llie par l’équipe de maraude. On est parti sur les signalements, on a
accompagné
3 familles dans des centres. C’est très marquant
e se rendre compte que des familles entières vivent dans la rue. On a
accompagné
plusieurs autres personnes dans des centres. Ce s
e partage avec les sans abri, le sentiment que la maraude se résume à
accompagner
les sans abri aux centres d'hébergements.
moyens étaient épuisés. La nuit se poursuivit par la maraude où nous
accompagnâmes
en hébergement 2 familles rencontrées tantôt dans
ns médicales au centre d'hébergement d'urgence Romain Rolland où nous
accompagnions
les personnes sans domicile.
lle a accepté d'aller aux urgences voir un médecin. Nous l'avons donc
accompagné
aux urgences puis nous sommes venus la rechercher
c accompagné aux urgences puis nous sommes venus la rechercher pour l'
accompagner
au centre Jean Rostand pour qu'elle y passe la nu
retiennent avec les personnes défavorisées. C’était un plaisir de les
accompagner
. La double écoute était aussi une bonne expérienc
vivait sans logis. Nous avons discuter simplement avec ce jeune homme
accompagné
de son chien: cet échange nous a apporté mutuelle
ient pas être hébergés pour la nuit, quant aux autres, nous les avons
accompagnés
dans les différents centres disponibles.
J'ai
accompagné
l'équipe qui ne faisait que de la maraude toute l
été très bien accueilli par l'équipe du SAMU social et ils m'ont bien
accompagné
tout au long de la nuit de maraude. C'était l'occ
m'a permis de comprendre les enjeux du samu social, qui est là pour "
accompagner
les personnes" et leur rappeler qu'elles ne sont
ocial fait: Ecouter et rencontrer, coordonner et réguler, héberger et
accompagner
des personnes en situation d’exclusion est pour m
it également une belle première pour moi. Merci au super trio qui m’a
accompagné
.
ions amener dans un centre sans jamais le trouver et sinon nous avons
accompagner
deux personnes dans un centre et discuter avec qu
J'ai trouvé cette expérience très enrichissante et intéressante. J'ai
accompagné
a cette occasion une équipe très sympathique, et
s proposés aux professionnels de santé face à un sdf hospitalisé pour
accompagner
sa sortie de l'hopital.
soir de ma garde, l'équipe a dit que je n'avait "pas de chance". On a
accompagné
3 personnes au centre d'hébergement de montrouge,
J'ai trouvé cette expérience très enrichissante, j'étais en effet
accompagnée
par une infirmière très pédagogue et qui aimait s
J'ai trouvé cette expérience très enrichissante, j'étais en effet
accompagnée
par une infirmière très pédagogue et qui aimait s
Tout d'abord j'aimerais remercier l'équipe fort sympathique qui m'a
accompagné
pour cette première maraude pour le SAMU Social.
e créer un premier contact avec ces personnes pour, par la suite, les
accompagner
vers une réinsertion dans la société. Une chose m
discuté avec plusieurs SDF connus de l'équipe avec laquelle j'étais,
accompagné
deux sans-abris dans un centre d'hébergement d'ur
a permis d'avoir un réel échange avec certains des SDF que nous avons
accompagné
au centre d'hébergement, hors nous avons rarement
sonnes qui nous ont été signalées ce soir là, nous avons tout de même
accompagné
un homme qui nous a fait signe en nous voyant au
gés et des réactions de recul devant ses organismes et les SDF qu'ils
accompagnent
. Cette garde pourrait permettre de changer le reg
Premier signalement de la soirée, un homme seul à
accompagner
dans un centre d'hébergement. Il nous alerte à pr
lance et le professionnalisme de l'ensemble des intervenants que j'ai
accompagné
. J'ai trouvé leur approche de la situation remarq
Je n'ai eu que très peu de signalement durant la nuit mais j'ai pu en
accompagner
plusieurs au centre de Montrouge, j'ai donc pu vi
beaucoup de SDF dans les rues. Plusieurs personnes ont refusé de nous
accompagner
dans des foyers sociaux, préférant rester dehors
t en état de choc et de détresse psychologique, qui nous a motivé à l'
accompagner
aux urgences.
a garde (il m'a même fait pleurer) : l'humilité d'un homme que l'on a
accompagné
en camion dans un dortoir, avec pour seul bagage
ours spontané mais très enrichissant, à la fois avec l'équipe qui m'a
accompagnée
et avec les usagers transportés ou rencontrés. Un
ou s'endormir dans le métro. Nous leurs donnons un sourire, au mieux
accompagné
d'une pièce. Mais cette nuit là au Samu Sociale,
es, deux frères, des femmes plus âgés, un homme avec un retard mental
accompagné
de sa mère, ce qui me permet vraiment de réaliser
ucoup de signalement, j'ai vu peu d'usager mais j'ai quand même pu en
accompagner
un dans un centre d'hébergement, il était endetté
consignes de sécurité essentielles pour les équipes. En maraude, j'ai
accompagné
une équipe de 3 personnes : une travailleuse soci
tard. J'ai ensuite rencontré ces personnes dans la rue. Nous avons pu
accompagner
quatre personnes au foyer Roman Rolland et leur a
'avant et d'être vraiment intégré à l'équipe. Dans la nuit nous avons
accompagné
un sans abris dans le foyer de Montrouge, ça m'a
discuter avec nous, prendre une soupe ou un chocolat et au mieux être
accompagné
dans un foyer.
nt d'agir, de lutter contre l'inertie, la flemme... Pourquoi pas nous
accompagner
, nous encourager (≠ obliger...) à nouveau pour d'
hébergement d'urgence. J'ai été très bien intégrée par l'équipe que j'
accompagnais
en maraude. J'ai trouvé très marquant de passer d
rançais, marmonner l'anglais et ne connaissait personne. Nous l'avons
accompagné
à un centre, appeler un interprète et essayer de
araude qui est allé dans son secteur, et donc de le rencontrer puis l'
accompagner
jusqu'à son hébergement. J'ai été très touchée -
Au cours de ma garde au SAMU SOCIAL j'ai
accompagné
Nathalie (notre conductrice) et Mickael (infirmie
é dans une rue du 11eme arrondissements, quant on est arrivé il était
accompagné
de deux passants, il était bien couvert et refusa
propension pathologique à revenir dans l'instabilité même s'ils sont
accompagnées
et aidés à avoir une vie stable. Néanmoins je pen
r. Cependant, ce que je ne trouve pas très normal, c'est que l'équipe
accompagne
uniquement les externes qui habitent dans Paris,
çu un signalement pour une femme d’une quarantaine d’années afin de l'
accompagner
jusqu'à un centre d’hébergement pour la nuit uniq
nte, l'occasion de comprendre l'action du SAMU social sur le terrain,
accompagner
et aider les gens dans le besoin. Ce fut une nuit
une secrétaire d'accueil aux urgences où il a fallu de toute évidence
accompagner
un homme souffrant avec des antécédents médicaux
s, dont notamment un couple de jeunes. Ces 2 jeunes (18 ans ) étaient
accompagnés
de 2 chiens et venaient d'Angers. Voir deux jeune
tient d'un lien social. J'ai pu assister à plein de type de mission (
accompagné
un blessé au urgence, distribution de nourrir, ra
teur ou d'adrénaline à disposition (anecdote racontée par l'IDE que j'
accompagnais
). J'ai pu observer également qu'il y avait un vra
sieurs mois et qui l'a certainement bien soulagé. Avec l'équipe que j'
accompagnais
pour la nuit, nous devions entre autre aller voir
l'impression de ne pas suffisamment aider les demandeurs. Nous avons
accompagné
plusieurs hommes sans domicile au centre de Montr
ité d'accéder à un logement pour la nuit, l'équipe du SAMU SOCIAL les
accompagne
et les aide pour surmonter des nuits difficiles,
éhender la réalité de tant de patients des hôpitaux afin de mieux les
accompagner
. J'ai pu voir les deux grands centres d'hébergeme
me, donne des premiers soins infirmiers. Pour ma nuit nous avons même
accompagné
quelqu'un aux urgences après une chute dans les e
écoute, pour malaise et douleur insupportable. Nous l'avons ausculté,
accompagné
et rassurer jusqu'à son lit infirmier pour la nui
moi d'aller vers l'autre, puis en prenant exemple sur l'équipe que j'
accompagnais
j'ai réussi à passer au delà de mes appréhensions
e donner un café, une couverture de survie ou un bol de soupe, soit d'
accompagner
la personne jusqu'au centre d'hébergement. Puis v
t enrichissant sur le plan humain, même si la prise de conscience qui
accompagne
la maraude est assez violente (gale, problèmes ps
toit, ça se joue à quelques minutes près. Débute la maraude. Je suis
accompagné
de Sandrine, l’infirmière, et de Mohammed, le cha
autres nous trouvons une place dans un hébergement d’urgence et les y
accompagnons
. Au fil des rencontres, un monde s’esquisse. Un m
onné que c’était un jour férié. Je grandement les personnes qui m’ont
accompagné
pendant la maraude qui ont pris le temps de répon
la rue pour avoir un café ou une soupe, étaient complètement ignoré,
accompagné
par une remarque 'on est quand même par leur chie
ne femme enceinte aux urgences maternité qui dormait à même le sol, d'
accompagner
aux urgences une usagère pour un problème somatiq
arrivé à 18h et je me suis présenté devant un bureau, où une dame m’a
accompagné
et présenté à l’équipe. J’ai ensuite reçu un fasc
nne ambiance. Nous sommes remis entre les mains d’une équipe que nous
accompagnerons
touts la nuit. La première partie de la nuit est
us avons reçu beaucoup de signalements dans notre secteur. Nous avons
accompagné
des hommes de différentes catégories d'âge à deux
tent d'apporter de l'aide aux gens, le fait de les rencontrer, de les
accompagner
dans des centres, de leur donner à manger, à boir
upe, puis un bolino, et de fil en aiguille nous l'avons amener à nous
accompagner
jusqu'à un centre d'hébergement où il a pu dormir
qu'on les écoute, d'un contact, et ils ont besoin qu'on les guide et
accompagne
dans certaines démarches, et c'est aussi là qu'in
ns parfois. J'ai été impressionné par le dévouement de l'équipe que j'
accompagnais
et qui m'est apparue toujours a l'écoute, absolum
ar personne d'autre ne me repondait quand je leur demandait. Elle m'a
accompagné
gentiment jusqu'au camion où j'ai vu l'équipe com
lidarité entre eux, un homme âgé nous a dit de prendre le jeune qui l'
accompagnait
en hébergement quand il ne restait plus qu'une pl
soir au moins, dans un des foyers les plus sécurisés de Paris, on l'y
accompagnera
. Sur le trajet la jeune travailleuse sociale lui
ud, un bolino une soupe, distribuer les rares pulls que nous avons et
accompagner
les gens qui le souhaitent dans des foyers si tou
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