res d'urgence réanimation, était la garde de trop ! Le samu social, j'
appellerais
ça plutôt le "taxi social". En effet nous avons p
ené les gens d'un point A jusqu'à un point B.... Pour la "maraude", j'
appellerais
cela une visite guidée de paris. Et quand enfin n
nécessitant réellement une aide, on m'a dit "ah non il ne nous a pas
appelé
, on ne s'en occupe pas". Ces gardes sont à suppri
ce créneau, on prend moins le temps d'échanger avec les personnes qui
appellent
car elles ont souvent déjà appelé plus tôt dans l
'échanger avec les personnes qui appellent car elles ont souvent déjà
appelé
plus tôt dans la journée.
Au cours de notre maraude, nous avons été
appelé
pour un signalement concernant une famille sans p
emmener sa fille tous les jours à l'école et le soir elle essayait d'
appeler
le SAMU social pour avoir un logement. Avant d'al
serai confrontée à cette situation. Je pensais que les personnes qui
appelaient
le SAMU social étaient principalement des personn
que j'avais quelques idées fausses: je pensais que les personnes qui
appelaient
étaient majoritairement des particuliers pour sig
e ressources enfaîte non, certains SDF même ceux complètement démunis
appellent
quotidiennement . Lors de la maraude un grand nom
ère est au bas se nos portes. L'écoute au 115 montre les habitués qui
appellent
chaque jour pour avoir un endroit ou dormir d'urg
nt chaque jour pour avoir un endroit ou dormir d'urgence, et ceux qui
appellent
moins régulièrement: ceux là ont été perdus de vu
y a pas assez des places disponibles pour recuiller tous les sdf qui
appellent
.
abris. J'ai été particulièrement marquée par le nombre d'habitués qui
appellent
au 115. D'un autre côté, le fait qu'un seul centr
plus nombreux. Un appel m'a particulièrement marquée : une femme qui
appelait
pour la première fois au samu social ; son compag
tater que ce sont aussi bien des individus seuls que des familles qui
appellent
le 115 pour trouver une solution d'hébergement po
ignage émouvant en direct. A l'inverse, certaines personnes isolées n'
appellent
pas, ou n'appellent plus car la ligne est toujour
irect. A l'inverse, certaines personnes isolées n'appellent pas, ou n'
appellent
plus car la ligne est toujours trop occupée. Nous
a eu beaucoup d'appels. Malheureusement, la plupart des personnes qui
appelaient
n'ont pas pu avoir de lit pour la nuit. Et les pe
pelaient n'ont pas pu avoir de lit pour la nuit. Et les personnes qui
appelaient
étaient plutôt insistantes ca ne doit pas être év
ouver un lieu au chaud pour passer la nuit à toutes les personnes qui
appellent
. Lors des appels téléphoniques (double écoute), j
e de places dans les foyers. Je ne pensais pas qu’autant de personnes
appelaient
et faisaient face à ces refus. Ceux ci rappellent
j'ai pu voir 2 types de SDF. Lors de l'écoute, énormement d'entre eux
appelaient
pour avoir un lit pour dormir, certains profitant
tant du système sans vraiment chercher à s'en sortir, et d'autres qui
appelaient
seulement pour donner des nouvelles, dire où ils
sais que le SAMU SOCIAL avait plus de propositions à faire à ceux qui
appellent
. La plupart des gens qui ont appelé cherchaient u
ropositions à faire à ceux qui appellent. La plupart des gens qui ont
appelé
cherchaient un endroit pour dormir, mais quasimen
s. Ceci étant, il existe des injustices entre les usagers. Certains n’
appellent
pas le 115, se placent stratégiquement à un endro
ain et trouvent un place facilement alors que parfois des usagers qui
appellent
depuis des heures se voient refuser des places al
es heures se voient refuser des places alors qu'il font la démarche d'
appeler
, d'attendre. Cette expérience restera riche d'ens
es mais bien des salariés rémunérés. La deuxième : que l'on peut tous
appeler
le 115 s'il nous arrive de devoir aider quelqu'un
uelqu'un. La double-écoute a été particulièrement poignante. Des gens
appellent
pour la première fois et sont déboussolés, mais c
ns appellent pour la première fois et sont déboussolés, mais certains
appellent
tous les jours dans l'espoir d'obtenir une place
orsque les personnes appelant le 115 pleuraient en s'excusant d'avoir
appelé
. Les moments difficiles pendant la maraude de nui
de part de "chance" dans l'attribution d'un lit pour la nuit, il faut
appeler
au bon moment (places disponibles) et avoir assez
cial? En double écoute, je trouve qu'il y a beaucoup de personnes qui
appellent
pour savoir si ils auront un lit pour le soir mêm
pendant 3 semaines puis avait rejoint Toulouse, puis Paris, et qui a
appelé
le 115 pour la première fois. Il nous a dit avec
our la première fois. Il nous a dit avec une voix tremblante "je vous
appelle
parce que je viens d'arriver à Paris, ça fait 3 n
ans les centres d'accueil. Je trouve très dur le système qu'il faille
appeler
chaque jour à une certaine heure en espérant avoi
rée pendant la double écoute, beaucoup d'appels sont des habitués qui
appellent
pour avoir une place lors de leur mise à disposit
appels au 115 très touchants (notamment l'appel d'un monsieur SDF qui
appelait
angoissé de ne pas réussir son entretien d'embauc
it a été très enrichissante humainement, de nombreux civils en plus d'
appeler
le 115, restaient avec les sans-abris jusque notr
solutions temporaires, trop peu de personnes pour répondre à ceux qui
appellent
le 115.
rganisation ,son fonctionnement , nous encourageant ainsi nous même à
appeler
le 115. Le samu social m'a donné l'occasion de pr
dur de devoir refuser des lits à la grosse majorité des personnes qui
appelait
par faute de places. La maurade s'est très bien p
vestie et elle faisait preuve d'une grande patience avec les gens qui
appelaient
!
t face à différentes situations. Un homme, bien connu du SAMU social,
appelle
,comme tous les soirs, pour avoir une place dans
par lui souhaiter une bonne soirée et raccrocher. Puis, un russe nous
appelle
et nous sommes obligés de demander de l'aide à un
de raconter ma première rencontre avec un SDF lors de ma garde : il s'
appelait
Patrick et était dans la rue depuis 10 ans; j éta
camion est envoyé a des endroits précis pour recueillir des sdf ayant
appelé
le 115, afin de les emmener a leur lieu attribué
préféré la double écoute où on essayait d'en savoir plus sur ceux qui
appelaient
plutôt que la maraude pendant laquelle il ne s'es
ité. J'ai été aussi agréablement surprise de voir que ce sont eux qui
appellent
le 115 en majorité et pas des particuliers, ce qu
La rencontre que j'ai préféré à été celle d'une femme qui nous avait
appelé
pour refaire un pansement à la jambe, ce que l'in
assez développée, tant pour les usagers que pour ceux qui conseils d'
appeler
le 115 (comme les médecins) ou encore ceux qui ap
qui conseils d'appeler le 115 (comme les médecins) ou encore ceux qui
appellent
le 115 pour quelqu'un. Cela permettrait peut être
'un mois, passage aux urgences pour accéder à un centre, obligation d'
appeler
tous les jours pour avoir une place...), les méca
e, j'ai été marquée par le fait que les 3 premières personnes qui ont
appelé
étaient plus jeunes que moi, dont un qui arrivait
ces, j'ai trouvé cela dommage de refuser ces places aux personnes qui
appellent
le 115 tandis que lors de la maraude peu de perso
iller la journée, mais dormait dehors. C'était la première fois qu'il
appelait
le 115. Finalement, nous lui avons trouvé une pla
aient à la rencontre des nombreuses personnes en détresse qui avaient
appelé
le 115. Malheureusement, ce fut quasiment toujour
ent le plus marqué c'est la détresse et le désarroi des personnes qui
appelaient
le 115, notamment celui qui m'a le plus touché es
notamment celui qui m'a le plus touché est un jeune adolescent qui a
appelé
qui venait d'arriver seul sur paris, sans logemen
a rue. En effet, ne connaissant pas le fonctionnement, lorsqu'ils ont
appelé
pour avoir un logement, il n'y avait déjà plus de
ans-domicile-fixes pour leur demander s'ils ont ou non envie que l'on
appelle
le 115 pour leur trouver un endroit où passer la
empête durant cette nuit froide et pluvieuse. Nous avons été amenés à
appeler
les pompiers pour un sans abris qui a présenté un
, j'ai été surpris par les différentes nationalités des personnes qui
appelées
(Il y avait des arabes, des russes, des roumains.
pour homme au centre Romain Rolland par exemple). Une femme enceinte
appelait
pour pouvoir dormir dans un centre, l'écoutante l
nous, celui de la rue. Il est impressionnant d'entendre tous ces gens
appeler
le 115 ou frapper à la vitre du camion, en quête
oute j'ai été surprise de découvrir que la majorité des personnes qui
appelaient
étaient jeunes (20-30 ans). Ensuite je ne savais
as âge. Ils vivaient dans la rue depuis plusieurs mois voir années et
appelaient
tous les jours le 115 pour avoir une place dans u
s, les personnes cherchant un logement pour la nuit le savent bien et
appellent
toutes en même temps, les premiers appelants auro
oute au 115 de 18h à 20h. On se rend compte que beaucoup de personnes
appellent
et malheureusement il y a parfois plus de places
fait que les salariés du SAMU SOCIAL connaissent les sans abris, les
appellent
par leur prénom, leur rendent visite souvent, se
age. Pour la partie téléphonique, j'ai pu apprendre que les personnes
appellent
autant pour savoir s'il y a une place pour dormir
e heure) mais nous avons tout de même reçu l'appel d'une personne qui
appelait
pour la première fois (ce qui est le plus intéres
sa première nuit sans toit. Elle avait manifestement attendu avant d'
appeler
, puis notre EMA l'a retrouvée sur un trottoir por
ulier que je n'oublierais pas. C'est celle d'un jeune de 23 ans qui a
appelé
le 115 pour trouver un hébergement d'urgence pour
ts dans les arrondissements alentours. Passants comme usagers peuvent
appeler
le 115, la première partie de la nuit, les signal
aveurs du 115. Moment m'ayant particulièrement touchée : 2 jeunes ont
appelé
le 115 pour venir en aide au "Père Pierrot" un ho
uipe de nuit sont disponibles et donc heure à laquelle les "habitués"
appellent
et les places se vident en 10 min, ne laissant pa
voyages destinés au transport de personnes connus du service et ayant
appelés
le 115 afin de les emmener dans les différents fo
met de poser le décor avant d aller dans les camions . Les sans abris
appellent
pour un hébergement pour la nuit, et malheureusem
eureusement certains sont confrontés a un manque de places lorsqu'ils
appellent
,et sont donc obligés de rester dehors .. heureus
on remarque malheureusement. On apprend que les gens à la rue doivent
appeler
plusieurs fois par jour pour espérer avoir un log
le plus marqué est celui d'un homme de 27 ans pour qui nous avons été
appelé
par des passants. Il n'avait pas de chaussures, p
e femme. Elle se retrouvait donc a la rue avec ses 2 enfants ... Elle
appelait
le 115 à l'aide pour un logement d'urgence pour l
u il était si difficile d'obtenir une place en foyer et qu'il fallait
appeler
le 115 dès le matin tôt. Expérience enrichissante
a rue car il n’y a pas de place pour héberger. Le fait qu’ils doivent
appeler
tous les jours pour maintenir leur « dossier à jo
par les différentes situations de vie qui ont amener les personnes a
appelé
l'organisme. De plus, l'approche du samu social s
OCIAL, j'ignorais presque son existence et je n'aurais jamais pensé à
appeler
le 115. A présent je me sens plus apte à réagir e
choisi de s'enfuir en laissant ses enfants seuls chez elle. Elle nous
appelait
pour trouver un abri sur Paris pour la nuit. Mais
é de la lourdeur administrative. La lenteur d'execution. Les gens qui
appellent
se plaignent d'attendre 2 heures au téléphone ava
ce moment là à aider d'autres personnes. A chaque fois que quelqu'un
appelle
il faut attendre 10 minutes pour pouvoir parler à
lades en priorité sur base DECLARATIVE) Il suffit que la personne qui
appelle
soit au courant de cela et le tout est totalement
le fonctionnement. De l'aide apportée par téléphone aux personnes qui
appellent
, à la maraude, j'ai été impressionné par la patie
ertaines personnes, par exemple pendant le double écoute un homme qui
appelait
était vraiment dépité et au bout du rouleau parce
e vivre à la rue, pour la plupart de devoir attendre tous les soirs d’
appeler
le 115 ou d’attendre une maraude, dans l’espoir d
ouble écoute et j'ai été marquée par la gentillesse des personnes qui
appellent
(qui nous souhaitaient tous une bonne année) et s
Nous avons été
appelé
par un jeune homme de 19 ans qui vivait dans la r
ouble écouté à la régulation, une jeune femme d'une trentaine d'année
appelle
. Elle est étrangère, et est venue accoucher en fr
ant la double écoute, j'ai été émue par la détresse des personnes qui
appellent
pour la majorité quotidiennement pour une place e
s appels en double écoute étaient très émouvants, chaque personne qui
appelait
avait une histoire et un parcours uniques mais to
e est le manque de place par rapport à la demande : lorsque quelqu'un
appelait
, son dossier était examiné et si le demandeur ava
ermet de vraiment ressentir et détecter la détresse des personnes qui
appellent
, et apprendre à connaitre leur histoire.. La mara
abri n'est garantit que pour une seule nuit: tous les matins il faut
appeler
en espérant en bénéficier de nouveau.
leur retrait de la vie sociale. Ainsi au standard certaines personnes
appellent
simplement pour donner des nouvelles de leur situ
double écoute, j'ai été surprise par la compréhension des usagers qui
appelaient
pour trouver un toit pour la nuit et qui se le vo
ute possibilité d'amélioration et certaines personnes se retrouvent à
appeler
le 115 depuis près de 15 ans sans aucun changemen
e des places (peu nombreuses) pour un hébergement pour la nuit sont :
appeler
aux alentours de 19h, ou être malade, ou se faire
nes personnes pour les garder pour des personnes plus vulnérables qui
appellerait
certainement après. J'ai trouvé cela très arbitra
par terre et que l'on a ramené dans sa chambre d'hôtel (si l'on peut
appeler
ça un hôtel vue l'insalubrité des locaux, bien qu
ui permet de comprendre le contexte et la situation des personnes qui
appellent
le 115. Malheureusement je n'ai pas pu assister à
tard, quand je serais face à un patient sans abri je lui proposerai d'
appeler
le 115 en sachant ce qui se passe derrière que ça
comment les opérateurs arrivent à entrer en contact avec les gens qui
appellent
et tente de trouver avec eux des solutions, certa
iques" qui se déplacent avec des signalement mais j'ai fait ce qu'ils
appellent
une pure. Nous avons donc pris le camion et à l'a
pu mesurer à quel point certains se retrouvent démunis, contraints d'
appeler
tous les jours et ce pendant plusieurs heures le
cueillir les SDF. J'étais vraiment très choquée du nombre de gens qui
appelaient
le 115 tous les jours, et surtout du manque de pl
écoute permet déjà de prendre conscience de la détresse des gens qui
appellent
et qui espèrent pouvoir passer une nuit à l'abri.
uses de l'équipe. Je pense désormais avoir acquis un nouveau réflexe:
appeler
le 115 ! (dont je ne connaissais rien sur l'exist
organisation du samu social. Je ne savais pas qu'on pouvait nous-même
appeler
le 115 pour faire des signalements. J'ai eu l'occ
onnes qui ont souvent besoin et parfois envie de notre aide. Nous les
appelons
par leur prénom, ou leur nom, nous leur serrons l
recroise les personnes sans abri qui vivent près de chez moi, je les
appelle
dans ma tête par leur prénom, car à présent je le
tendre le rire des habitués du 115 qui sont à la rue depuis 10 ans et
appellent
chaque soir en se présentant par leur surnom conn
nt la plupart ne désiraient rien. Au, final les SDF qui ont froids et
appellent
le 115 ne peuvent souvent pas avoir de refuge pou
aris. Des signalisations parties sans attendre. Des gens découragés d'
appeler
le 115. Bref, une belle expérience humaine avec l
lonne chaque rue d'un arrondissement en cherchant des usagers. On est
appelé
nul part, donc si on croise quelqu'un c'est intér
ormir dehors plutôt que de devoir affronter les foyers... (beaucoup n'
appelaient
plus le 115 car trop d'attente au téléphone appar
vision bien arrêtée des SDF qui, pour moi, étaient enfait ceux que j'
appelais
"clochards"... et bien non, la plupart des SDF so
mencé la maraude avec un signalement concernant trois SDF qui avaient
appelé
pour dormir une nuit au centre de Montrouge. L'un
instaurer un climat de confiance avec la personne dans le besoin qui
appelle
.
te cela m'a beaucoup touché lorsque de jeunes personnes ( 40-50 ans )
appellent
pour demander un ébergement pour la nuit. Malheur
grande activité la nuit de ma garde), parfois assez insolite (on a du
appeler
la police devant une personne agressive) mais enc
rès complexe : au cours de mon écoute, plusieurs femmes enceintes ont
appelé
, il leur était alors expliqué qu'elles devaient a
e le raisonner pendant 30-35 min en vain, l'équipe prit la décision d'
appeler
la police. C'était une superbe expérience pour mo
endroit pour la nuit, qui s'opposaient aux communications de ceux qui
appelaient
pour la première fois et pour qui la demande ne p
t des "habitués"de ce service, capable d'anticiper l'heure à laquelle
appeler
, et connaissant déjà les infos attendues. Par ail
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