'ai pu également visiter 2
centres
d'hébergement, ce qui m'a permit de me rendre com
es moyens mis en place pour les usagers (qui très disparate selon les
centres
par ailleurs). L'équipe m'a expliqué beaucoup de
oup de choses sur leurs actions, les répartitions des places dans les
centres
etc. C'était une nuit très intéressante.
humaine d'aider les personnes en difficulté et de le conduire vers un
centre
d'hébergement afin qu'ils soient au chaud et qu'i
rgement afin qu'ils soient au chaud et qu'ils s'alimentent. Visite du
centre
Romain Rolland avec le travailleur social. Belle
ntacts avec eux, lors de la maraude, ou bien en les emmenant dans des
centres
d'hébergement. L'équipe m'a aussi permis de visit
ns des centres d'hébergement. L'équipe m'a aussi permis de visiter le
centre
d'hébergement de Montrouge. Cette garde m'a beauc
es camions d'un travailleur social et d'assistantes sociales dans les
centres
d'accueil. Le but étant de diriger les SDF dans c
dans les centres d'accueil. Le but étant de diriger les SDF dans ces
centres
afin de pouvoir commencer le travail de fond qu'e
Super expérience ! J'ai adoré voir le fonctionnement d'un
centre
d'hébergement d'urgence (celui de Porte d'Orléans
t, la joie et la reconnaissance quand il a mangé son plateau repas au
centre
. Nous avons également partagé une discussion pend
très enrichissante car en plus j'ignorais tout du samu social, de ces
centres
d'accueil de jour et de nuit ainsi que de tous le
du samu social fort mal empoint. Il accepte de dormir ce soir dans un
centre
a montrouge (le ritz des centres d'hebergement).
Il accepte de dormir ce soir dans un centre a montrouge (le ritz des
centres
d'hebergement). a l'arrivee au centre, nous appre
entre a montrouge (le ritz des centres d'hebergement). a l'arrivee au
centre
, nous apprenons que ce matin cet homme avait chut
manger, à boire, en leur donnant des couvertures, ou en cherchant un
centre
d'hébergement d'urgence pour eux. L'équipe avec l
nti utile lors de cette nuit. Ils m'ont fait visiter une chambre d'un
centre
d'hébergement d'urgence, et ont bien répondu à l'
hissante, bien que difficile car généralement la capacité limitée des
centres
l'hébergement pousse à refuser beaucoup de person
édecins d’astreinte ont refusé d’accueillir cette personne dans leurs
centres
(où il n’y avait pas de médecin de garde, seuleme
urgences apres 2 heures de négociations et ne voullait pas partir du
centre
d’accueil. Ce même centre d’accueil (non médicali
e négociations et ne voullait pas partir du centre d’accueil. Ce même
centre
d’accueil (non médicalisé) et notre EMA avions do
nuit étaient complètement inédites et nouvelles. La connaissance des
centres
d’accueil, de l'équipe de la maraude, des sans ab
tamment à la grande humanité du personnel du samu social et celui des
centres
d’accueil. Une nuit importante dans notre parcour
énement atypique, les appelants ont reçu pour la plupart une place en
centre
pour la nuit, de même dans le camion, la plupart
oir une, mis à part quelque uns à cause d'un manque de place dans les
centres
. Je trouve cette garde utile, à faire au moins un
é son histoire, il était a la rue depuis peu. Il a pas voulu venir au
centre
car sinon il perdait sa place dans une cabine tél
roumaines dans la rue qu'on est pas allé voir car l'accueil dans les
centres
est difficile..
é beaucoup de temps à chercher un SDF que nous devions amener dans un
centre
sans jamais le trouver et sinon nous avons accomp
ais le trouver et sinon nous avons accompagner deux personnes dans un
centre
et discuter avec quelques autres personnes sur le
is sur les incohérences des mesures administratives pour accéder à un
centre
d'hébergement (délai d'un mois, passage aux urgen
'hébergement (délai d'un mois, passage aux urgences pour accéder à un
centre
, obligation d'appeler tous les jours pour avoir u
es dans le besoin. Nous avons ensuite pu en déposer certains dans les
centres
d'accueil pour la nuit, bien qu'une partie préfèr
la nuit, bien qu'une partie préfère dormir dehors que de côtoyer les
centres
où la sécurité n'est pas toujours facile à assure
s de ma nuit au samu social, seuls 3 personnes ont voulu allé dans un
centre
d'acceuil pour la nuit sur les 28 signalements qu
l pour la nuit sur les 28 signalements que nous sommes allé voir. Les
centres
d'acceuil sont vraiment mal considérés par les ha
pas la promiscuité avec les autres/les vols/le fait d'être "viré" du
centre
à maximum 8h du matin. L'autre chose qui m'a frap
s semaines, une équipe passe le voir pour essayer de l'amener dans un
centre
ou lui donner un repas. Il ne veut que rarement v
ou lui donner un repas. Il ne veut que rarement venir dormir dans un
centre
et ce soir, il a accepté de venir. Il semblait fa
ntervenant pour lui faire changer d'avis et le convaincre de venir au
centre
.
née, démarche quotidienne et fastidieuse pour avoir une place dans un
centre
d'accueil pour dormir. Ca m'a permis aussi d'abor
orsqu'il n'y a pas de places ou lorsqu'on veut préserver ces gens des
centres
d'hébergement d'urgence. Ce qui m'a beaucoup touc
un homme connu de l'équipe mobile qui n'avait pas trouvé de place en
centre
et à qui nous ne pouvions pas en donner non plus
ce en centre et à qui nous ne pouvions pas en donner non plus car les
centres
étaient complets. Cet homme s'est mis à pleurer e
ntré. Seulement 4 sur une douzaine, on accepté d'être emmenés dans un
centre
d'hébergement, uniquement des hommes. Le plus per
une soupe, une bouteille d'eau lorsque la personne refuse d'aller en
centre
d'hébergement. C'est frustrant car la nuit d'aprè
'est très bien déroulée et permet de comprendre le fonctionnement des
centres
d'hébergements, du public prioritaire sur l'héber
antes car le contact avec le public est concret et j'ai pu visiter le
centre
Romain Rolland dans le 14ème. Les équipes sont so
cours de soin, tenté de convaincre un couple qui avaient une place en
centre
d'accueil d'urgence, amené dans ce même centre 4
i avaient une place en centre d'accueil d'urgence, amené dans ce même
centre
4 messieurs. L'histoire qui m'a le plus marqué
nous raconte son histoire avec le sourire, elle a refusé la place en
centre
d'accueil et a demandé seulement un café et le né
r du budget pour qu'ils aient assez de personnel, qu'il y ait plus de
centres
d'hébergement d'urgence, je n'ai pas la prétentio
r au placement de cette dame qui, quand elle n'a pas de place dans un
centre
, doit passer ses nuits à l'aéroport pour dormir.
d'avoir un travail, n'avaient pas de domicile. Quand on est arrivé au
centre
on a d'abord discuté avec les personnes placées p
solutions pour s'en sortir. L'infirmier m'a fait visiter les lieux du
centre
. Par ailleurs, on m'a très bien accueilli, et cel
Expérience intéressante. Découverte des
centres
d’accueils et des différentes personnes les néces
erme de personnalités rencontrées. Certains ne voulaient pas aller en
centre
d hebergement pour la nuit, même s'ils en avaient
possibilité. Pour conclure ma garde, j ai pu voir à quoi ressemble un
centre
d hébergement. Au final, il s agit d'une opportun
attitude et leur générosité envers le personnel du Samu social et du
centre
, tous remercient et nous souhaitent bon courage p
fert des ballons de baudruche à chaque fois qu'il me croisait dans le
centre
avec un énorme sourire! J'ai beaucoup aimé le con
n est parti sur les signalements, on a accompagné 3 familles dans des
centres
. C’est très marquant de se rendre compte que des
vent dans la rue. On a accompagné plusieurs autres personnes dans des
centres
. Ce soir là il y a eu beaucoup de signalement sur
21h30 on quitte le
centre
, manteau bleu sur les épaules et c'est parti pour
arti pour sillonner les rues pendant 4 heures, Pas de signalements au
centre
d'écoute donc maraudage. On est 4 dans le camion.
nde de faire quelque chose pour elle de lui trouver une place dans un
centre
afin qu'elle ne dorme pas dehors. Un coup de fil
est trouvée, malheureusement madame ne souhaite pas retourner dans ce
centre
et préfère encore rester dehors. C'est bien domma
évacue aussi un peu. Bilan de la soirée : 5 personnes amenées dans un
centre
, plus d'une dizaine de café distribués et une vin
le sentiment que la maraude se résume à accompagner les sans abri aux
centres
d'hébergements.
J' ai été très étonnée de voir à quel point les places dans les
centres
d'accueil pour les SDF partaient rapidement. En u
s ni de duvet mais plutôt un véritable travail d'orientation vers les
centres
où il pourra seulement y avoir un vrai travail so
cié faire cette garde. J'étais impressionné par le manque de place en
centre
lors de la double écoute, en 3min les places du s
a part des usagers plus importante ; beaucoup préfère ne pas venir en
centre
. Une très bonne expérience donc, très enrichissan
s acteurs qui participent à cette "chaîne" qu'est le SAMU social : du
centre
d'appel, aux transmissions, l'équipe dans le cami
illeur social, infirmier, conducteur), les personnes responsables des
centres
d'accueil. Parfois pas très rassurée d'être seule
osé Également un moment marquant, lorsqu'un sdf se trouvant devant le
centre
demande à être hébergé, on ne peut pas accepter c
pas accepter car sinon tous les sdf viendraient directement devant le
centre
et cela deviendrait ingérable Mais la situation é
qui chaque jour rappelle pour obtenir un nuit supplémentaire dans les
centres
d'hébergements d'urgence rudimentaire mais bien p
rudimentaire mais bien plus confortable que la rue. Sur le chemin du
centre
, ils partagent avec nous leurs vies, leurs émotio
araître frustrante au vu du nombre très réduit de place disponible en
centre
! Pendant La maraude en camion, j'étais dans le ca
le plus souvent on trouvait les gens et on leur proposait une nuit en
centre
. Quand il n'y avait plus de place on leur donnait
Premier signalement de la soirée, un homme seul à accompagner dans un
centre
d'hébergement. Il nous alerte à propos de son ami
larmes au moment de le laisser partir, ayant quant à lui une place en
centre
d'hébergement.
e de 7 mois dormir dans la rue car elles ne veulent pas dormir dans 2
centres
différents.
distribuer boissons et vivres/couvertures. Quelques tansport vers les
centres
d'hebergements. Impression de palier au plus urge
souhaitait et sous réserve de places, une place d'hébergement dans un
centre
pour la nuit, beaucoup refusent de s'y rendre. Ca
eusement une des personnes était mineure, et que par conséquent aucun
centre
ne l'accepterait. On a essayé de les convaincre d
ne l'accepterait. On a essayé de les convaincre de la diriger vers un
centre
pour mineurs et pour le reste de la famille, une
ntre pour mineurs et pour le reste de la famille, une place isolée en
centre
(les places familles en centre sont plus pour les
ste de la famille, une place isolée en centre (les places familles en
centre
sont plus pour les couples avec des jeunes enfant
raude, dans l’espoir d’avoir une des minimes places qui reste dans un
centre
d’hébergement. Certaines personnes préféraient mê
point l’état dans lequel doivent être les lieux. On est passé dans le
centre
de Romain Rolland, qui pour le coup propose des b
e signalement durant la nuit mais j'ai pu en accompagner plusieurs au
centre
de Montrouge, j'ai donc pu visiter ce centre! J'a
accompagner plusieurs au centre de Montrouge, j'ai donc pu visiter ce
centre
! J'ai été marqué par la très bonne connaissance d
idant des familles ne serait-ce qu'une seule nuit en les amenant à un
centre
d'hébergement. Ce qui m'a moins plu concerne la d
travail des écoutants qui doivent refuser aux sans abris une place en
centre
d'hébergement.
rgement pour la nuit. Malheureusement à cette heure là, les places en
centre
ne sont pas encore libérées, il faut donc rappele
il faut choisir selon plusieurs critères (nuit précédentes passées en
centre
, état de santé,...) à qui les attribuer. 20h arri
eut on être à la rue à cet âge? absence de famille, enfants placés en
centre
sans point de chute à 18 ans, conflit familial...
es de gens qui appelent, des "habitués" qui veulent une place dans un
centre
pour la nuit aux familles qui ont besoin d'une ch
veulent pas se séparer, etd'autres acceptent d'être emmenés dans des
centres
d'hebergement pour la nuit.(j ai d'ailleurs pu vi
des centres d'hebergement pour la nuit.(j ai d'ailleurs pu visité le
centre
de montrouge) Au début je ne savais pas trop quoi
ées au samu et des places réservées à d'autres organisations dans les
centres
d'hébergement (je ne m'étais jamais posée la ques
ée était lorsque dans le camion du samu, l'homme que l'on emmenait en
centre
d'hébergement m'a dit au décours de la conversati
e et nos deux enfants pendant une semaine. A 50 km de la mer, dans un
centre
de vacances payé par la caf. Les enfants pourront
st assez remuant. L'autre situation: un autre qui attendait devant le
centre
d'accueil et que nous ne pouvions pas prendre en
ar la "règle" veut que ce soit un camion venu de Paris qui l'amène au
centre
(car sinon tout le monde viendrait directement de
ne au centre (car sinon tout le monde viendrait directement devant le
centre
et ça ne serait pas gérable). Mais concrètement o
e soir a été de tout faire pour qu'il accepte de venir dormir dans un
centre
pour s'abriter, pour se doucher et avoir un bon r
près une bonne demi-heure de négociation, il a finalement accepté. Au
centre
, nous l'avons douché, il a diné et quelle satisfa
lui, cette nuit-là, lui a permis de passer seulement une nuit dans ce
centre
et que le lendemain il sera de nouveau dans la ru
dans les rues. Et au final, nous n'avons fait que 3 voyages vers les
centres
d'hébergement et le tout avant 2h du matin. Le re
à des endroits stratégiques pour être récupérés et passer la nuit en
centre
. Problème, les places de centres il y en a peu, e
r être récupérés et passer la nuit en centre. Problème, les places de
centres
il y en a peu, et elles sont par conséquent rempl
te est intéressante. On se rend compte du peu de place libre dans les
centres
d'hébergement. La maraude est le moment où l'expé
sante, j'ai pu découvrir les rôles des différents acteurs. D'abord le
centre
des appels qui reçoit les appels des personnes ch
le centre des appels qui reçoit les appels des personnes cherchant un
centre
d'hébergement pour la nuit. Les places étant très
alement pour une femme isolée qu'on nous avons ramené pour la nuit au
centre
d'hébergement de nuit de porte d'Orléans. Cette f
t stabilisé. Ensuite, nous avons récupéré 2 hommes pour les amener au
centre
de porte d'Orléans. Cette garde m'a permis de me
. Le but était d'emmener le maximum de personnes dans les gymnases ou
centres
mis en place en urgence. Peu de relationnel duran
nt au quotidien dans la rue, sans proposition autre que des places en
centre
de quelques jours, voir mois pour les plus chance
, mais aussi l'écoute du 115 en début de soirée et la visite d'un des
centres
d'hébergement du samu social... en ruine et qui d
fermer... Par ailleurs, les équipes (équipe du camion, animateurs des
centres
d'hébergement, personnel du 115 et de la coordina
e le samu social est une très belle initiative. J'ai beaucoup aimé le
centre
Romain Rolland et le fait que en plus d'offrir un
s'est fait insulter une fois car il n'y avait plus de place dans les
centres
, je me suis sentie impuissante. Je pense que l'hi
en fonction de quels critères étaient attribuées les places dans les
centres
d'hébergements (nombre de nuits d'affilée déjà pa
e, individus +/- fragiles...), ainsi que d'avoir pu visiter un de ces
centres
. J'ai été surprise de constater à quel point les
beaucoup de temps dans la maraude à faire des allers-retour vers les
centres
, alors qu'on pourrai prendre tout le monde d'un c
L'équipe était très sympa. J'ai visité un
centre
d'hébergement. Le 115, cé b1 (par contre les cons
'avoir une personne au bout du fil, pour se voir refuser une place en
centre
dans la grande majorité des cas devant le faible
e majorité des cas devant le faible nombre de disponibilités dans les
centres
, ce que j'ai personnellement trouvé assez choquan
est peut être en cause mais devant le très faible nombre de places en
centre
je trouve ça regrettable de faire attendre au tél
écaire pour leur refuser dans la grande majorité des cas une place en
centre
, d'autant plus qu'on les invite à reproduire cett
80% du temps est en effet perdu à faire des allers et retours vers le
centre
d’hébergement avec souvent une seule personne à b
scientifique et recentrer l'humanité du patient dans sa globalité au
centre
de la conversation plutôt que de se focaliser sur
ants vis à vis de la situation et qu'en plaçant certains SDF dans des
centres
d'hébergement, ils ne leur trouvaient une solutio
ormation car il y a largement la place pour 2, 3 voire 4 étudiants au
centre
du SAMU social.
fférent après une maraude. Il serait intéressant de visiter plusieurs
centres
d'hébergements pour comparer un bon centre (Romai
sant de visiter plusieurs centres d'hébergements pour comparer un bon
centre
(Romain Gallant) aux centres plus précaires où sé
ntres d'hébergements pour comparer un bon centre (Romain Gallant) aux
centres
plus précaires où sévissent violence et mauvaise
omment travaillaient les employés du SAMU SOCIAL, mais aussi ceux des
centres
d'hébergement.
ulée malgré mon appréhension initiale, j'ai pu voir l'organisation du
centre
de Montrouge.
/2018. J'ai pu dans un premier temps participer à la double écoute au
centre
115. C'est la partie que j'ai préférée car c'étai
la partie, qui à mon sens était la plus complète pour appréhender le
centre
du SAMU social. En effet, on comprend la difficul
e comprend pas bien pourquoi telle personne refuse une place dans tel
centre
, puis, on comprend qu'il s'agit d'un centre qui e
refuse une place dans tel centre, puis, on comprend qu'il s'agit d'un
centre
qui entasse les personnes par défaut de moyen, ou
humaine. Il y a une bonne ambiance dans l'équipe. On a pu visiter un
centre
d'hébergement ce a permit de mieux se rendre comp
dur au niveau des appels quand nous devions refuser une place dans un
centre
à certaine personne alors qu'il faisait froid. La
ette période de fête. On a dû gérer beaucoup de signalements vers les
centres
d'accueil. L'équipe était très sympathique et trè
ette période de fête. On a dû gérer beaucoup de signalements vers les
centres
d'accueil. L'équipe était très sympathique et trè
est tres agreable, nous explique le fonctionnement du 115. Visite du
centre
d'hebergement d'urgence appreciee
s, et que certains ne souhaitaient pas qu'on les emmènent au chaud en
centre
.
ulée. Les équipes sont très compétentes. J'ai également pu visiter le
centre
d'hébergement Je trouve dommage cependant qu'il m
rvention a Pigalle avec une femme très touchante. Puis on est allé au
centre
porte d'Orléans ou on a pu voir les autres travai
us-vêtements ou des chaussettes. Ils proposent également une place en
centre
d’hébergement pour la nuit pour qu’il puisse pren
ossibilité d’un entretien le lendemain avec une assistante sociale du
centre
d’hébergement si il passe la nuit là bas, dans la
our s'occuper des SDF. Je ne connaissais pas non plus l'existence des
centres
d'acceuil et d'hébergements pour SDF : le centre
lus l'existence des centres d'acceuil et d'hébergements pour SDF : le
centre
Romain Rolland est neuf et tout à fait adapté à l
tout le fonctionnement du SAMU social, de la double-écoute jusqu'aux
centres
d'hébergement. J'ai d'ailleurs eu l'occasion de v
ailleurs eu l'occasion de voir pour la première fois plusieurs de ces
centres
et de constater leur fonctionnement aussi différe
véritable choc. Notamment lors de la visite de "la boulangerie" : Un
centre
d'hébergement qui ressemble plus à une bétaillère
e deux cents : Cauchemardesque! La tension est palpable au sein de ce
centre
, et il suffit d'un rien pour que cela dégénère. C
t un logement sans recevoir les places réservées pour une nuit par le
centre
romain rolland, et qu'elles ont été donné à des h
isés dans la nuit en maraude. Certes je comprends que les chambres du
centre
sont prévues pour une seule personne avec un seul
etrangers, travailleurs pauvres, grands exclus...) j'ai pu visiter un
centre
d'homme et comprendre le fonctionnement ce qui m'
nes de la rue et du samu social il pleuvait beaucoup et tres vite les
centres
ont été pleins nous obligeant à laisser certaines
. Nous avons recupere durant la nuit, un homme pour l'emmener dans un
centre
d'hebergement d'urgence puis des groupes pour un
mener dans un centre d'hebergement d'urgence puis des groupes pour un
centre
de repos (sans lit). C'etait une nuit intéressant
ttribuées pour la nuit et j'ai même eu l'occasion de "visiter" un des
centres
d'accueil. Au total j'ai trouvé cette garde parti
er pour avoir un aperçu du fonctionnement du 115 et de la gestion des
centres
d'accueil.
mais tout de même bien visible. On a mis des hommes à l'abri dans des
centres
et c'est rassurant de savoir qu'ils passeront la
'hygiène, de santé de première nécessité, la prise en charge dans les
centres
avec les kits hygiènes, les vêtements qui lui ont
besoin de rien (pas même une couverture ni une boisson chaude!!). Au
centre
Romain Rolland nous avons rencontré une mamie seu
aussi que des consultations de gynécologie étaient organisées dans le
centre
, et je trouve ça super! Journée très enrichissant
dissement. Même si ce fut intéressant de voir le fonctionnement de ce
centre
de santé et de pouvoir échanger avec les hébergés
ent de ce centre de santé et de pouvoir échanger avec les hébergés du
centre
souffrant de pathologies plus ou moins aïgues , j
nt voir régulièrement. Au cours de la nuit j'ai pu visiter différents
centres
d'hébergement, pour personne seule et pour les fa
du nombre d'appels passés par rapport aux places disponibles dans les
centres
d'hébergement. Je tiens à préciser que les équipe
rvices. Durant la nuit, nous avons déposé des personnes dans l'un des
centres
d'accueil. J'ai ainsi pu voir différents aspects
sonnes dans le besoin de leurs services. Le nombre de places dans les
centres
d'accueil est très restreints malgré une demande
ou avoir un duvet. La nuit en globalité m'a plu. Très bon accueil au
centre
du Samu Social. Le seul point négatif est l'horai
ient envie de dormir au chaud cette nuit. Un de ses amis connu par le
centre
et qui a déjà un logement s'est porté volontaire
i a déjà un logement s'est porté volontaire pour l'amener jusqu'à son
centre
. Ce qui m'a marqué c'est l'aide apporté par cet a
é touchée du temps qu'ils ont pris à m'expliquer le fonctionnement du
centre
et de la maraude. Et même à débattre de différent
cial. Double écoute, puis maraude. Très bon accueil. Retour à 3h30 au
centre
pour le repas et départ à 5h. Etre ramené au domi
temps a faire de la vraie maraude et pas du taxi pour aller dans les
centres
! Enfin l'intégration dans les équipes est vraimen
personnes “en veille”, c’est un irréductible de la rue, refusant les
centres
d’hébergement! Enfaite en sortant de la garde je
tion, plusieurs fois j'ai été l'externe d'un patient logeant dans les
centres
d'hébergement ou la rue. Si c'est un patient comm
postes de gynécologue ou médecin généraliste sont en demande dans les
centres
d'hébergement. Un suivi régulier des SDF éviterai
permet de comprendre quelle est sa vision de la vie en générale, ses
centres
d'intérêt et ses activités quotidiennes, quel est
rait d'avantage parler de tous ces postes vacants de médecin dans les
centres
d'hébergement.
la nuit, bien que la moitié seulement n'aient souhaité aller dans des
centres
pour la nuit : le fait de ne pas pouvoir aider ce
e les amener aux urgences), faute de vraie présence médicale dans les
centres
avant la journée (où la plupart de ceux qui en on
avarder un peu dans les camions ou lors des soins infirmiers dans les
centres
. C'est cette expérience agréable qui m'a encourag
gé à rester jusqu'au bout de la garde (habitant à 2 minutes à pied du
centre
) et qui m'a donc fait apprécier cette nuit dans s
evenu ? Sont-ils alcoolisés et risquent de semer le désordre dans les
centres
d'accueil ? Etc. Tout les sans-abris sont fichés
sommes arrêtés cette nuit : un couple qui n'a pas voulu se rendre au
centre
Romain Rolland (Porte d'Orléans) car ne voulait p
Bichat, Mr S en fauteuil roulant et son ami que nous avons conduit au
centre
Romain Rolland. La précarité de ces personnes et
ux que nous avons dû laisser dans la rue par manque de place dans les
centres
témoigne de l'insuffisance de moyens/ d'infrastru
c les sdf également. J'ai également pu découvrir à quoi ressemble les
centre
d'hébergement et surtout les inégalités entre eux
pas bien le rôle exact du samu social! J'ai également pu visiter des
centres
d’hébergement. L'équipe était très sympa et très
s. Finalement on a rencontré que 3 familles que l’on a amené dans des
centres
d’hébergements. Ça prenait plus l’allure d’un tax
▲