es équipes du Samu, aussi bien mobiles que téléphoniques, et certains
appelants
. J'ai aussi été surprise de voir que certains étr
surprise de voir que certains étrangers puissent venir en touriste en
appelant
le Samu pour leur trouver une chambre d'hôtel pou
riété d'âge et de milieu dont lesquels sont issues les personnes nous
appelant
pour que l'on viennent les aider ou simplement le
eressante mais également très frustrante car la plupart des personnes
appelant
le 115 sont à la recherche d'un hébergement d'urg
donc dans la prise de décision quant à la qualité de prioritaire de l'
appelant
. Cette décision de priorisation des personnes me
places disponibles en région parisienne pour accueillir les personnes
appelant
en journée.
l'atelier double écoute, il n'y avait pas de solution à apporter aux
appelants
. Cette situation s'est reproduite durant la marau
le écoute a été une expérience tres marquante. En effet, le suivi des
appelants
, leur histoire ainsi que l’historique de leur héb
fait prendre conscience de l’immense précarité. Certaines personnes n’
appelant
par exemple que pour une avoir une trace dans leu
utrice était attentive et active en même temps pour aider la personne
appelant
à l’aide.
emble que ces secours supposés d'urgence deviennent pour beaucoup des
appelants
une aide quasi-quotidienne, et que des solutions
du manque de place d’hébergement et du peu de possibilité offerte aux
appelants
. La maraude et le déplacement sur signalement en
camion. La double écoute s'est déroulée sans événement atypique, les
appelants
ont reçu pour la plupart une place en centre pour
ment de la détresse de certaines personnes. Les profils des personnes
appelant
le 115 étaient très différents et souvent loin du
s dans un apparent anonymat. Anonymat relatif puisque chaque personne
appelant
le SAMU est fiché et suivi aussi longtemps que né
re appel à un traducteur, qui a parlé une trentaine de minutes avec l'
appelant
. J'ai trouvé ça très bien qu'on puisse faire appe
lète. Malheureusement, en raison de la pluie et du froid, de nombreux
appelants
s'étaient abrités dans des lieux auxquels nous n'
ls laissaient la place a beaucoup d'émotions contradictoires pour les
appelants
mais aussi pour moi. La maraude m'a permis de dép
ée se déroule en double écoute avec un TS qui répond aux demandes des
appelants
, cherchant tous une place pour passer la nuit au
surprise d'une chose, l'humilité et la gentillesse avec laquelle les
appelants
font leur demande. Que les TS soient polis et réc
SAMU social et les réelles difficultés que rencontrent les individus
appelant
le 115 pour trouver un abris pour une nuit. La ma
a nuit le savent bien et appellent toutes en même temps, les premiers
appelants
auront une place et pas les autres... Ce système
coute était elle même très prenante avec les histoires des différents
appelants
, et la difficulté morale d'avoir à faire le choix
éré la partie double écoute où un vrai dialogue s'instaurait avec les
appelants
.
gens. Elle sont rapidement obligées de devoir dire non aux personnes
appelant
pour un hébergement au vue de la quantité limité
s d'hébergement pour la nuit, et on n'a pas trop de dialogue avec les
appelants
. La partie la plus intéressante de la garde reste
s uniquement eu des premiers appels. Ecouter le premier bilan pour un
appelant
m'a permis de mieux comprendre les missions et ob
de d'hébergement et les places à pourvoir -la diversité des personnes
appelant
le 115 (personnes jeunes avec parfois un emploi,
us une bonne année) et surtout par l'automatisme qu'ils ont acquis en
appelant
le 115 (le fait de donner directement son nom pré
et un parcours uniques mais tous avaient la même voix de désespoir en
appelant
à l'aide pour pouvoir dormir ne serait ce qu'une
e m'a parue difficile et particulièrement touchante car les personnes
appelant
sont dans la détresse et requièrent de l'aide. Ce
La double-écoute est une belle introduction, notamment lorsque l'
appelant
est étranger et nécessite un traducteur, mais c'e
plus marquée pendant cette garde était l'âge très jeune des personnes
appelant
le SAMU Social. Certains avaient mon âge, d'autre
ger et dormir. La récompense pour avoir patienté de longues heures en
appelant
le 115 dans l'espoir d'avoir une place pour la nu
table interrogatoire pour évaluer rapidement la situation social de l'
appelant
et répondre au mieux à ses besoins. Marauder en c
ent et tente de trouver avec eux des solutions, certaines personnes n'
appelant
pas pour trouver de logement pour la nuit mais de
rver. La double écoute m'a fait comprendre à quel point les personnes
appelant
le 115 étaient perpétuellement dans l'urgence, et
'appel pris par ces quelques personnes au téléphone. Bien souvent les
appelants
étaient dans des situations complexes et en détre
e ou alors de se rendre dans des centres où des hôpitaux éloignés des
appelants
sans s'assurer toujours de leur compréhension ou
double écoute. C'était intéressant d'entendre les échanges entre les
appelants
et la personne qui leur répondait. Malheureusemen
vraiment utile (voire indispensable!). En regardant les dossiers des
appelant
, on voit que beaucoup sont des patients, donc ça
ouve en pénurie de lits, et par conséquent la sélection drastique des
appelants
sélectionnés. Enfin, cette garde permet d'être pl
ble sur le plan humain. Le plus difficile étant lorsque les personnes
appelant
le 115 pleuraient en s'excusant d'avoir appelé. L
e même pour ceux qui obtiennent une place en logement (que ce soit en
appelant
le 115 ou des personnes rencontrées lors de la ma
ès frustrante car sur les 6 appels auxquels j'ai participé, aucun des
appelants
n'a été logé. Pendant la maraude j'ai été particu
aide qu'on peut leur apporter en leur accordant de l'attention, ou en
appelant
pour eux le Samu Social le soir. Pour conclure, j
difficile de comprendre tous les termes techniques/abréviations, les
appelant
sont bien plus au courant que nous de toutes les
e peut pas répondre à leur demande par manque de moyens. Les nouveaux
appelant
s'énervent et ne comprennent pas qu'on ne puisse
laces partaient vite et la plupart des réponses données aux personnes
appelant
au 115 et sollicitant un hébergement étaient "nou
l'équipe mobile d'aide. On retient l'importance du 115 qui oriente l'
appelant
dans les structures disponibles en fonction de so
nter avec un interlocuteur mécontant. Il y avait pas mal de personnes
appelant
pour avoir une place pour dormir mais il y avait
ente (entre les personnes déjà connues du Samu sociale, les personnes
appelant
pour la première fois, les familles, les personne
ent les difficultés auxquelles sont confrontés les régulateurs et les
appelants
! Ensuite, la maraude avec les équipes mobiles, to
se qu'il devrait y avoir une branche qui soit destinée à l'écoute des
appelants
, un peu comme dans SOS amitié. Un appel m'a marqu
que de place était un véritable problème avec de nombreuses personnes
appelant
en soirée à qui on ne trouve pas de logement pour
ls difficiles, durant lesquels il faudrait annoncer à la majorité des
appelants
qu'ils devraient passer une nouvelle nuit dehors.
fût le cas pour de nombreux appels. Et à chaque fois, de la part des
appelants
: déception, résignation voire colère et insultes
'hébergement... Quelle déception de devoir dire "non" à des personnes
appelant
à la recherche d'une chambre pour la nuit. La pla
qui m'a permis de constater, à ma grande surprise, que les personnes
appelant
le 115, bénéficiaient d'un suivi social à travers
rôle était d'essayer de trouver un hébergement pour la nuit pour des
appelants
sur Paris. Du fait du peu de nombre de place, cel
impression personnelle de la personne, l'âge et de la nécessité de l'
appelant
, de l'attribution d'une de ces places ou non. Ce
te était très intéressante, il y avait une vraie conversation entre l'
appelant
et les personnes de la régulation. On ne fait pas
écoute, pas évident d'entendre les voix pleine d'espoir des personnes
appelant
pour passer la nuit au chaud, à qui l'on doit dir
nnes seules, de familles (nombreuses) et de couples. Meme lorsque les
appelants
ne pouvaient être hébergées parce qu'ils l'avaien
ues des agents prenant les appels ainsi que leur sollicitude pour les
appelants
m'a particulièrement marqué. L'approche est systé
une place où dormir. Et l'humour est au rendez-vous, tant du côté des
appelants
que des interlocuteurs ! 20h, c'est le début du b
-abris. Les écoutants étaient obligés de refuser des places à 90% des
appelants
au cas où d'autres, qui seraient dans une situati
onsieur qui faisait la "back" où les appels sont plus longs et où les
appelants
racontent leur parcours et les difficultés qu'ils
araude. J'ai pu doubler les écoutants et m'imprégner de l'urgence des
appelants
. Avant de partir en maraude j'ai eu un aperçu de
araude. J'ai pu doubler les écoutants et m'imprégner de l'urgence des
appelants
. Avant de partir en maraude j'ai eu un aperçu de
n la "moins pire" qui soir pour informer et répondre aux demandes des
appelants
. Ensuite pendant le debrief de 20h, j'ai pu compr
15 répéter qu'ils n'avaient plus de place en centre d'hébergement aux
appelants
, tant de "demandes non pourvues". Leurs moyens so
te est selon moi indispensable. En effet, l'écoute de la détresse des
appelants
n'est pas toujours aisée, mais elle est très enri
ersonnes entièrement dans le dénuement. On découvre également que des
appelants
sont des "habitués" et téléphonent très régulière
Pour la partie écoute : intéressante pour voir le profil des
appelants
, et la manière dont son gérés les appels, ainsi q
s aussi parfois (des enfants qui grandissent jamais par exemple), des
appelants
qui se permettent de refuser leur place car elle
prenait du temps pour m'expliquer plus en détail l'histoire de chaque
appelant
, et toutes les alternatives possibles à leur prop
treint de place qu'ils ont à proposer. Il faut alors sélectionner les
appelants
: depuis combien de temps n'ont-ils pas passé une
mise en double écoute, entre les intervenants du 115 et les personnes
appelant
. Ce qui m'a d'abord surprise c'est le nombre de p
e santé, des conditions sociales et de ressources de la personne. Les
appelants
sont certes démunis mais n'attendent pas d'être s
nt variées et on s’étonne vraiment du parcours ayant conduit certains
appelants
à la rue, alors qu’un an plus tôt ils avaient un
que, ce n'est pas "la place" en centre qui compte pour la plupart des
appelant
, c'est un RDV pratiquement quotidien, un passage
s! - l'aide apportée de manière sélective sur la base déclarative des
appelants
. (personnes âgées/malades en priorité sur base DE
ogements pour la nuit via les appels téléphoniques, rdv avec certains
appelants
lors de la première maraude de la nuit etc... Je
, les personnes sans abri se débrouillaient plus par leur moyen qu'en
appelant
le 115. J'ai trouvé cette expérience très humaine
s raisons de l'acceptation/refus de logement d'urgence aux différents
appelants
. Jusque là tout s'est très bien passé, je pouvais
astronomiques au téléphone, les difficultés de communication avec des
appelants
régulièrement étrangers, l'agressivité face à la
c la double-écoute pu me rendre compte de la difficulté à la fois des
appelants
(les personnes en détresse) et des appelés (les é
▲