s sympathiques, beaucoup d'appels pour avoir un lit pour la nuit à la
Boulangerie
ou à Montrouge, dans mon créneau horaire d'arrivé
sur des "transports", des gens qui demandent à être transportés à la
Boulangerie
, porte de Clignancourt, qui accepte les gens pour
ue depuis certains soucis d'ordre, les gens ne peuvent être pris à la
Boulangerie
qu'en passant par l'intermédiaire de structures t
leurs camions, si les personnes ont raté les bus "de ramassage" de la
Boulangerie
. Et donc, en rentrant à Ivry, le régulateur nous
ur nous apprend qu'il restera des places de libres cette nuit là à la
Boulangerie
, faute d'avoir reçu assez d'appels. Beaucoup de g
'est plus difficile. Un appel de la régulation : trois hommes pour la
Boulangerie
, l'un rue Poulet, l'autre rue Marx-Dormoy, le der
en silence. Ils se réchauffent un peu sur le trajet qui les mène à la
Boulangerie
, ce lieu que je ne verrai pas et qu'on me décrit
qu'ils sont seuls à Paris, seuls et frigorifiés au point que pour la
Boulangerie
, oui oui, bien sûr, ils sont d'accord.
nt la nuit. J'ai été assez perturbée par un des centres d'accueil "la
boulangerie
" qui semble très peu adapté aux personnes vivant
ertains ont l'air accueillant mais d'autres sont plutôt choquants (la
Boulangerie
). J'ai pu voir que les personnes du samu social s
le jour précédent, toutes les places d'un des principaux centres, "la
boulangerie
", étaient indisponible du fait de travaux dans le
qui ont l'habitude d'appeler le Samu Social pour passer la nuit à la
Boulangerie
, comme s'il s'agissait d'un hôtel - malgré les co
me s'il s'agissait d'un hôtel - malgré les conditions affreuses de la
Boulangerie
- avec trajet en "taxi". J'ai conscience qu'il es
du Samu Social ne participe pas à la pérennité de leur situation ? La
Boulangerie
devient un repaire formé de "clans" selon l'origi
aude nous avons eu un signalement d'un jeune qui attendait devant une
boulangerie
( la seule ouverte la nuit) pour avoir chaud. Ce
lus que de les aider. Et quand je vois les conditions d'accueil à "la
boulangerie
", je comprend le rire jaune que certaines personn
rouvé que nous faisions en fait pas mal le taxi: le nouveau centre la
boulangerie
nous demandant de leur ammener pas mal personne q
un premier temps les double-écoutes et le système de places en foyer/
boulangerie
, puis ensuite la réunion de débrief et l'organisa
es personnes cependant quand on voit la qualité de l'hébergement à La
Boulangerie
, on comprend pourquoi tant de monde préfère reste
5 ne peuvent souvent pas avoir de refuge pour la nuit en dehors de la
boulangerie
(mais comme on vient les chercher à 4h du matin e
son en Lybie mais horrifiés par le toit qu'ils se sont vu offert à la
Boulangerie
et qui ont préféré le ciel de Paris. Des signalis
in de structures d'urgence s'apparente dans certains cas, comme à "la
boulangerie
", à du stockage de femmes et d'hommes pour une nu
blème évident du manque de places, les foyers indécents ( surtout "la
boulangerie
"), le principe de l'aide d'urgence -d'une nuit se
t tout à fait adapté à l'acceuil de ces personnes, au contraire de la
Boulangerie
qui nécessite une remise à neuf, une utilisation
éléphone apparemment plus de 2h parfois) Certains ont été amenés à la
Boulangerie
, grand hangar (je ne comprends pas que l'on ne me
a été pour moi un véritable choc. Notamment lors de la visite de "la
boulangerie
" : Un centre d'hébergement qui ressemble plus à u
ouvoir visiter deux centres d'hébergement différents, Montrouge et la
Boulangerie
, et de pouvoir les comparer. Et ainsi me rendre c
les étaient les possibilités d'hébergement pour les sans abris, de la
boulangerie
à Romain Rolland, et du nombre de demandeurs d'un
D'autres trajets ont été plus difficile et notamment l'arrivée a la "
boulangerie
" ou nous ne sommes pas rentrés mais l'ambiance y
as quasiment tous les soirs. Ou encore ceux qui refusent le foyer "la
boulangerie
", même si je ne l'ai pas visité je pense qu'il es
n que cet homme ne pourrait être hébergé dans le centre principal, la
Boulangerie
, de peur qu'il se fasse molesté. Je trouve ça inq
responsable : une place en hébergement stabilisé est disponible à la
Boulangerie
, c'est-à-dire une place sans limite de durée ou p
ines voire plusieurs mois? Bien que les conditions d'hébergement à la
Boulangerie
ne soient pas optimales (et le monsieur les conna
ons des usagers pour les amener à Montrouge s'ils sont chanceux, à la
Boulangerie
s'ils le sont moins, ou en LHSS à Paul Brousse si
e Samu Social reçoit beaucoup d'appels. Quelques SDF vont dormir à la
Boulangerie
, un immense hangar avec des lits de camps envahis
rents centres d'hébergement (notamment, cet immense hangar appelé "la
Boulangerie
"). Ce fut une éblouissante expérience, pleine de
couvrir les centres d'hébergements de Paris (certains : Montrouge, la
Boulangerie
), de participer à une maraude, d'entrer en contac
t fait pour leur trouver une place dans le centre d'hébergement de La
Boulangerie
, hangar de 300 personnes abîmées par la rue, pour
dans la rue et il n'arrivait pas à sortir de ce "cercle vicieux". "La
boulangerie
" est un immense refuge assez impressionnant avec
es sans abris ne demandent pas tous de l'aide, loin de là. Aller à la
boulangerie
n'est pas vraiment ce qui va les sortir de la gal
de places acceptables car plus tard dans le camion l'IDE m'a dit "la
Boulangerie
c'est très dur, si c'est pour un jeune par exempl
t à Paris il n'y en a guerre. A part dans certains endroits comme la "
Boulangerie
" dans le 18ème, véritable usine de 400 places en
ont mixtes mais une grande majorité sont réservés aux hommes comme la
Boulangerie
ou la Mie de Pain. Je fus surprise qu’il n’y ait
férentes catégories d'âge à deux centres différents : Montrouge et la
Boulangerie
, j'ai pu assister à plusieurs évaluations sociale
urant la pause, des histoires atroces à propos des autres centres, la
boulangerie
, la Péniche et on comprend alors que toutes les n
st ainsi que certains SDF refusent une possible place dans la fameuse
Boulangerie
, et préfèrent dormir dans la rue. La maraude a pa
e serait-il pas possible, surtout dans les centres comme l'affreuse «
Boulangerie
» où il reste manifestement des places libres tou
ue les usagers nous parlent des foyers dans lesquels on les amène. La
boulangerie
, la mie de pain... Dès qu'on leur annonce ces lie
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