r l'organisation du 115, je ne me doutais pas qu'il y avait autant de camions et autant d'appels. Dans le camion j'étais a l'ar

utais pas qu'il y avait autant de camions et autant d'appels. Dans le camion j'étais a l'arrière et lorsque n'y avait personne

uyait un par car on ne me parlait pas trop. Mais lorsqu'on sortait du camion c'était très sympa de rencontrer des personnes, d

nt lors de cette garde au Samu social de Paris a été la façon dont le camion en maraude a pu être interpellé. Quand le camion

été la façon dont le camion en maraude a pu être interpellé. Quand le camion était à l'arrêt pour prendre en charge une person

signalée, de nombreuses personnes sont venues d'elles-mêmes auprès du camion pour demander de l'aide. Parfois, alors que le ca

mêmes auprès du camion pour demander de l'aide. Parfois, alors que le camion était simplement à un feu rouge, certaines person

été très formatrice. Nous avons passé plus de temps à rouler dans le camion qu'à aider les gens, le tout dans une ambiance pe

rès alcoolisé et une jeune femme avec son enfant) sont montés dans le camion afin d'être amenés dans un foyer. Le reste du tem

d'être amenés dans un foyer. Le reste du temps, grand silence dans le camion entre-coupé de mes questions pour rappeler à l'éq

Cela permet déjà d'avoir une visibilité sur ces camions . Ils ont une toute petite inscription "samu socia

camions. Ils ont une toute petite inscription "samu sociale" sur leur camion et j'avoue ne les avoir jamais vu avant à Paris c

onctionnement du SAMU social. Bon point d'être ramené chez soi par le camion à la fin de la garde. Cependant, Pas assez de tem

l'équipe, garde longue et souvent ennuyante du fait d'aller retour en camion incessant entre le centre (Ivry) et Paris.

ités proposées suite aux appels. Pendant la nuit, j'ai tourné dans un camion qui faisait de la maraude pure, et je trouve qu'i

re, et je trouve qu'il serait souhaitable d'être plutôt affectée à un camion faisant aussi du signalement. Cela permettrait de

un des écoutants qui m'a tout expliqué. J'ai été ensuite affecté à un camion , avec le conducteur, le travailleur social et l'i

s pas vraiment intégrée dans l'équipe, surtout seule derrière dans le camion . Je trouvais intéressant de voir toute la prise e

s à un rôle primordial de la maraude alors que la plupart du temps le camion est envoyé a des endroits précis pour recueillir

ibué pour la nuit. J'ai été très touché comme le reste de l'equipe du camion par une jeune fille n'ayant pas plus de 19ans ave

Très bon accueil que ce soit par l'opératrice du 115 ou l'équipe du camion . La double écoute s'est déroulée sans événement a

eçu pour la plupart une place en centre pour la nuit, de même dans le camion , la plupart des personnes demandant une place ont

tant chez certaines personnes). Un des SDF n'a pas hésité à taguer le camion , à casser le rétroviseur et à arracher les essuie

t à arracher les essuies-glaces. Excepté cet incident, les voyages en camion se sont plutôt bien passés. Je retiendrai essenti

très bonne expérience. Le fait de voir les 2 côtés : double appel et camion était intéressant. Bon encadrement.

J'ai été placé dans un camion qui faisait une maraude "spéciale"qui consistait

l'avant pour bien voir j'ai donc passée la nuit seule à l'arrière du camion qui en plus avait une fenêtre cassée (en plein mo

ructures dont dispose paris pour accueillir les usagers. Le départ en camion , Cest different dirais-je. Je nai pas fait de mar

ifferents moyens qu'il employait pour tuer des hommes... Le départ en camion est different...

ots. Il m'est alors apparu que, pour certains usagers, monter dans un camion estampillé SAMU social est une forme de déchéance

indres paroles sont autant d'atteinte à leur dignité. L'infirmière du camion a su trouver les mots justes. Nous l'avons déposé

ide de l'année. On était au coeur du plan grand froid. Rester hors du camion ne serait-ce que quelques minutes était déjà diff

rgement qui furent l'occasion de discuter avec des sans-abris dans le camion . A côté de ça, j'ai effectué ma nuit avec 3 perso

eur parler on peut très bien le faire sur leur lieux de vie, quand le camion s'arrête ou quand on arrive au foyer.

briefing : c'est une réunion qui rassemble les EMA ie les équipes des camions . Chaque camion est constitué de 3 personnes : une

une réunion qui rassemble les EMA ie les équipes des camions. Chaque camion est constitué de 3 personnes : une infirmiere, un

rsonnes : une infirmiere, une assistante sociale et un chauffeur, les camions s'organisent par arrondissement. Le debrief perme

audes, leurs conduite à tenir selon les usagers en cause. A 21h30 les camions partent. Ils vont en priorité voir les personnes

ue comment elle était arrivée dans la rue. Nous l'avons prise dans le camion , l'AS et l'infirmière ont réalisé une première év

rendre utile pour les gens qui en ont besoin. Bonne ambiance dans le camion .

té adorable, tout le monde était très prévenant et l'ambiance dans le camion incroyable. Les hommes que nous avons rencontré d

s vu aussi bavard. Il nous a même joué un morceau d'harmonica dans le camion , souvenir exceptionnel....

SAMU social : du centre d'appel, aux transmissions, l'équipe dans le camion (travailleur social, infirmier, conducteur), les

'arrière avec des inconnus alors que l'equipe est assise à l'avant du camion , mais en tout cas une équipe qui est plus intéres

mbre très réduit de place disponible en centre! Pendant La maraude en camion , j'étais dans le camion "signalement", donc on al

e disponible en centre! Pendant La maraude en camion, j'étais dans le camion "signalement", donc on allait d'adresse en adress

urgences.(logement vs douleur). Un peu pénible d'être à l'arrière du camion . Pas d'autre chose à signaler

i bien les équipes qui prennent les appels que les personnes dans les camions . Ils ont tous été très gentils et attentionné à m

emps de commencé la maraude, apparemment j'étais tombé sur le mauvais camion , celui de la maraude pure. Dit comme ça ça n'a au

maraude pure. Dit comme ça ça n'a aucun sens, il faut savoir que les camions du Samu patrouille dans un secteur pour aider des

l reste de la place dans des centres, leur proposer un toit. Tous les camions font ce job et en plus ils répondent à des signal

ns abris, j'en sais pas beaucoup plus sur ces signalements vu que mon camion ne faisait pas de signalement mais unique de la m

e du poisson pourri. Durant ma nuit, j'ai plus passé de temps dans le camion qu'à voir des personnes. Mais bon j'étais avec un

gentillesse des gens rencontrés dans la rue et par l'ambiance dans le camion . J'appréhendais la garde et au final j'ai plutôt

du samu social ce qui a rendu cela très intéressant. Ensuite dans le camion j'étais avec une équipe ou tout le monde était vr

rouve que cette garde est plutôt bien en d2, les temps d'écoute et de camion sont bien adaptés donc on a le temps de s'intéres

Une discussion dans le camion très interessante avec un usager, et la prise de

peu de SDF dans la rue donc je n'ai pas vu de prise en charge dans le camion

idés. Il y a une dizaine de personnes au centre d'appel la nuit, huit camions avec dans chacun trois professionnels. Notre cami

el la nuit, huit camions avec dans chacun trois professionnels. Notre camion a logé environ huit personnes en huit heures de t

utre coté, je n'ai pas du tout aimé la maraude. Je suis tombé dans un camion avec des gens peu agréables, qui n'ont fait aucun

mion avec des gens peu agréables, qui n'ont fait aucun effort dans le camion pour me parler ou m'expliquer des choses. Il y av

à souligner : lors de cette nuit, une bagarre s'est déroulée près du camion du SAMU SOCIAL. Au final, je me suis retrouvé à i

Je trouve cela très dangereux de les ramener au centre social dans le camion , sachant qu'il n'y a aucune sécurité particulière

utes les personnes qu'ils rencontrent. D'autre part l'hygiène dans le camion m'a mise mal à l'aise, de même que les vêtements

u concept dans les locaux reste indispensable mais que partir dans le camion devrait être un choix de l'étudiant et pas une ob

centres, alors qu'on pourrai prendre tout le monde d'un coup dans le camion .

ar ils étaient pour la plupart plein de gratitude. L'ambiance dans le camion était particulière, dans le bon sens du terme.

en général du samu social. Pendant ma garde pas d'infirmier à bord du camion donc limitation dans la prise en charge des sdf s

Le personnel pour la double ecoute et pour les maraudes dans les camions est tres agreable et acceuillant. La double ecout

nts qui n'hésitent pas à rester "pour voir" et à jeter un œil dans le camion pour "savoir qui il y a". Équipe très accueillant

i pu à la fois comprendre le travail remarquable des équipes dans les camions , derrière le téléphone du 115 et dans les foyers

cient, les problèmes que doivent relever les travailleurs sociaux des camions (personnes sans papiers qui ne peuvent pas trouve

cette garde au samu social j’ai pu observer l’action de l’équipe d’un camion de maraude. Ils s’arrêtent dès qu’ils repèrent un

s et ne pas dormir dehors. Une assistante sociale, présente à bord du camion , discute avec le SDF pour tenter de faire un poin

s intéressante selon moi (et selon les personnes qui étaient dans mon camion ). En effet, le dimanche n'est pas un jour de gros

ils m'ont bien confirmé que le plus intéressant serait d'être avec le camion qui ne fait pas que de la maraude pure. En bref :

m'a marquée, il est survenu près de la Gare d'Austerlitz, lorsque le camion s'est arrêté pour un couple. Nous avons vu arrive

place... J'ai été très marquée par la quasi absence de moyens dans le camion : à peine quelques duvets, soupes et café ! On es

en France. Lorsque d'autres hommes -alcoolisés - sont entrés dans le camion , la peur se lisait sur son visage. C'était la pre

115. Cette garde est utile et intéressante. Un vendredi soir, dans le camion , nous voyons les choses d'un autre oeil. Le contr

ers problèmes rnecontrés 20h30- départ pour la maraude-chargement des camions , direction le 18 et 19 ème arrondissement de Pari

18 et 19 ème arrondissement de Paris. Paris, ville lumière ... Notre camion ne tarde pas à s'arrêter, Elisa, 23 ans, le visag

rire plus tard elle repartira voguer dans Paris, ville lumière ... Le camion redémarre, Bernard, 55 ans, nous interpelle, cher

entretien avec le responsable du samu social avant de partir dans le camion , pour pouvoir exprimer nos éventuelles inquiétude

stion de certains risques. Par exemple: je suis assise à l'arrière du camion , à côté du monsieur que nous sommes allés cherche

it entretien, on ne se poserait même pas ces questions. Mon équipe du camion , extrêmement sympathique, m'a en effet rapporté q

xpérience, avec des équipes très sympathiques tant au 115 que dans le camion .

ue les ceintures de sécurité n'étaient pas accessibles à l'arrière du camion !

dans la mesure ou il y a peu de chance que je remonte un jour dans un camion du SAMU social. L'équipe était très accueillante

Nuit assez calme. Aucune maraude puisque je n’étais pas dans le camion de maraude mais celui qui va où les gens sont sig

une aide précieuse. J'étais surprise également du nombre d'équipes en camion mises en place pour traverser l'ensemble des arro

erser l'ensemble des arrondissements. Le personnel qui partageait mon camion a été extraordinaire, pédagogues, attentionnés, c

é, et des précédents dossiers à voix haute pour couvrir les bruits du camion alors qu'un SDF est juste à côté). On se sent don

s de côté, et la nuit est vraiment longue, jusqu'à s'endormir dans le camion . En ressenti global, l'expérience est plutôt neut

ce Po, qui vient faire la même chose que moi. La répartition dans les camions est faite, les lieux des maraudes aussi; nous iro

afés plus tard et le blouson bleu sur les épaules, j'embarque dans le camion avec trois inconnus, avec qui tout de suite le co

sage d'un sans abris bien connu de l'équipe; il a sa place au fond du camion , et dormira de 21h30 à 1h30, heure d'arrivée au c

re des signalements qui s'accumulent; au final nous serons 10 dans le camion (dont 4 à l'avant) avec des gens de tout bord, de

evons dire non, à contre coeur, à plusieurs personnes, qui dès que le camion reste trop longtemps à un endroit, affluent pour

vec un sentiment d'amertume et de travail inachevé nous retournons au camion pour la pause, il faut retraverser paris. A deux

rmis, nous les laissons tranquille. L'ambiance est excellente dans le camion , nous parlons beaucoup entre chaque pause. Après

J ai passe la nuit dans le camion a recherche des gens qui avaient pris rendez vous

générale. Par contre le fait de rester assise seule derrière dans le camion derrière trois grands "fauteuils" plus haut que v

dre le fonctionnement du 115 (notament l'hebergement) La nuit dans le camion est plutot sympa , on peut discuter avec les pers

J'ai passé une nuit très intéressante au centre d'appel puis dans le camion du SAMU SOCIAL. L'équipe (écoutant, infirmière, t

r avait sans doute oublié d'aller faire les courses; quand il a vu le camion , il est venu... Au final, une très bonne expérien

al est adorable et leur travail doit être félicité ! Marauder dans un camion dans Paris et rendre visite aux plus démunis, dis

ouhaitaient pas s'occuper de moi. La nuit au sein de l'équipe dans le camion , etait beaucoup plus intéressante. J'ai pu me ren

eurs difficultés quotidiennes. L'équipe avec laquelle j'étais dans le camion était très sympathique et m'a bien intégré. Le fa

e fonctionnement du samu social, des différentes branches. Maraude en camion très touchante avec de très belles rencontres hum

st déserte, et je ne sais pas du tout à quoi m'attendre. Le départ en camion à travers la nuit avec ma petite équipe marque le

dans une structure de logement sociale. Je me retrouve à l'arrière du camion toute intimidée. Je continue à regarder les lumiè

un monsieur d'origine congolaise m'a beaucoup marqué. Nous étions en camion quand ce dernier a tapé dessus pour se faire repé

oi. Après avoir trouvé une place à Montrouge, il monta à l'arrière du camion et raconta sa situation à l'assistante sociale. I

riefing de 20h car cela ne nous a pas été proposé; avant de partir en camion , pause cigarette et boisson de 30-40 minutes à no

tes à nouveau pendants lesquelles j'étais totalement ignorée; dans le camion , pas de proposition de monter à l'avant, on m'a f

Très belle experience. Équipe très sympathique dans le camion avec moi (Karim, maella et Fred). Découverte du s

ionnement et le déroulement de cette structure. Le secteur auquel mon camion a été attribué se trouvait dans le 2,3 et 10 arro

excellente initiative. On est au coeur de l'action en montant dans le camion , les équipes sont très sympas et nous intègrent f

e une personne. Le point négatif est le temps trop long passé dans le camion par rapport aux temps pris pour discuter avec les

infirmières qui travaillent au Samu Social, et même les chauffeurs du camion , sont des gens extraordinaires, que j'aimerais êt

ertains, mais surtout un réel sentiment d'impuissance. On est dans le camion , on écoute de la musique sur la route direction l

les Vosges. Il y aurait bien Anne aussi, Anne qui toque à la vitre du camion parce qu'on a beau être début mars, il s'est remi

rx-Dormoy, le dernier au métro Marcadet-Poissonier. À chaque arrêt du camion , une silhouette sombre se détache d'un porche som

passé sans les voir. Chacun à son tour, ils saluent, rentrent dans le camion , s'asseyent en silence. Ils se réchauffent un peu

monde de la rue m'a forcément fait ouvrir les yeux. L'équipe dans le camion a vraiment été tres chaleureuse et soudée. Je tro

omprendre le fonctionnement du système. Ensuite briefing et départ en camion . Personnes à l'écoute pour nos questions. Très en

recherche d'hébergement d'urgence que ce soit au téléphone ou dans le camion , est une expérience enrichissante, malgré les for

intéressant de commencer par la double écoute puis de monter dans les camions . De manière générale, on est attendu et très bien

e rendre compte du manque de moyen du samu social aussi bien dans les camions que dans les centres, les équipes sont fatiguées.

'ai donc fait la double écoute jusqu'à 20h puis nous sommes partis en camion jusqu'à environ 3h30. L'ambiance dans le camion é

nous sommes partis en camion jusqu'à environ 3h30. L'ambiance dans le camion était vraiment sympa et détendue, l'équipe est co

au moment du briefing de 20h. Après les différentes répartitions des camions , je suis monté dans le camion avec mon équipe. Le

Après les différentes répartitions des camions, je suis monté dans le camion avec mon équipe. Les personnes du samu social fon

onnes et savoir quoi dire (ou juste écouter) . La nuit de ma garde le camion était en pure donc on m’avait prévenue que ça ser

à notre planning déjà chargé de gardes d’urgences réa ? -Du côté des camions : proposer du gel hydroalcoolique aux externes apr

Nouvelle expérience pour moi, toute première fois dans un camion et toute première maraude. Sensation dérangeante

J'ai beaucoup apprécié cette expérience d'une nuit dans le camion du SAMU social. Je pense en effet qu'il est indis

Une nuit intéressante à bord du camion . Les équipes sont très sympathiques, dévouées à c

un bon souvenir. Je trouve que les personnes qui travaillent dans le camion font preuve d'un courage remarquable malgré les r

re d'appels reçus lors de ma double écoute. Puis lors des maraudes en camion , j'ai été surprise de voir la diversité des perso

suis un peu déçue de ne pas avoir pu participer à la maraude dans le camion .

expérience . Parfois cependant on se sent un peu seul à l'arrière du camion avec certaines personnes un peu alcoolisées .

de resocialisation et d'intégration sociale avec la présence dans les camions d'un travailleur social et d'assistantes sociales

nes places d'hébergement même pour les familles avec enfants. Dans le camion on a marauder environ 2h avant de rencontrer des

se battre toute la nuit pour que les gens acceptent de venir dans le camion , que l'atmosphère serait tendue. En fait, l'équip

la partie double écoute est sans grand interet. la partie ds le camion est sympa, il ya une bonne ambiance. on decouvre

esente mes collègues pour la nuit. Après une courte pause, on part en camion . De belles rencontres, des histoires de mal chanc

tard mais personne ne m'en a tenu rigueur. Nous sommes montés sans le camion , l'ambiance de cohésion de l'équipe s'est fait se

re souvent patient au téléphone...) et le briefing, déambuler dans le camion était captivant. Au total avec l'équipe nous somm

agogue. On est très bien reçu et présenté au briefing de 20h. Dans le camion , j'imagine que l'ambiance doit énormément dépendr

cipé à toutes les activités prévues : régulation, réunion d'équipe et camion . La double écoute concernait la plupart du temps

é des gens que ce soit leur langue ou leur âge. On est partis dans le camion à 21h, j'étais avec un équipe très sympa qui a ré

l’attente écoulée à discuter de Xavier Emmanuelli avant le départ du camion 952 avec Marie l’infirmière, Annabelle, l’assista

ssistante sociale. Comment va s’en sortir Robert monté à l’arrière du camion et qui aurait voulu faire chirurgien ? Comment un

ville de Paris pour faire face au nombre exorbitant de sans-abris : 4 camions par nuit, 4 sacs de couchages par camion, très pe

xorbitant de sans-abris : 4 camions par nuit, 4 sacs de couchages par camion , très peu de nourriture solide, peu de centres, p

neige comme on en a rarement vu ces derniers temps et pourtant les 7 camions quittent le siège pour marauder. Le premier monsi

nant. Il serait même bon de pouvoir en faire plus. Il y a beaucoup de camions et donc probablement plus de possibles stagiaires

mme. Avant la nuit au Samu Social, j'avais la conception naïve que le camion recueillait chaque personne démunie pour la condu

unie pour la conduire dans un hébergement. Lors de la tournée dans le camion , j'ai ainsi pu constaté que la plupart des arrêts

brifing où le coordinateur m’a présentée et a attribué les différents camions pour la nuit. Une fois la répartition faite nous

la nuit. Une fois la répartition faite nous sommes allés préparer le camion (sac de couchages, nourriture, boisson,...) pour

au briefing de 20 heures, puis, à 21h 30 (!!!!) nous sommes partis en camion pour une maraude jusqu'à 2heures 30 où nous somme

30 où nous sommes rentrés pour la pause puis nous sommes repartis en camion et l'équipe m'a déposée chez moi à 3heures 30. Pl

propose aux gens de dormir. - le fait qu'on m'ait fait monter dans un camion couvrant les 8e, 16e et 17e arrondissements: AUCU

des batailles d'eau et des concours de blind test. - En conclusion 6 camions x 3 personnes = 18 personnes employées à temps pl

né parfois rejeté, parfois bienvenu. Pour le reste de la nuit dans le camion , nous avons surtout emmené des usagers au logemen

des (elles peuvent partir en quelques secondes). Pour la nuit dans le camion , on est vraiment confronté a la misère sociale, e